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Valefor

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Tout ce qui a été posté par Valefor

  1. Merci infiniment Auréllia.

    Bonne soirée.

  2. Je n'en vois pas également , à part des glandeurs raveurs crasseux avec leurs clébards qui traÎnaillent toute la journée devant un supermarché , mais il ne s'agit pas de SDF mais de SCF..
  3. Drôle d'endroit pour méditer. Et la nana vient de se faire bouffer sa carte.
  4. Valefor

    La citation du jour

    Les juges.... ...
  5. Prolétaire : Citoyen de dernière classe , dont la seule utilité pour la société est sont les enfants qu'il engendre. Je pense , je suis. Moi je déteste les prolos ,ils crachent sur les clochards et votent FN , c'est vraiment de la merde ces gens-là.. :cool:
  6. C qui , qui nettoie tes WC à toi Vilaine ? :smile2:
  7. Comme les paysans , les ouvriers du bâtiment ,pêcheurs etc etc .. , Que des mains dég :smile2:, finalement tu empêches tout le monde de s'approcher de toi où personne ne s'approche de toi ? :cool:
  8. Merci Tendresse pour ton petit message.

    je te souhaite de vivre chaque instant et d'être heureuse à tout moment..

    Bises.

  9. Ouep , ca va gicler ...

  10. Comme c'est triste. Je verse une larme tiens .
  11. Zut , j'ai déjà "fauté" J 'ai une gamine de 21 ans (J'ai commencé mes conneries très tôt hein ?) qui a eu son Bac Littéraire avec Mention. Ma hantise qu'elle finisse Avocate :cool: ou pire Huissier , le flip .. .......... Bon ce n'est pas tout , revenons au sujet , les femmes aiment-elles oui ou non les hommes intelligents ? et où les hommes stupides aiment-ils les femmes intelligentes ?
  12. Valefor

    La citation du jour

    Messieurs, Vous savez maintenant qui je suis : un révolté vivant du produit des cambriolages. De plus j’ai incendié plusieurs hôtels et défendu ma liberté contre l’agression d’agents du pouvoir. J’ai mis à nu toute mon existence de lutte ; je la soumets comme un problème à vos intelligences. Ne reconnaissant à personne le droit de me juger, je n’implore ni pardon, ni indulgence. Je ne sollicite pas ceux que je hais et méprise. Vous êtes les plus forts ! Disposez de moi comme vous l’entendrez, envoyez-moi au bagne ou à l’échafaud, peu m’importe ! Mais avant de nous séparer, laissez-moi vous dire un dernier mot. Puisque vous me reprochez surtout d’être un voleur, il est utile de définir ce qu’est le vol. À mon avis, le vol est un besoin de prendre que ressent tout homme pour satisfaire ses appétits. Or ce besoin se manifeste en toute chose : depuis les astres qui naissent et meurent pareils à des êtres, jusqu’à l’insecte qui évolue dans l’espace, si petit, si infime que nos yeux ont de la peine à le distinguer. La vie n’est que vols et massacres. Les plantes, les bêtes s’entre-dévorent pour subsister. L’un ne naît que pour servir de pâture à l’autre ; malgré le degré de civilisation, de perfectibilité pour mieux dire, où il est arrivé, l’homme ne faillit pas à cette loi ; il ne peut s’y soustraire sous peine de mort. Il tue et les plantes et les bêtes pour s’en nourrir. Roi des animaux, il est insatiable. En outre des objets alimentaires qui lui assurent la vie, l’homme se nourrit aussi d’air, d’eau et de lumière. Or a-t-on jamais vu deux hommes se quereller, s’égorger pour le partage de ces aliments ? Pas que je sache. Cependant ce sont les plus précieux sans lesquels un homme ne peut vivre. On peut demeurer plusieurs jours sans absorber de substances pour lesquelles nous nous faisons esclaves. Peut-on en faire autant de l’air ? Pas même un quart d’heure. L’eau compte pour trois quarts du poids de notre organisme et nous est indispensable pour entretenir l’élasticité de nos tissus ; sans la chaleur, sans le soleil, la vie serait tout à fait impossible. Or tout homme prend, vole ces aliments. Lui en fait-on un crime, un délit ? Non certes ! Pourquoi réserve-t-on le reste ? Parce que ce reste exige une dépense d’effort, une somme de travail. Mais le travail est le propre d’une société, c’est-à-dire l’association de tous les individus pour conquérir, avec peu d’efforts, beaucoup de bien-être. Est-ce bien là l’image de ce qui existe ? Vos institutions sont-elles basées sur un tel mode d’organisation ? La vérité démontre le contraire. Plus un homme travaille, moins il gagne ; moins il produit, plus il bénéficie. Le mérite n’est donc pas considéré. Les audacieux seuls s’emparent du pouvoir et s’empressent de légaliser leurs rapines. Du haut en bas de l’échelle sociale tout n’est que friponnerie d’une part et idiotie de l’autre. Comment voulez-vous que, pénétré de ces vérités, j’aie respecté un tel état de choses ? Un marchand d’alcool, un patron de bordel s’enrichit, alors qu’un homme de génie va crever de misère sur un grabat d’hôpital. Le boulanger qui pétrit le pain en manque ; le cordonnier qui confectionne des milliers de chaussures montre ses orteils, le tisserand qui fabrique des stocks de vêtements n’en a pas pour se couvrir ; le maçon qui construit des châteaux et des palais manque d’air dans un infect taudis. Ceux qui produisent tout n’ont rien, et ceux qui ne produisent rien ont tout. Un tel état de choses ne peut que produire l’antagonisme entre les classes laborieuses et la classe possédante, c’est-à-dire fainéante. La lutte surgit et la haine porte ses coups. Vous appelez un homme « voleur et bandit », vous appliquez contre lui les rigueurs de la loi sans vous demander s’il pouvait être autre chose. A-t-on jamais vu un rentier se faire cambrioleur ? J’avoue ne pas en connaître. Mais moi qui ne suis ni rentier ni propriétaire, qui ne suis qu’un homme ne possédant que ses bras et son cerveau pour assurer sa conservation, il m’a fallu tenir une autre conduite. La société ne m’accordait que trois moyens d’existence : le travail, la mendicité, le vol. Le travail, loin de me répugner, me plaît, l’homme ne peut même pas se passer de travailler ; ses muscles, son cerveau possèdent une somme d’énergie à dépenser. Ce qui m’a répugné, c’est de suer sang et eau pour l’aumône d’un salaire, c’est de créer des richesses dont j’aurais été frustré. En un mot, il m’a répugné de me livrer à la prostitution du travail. La mendicité c’est l’avilissement, la négation de toute dignité. Tout homme a droit au banquet de la vie. Le droit de vivre ne se mendie pas, il se prend. Le vol c’est la restitution, la reprise de possession. Plutôt que d’être cloîtré dans une usine, comme dans un bagne ; plutôt que mendier ce à quoi j’avais droit, j’ai préféré m’insurger et combattre pied à pied mes ennemis en faisant la guerre aux riches, en attaquant leurs biens. Certes, je conçois que vous auriez préféré que je me soumette à vos lois ; qu’ouvrier docile et avachi j’eusse créé des richesses en échange d’un salaire dérisoire et, lorsque le corps usé et le cerveau abêti, je m’en fusse crever au coin d’une rue. Alors vous ne m’appelleriez pas « bandit cynique », mais « honnête ouvrier ». Usant de la flatterie, vous m’auriez même accordé la médaille du travail. Les prêtres promettent un paradis à leurs dupes ; vous, vous êtes moins abstraits, vous leur offrez un chiffon de papier.
  13. Je m'en tape la plupart du temps. Je déteste l'espèce l'humaine , je ne comprends pas comment la terre a pu engendrer une telle saloperie. Et le reste du temps , j'ai de la compassion , alors je rentre dans un supermarché acheter des tomates , j'en balance 4 ou 5 dans la tronche de la pauvre cloche qui joue le vigile.
  14. Sur le chemin de croix de Renard plutôt :smile2: Non pas "crétin peut-être" c'est sûr , je peux facilement en apporter les preuves... :smile2: Par contre ,je ne méprise personne hein :bad: , la futilité celà peut être quelque chose d'extrême doux comme une plume qui vous caresse le visage par exemple..:cool: Sacrée Querida NGF :p
  15. Valefor

    La citation du jour

    En amour prendre soin de soi c'est prendre soi de l'autre et vice-versa. :)
  16. NGF c'est tes initiales Querida ?

  17. Moi j'aime les idiotes futiles , alors si vous en êtes , n'hésitez pas à me contacter :smile2: Je n'ai jamais eu "accès" aux femmes intelligentes étant moi-même un fieffé crétin.
  18. Valefor

    Vilaine

    Oui oui . Allez bye.:cool:
  19. Valefor

    Vilaine

    Je ne vois pas pourquoi tu me réponds subitement . Tchuss.
  20. Valefor

    La citation du jour

    Aux plus dociles , à ceux qui renoncent le plus visiblement à leur liberté individuelle , la société reconnaissante distribue des gratifications : emplois , postes de responsabilité , autorité déléguée , grade dans la hiérarchie , puissance sur autrui , salaires qui permettent de consommer , donc d'apparaître tel un individu modèle d'intégration . Diplômes ,carrière , travail , revenu : la société ne ménage pas ses cadeaux aux éléments les plus décidés à collaborer à son p...rojet. Le panoptique guette partout où la liberté existe : dans la famille , dans la relation avec les autres , au travail bien sûr , mais aussi dans son quartier , sa cité , son pays, et bientôt sur la planète entière. Une poignée seulement résiste aux appels de la sirène pour préférer une plus grande liberté , même s'il faut le payer d'une moins grande sécurité ou d'une moindre visibilité sociale. A vous de choisir : serez-vous de cette poignée ???
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