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Tout ce qui a été posté par January
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Avec la peau et la petite fille ça pouvait être beaucoup de titres oui
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Bien vu Plouj A toi !
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Clair, c'est pas croyable qu'ils arrivent à se fondre comme ça dans le paysage..
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C'est bien ce que Léna a écrit : "son apogée dans les années 90". T'es amère là. Du coup tu vois plus rien.
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Non, c'est pas chanson douce C'est plus simple et plus "littéral" que ça. Indice n°3 : Magique
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Non, et non. Indice n°2 :
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Anne Hidalgo explique que le 9 janvier 2015, elle remet un titre de citoyen d'honneur pour Charlie Hebdo quand on lui dit "ça recommence" : nouvel attentat, cette fois, la prise d'otages par Amedy Coulibaly à l'Hyper Cacher. Anne Hidalgo dit à la barre qu'elle se demande comment aider. Et elle dit qu'elle donne alors les plans du magasin Hyper Cacher, qui était un magasin de la ville de Paris. "En tant que maire, je suis préoccupée par la montée de l'antisémitisme". Je sens une immense proximité avec l'équipe de Charlie Hebdo". Elle dit qu'elle aime les caricatures depuis qu'elle est étudiante. Qu'elle se sent "des leurs". Elle veut dire à la barre ce que les attentats de janvier 2015 ont changé : "Notre ville a basculé, a perdu sa légèreté". Elle parle des victimes, et redit l'importance des "valeurs de la République". Me Klugman, avocat pc, ex-adjoint d'Anne Hidalgo à la mairie, s'offusque d'avoir entendu parler de récupération politique. Anne Hidalgo répond qu'elle est venue pour les valeurs de la République. Avocat pc : Vous vous associez à la lutte contre l'islamisme radical ? - bien sûr. Avec ces attentats qui venaient de loin... Je continue de défendre la laïcité, les valeurs de la République. Tout ce qui vient fracturer cette République ne va pas dans le sens des valeurs républicaines. L'islamisme radical a modifié nos sociétés. Ce combat pour les valeurs républicaines et la liberté d'expression va à l'encontre de cet islamisme radical." Elle parle de "combat contre cet islamisme radical et politique qui ne s'intègre pas dans les valeurs de notre République". Un avocat de la partie civile revient sur quelques mots déclarés au début du proc!s par la dessinatrice Coco. Elle avait dit à la barre : "J'en veux aussi aux complices dans la société qui ferment les yeux devant l'islamisme et qui baissent leur froc devant une idéologie. Je voulais pouvoir le dire ici". Me Cechman avocate d'une des parties civiles : "madame Hidalgo, vous connaissez les noms des victimes, vous les avez lus. Mais connaissez-vous les noms des accusés dans le box ?" Anne Hidalgo : "Non je ne les connais pas et je ne souhaite pas les connaitre", répond la maire de Paris "Je préfère m'attacher à la mémoire des victimes (..) Notre pays s'honore d'être un pays de droit". Les accusés protestent dans les deux box mais leurs avocats ne sont pas là pour réagir, une partie ayant décidé en signe de protestation de ne pas assister au témoignage d'Anne Hidalgo. L'avocat demande à l'édile parisienne si, à l'instar de la dessinatrice, elle pense que certains se sont "défroqués". Anne Hidalgo : "Je ne sais pas si on s'est défroqué mais en tout cas il faut se ressaisir." Anne Hidalgo termine, elle sort de la salle. Tous les avocats de la défense qui étaient sortis reviennent. Sans déconner y en a marre quand même de se crisper pour tout et pour rien ...
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La maire de Paris, Anne Hidalgo à la barre L'élue parisienne est entendue sur pouvoir discrétionnaire du président de la cour d'assises. Les avocats de la défense ont déjà fait savoir qu'ils s'offusquaient. Les voilà qui quittent la salle, à demi-bruyamment. Anne Hidalgo se retrouve donc devant la cour d'assises dans une salle aux bancs clairsemés, côté avocats de la défense. Il en reste néanmoins. Anne Hidalgo : "Merci beaucoup, M. le président". La Maire de Paris a été sollicitée par SOS Racisme, le CRIF et l'UEJF. Anne Hidalgo : Le 7 janvier 2015, je présentais mes voeux aux Parisiens et à la fin mon directeur de cabinet est venu me dire à l'oreille que des événements très graves se passaient au siège de Charlie Hebdo. Je me suis rendue immédiatement sur les lieux. En arrivant près de Charlie Hebdo, c'était la sidération. Nous ne savions pas encore ce qu'il s'était passé. J'ai croisé le regard du procureur François Molins. Il était livide. J'ai vu très vite aussi Patrick Pelloux, un ami, sortir de Charlie Hebdo se précipiter dans les bras de François Hollande et dire Charb est mort." Anne Hidalgo se souvient d'avoir vu arriver la femme de Cabu et a pris conscience que Cabu devait être parmi les victimes. "Je suis restée longtemps avec les victimes", dit la maire de Paris. Elle explique que c'était le premier attentat auquel elle faisait face. "Mon rôle en tant que maire, je l’improvise". Elle essaye de faciliter les choses, à son niveau.
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On écoute l'appel de Coulibaly à BFM TV Le journaliste demande : "Qu'est-ce que vous comptez faire ? Pourquoi vous êtes là ? - Je suis là parce que l’Etat français a attaqué l’EI, le califat Le journaliste : Vous avez reçu des instructions ? Le terroriste : Oui. Le journaliste de BFMTV demande de qui vienne les instructions. Le terroriste répond qu'elle viennent de la part du calife, à l'époque Abou Bakr Al Baghdadi, calife depuis la création du califat de Daech en juin 2014. Journaliste : Vous êtes en lien avec les deux frères ? Coulibaly : oui on s'est synchronisé pour faire les opérations". Le journaliste demande aussi à Coulibaly s'il a mené l'action avec une femme, la sienne, Hayat Boumeddiene ? Coulibaly nie. Ce 9 janvier 2015, sa femme a déjà fui en Syrie. Elle est l'une des accusés de ce procès, la seule femme, la grande absente, toujours en fuite. Le journaliste demande à Coulibaly s'il sait combien de personnes sont avec lui, et on entend à travers le combiné, le terroriste qui demande aux otages combien ils sont. Et Coulibaly se vante d'avoir fait quatre morts. Il parle de 16 autres otages à l'Hyper Cacher. Le journaliste demande à Coulibaly s'il est prêt à négocier. Le terroriste prétend que oui, ce 9 janvier 2015. Le journaliste lui demande le groupe auquel il appartient. Coulibaly répète l'EI. Le journaliste lui demande s'il est allé en Syrie ou en Irak avec EI ? Non, répond Amedy Coulibaly. Le journaliste demande s'il a visé le magasin pour une raison particulière ? Le terroriste répond qu'il a visé spécifiquement ce magasin juif. Le journaliste demande si d'autres individus sont liés ? Coulibaly refuse de répondre. Commence à s'énerver. Demande à ce qu'on transmette son numéro à la police et raccroche. Le journaliste de BFMTV dit "OK, on transmet". Pendant cet appel, on entend d'autres téléphones qui sonnent. Apparemment des téléphones du magasin. Jusqu'à 1300 appels se désole l'enquêteur à la barre, il peste : "un négociateur de la police, c'est tout l'inverse" de ce qu'on a entendu. Le négociateur aurait tout fait pour ne pas énerver le terroriste armé et avec des explosifs alors qu'il est face à des otages".
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Je l'ai lu pendant le confinement, j'ai a-do-ré Indice n°1 :
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John Irving ?!! Oui je sais, je l'ai lu y a pas longtemps raaa L'oeuvre de Dieu, la part du Diable !
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Prsdt : Quelles étaient les revendications d'Amedy Coulibaly ? Témoin : Que viennent "François Hollande et Manuel Valls", il a aussi demandé la libération de condamnés pour terrorisme. L'enquêteur à la barre ne sait pas à quel moment Amedy Coulibaly a voulu affronter les forces de l'ordre, mais l'affrontement avec les forces de l'ordre est presque toujours ce qui est recherché, à la fin. La cour va visionner des images choquantes de la scène de crime à l'Hyper Cacher, et cette fois le président de la cour prévient très clairement, ce qu'il n'avait pas assez fait il y a deux semaines, provoquant un choc pour des parties civiles face aux images de Charlie Hebdo. Des caisses vertes, puis les rayons du magasin, avec des caddies renversés, des cartons éventrés, signes de la panique à l'arrivée du terroriste. Sur le sol carrelé, des traces de sang. Zoom sur le rayon 1 du magasin Hyper Cacher : on y voit les caddies renversés, et une chaise de bureau sur laquelle Amedy Coulibaly s'est assis, précise le policier. Et l'enquêteur montre les téléphones portables des otages posés dans un petit carton. L'enquêteur montre aussi la caméra GoPro avec laquelle Amedy Coulibaly a filmé ses premiers crimes à l'Hyper Cacher. La caméra est au milieu des chips et autres gâteaux apéritif. Au milieu de cartons éventrés. L'enquêteur montre ensuite le local de réception des marchandises. On voit des sacs de farine, qui ont servi à bloquer l'entrée du magasin, précise le policier. Au pied des palettes, un sac de sport avec des explosifs dans l'Hyper Cacher. "vingt bâtons de dynamite de cent grammes chacun". L'enquêteur précise : "s'ils avaient été utilisés, c'est un effondrement d'immeuble". L'enquêteur montre aussi, sur grand écran, les détonateurs et les mèches lentes, qu'avait apportés Amedy Coulibaly à l'Hyper Cacher ce 9 janvier 2015. Dans un ordinateur, les enquêteurs ont retrouvé des messages avec un commanditaire présumé, écrit en phonétique. 1er message du 7 janvier 2015, qui demande de "faire" puis "travailler tout seul", "pas possible amis"... Message attribué dans l'enquête à Mohamed Belhoucine. Mohamed Belhoucine est un des quatorze accusés de ce procès, mais l'un des trois absents. Il est présumé mort en Syrie, comme son frère Mehdi. Ce sont eux qui avaient emmené en Syrie, juste avant les attentats, Hayat Boumeddiene, veuve de Coulibaly. Taser, chargeurs, pistolets Tokarev, Kalachnikov, l'arsenal de Coulibaly.. Les images montre le cadavre du terroriste, on visionne ensuite les images de la vidéosurveillance depuis le début jusqu'à la fin. Bande son : "Personne bouge ! Elle est où la clé ? Celui qui bouge, il va voir !" "Tu t’appelles comment ? - Philippe - Philippe comment ? - Braham". A l’énoncé de cette identité, Amedy Coulibaly ouvre le feu. "Que tous viennent ici ! Levez-vous ou je vais tous vous allumer ! Qui a la clé ?" Le terroriste réclame le directeur (qui s'est enfui au tout début). Coulibaly dit : "va me le ramener, et avance-toi là-bas, sinon je t'en mets une aussi. Un geste brusque et je tue les femmes". A une femme otage qui s'inquiète et dit que son bébé est dans la voiture, le terroriste répond : "Tu veux quoi le ramener ici ? Ils vont venir, la police, ils vont le prendre". "Vous êtes de quelle origine ?" Un otage répond : "Juif !" Le terroriste qui enchaîne : "Vous savez pourquoi je suis là alors ! Allah Akbar". C'est Régis de Jorna qui lit le compte-rendu, les avocats pc se plaignent : pourquoi n'écoute-t-on pas la voix du terroriste ? -Prsdt : on l'entendra plus tard, sur la vidéo de revendication. Sur ce, suspension d'audience.
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14ème jour... Le commissaire divisionnaire de la SAT Les enquêteurs ont identifié Amedy Coulibaly grâce à son ADN sur une cagoule perdue sur le trottoir de Montrouge. Des mandats de recherche dès le 8 janvier 2015 contre Amedy Coulibaly, mais il est introuvable. Et il surgit, dans l'Hyper Cacher, le 9 janvier 2015 à 13h05. La première victime d'Amedy est Yohan Cohen, mortellement blessé par les premiers tirs de Coulibaly dans le magasin Hyper Cacher. Amedy Coulibaly a eu ensuite un incident de tir, dans les premières minutes. A 13h13, trois personnes réussissent à s'enfuir. D'autres se cachent au sous-sol du magasin dans des chambres froides. D'autres sont pris en otage au rez-de-chaussée par Coulibaly. Il tue Philippe Braham père de famille de 45 ans, Michel Saada, Yoav Hattab, qui héroïquement a tenté de tuer le terroriste avec une arme posée dans le magasin. L'arme s'est enrayée. Le terroriste a abattu le jeune homme, qui n'avait que 21 ans. L'enquêteur explique que Lassana Bathily, employé héroïque du magasin a tenté de convaincre des otages de fuir avec lui, il ne les a pas convaincus, mais lui est sorti par le monte-charges et va ensuite aider la police dehors. Il explique que la caissière, Zarie, est forcée par le terroriste de descendre chercher des otages au sous-sol. Vers 14h, il y aura 17 otages au rez-de-chaussée face au terroriste. Dont un père et son jeune enfant de moins de trois ans. A 13h30, le terroriste cherche une connexion internet, puis il détruit des caméras de vidéosurveillance. Il cherche à savoir sur ordinateur ce que disent les chaînes de télé d'info en continu. L'enquêteur déplore 600 appels en une heure à l'Hyper Cacher, une gêne, énorme, pour les enquêteurs. Ce n'est qu'à 15h40, qu'un négociateur de la police (RAID et BRI sur place) a pu entrer en contact avec Amedy Coulibaly, qui était d'après le négociateur "calme, serein, sans aucune empathie et très déterminé". Coulibaly décrit son armement. A 15h10, Coulibaly a lui-même appelé BFM pour "rectifier" ce qu'il entendait. BFM parlait d'otages, Coulibaly a tenu à faire savoir qu'il avait tué quatre otages à l'Hyper Cacher. A 16h, le terroriste a fait sa prière. Il dit qu'il est en lien avec les Kouachi. A l'Hyper Cacher, l'assaut RAID et BRI est donné juste après 17h. Début de l'assaut par la porte arrière du magasin, pour faire "diversion", expliquait Jean-Michel Fauvergue alors chef du RAID. Puis le RAID a tué le terroriste par l'avant, après avoir ouvert le rideau de fer.
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C'est qu'on sèche
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Evidence. Mon propos venait justement appuyer le fait que peut être, pour les femmes (et les hommes) n'ayant pas fait leur service militaire, leurs avis seront probablement moins éclairés, et je montre que j'ai un avis moins éclairé. On peut aussi réfléchir plus avant : que serait ce service national aujourd'hui ? Peut-être rien à voir avec celui des appelés jusqu'en 1997 ? Du coup, tous les avis sans distinction ne sont pas très éclairés, ou il faut partir du postulat que rien n'a changé dans l'armée, et que les avis des anciens appelés font autorité..? A quel moment c'est là qu'est l'os.
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Leur avis très éclairé on va dire. Je suis quand même d'accord avec @Alain75 là Bon, moi j'ai pas fait le service militaire mais j''ai travaillé sur les bateaux où s'applique la discipline militaire, les grades, etc... Bah mon vieux c'était quelque chose hein. En plus sur un bateau c'est con, quand t'en as ras l'bol des autres bah : tu peux pas dire j'claque la porte et je m'en vais
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Et là c'est rigolo : Ca ne semble gêner personne Des fois je comprends vraiment plus les gens
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Aguerris dans la pratique en plus.. Des fantômes. C'est pas possible ça peut pas se "terminer" comme ça comme les affaires d'avant (Allemagne, UK...), faut absolument en choper un !
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J'espère qu'on ne s'achemine pas sur le modèle des USA parce-que là-bas c'est de pire en pire Quand on voit la dernière polémique en France sur les femmes qui ne portent pas de soutien-gorge sous leurs t-shirts on se dit qu'on n'a pas l'cul sorti des ronces..
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Je ne connais que Money et Puits de lumière donc là, je trouverai pas..
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Je crois que tout le monde est d'accord là dessus, je suis d'accord avec toi. Evidemment moi aussi avec mes filles il y avait "ce que tu mets au collège et ailleurs". Ce que je critique c'est d'en faire une "fatalité", on n'a pas le choix, c'est obligatoire, on doit protéger nos filles. Et l'autre axe, celui d'éduquer les garçons ? Ce que je critique c'est qu'on entend toujours qu'une seule voix : Protégez vos filles ! J'aimerais qu'on entende l'autre aussi fort : Eduquez vos garçons ! Et que l'injonction soit mise en oeuvre, surtout dans les établissements de la République, là on encourage juste leur comportement..
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Les décortiqués Tu m'as tuée !
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Et elles ont toutes cette notion, faut pas non plus les prendre pour des imbéciles, elles le disent d'ailleurs pour les plus vieilles, les jeunes n'ont pas encore la notion de sexualisation du corps. Mais comme elles voient que les adultes, les pouvoirs publics, ne font rien pour elles, elles se défendent comme elles peuvent. Je ne dis pas que c'est intelligent, je dis que ce sont des jeunes et qu'elles ne voient pas encore toute l'argumentation nécesssaire pour faire comprendre les choses. Alors elles foncent dans l'tas Mais c'est presque chaque fois comme ça, il faut pousser les compteurs dans le rouge, indigner, révolter, pour qu'enfin il puisse y avoir des discussions plus sérieuses et plus apaisées. Regarde : Elle a 12 ans, on lui a demandé de retirer son short et d'enfiler à la place le jean dégueulasse. Sa mère a fait un foin pas possible sur les réseaux parce-qu'on a bien dit à sa fille qu'elle allait déconcentrer les garçons. A tort ? A raison ? Est-ce que toutes les gamines de 12 ans ont la notion de sexualisation de leurs corps ? Alors ok, au collège elle va côtoyer des jeunes plus âgés. Mais du coup, on en sort jamais non ? Couverture intégrale exigée à partir de quel âge ? Qui sexualise en premier ? Les jeunes eux-mêmes ou les adultes, par projection ?
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Aisne : une femme meurt d'une attaque de chiens
January a répondu à un sujet dans Actualités - Divers
J'ai perdu la source mais tu la retrouveras sans peine, une explication que j'ai trouvée bien plus correcte, le changement d'enquêteur et de juge d'instruction à plusieurs reprises. Là évidemment, quand on est obligé de se remettre à étudier le dossier depuis le début (3x il me semble pour le juge d'instruction), ça fait perdre énormément de temps -
Vite vite, un 'ptit truc simple :