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Tout ce qui a été posté par zenalpha
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Si le nihilisme (dont le sens varie selon les courants et les époques....) est l'affirmation que rien n'existe au sens absolu, on peut sérieusement en discuter Si par rien on entend une entité ontologique fondamentale irréductible, je suis d'accord. Je n'accepte pas l'idée de Dieu comme étant sa propre cause par exemple Au même titre que je n'accepte pas l'idée de l'être comme primordial et détaché des relations absolument fondamentales qui le definissent. Le monde classique et surtout le monde quantique balaye cette naïveté Le nihilisme d'Heidegger comme l'oubli de l'être, c'est bien différent encore, l'oubli de l'être, c'est le fait que l'être soit là, fondamental, et que nous ne nous en apercevions plus, nous focalisant sur le comment et non le pourquoi de l'être, en ratant son origine fondamentale Or je prétends qu'à intellectualiser l'être par une logique classique on rate totalement d'une part les étants pour leur véritable nature et qu'on réussit dans le même temps à rater la nature des entités ontologiques fondamentales par exemple mises en lumière au regard de la mécanique quantique Fondamentalement, le nihilisme dans son acception la plus courante consiste davantage à affirmer l'absurdité de la vie, nier la morale, nier la vérité, une vision pessimiste du monde et des valeurs Et vous voyez bien que lorsque je vous dis que vous vous trompez, qu'il existe des vérités auxquelles nous avons accès, je ne suis alors pas concerné par cette acception. Mais vous utilisez des mots totems qui sont rarement precisés dans le cadre de votre propre pensée, une pensée cachée derrière des mots supposés universels pour se protéger ou éviter l'effort de l'entendement je ne sais pas. Et je pense que vous confondez le nihilisme avec le scepticisme ou encore le relativisme. Si tout est relatif, alors il est relatif que tout soit relatif donc tout n'est pas relatif Quand je dis "vous avez tort" sur un point précis, ma certitude est absolue. Enfin bref, j'ai parfois cette impression de mots remparts pré construits qui n'ont pas leur dimension principale qui est la communication sociale, l'explication la plus noble qui est de se mettre a niveau de l'autre et de l'emmener. Vous avez des mots et phrases quasi préfaites dont le but est d'élever une muraille. Laissez passer les choses en vous.
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Celà est vrai...pour vous. Cette simple convention de nommer (et non definir) des entités pour leurs caractéristiques dans ce concept unique fourre tout "être" est une convention occidentale D'ailleurs vous qui militez pour une définition unique, vous voici totalement prisonnier de la votre en devant de facto éliminer toutes les autres du même occident. En Chine, Etre ne peut pas être utilisé seul sans attribut On peut dire Zenalpha est ceci ou cela et non Zenalpha est. Avez vous remaqué comment vous devez négliger la pensée d'un nombre invraisemblable d'êtres humains au nom de votre conception de l'être ? Ce n'est pas une vérité que d'avoir raison contre les masses soit un tort, mais c'est un tort de réduire les masses à une inexistence de pensée, comme si les chinois, les auteurs, Sartre, Zenalpha n'existaient pas. La conscientisation de l'effacement des autres, c'est le dogmatisme, la dictature, le révisionnisme Dieu merci c'est encore au stade inconscient chez vous. Mais que d'erreurs de logique pour vous auto conforter Joseph Que dois-je faire pour que vous écoutiez autre chose que vos certitudes ?
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Je vous l'ai déjà dit Remplacez ETRE un 'objet conceptuel' avec certains attributs Par AVOIR certains attributs qui caractérisent l'objet conceptuel qu'au lieu du Dieu 'être' vous glorifiez désormais le Dieu 'avoir' Vous avez des caractéristiques, vous voici un ayant droit à la réflexion L'important dans ces simples conventions, c'est qu'aucun objet conceptuel ne puisse être sans attribut ni sans cadre dans un tissu relationnel qui dépasse même les causes et conséquences Ce tissu relationnel, c'est l'interdépendance Rien n'est, rien n'existe dans l'absolu L'absolu, c'est ce réseau de relations qui caractérise les manifestations La vacuité pour le bouddhisme L'être en soi par soi EST le néant. Penser le néant, c'est penser l'absolu de l'être, ce sont les mêmes Désolé Joseph
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Je déteste Trump Mais non, la politique américaine en Afghanistan est tirée d'une longue tradition concernant la politique américaine en terme d'interventionnisme. Si nous étions civilisés, intelligents et altruistes, est évident qu'une situation politique inacceptable par exemple au regard des droits de l'homme est du ressort de l'ONU et qu'il lui faudrait des moyens et des hommes sages. Ce qui est paradoxal, c'est que le spasme des tours jumelles américaines aboutisse précisément à l'état initial Tout ça pour rien, pour strictement rien. Nous français sommes dans le même bain. Nos gueules d'abord et même nos gueules seulement En réalité il en a toujours été ainsi Mis à part l'abolition de l'esclavage qui finalement était contournable financièrement, nous avons construit un espace qui est un espace clôt et protégé qui exploite ses intérêts sur la planète Trump n'en est qu'un pur produit mais même si la main est de velours, ça reste nos gueules et seulement nos gueules Bien sûr que ce soit le terrorisme ou l'écologie ça va dans le mur. Mais c'est la réponse instinctive du chasseur de mammouths
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Vous noterez l'impact du film sur différentes formes de réflexion philosophique Un modèle souvent pris comme support aux thèmes abordés en philosophie dans les écoles, un chef d'oeuvre. Et pourtant ni femme, ni noir, ni inter sexe, ni musulman dans le juré et des réflexions bourrées d'a priori sur l'âge, la condition sociale, les origines.... A quand un révisionnisme bien pensant ? Puisqu'on déboulonne des statuts, pourquoi ne pas placer le film dans le rayon COUPABLE !
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Pas étonnant que j'y trouve blabla et charrabia Chez vous, être est tellement hypnotique que sa seule présence vous illumine au sens d'illuminé (vous trouverez plusieurs sens a illuminé avec un peu de bon sens) Ce n'est heureusement pas ma définition Et à la phrase nous allons nous expliquer vous et moi vous y trouverez également plusieurs sens "Comprendre ce qu’expliquer veut dire" sur https://www.franceculture.fr/emissions/la-conversation-scientifique/comprendre-ce-quexpliquer-veut-dire-0 via @radiofrance
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C'est vrai que je connais mes racines. Et que deux essences me sont nécessaires selon les circonstances pour passer la première Du diesel pour ma voiture et du sans plombs 98 pour ma moto Finalement votre concept touche enfin une forme de réalité .
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Le verbe est il contraint, torturé, en état de mort cérébrale devant une définition étriquée ? Ou contient il ces subtilités de la poésie à la littérature en passant par le raisonnement comme l'imagination pour exhalter la pensée dans la complexité de son humanité ? Vous avez raison, la novlangue dépouillée comme sa vérité dogmatisée sont la poubelle de la pensée. Nous sommes bien d'accord
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C'est intéressant de ramener au langage On pourra le faire par l'étymologie si vous le désirez Mais voyons le en définition lambda, par exemple Wikipedia Etre est utilisé comme un verbe ou comme un substantif Dans ce dernier cas, il peut désigner ce qui est, "la réalité" ou encore l'existence https://fr.wikipedia.org/wiki/Être Tiens donc, ainsi un être pour être défini aurait donc besoin de se référer à l'existence ? Allons voir existence Existence comme le fait d'être... et utilisé par beaucoup de philosophe exactement en portant le même sens qu'être https://fr.wikipedia.org/wiki/Existence Etre renvoie a existence et existence renvoie à être Un être ou une existence pris de manière synonyme par beaucoup de philosophes. C'est embêtant Pourquoi dans cette ambiguïté prenez vous le sens de Thomas d'Aquin ou d'Aristote plutôt que celui de Sartre ? Pourquoi wiki renvoie l'un a l'autre et vice versa ? Nous navigons dans l'ambiguïté
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C'est intéressant La légalité fait référence au droit positif donc aux textes de loi La légitimité fait référence au droit naturel, une espèce de droit absolu tiré de la nature même de l'homme et non des spécificités locales On peut se demander si une loi est légitime ou pas Mais bien sûr, si la légalité fait référence à des textes D'ailleurs interpretables et interprétés...le droit naturel est plus éthéré Néanmoins tout concept a besoin d'être jugé par une exteriorité y compris la loi
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Pas vu mais forcément le thème est d'actualité les raccourcis faciles Je vais demander un salaire
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Si vous le demandez pour Sartre, je ne le pense pas. Le but a été pour lui ... d'exister dans une epoque ou l'existentialisme donnait une dynamique nouvelle pour la philosophie Si vous le demandez pour moi pas davantage A l'époque d'Aristote la philosophie englobait la pensée conceptuelle et disons les sciences physique La terre, l'air, l'eau, le feu pour la nature, ppurquoi pas l'essence pour le fondement de l'homme ? Entre nous, nos représentations du monde ont avancé grace à la théorisation et les sciences experimentales Pour l'en dehors la physique par exemple, pour l'en dedans la biologie ou la psychologie, la psychanalyse, les neurosciences La philosophie selon moi n'a pas digéré ce dépouillement dans les méthodes du savoir Ce n'est pas un hasard si Heidegger a relance la réflexion philosophique sur l'être conceptuel en débouchant sur l'existentialisme Ça a un certain intérêt d'ailleurs Et renverser votre causalité de l'essence vers l'existence à un retropedalage ou l'existence détermine l'essence est un double moyen de marquer notre liberté et de renier Dieu Si nous étions marqué par la définition de l'essence comme un misérable pot de fleur, nous ne marquions pas notre liberté Que l'existence précède l'essence invalide Dieu pour Sartre Bref..évidemment les mots structurent notre pensée autant qu'on s'en sert pour exprimer notre pensée Kidnapper deux mots pour en conclure une contradiction philosophique est un grand classique De mon point de vue, bien que vos mots manquent de mortier et de solidité, vous vous sentez si bien dans votre cocon que ce qui vous protège est aussi ce qui vous emprisonne
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Les coups de pieds dans le cul forgent une corne qui fait que la préférence aura été une intra musculaire dans le bras Des coups de pieds au cul manqués font peut être un meilleur terrain pour les derniers à vacciner
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Fort justement, pour Sartre l'existence précède l'essence Le verbe être est assujetti à l'existence Essayons de reformuler à votre image Dès lors que l'essence est assujettie à l'existence sans laquelle rien ne pourrait évoluer pour forger l'homme que vous êtes finalement devenu telle que l'étymologie ex sistere le démontre (sortir desoi) Par conséquent, comprendre sa propre condition revient nécessairement à établir la nature existentielle de l'être, c'est à dire à juger de par sa subjectivité comme la vraie nature de l'homme Votre besoin de penser par vous même prouve ainsi que nous n'ayons de manière plus générale d'autres raisons que de nous définir, subjectivement, selon la propre idée que l'on se fait de soi même et des choses Votre besoin d'exister démontre indubitablement votre propre quête de vérité, faisant de la tradition philosophique et de toutes formes de pensées différente une altérité que vous définissez comme désuette en réfutant la possibilité que d'autres qui auraient davantage et mieux pensé que vous mêmes, à toutes ces diversités d'existences qui ont défini autant de définitions pour le mot être de pouvoir vous influencer Je trouve que ça marche aussi bien avec Sartre bizarrement....
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Si 2 piqures deviennent une oppression je suggère de la faire dans le cul pour que la portée symbolique soit encore plus claire
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Ok je vous prends au mot, Sartre est beaucoup plus contemporain qu'Aristote et donc sa définition de l'existence est contemporaine et acceptée par tous y compris par vous "L'homme existe d'abord, surgit dans le monde et se définit après ... l'homme n'est rien, il ne sera qu'ensuite et il sera tel qu'il se sera fait" Pour Sartre, un cendrier a été pensé pour une fonction précise et donc son essence précède son existence alors que l'homme ne peut échapper à sa liberté qui est aussi sa responsabilité Alors que considérer que l'essence serait le fondement de l'homme, ce serait le réduire au statut d'objet, sans possibilité de choisir ce que sera sa vie d'être pensant Dans ce contexte, pour sartre, l'existentialisme telle qu'il la tire de l'existence est la raison même de la subjectivité, du fait que nous ne soyons pas une armée du clones, du fait que nous pensons différemment Et si nous pensons différemment vous et moi, est ce que nous partageons toujours la même essence ? Ou de notre essence, avons nous su grandir et exister en nous définissant pour ce que nous sommes pour nous, subjectivement Je peux vous assurer d'une certitude, votre subjectivité est fondamentale dans ce fil dans votre volonté de cadrer chaque mot. Vous seriez mathématicien que je comprendrai, mais la logique du mathématicien n'est pas votre logique, vous avez votre logique
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Les conséquences sont fort discutables mais le fait est là Entre l'atome d'Aristote, celui de Rutherford, celui de Böhm, celui de schrodinger... ce n'est dans aucun des cas du même atome dont on parle Comme les dictionnaires en parlent encore différemment et d'ailleurs très mal, où va t'on ma pauvre Lucette ? atome nom masculin (latin atomus, du grec atomos, qu'on ne peut couper) 1. Constituant fondamental de la matière dont les mouvements et les combinaisons rendent compte de l'essentiel des propriétés macroscopiques de celle-ci. (Un corps constitué d'atomes de même espèce est appelé corps simple ou élément chimique.)
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Un mot est défini et chaque définition est contestable ou contestée, discutable et dicutée Ce qui n'est possible qu'en raison de la subjectivité du rapport de l'homme à la réalité. Lorsque ces mots sont justement fondamentaux mais flous, simplifions par "complexe", on assiste alors à un florilège de philosophies qui nous expliquent l'être, l'existence, la justice, la société, la liberté.... Les mathématiques sont beaucoup plus objectives en matière d'adhésion Et néanmoins, il y a des batailles de mathématiciens par exemple concernant la logique à utiliser ou concernant historiquement le statut de l'axiome des parallèles d'euclide ou encore concernant la nature d'une vérité mathématique (ex débat Lichnerowitz / connes) ou enfin du statut des mathématiques vis à vis de la réalité physique etc etc
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Je pense avoir déjà proposé que non seulement les mots ont un sens, mais qu'ils sont même dotés de plusieurs sens... Et qu'a un mot correspondent plusieurs sens a une contrepartie toute aussi perturbante, c'est qu'à un sens peuvent correspondre... plusieurs mots. Un des problèmes les plus importants en philosophie, c'est la bataille des mots. Alors oui, il y a des définitions pour un mot donné, et là vous constatez qu'il y a plusieurs dictionnaires qui proposent des définitions différentes, une maison d'édition proposant des révisions régulières sur la manière de les définir, que des comités argumentent pour valider la définition qui leur paraît la plus pertinente Et donc qu'au mot être, on assiste en réalité à une pollution de l'espace verbal de même qu'à essence. Alors vous me direz, pourquoi pas une seule et unique définition ? Je vous ai linké la novlangue tirée du roman 1984 qui montre comment la destruction des mots appauvrit la pensée avec comme objectif pour cette langue à la définition unique le contrôle de la pensée Essayez de penser le monde avec 10 mots de vocabulaire. Prenez le chinois, apprenez 10 mots au hasard et pensez en chinois.... En réalité, dans le paysage philosophique, la plupart des penseurs prennent grand soin de définir chacun des mots essentiels qu'ils ressortent de leur pensée et de les décliner sous un angle, sous un deuxième, sous un troisième, avec une illustration puis une autre de manière à ce que ce mot évoque précisément pour vous la pensée auquel l'auteur est attaché Si l'essence précède l'existence, comment l'existence précède t'elle l'essence ? Et je vous promets qu'en lisant Aristote d'un côté puis Sartre de l'autre, vous verrez comment la cohérence de chacune de ces 2 philosophies se développe avec comme conséquence que le lien être / existence est carrément retourné Je vous trouve une grande âme dans votre quête d'absolu ça me rappelle Bernard Werber et son encyclopédie du savoir relatif et absolu Une quête d'absolu qui mène à des convictions absolues sur des vérités étroites et des convictions relatives sur des recherche de vérités complexes Mais ce mécanisme là fort bien expliqué par les mathématiques vous échappe.
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Dans le même temps Bernard Werber suppose que 1+1=3 Que la somme des talents individuels transcende la simple additions des individus qui en constituent les termes On peut y réfléchir car du lien social apparaît notamment des systèmes dont l'efficacité dépasse peut être la réflexion individuelle comme la relation interpersonnelle On pourrait se demander par exemple si le capitalisme, la démocratie, la recherche scientifique comme autant de systèmes régis par des règles particulières qu'aucun individu ne peut connaître dans son intégralité ne seraient pas des catalyseurs malgré nous Le principe de l'émergence suppose d'ailleurs que des principes nouveaux naissent de systèmes isolés Effacement peut être mais révélation dans le même temps Par exemple la thermodynamique dont la température est un système émergent de la collision d'atomes avec des règles extrêmement différentes de celles qui régissent les entités élémentaires Seuls, nous ne sommes rien puisque nous sommes le tout plus absolu que nos negligeables existences Amen
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être en amont du verbe est une simple convention typographique Demandez ce qu'en pense maître yoda Tant le sujet que le verbe sont contraints par les lettres qui les composent et cet ensemble n'a aucun sens sans la phrase qui leur donne sens. La typographie est l'outil, pas le maitre Neanmoins, mal comprendre les mots impliquerait de mal penser. Et contre le crime de la pensée, la novlangue réduit l'usage des mots, leurs sens pour finir...par ne plus même penser
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Ok, on peut entendre que certaines definitions perdent leur signification selon les échelles. Dans le même temps, n'est ce pas gênant si l'essence est le fondement de l'être qu'on ne puisse s'y référer comme fondement pour les étants ? J'utilise un vocabulaire Heidegerrien ici et à ce que je critique chez vous, et chez lui d'ailleurs il n'y a pas d'attaque personnelle Mais 'penser l'absolu', c'est d'abord risquer de le rater...puisqu'entre l'absolu et nous, il y a un problème d'échelle encore plus important, et c'est aussi le risque de rater...l'essentiel, tiré de la même racine que l'essence, à savoir d'une part ce qui ... nous définit... ce qui nous relit... ce qui existe autour de nous. Autour de nous, point de néant, point d'être pensé dans l'absolu, point de fondement absolutiste. Et le risque dans le fonds, que vous ne voyez pas, c'est qu'au lieu de philosopher sur notre condition réelle, comme sujet d'expérience, vous fassiez le transfert sur un absolu qui vous convient, qui vous rassure mais ... qui n'existe pas. Cet absolu...ne craignez vous pas qu'il soit l'échappatoire inconsciente qui .... deresponsabilise quelque part. Pour Sartre, quand le sujet sort de sa responsabilité du choix dans sa vie réelle, il prend consciemment ou pas un rôle d'objet, un rôle de fetu de paille jouet de forces cosmiques et de sa destinée pour fuir sa responsabilité Cet absolu pensé donc la vérité selon VOTRE définition, n'est-ce pas une échappatoire de l'esprit sur de véritables questions existentielles ?
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Si nous sommes capables de définir mais que nous ne puissions définir ce qu'est votre essence, mon essence et s'il y a des particularités de l'une à l'autre, peut-on conclure que l'essence n'existe pas Joseph ?
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Certes. Et du coup et puisque nous sommes tous capables de définir (et en effet nous sommes tous capables de donner des définitions) ... la question porte davantage sur la rédaction que sur notre capacité Passons donc à la rédaction Quelle est votre essence ? Quelle est mon essence ? Est-elle la même ?
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Mettre un donc pour acter d'une conclusion en partant de la prémisse "c'est déjà fait" est une pure forme d'enfantillage... Parlez moi comme vous le feriez pour un enfant de 4 ans ce qui est à peu près mon âge par rapport aux questionnements que j'ai sur la vie Qu'est votre essence ? Qu'est mon essence ? Est-elle la même ? Pourquoi ?
