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Tout ce qui a été posté par zenalpha
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Si on se trouve "piégé" par un raisonnement, c'est souvent parce que la question est mal posée, qu'il faut ré interpréter le cadre meme de la réponse. Je ne dis pas que j'aurai intuitivé la réponse du temps de Zénon bien suŕ, mais que nourri par mon temps, ce paradoxe a un air de naïveté La vitesse étant défini comme le rapport de la distance sur le temps, la différence de vitesse entre le lièvre et de la tortue ne peut-être appréhendée par la seule reduction de distance...mais par la différence de distance sur le temps. Il y a derrière ça la notion de fonction, le calcul différentiel ... donc les derivés, la notion de taux de variation...dont on a tellement été imprégné qu'il devient inversement contre intuitif de penser comme Zénon. Je peux admettre que c'est sans doute par la manipulation de concepts qui n'existaient pas du temps de Zenon que le renversement intuitif s'opère. C'est un peu comme sur ce forum cette conjecture sur les nombres premiers, 5 secondes me suffit pour me rendre compte de L'autoreferentialité d'un raisonnement. Il y a des réflexes ne demandant...strictement aucun effort de par les images mentales...travaillées...pour être ancrees au même titre que la respiration Une différence de vitesse n'est pas et ne sera jamais une différence de distances...
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Intuitivement, ... ce serait le concept même du déplacement qui serait impossible puisque quelque soit la petitesse du déplacement, il existera toujours entre le point A et le point B une infinité de points dont n'importe quel point intercalé choisi est lui même infiniment éloigné de A et infiniment éloigné de B... Or le paradoxe énonce le fait que la tortue comme le lièvre se déplacent.... Abordons le différemment intuitivement sous l'angle du temps Si le lièvre se déplace a vitesse constante, considerer une sequence de réduction des distances à parcourir à vitesse identique revient à postuler un arrêt du temps. Les 10 premiers mètres en 1 sec, les 5 suivants en 1/2 sec, les 2,5 m suivants en 1/4 sec etc etc Hors le temps passe à vitesse régulière et il serait idiot de postuler l'arrêt du temps
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De ce point de vue, non. Il n'existe aucune solution stationnaire aux équations de Maxwell. Ça a conduit à la relativité restreinte
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@saxopap Rien compris du patchwork de ton post Si l'idée est de dire que la téléportation quantique existe, oui... Si l'idée est de dire que le principe de Pauli est incontournable dans le quantique, oui... Si l'idée est de dire que le concept de masse est incompris sans évoquer le champs de Higgs, oui je te le confirme et pour le coup, très contre intuitif Concernant le paradoxe de Zenon, je ne le trouve personnellement pas contre intuitif, je ne peux pas t'écrire l'inverse Un sujet après l'autre peut-être Je vais faire pause concernant l'electrodynamique quantique qui était le sujet en cours depuis l'échange concernant la définition du photon dont je pense que justement ... il est trop dfficilement intuitif.
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Merci je pousserai peut-être a la ceinture orange pour avoir un minimum de vue d'ensemble sur la physique des particules mais j'irai pas plus loin... En attendant voici des devoirs de vacances par Feynman himself
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Je suis sérieux, il est rare de lire des interventions refléchies autre que la ... tentative... de résoudre un calcul à ce stade. Et généralement ces tentatives n'ont ni intérêt et sont régulièrement grossièrement fausses Alors dites moi si interêt parce que, la compréhension des diagrammes de Feynman, de la quantification de l'electromagnetisme, du modèle standard de la physique des particules est incompris hors des cercles que je côtoie de l'extérieur Ce que j'ai écrit vous ne le lirez deja en gros nulle part comme je l'ecris En respectant la méthode du grand explicateur Feynman Et pour...trouver les mots pour ce qui suit, mes efforts n'ont d'intérêt que si ça capte l'intérêt Comme je le disais, on en est encore qu'aux niveaux inintéressants pour moi. Ça fait des années que je m'intéresse aux modèles de gravitation quantique et j'en ai un peu rien à foutre de prendre du temps pour résumer cette partie en passage obligatoire mais dejà totalement meconnue Donc hesitez pas à me dire, si interêt je reprends mardi sinon je reste à me distraire gentiment en papillonnant
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Oui tout y est dommage qu'un schéma est impossible. A l'échelle d'UNE particule, le chemin classique qui relie deux points EST une ligne droite (imagine une fusée dans le vide et bien si la physique classique s'appliquait à une particule unique, le déplacement serait aussi une ligne droite) Dans tous LES chemins quantique possibles pour une particule, les phases de tous les chemins proches du chemin classique tendent a se renforcer, les phases des chemins éloignées tendent à s'annuler. Néanmoins si tu imagines un chemin où la particule à fait le tour de la lune, bien qu'extrêmement improbable, c'est possible. Ce que je décris c'est un formalisme qui marche et qui permet de décrire le quantique au travers des integrales de chemin de Feynman. Plus généralement et c'est pour ça que je parle d'émergence des lois Newtonnienne du mouvement, ce formalisme s'applique parfaitement à tout système complexe. Un ensemble de particules, une chaise, la terre... Feynman permet de prédire le comportement d'un système complet et Hawking par exemple l'applique à l'univers entier dans le modèle Hartle Hawking, En fait...l'équation wheeler de witt qui est à la base de toutes les théories de gravitation quantique pour unir relativité et mécanique quantique pour un univers primitif infiniment petit (quantique) et infiniment dense (relativité) intègre dans sa structure le mécanisme des integrales de chemin de Feynman Dans l'expérience des fentes de Young, l'histoire de la particule est une trajectoire Et de la même manière que dans cette expérience la probabilité d'observer l'impact de la particule à tel ou tel endroit dépend de la probabilité de l'ensemble des chemins qui y aboutissent, Feynman a montré que ce mécanisme est generalisable et que, pour un système quelconque, quantique, la probabilité d'une observation se construit a partir de toutes les histoires possibles qui ont pu mener a cette observation C'est pour ça que cette théorie s'appelle somme sur les histoires ou histoires alternatives de la mécanique quantique Ça va plus loin... Je disais qu'en mécanique quantique l'alea est inhérent a la nature... Tu ne peux plus avoir en mécanique quantique un passé bien defini, un futur bien defini mais une probabilité d'histoires passées et une probabilité d'histoires futures La mécanique quantique et ce formalisme des integrales de chemins montre, si on donne credit au formalisme et a ses succès (je ne suis encore que dans des théories extrêmement eprouvées je ne suis pas dans un délire...) alors, tout système quantique n'a ni futur déterminé, ce qui nous pose peu de souci conceptuel... ni surtout de passé déterminé Les observations faites au présent affectent le passé Schématiquement...l'expérience des fentes de Young dite à choix retardé est semblable à celle dont on discute depuis le début de ce fil. Tu decides d'observer par quel chemin passe la particule Donc tu mesures Donc tu va faire s'effondrer la fonction d'onde et pouvoir localiser un des chemins parmi tous les chemins potentiels Mais..tu reportes ta décision d'observer...donc de mesurer ... APRES le passage des fentes Dans ce cas...le chemin emprunté par la particule donc...son passé...est déterminé APRES qu'elle ait traversé la fente donc longtemps APRES qu'elle ait effectivement traversé une seule fente (pas d'interference) ou les deux (interférences) Ton choix d'experimentateur dans le présent, conditionne le chemin pris dans le passé par la particule John wheeler évoqué dans cette vidéo est le co rédacteur de la théorie de l'absorbeur de wheeler Feynman en electrodynamique quantique avec comme principe la symétrie des équations par rapport au renversement du temps Feynman a travaillé sous la direction de wheeler sur le principe de moindre action applique a la mq et qui est la base du formalisme des integrales de chemin Hawking a qualifié les équations de wheeler de witt qui intègre la logique des integrales de chemin comme la fonction d'onde de l'univers La gravitation quantique part de cette équation plus largement On est niveau ceinture verte 4500 morts.
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C'est drôlement sympa. Je pense être "fidèle" a l'esprit des physiciens dont je parle et de leurs formalismes mais je ne suis pas physicien. Si des formalismes peuvent...parfois...m'arrêter, si j'y passe un temps compté et surtout... passif (je ne calcule pas tous les jours sur la fonction d'onde....), je sais les lire, les écouter et participer...dans le public, a leurs conférences Poursuivons un peu alors... Chez Newton...la particule (qu'on va donc voir aussi avec Feynmann...comme une particule dans CE formalisme) suivrait une trajectoire rectiligne. Les tombés de l'arbre du quantique en sont là, avec cro magnon. Feynman echantillone tous les chemins possibles qui relient A a B Chaque chemin est caractérisé par une phase Elle représente la position sur une période de l'onde (le sommet, un creux, une position intermédiaire) Bien... Feynman additionne toutes ces phases sur tous les chemins En faisant ça, on trouve l'amplitude de probabilité et le carré de cette amplitude donne cette probabilité exacte de retrouver la particule en B Imagine la phase de chaque chemin qui contribue à l'intégrale des chemins (la somme, donc cette probabilité de retrouver la particule en B) comme une flèche de longueur fixe. Cette flèche...suivie d'une autre...puis d'une autre...peut pointer dans toutes les directions Si tu additionnes 2 phases successives, tu places une première flèche qui va dans une direction, une seconde flèche qui va dans une autre direction et leur somme est ce qui relie l'origine de la première à la pointe de la seconde Si tu ajoutes des phases à sommer, tu ré itères ce processus Si les flèches pointent toutes dans la même direction...leur somme...est longue... Si elles se contredisent par des directions différentes, tu peux avoir une somme dont la longueur est minuscule voire...rester au point de départ La somme des chemins de Feynman permet de calculer la probabilité d'aller de A a B en additionnant...toutes les phases....donc toutes les flèches associées a chacun des chemins potentiels allant de A a ... B Il y en a ... un nombre ... infini Les mathématiques sont ... compliquées Maintenant suis moi bien Selon la théorie, les valeurs des phases associées a chaque chemin dépendent de la constante de Planck Compte tenu de sa petitesse...les phases de chemins proches varient très vite et leurs contributions tendent à s'annuler quand on les additionne La même théorie implique que pour certains chemins particuliers, les phases ont tendance à s'aligner, ce qui va les favoriser. Ils contribuent ainsi plus fortement a la somme des chemins de Feynmann Pour les objets de grande taille...les phases qui tendent à s'aligner se cumulent et concentrent toutes les probabilités non nulles ce qui rend la probabilité d'un chemin unique egale à 1 Et si tu comprends ça, tu comprends que les lois de Newton qui modelisent les trajectoires des objets classiques selon des trajectoires rectilignes....n'est qu'une conséquence de la somme des integrales de chemin pour toutes les particules quantiques Les prédictions Newtonnienne et le monde classique Newtonnien émerge d'une physique quantique fondamentale extrêmement différente Ya 450 morts dans la salle Pourtant on a ... rien ... vu encore
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Hello a tous Nous sommes tous à commettre des erreurs de .. plutôt marginales à Pluto grosses (éh éh) jusqu'à un ... total abus de droit de réponse. Mais en effet, le but est de prendre plaisir à l'échange et à une forme de modération si possible personnelle. Je clos ma vision du sujet pour reprendre la seconde partie via Feynman du chemin vers l'electrodynamique quantique On l'a vu, dans la physique Newtonnienne, si on mettait des ballons au lieu de molécules voire donc de cette bactérie quantique presentée précédemment, chaque objet classique suit une trajectoire parfaitement définie depuis la source jusqu'à l'écran En mécanique quantique, on l'a abordé intuitivement avec les expériences des fentes, on voit bien que l'interference d'un photon par exemple...avec lui-même..démontre une interference et démontre que ... cette entité quantique...qu'on va appelé particule ou nuage de probabilité quantique comme on voudra ...passe par les 2 fentes. L'equation de Schrodinger va ... plutôt...interpreter ce passage comme une absence de trajectoire bien definie (la fameuse supperposition d'etats), ce qui fait, que si on devait...s'imaginer...une "image mentale" la moins mauvaise...je dis bien la moins mauvaise...il faudrait plutôt faire référence à Bohr (onde de probabilité) mais que je vous propose de conceptualiser comme Rovelli (un nuage de probabilité). Dans le formalisme de Schrodinger, imaginez qu'on definisse comme réel le monde classique ce qui est materiel (genre un caillou ou le déplacement d'une vague dans l'eau) alors un nuage n'est pas materiel. Aucun nuage ne vient frapper un écran avec un impact unique par exemple ou aucun nuage ne vient taper sur un écran comme le ferait une vague qui s'ecrase sur une digue) En revanche, lors de l'effondrement de la fonction d'onde lors d'un impact ou d'une mesure...la différence entre un "nuage quantique" et un "nuage du ciel" est qu'il se ... manifeste alors immédiatement, instantanément...par une...manifestation...qu'on va pouvoir rapprocher du comportement ondulatoire ou corpusculaire. Ce nuage de probabilité ...passe, physiquement... au travers des 2 fentes...interfère avec lui même au passage des fentes ce qui modifie sa structure de probabilité, sa "forme de nuage de probabilité" et, lors de l'impact du nuage sur l'écran...s'effondre instantanément pour marquer une position d'impact et une vitesse nulle sur l"ecran (le nuage quantique est passé de nuage quantique à particule classique explosée sur l'ecran) Cette description, de la projection des vecteurs d'états rendue dans l'espace de Hilbert à la représentation physique dans notre espace 3D, vous ne la retrouverez que par le mot "nuage de probabilité" dans les ouvrages de gravitation quantique à boucles qui intègrent l'équation de Schrodinger au travers de l'equation wheeler-de witt, et cette image de nuage quantique est bien plus développée dans mon esprit par exemple, je conceptualise un peu selon les expériences "la forme" et les "intensités" de ce nuage. Passons....et déjà je me doute du tollé de cette représentation Maintenant passons a Feynman Feynman nous "dit" qu'il ne faut pas, comme dans cette description...renoncer...a la trajectoire de la particule. Il "comprend" qu'on est pas obligé d'interpréter le passage de A à B dans l'espace comme une absence de trajectoire d'une particule, comme ce "nuage quantique" qu'on appelle un champ dont chaque probabilité represente une probabilité d'excitation locale sur lequel cristallisera l'effondrement de la fonction d'onde. Feynman...simplifie le problème Il va considérer...modeliser...concevoir un formalisme...ou une seule particule emprunte TOUS les chemins possibles de A à B entre la source et l'ecran Ça ressemble à de la science fiction ? Sans doute mais ce concept, Feynman le traduit dans une nouvelle formulation mathématiques qui retrouve toutes les lois de la physique quantique L'image physique d'un nuage quantique de proba ... à ... une seule particule empruntant tous les chemins...est différente mais les prédictions qui en découlent sont identiques Dans l'expérience des fentes, le formalisme de Feynmann modélise des situations où la particule passe par une fente...d'autres ou elle passe par l'autre fente...et d'autres, moins probables..ou la particule passe faire quelques tours de Jupiter, passe dans Alpha du Centaure, file à l'autre bout de la galaxie, visite l'univers entier et revient s'écraser sur notre écran. N'oubliez pas que cette description d'une trajectoire pour une physique alocale nécessite une approche différente qu'une trajectoire classique limitée par la vitesse de la lumière...on est dans un monde quantique par cette modélisation Pour Feynman, les chemins, les trajectoires de cette particule peuvent interagir avec les chemins qui passent par l'autre fente. Tous les chemins sont empruntés simultanément Cette folle description va déboucher sur des considérations mathématiques que j'aborderai par la suite...car les integrales de chemins qui somment une infinité de chemins possibles pousse à des problèmes complexes, des valeurs vont tendre vers l'infini et les techniques de renormalisation ne sont pas mathématiquement élégantes... N'empêche...ce sera cette conception qui s'averera pour tout ce qui concerne la quantification des forces fondamentales de la physique et pour toute la formalisation de la gravité quantique plus féconde que la formulation originale des ecteurs d'états dans l'espace de Hilbert Take the world from another point of view A ce stade, je pense que j'ai perdu...tout le monde... Pourtant on est passé de ceinture blanche à ceinture verte pour appréhender les futurs modèles de cosmologie quantique.. Je vous laisse donc m'incendier Comme Feynman, OSEF
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Il y a bien un chaos quantique Mais ce que je voulais signifier, c'est que certaines choses pourraient être predictibles si nous avions toutes les données sur l'état d'un système dans un système classique L'effet papillon est une métaphore normalement connue pour parler de la sensibilité aux conditions initiales qui est...très concret dans les limitations des prédictions de systèmes classiques complexes Mais le résultat et l'indétermination d'une expérience quantique n'a rien à voir avec ce problème du chaos, c'est une indetermination structurelle en relation au principe d'indetermination Le chaos quantique, mieux vaut ne pas l'aborder à ce stade du moins
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Le bon sens veut qu'on donne sens aux mots selon le contexte. En mq, peut-être faut il superposer à ce point le fait que le contexte donne sens au mot et balaye le bon sens. Voici mes mots pour aborder cette électrodynamique petit à petit en abordant le point de vue de Feynmann sur la nature...de la nature. En physique quantique, peu importe la quantité d'information, la finesse des mesures et les capacités de calcul, les issues des ... processus physique ne peuvent être prédits avec certitude car ils ne sont pas déterminés avec certitude Ça ne plaît pas a notre philosophie mais c'est ainsi que la nature fonctionne, fondamentalement. La nature autorise des choix possibles et on a vu qu'alors que nous ouvrions deux fentes donc deux fois plus de choix pour le passage d'un "photon", les zones d'impacts sur l'ecran, les franges d'interference étaient deux fois moins nombreuses qu'avec une seule fente et un seul choix offert a la nature La nature nous fait...un bras d'honneur Feynmann nous dit, ça vous pose problème ? Au revoir et merci... On pourrait dire que celà nous oblige à accepter une forme nouvelle de déterminisme...si on considère l'état d'un système a un instant donné, les lois ne nous disent pas...ce qu'était le passé et le futur avec certitude...mais les probabilités de ce qu'était le passé et les probabilités de ce que sera le futur, c'est par exemple le déterminisme de la fonction d'onde pour ceux à qui ça parle On accepte un fait, on fait le deuil des idées préconçues et peu importe votre genie, votre nom, votre cv et votre ego En dépit de la nature probabiliste, on peut tester les théories quantiques en effectuant par exemple la même expérience à de nombreuses reprises et les comparer aux probabilités prédites... Sur une expérience unique, ce que va nous apprendre le formalisme de Feynmann, c'est qu'a priori...même s'il y a une très grande chance de trouver l'electron dans une des fentes si vous vient l'idée de mesurer à cet endroit, il existe une probabilité que votre mesure ne le trouve pas à cet endroit, mais qu'il se situe au centre de la terre, sur la lune ou sur Alpha du Centaure si vous voulez. Vous ne l'y trouverez donc pas dans une des fentes mais aucune technologie ne permettra jamais de prédire avec certitude son point d'arrivée En revanche, faite à de nombreuses reprises, les impacts visualisés de vos électrons passant un par un dans votre dispositif experimental seront parfaitement conformes aux prédictions de probabilités calculées par la théorie J'ai deja dit plusieurs trucs dingues mais le dingue...c'est vous, la nature est ainsi. Il faut comprendre que les probabilités en question n'ont rien à voir avec les probabilités que je calcule dans mon métier ni de celles de la physique Newtonnienne Cette expérience est faite avec toutes sortes de particules dont des fullerènes qui sont déjà des gros systèmes. Les points d'impacts restent plus probables au centre de l'écran dans les franges les plus centrales et dans la vie...classique...on dira que c'est lié aux petits écarts liés à l'incertitude des conditions initiales et de celles de l'environnement. En principe, en connaissant toutes les conditions, on saurait déterminer ou sera l'impact Même la théorie du chaos nous apprend que si le résultat d'une expérience est aléatoire, indéterminable, comme la météo, c'est lié à cet effet papillon ou de petites causes ont des grands effets mais que, connaissant l'ensemble des conditions, nous saurions déterminer précisément la zone d'impact En mécanique quantique, les probabilités reflètent un alea fondamental, dans la nature... Vous avez des doutes sur la nature de la nature, bienvenus ! Schrodinger, Einstein, John Bell ... tous en ont eu et toutes les expériences ont confirmé cet aléa fondamental et la physique quantique n'a jamais été autant confirmée qu'aucune théorie dans l'histoire des sciences Feynmann va nous donner SON interprétation de l'expérience des fentes de Young qui sera reprise formellement dans son formalisme des integrales de chemin. Mais comme il y a douze morts parmi les béotiens et quelques physiciens du 19eme accompagnés d'ingénieurs qui déjà frisent la syncope, je propose d'emmener une partie du reste des lecteurs déjà initiés et bien au fait de tout cela se préparer à en avoir une dans les pages à venir. Tchuss
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Merci du partage J'adore l'idée de partir de la musique en analogie à la physique ou a la logique Le fameux Godel, Escher, Bach d'hostadter d'ailleurs cité par Haroche dans quelques interviews La musique de Messiaen "mise en musique" par Alain Connes dans "le spectre d'Atacama" avec la correspondance des rythmes non retrogradables qui ont une équivalence mathématique dont je pourrai parler. Lire aussi son "théâtre quantique" Mais tu vois, de mon point de vue, cet article continue.... comme toujours et simplement "pour nous faire sens" ..de faire cette analogie que je trouve éclairante et ...trompeuse et...toujours utilisée... entre le... comportement ondulatoire tel qu'il se ... REVELE à nous..du système quantique avec ... le système quantique lui même tel qu'il EST AVANT la mesure, AVANT l'observation. Et ce système quantique n'est NI UNE ONDE NI UNE PARTICULE CORPUSCULAIRE mais...autre chose que je pourrai tenter de décrire par des mots approximatifs mais plus précis selon ce qui est décrit par la fonction d'onde de Schrodinger ou selon ce qui est décrit par les integrales de chemin de Feynmann en m'inspirant des mots de Rovelli par exemple Le decrire comme une onde est...trompeur...au sens ou dans l'entendement on conçoit tous une onde. Non il a des COMPORTEMENTS ondulatoires dans sa ... manifestation Le decrire comme une particule est ... trompeur également ..non il a des comportements corpusculaires dans sa ...manifestation Et donc quand science et vie dit qu'on manque de vocabulaire, je dis qu'on genere nous même du flou par un mauvais emploi de vocabulaire Un vocabulaire difficile à imposer et a faire se conceptualiser pour les raisons que j'ai évoquées dans ce fil
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Hello Hobb Je pense surtout qu'elle prendrait beaucoup de temps à ... chacun...pour passer d'un... bachotage technique... guidé par son professeur de mathématiques et de physique en classe a une ... compréhension ... plus en profondeur, disons...une compréhension differente. J'ai décidé, après avoir choqué les "tombés de l'arbre" de la mécanique quantique, de risquer de choquer les ingénieurs, physiciens, laborantins et scientifiques qui ne ... lisent pas... donc qui ne donnent pas sens aux outils opérationnels qu'ils apprennent Je pense qu'il faut s'intéresser...aussi...à la vie des hommes à l'origine de ces formalismes, leur travail dans l'histoire des idées et s'imprégner de leur manière de penser. Peu comprennent la différence...et ...l'équivalence...entre la mécanique des matrices de Heisenberg qui a fait sa découverte sur l'île d'Heligoland pour soigner son rhume des foins de ses matrices de nombres representant les transitions des electrons entre les différents etats d'énergie...qui implique discontinuités et saut quantiques d'avec les équations de Schrodinger qui lui sont venues, dans les grisons, une station de ski, dans un moment de totale béatitude avec sa maîtresse à partir du travail de de broglie en imaginant l'electron comme une cordelette vibrante, de manière continue, sans rupture dans un formalisme qui formalise l'évolution des vecteurs d'états susceptibles de s'ajouter les uns aux autres dans l'espace de Hilbert d'avec les implications de d'electrodynamique quantique sur la formalisation de Feynmann concernant ses integrales de chemins qui a tout simplement comme implication que les solutions proposées par Newton ne sont qu'une simple conséquence émergente de la manière dont l'ensemble des chemins envisageables pour une particule se phasent entre elles dans des systèmes complexes C'est ce que je vais m'appliquer a expliquer Mais comprendre le genie de Feynmann, c'est comprendre que ces 3 formalismes sont parfaitement équivalents pour rendre compte du quantique, ..., que par conséquent savoir manipuler un formalisme ne rend compte que d'une manière particulière d'apprehender le problème... Feynmann a à peu près redeveloppé tous les formalismes auxquels il a travaillé en considérant le problème physique sous jacent...en simplifiant et en contournant la difficulté mathématiques pour rendre compte du coeur du problème physique (il se foutait des généralisations mathématiques "abusives") et en critiquant tous ces philosophes qui voulaient calquer leur propre idée préconçue sur la manière dont la nature se comporte Je dois de Feynmann la réussite dans mes études, ma vie pro, peut-être perso, en m'étant nourri de ses enseignements et de ses methodes. Take the world from another point of view Si vous n'etes pas capables de vous poser, d'écouter ces vidéos que j'ai sélectionné pour rendre compte de ce qu' EST Richard Feynmann, vous ne comprendrez jamais l'electrodynamique vue par Feynmann "Le premier principe est que vous ne devez pas vous duper - et vous êtes la personne la plus facile a duper" "La science c'est comme faire l'amour, parfois quelque chose d'utile en sort, mais ce n'est pas la raison pour laquelle nous la faisons" Quand j'aurai expliqué cette révolution de conception du quantique en grandes lignes que vous ne retrouverez nulle part, MON SEUL OBJECTIF EST QUE VOUS LISIEZ DES LIVRES et que vous adoptiez de voir le monde selon des points de vue différent Qui ne regarde pas l'intégralité de ces vidéos s'arrête ici. Elles ne sont proposées que pour entrer un peu dans la peau de mon maître à penser Et On ne consomme pas ce genre de choses, on ne les critique pas, on les respecte Et en particulier sur ce forum je ne donnerai pas de lard aux cochons, je ne poursuivrai donc cet échange que pour une critique constructive et parce que j'ai apprécié notre échange
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Honnêtement, il me semble a moi ... tout a fait certain... qu'on embarque pas dans le modèle de l'electrodynamique quantique qu'une description ondulatoire... Le photon comme particule virtuelle mediatrice de l'electromagnetisme n'en est pas une conséquence, les relations au vide quantique non plus mais surtout l'exigence du quantique de sommer toutes les histoires potentielles donc les integrales de chemin de Feynmann J'y reviendrai sur d'electrodynamique quantique mais la je pars manger
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Concernant l'usage de l'opérateur rotationnel : https://www.superprof.fr/ressources/scolaire/maths/cours-7/prepa-7/outils-analyse-vectorielle.html Concernant l'electromagnétisme et sa quantification : https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=http://lptms.u-psud.fr/nicolas_pavloff/enseignement/files/2010/03/cours_ecq.pdf&ved=2ahUKEwjws8j8yZDsAhVZA2MBHfbZCVUQFjAAegQIARAB&usg=AOvVaw3Sud-UeMgt7CaN1cncGu1f Je t'avoue que je survole ce genre de docs pour rattacher mes lectures mais que je ne rentre pas dans les détails on utilise les invariances de Lorentz pour rendre la démarche relativiste et on introduit la fonction d'onde d'un système quantique je fais quelques raccords rapides dans ce deroulé mais mon niveau de détail reste macroscopique... ceci etant, j'expliquerai quelques fondamentaux sur la manière dont on quantifie les interactions et surtout sur les implications que ça a bizarrement, c'est à ce niveau que je commence à me sentir seul dans mes lectures sur à peu près tous les forums pourquoi les physiciens décrochent la ? A toi de me le dire... En tout cas...tu ne...peux pas...definir un photon, sans considérer sa caractéristique quantique Donc ta description est obligatoirement en electrodynamique quantique si on parle bien du ... photon donc il faut aussi l' aborder comme le quantum du champ électromagnétique voire introduire le vide quantique... Dire la QED donne une description en tant que particule, c'est vrai...mais c'est un abus de langage pour décrire la nature d'un photon Et dire la partie ondulatoire est rendue par l'electromagnetisme c'est pas vrai car un photon est un quantum et l'electromagnetisme n'est pas quantifiée Le langage et la mécanique quantique Non..décrire un photon c'est utiliser après les années 1950 l'electrodynamique quantique donc la théorie quantique des champs Et les diagrammes de Feynmann sont particulièrement riches d'enseignement...
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1 c'est un parfait ... contresens 2 la dualité onde-corpuscule, c'est de mon point de vue ...dépassé dès le modèle standard de la physique des particules et donc la théorie quantique des champs pour formaliser un système quantique. C'est juste bien pour ramener le quantique aux formalismes connus du classique La quantification des forces fondamentales, le modèle de la physique des particules, c'est le paradigme explicatif du quantum des forces Et ça a trait à la théorie quantique des champs Suis désolé mais j'ai souvent fait mention de ce retard de physiciens eux mêmes Je dois te dire que ce qui m'intéresse, c'est bien davantage la gravitation quantique à boucles que le cadre issu de la dualité onde corpuscule de 1920 Je rejoins connes 3 il s'agit d'une relation Jamais cette équation n'a pour conséquence de fixer la vitesse de la lumière... C'est vrai mais ce n'était pas ma question Ecoute, je fais pause pour aujourd'hui Mais au plaisir
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1h16min45sec Un des plus grands mystères de la nature, la vitesse de la lumière La vitesse de la lumière comme constante fondamentale non déductible d'un formalisme fondamental https://fr.wikipedia.org/wiki/Constante_fondamentale Les ajustements fins de ces constantes sont precisement l'objet de recherches afin de les expliquer, la M théorie issue de la théorie des cordes nous les explique par les 10p500 formes différentes de calabi yau pouvant générer tous types de lois, d'univers, de constantes
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1 oui, tu as raison. c'est juste pour te montrer que n'est pas du tout question de tartiner pour faire sens Je parle de logique Et le principe d'incertitude, par exemple est un réel...contre sens Ce n'est pas que nous ne connaissons pas la position et la vitesse d'une particule à cause des limites de la mesure...c'est qu'avant la mesure, nous n'avons pas affaire... à une particule et nous sommes donc certains de l'indétermination par la mesure. C'est un exemple de contresens du vocabulaire même si, évidemment, je me doute qu'il ne fait pas contresens dans ton quotidien 2 Très bien, ce point m'intéresse. Peux tu détailler le calcul et le raisonnement ? Par exemple, comment est determine mu_0 et d'ou vient sa valeur Je suis sincère, ça m'intéresse vraiment 3 je comprends Je suis très loin de tout ça et j'espère apprendre de nos échanges Je ne souhaite pas te monopoliser dans ton travail mais j'espère que tu participeras Suis dur à contenter...mais je suis ouvert Juste qu'aucun manque d' explication masqué par un jargon ne me contente Fatalement, arrive un moment ou le manque de technicité est un frein Mais je suis content de savoir que tu trouveras les mots J'espère vraiment clarification sur la vitesse de la lumière par une équation de l'electromagnetisme Brian Greene pretend qu'il s'agit d'une constante fondamentale qui ne se deduit d'aucun formalisme et ne peut que se mesurer dans "la magie du cosmos", mes petites lectures a mon niveau Et ma foi quand il prétend que la théorie des cordes pourrait en expliquer la valeur j'aimerais lui écrire pour lui expliquer que Maxwell fausait ça très bien A titre perso, ce serait une vraie plus value intellectuelle pour moi. Merci
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1 Incomplète au sens... logique...par exemple aucune theorie axiomatisée contenant l'arithmétique n'est complète Pas au sens d'une tartine de mots Newton est incomplet, Einstein est incomplet, la MQ est incomplète et chacune repose sur des considérations de base posées là... Tiens...comment la vitesse de la lumière est elle prédite dans ces théories ? D'ou vient que la vitesse de la lumière est ce qu'elle est ? 2 c'est pourquoi il faut que le regard provienne d'en dehors du laboratoire par l'épistémologie dont je comprends que ce n'est pas ton quotidien 3 non c'est faux Tu as de nombreux exemples que j'ai évoqué 4 convaincre, ce n'est pas ma tasse de the. Je dis que ta définition du photon est mauvaise Tu peux ensuite prétendre que c'est mon opinion Un quantum du champ électromagnétique, c'est insuffisant mais plus exact que ta définition 5 oui, j'ai horreur des interrogations ecrites et par bien des domaines tu es mon professeur Néanmoins, l'emploi des mots n'est pas trivial, particulièrement en MQ et ce n'est pas mon point de vue que j'exprime 6 oui. Merci à toi.
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1 qui est "un bon résumé de la mécanique quantique" donc une utilisation de mots. Ne jamais perdre le fil. 2 Aucune définition n'est parfaite mais en mécanique quantique, toute définition est incomplète ou partiale. C'est marrant que tu parles de plaidoirie puisque c'est cet exemple du tribunal qui pousse Connes à interpréter le premier théorème de Gödel contre la position de Lichnerowitz Un débat de mathematicien sur un théorème fondateur qui montre la richesse / limite des mots dans la description d'un même formalisme Reduire un phénomène a un formalisme est un parti pris avec des avantages et des inconvénients quant ... au sens 3 l'épistémologie est clairement mon dada, mais ce n'est pas mon domaine Juste qu'il est fondamental de se demander comment nous savons ce que nous savons Sinon, on est vite dans l'opinion 4 Très bien, mais pourquoi n'ai je pas été convaincu par ta définition d'un photon Ok, ça peut être ma compréhension laissons ouverte cette possibilité Pourtant je l'exprime sincèrement Essayons avec le champ Qu'est un champ électromagnétique ? 5 Le manque est que décrire un photon sous la complémentarité de sa manifestation particulaire ou ondulatoire c'est considerer qu'il EST et une onde et une particule Or le photon n'est ni une onde ni une particule Ce manque la est lié au problème...de vocabulaire 6 oh...la description n'a aucun sens pour moi. Je suis statisticien de formation même si aujourd'hui ce sont plutôt des algorithmes clés en main que j'emploie Et une méthode descriptive répond toujours à une recherche de sens
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D'abord parce que c'est mon point de vue et ma conviction profonde Tu me parles de Wikipedia J'en suis un utilisateur mais absolument jamais une présentation Wikipedia n'est suffisante et de très très loin s'en faut dans la présentation des concepts qui sont survoles. C'est un peu pour moi un pense bête qui relie les concepts, il m'est utile en ce sens. Et simplement parce que le langage ne suffit pas Il est imprecis et il est même.. trompeur. Mais ce n'est pas ma propre thèse que je relaye, c'est une thèse que tu retrouveras aussi bien chez D'Espagnat, c'est une thèse que tu retrouveras chez Etienne Klein qui parle de nettoyage du paysage verbal et de polysémie trompeuse, chez Connes qui parle de langage d'un classicisme retardataire Tu as une littérature fournie en épistémologie dans le domaine de la philosophie des sciences dans ce rapprochement de la structure du langage aux sciences et plus particulièrement la mécanique quantique Tiens..même dans le dernier science et vie à destination des enfants comme dirait mon "ami" ddr, un encart p114 sur les fondements mathématiques de la théorie dresse ce constat "Nous ne possedons aucun langage adapté puisque notre propre langage s'est formé sur notre expérience classique du monde. Les images que nous utilisons parfois nous permettent d'avoir une idée du caractère classiquement insaisissables des phénomènes quantiques, mais elles ne permettent pas de comprendre la théorie en elle même. Si bien que d'un point de vue conceptuel, même les physiciens ont du mal a se representer la supperposition ou la non localite" Tiens, dans l'histoire de la diffusion du vocabulaire quantique, le principe d'incertitude est ... une mauvaise traduction de l'allemand et il n'y a du reste....aucune incertitude à avoir, juste une indetermination. Le principe de complémentarité a été largement débattu et du reste, ta présentation duale particulaire et ondulatoire du photon ne m'a pas, moi, convaincu, j'aurai davantage appuyé l'essentiel que je qualifierai de quantum du champ électromagnétique.... D'Espagnat, Chevalley, Lochak, Levy-Leblond...tu as une littérature fournie qu'un survol wiki rapide ne remplace pas. Je suis TRES exigeant envers moi Et dans le domaine pédagogique et des méthodes d'apprentissage c'est Feynmann mon maître a penser. Aucun formalisme, aucun jargon, ne vient remplacer chez moi la simplicité et la clarté d'un discours qui reflète d'ailleurs le degré de maturation personnel d'un sujet. La méthode Feynmann remplacera toujours tous les wiki du monde Il est donc probable que nous ayons d'autres constats de désaccord Mais c'est bien dans ce registre que j'espère l'alimenter de réflexions nouvelles. Car comme chacun, j'ai mes limites mais qui me permettent néanmoins assez bien, je pense d'entrevoir le paysage.
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Ok Bien, c'est exact Maintenant admettons que ce qui ressort de cette présentation, c'est un caractère assez minimaliste de ce qui caractérise le quantique du classique Finalement, tu réponds le formalisme Oui, mais bon, en tout cas je serai content d'un échange
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Je ne suis pas d'accord Explicite moi en quoi le processus d'effondrement de la fonction d'onde en mécanique quantique entre dans ce cadre là
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En voici un dont j'aime les livres conferences cours et mots a propos de ce concept de particules en théorie quantique des champs
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Non, tel n'est pas l'objectif..... Un résumé que je prends tel que tu l'exposes sans lui retirer sa concision et sa précision Maintenant, est ce qu'un système quantique se réduit à son formalisme de fonction d'onde quant, après tout, il pourrait très bien être formalisé par la mécanique des matrices de Heisenberg qui lui est substituable ? Oui, techniquement c'est vrai mais bon Est ce que ce que le passage du classique au quantique se résume à une description lapidaire de l'effondrement de la fonction d'onde ... par la description d'un simple pic probabiliste ? Oui techniquement c'est vrai, mais bon Y a t'il un "art de la physique" qui serait équivalent pour expliquer l'effondrement de la fonction d'ondre un peu par analogie avec le choix des équations cadres de description cinétique des gaz alors là....en revanche...pas du tout...je ne te suis pas du tout, non L'electrodynamique quantique qui quantifie l'electromagnetisme est il une simple description particulaire du photon ? On pourrait quand même en ajouter des mots et des mots pour dire que l'electromagnetisme concerne comme tu l'exposes la nature ondulatoire du photon et l'electrodynamique quantique sa description particulaire... Pourquoi 2 descriptions pour un photon du reste sommes nous avec l'electrodynamique quantique toujours à considérer le photon comme un corpuscule et décrit comme un corpuscule ? Enfin passons, je ne suis pas totalement voire du tout convaincu mais je n'ai rien a te prouver... non plus...