-
Compteur de contenus
62 284 -
Inscription
-
Jours gagnés
253
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par January
-
Sur l'enquête de personnalité : Respectueux et cordial au cours de l'échange. Parcours scolaire jusqu'à obtention d'un CAP, accident de moto, quelques missions de travail, puis RSA et trafic de stupéfiants. Il se dit athée. Au sujet d'Amédy Coulibaly, Willy Prevost déclare à l'enquêtrice qu'il s'agissait "d'une connaissance à laquelle il rendait des services". Willy Prevost a précisé à l'enquêtrice : "J'ai eu une grosse histoire avec Coulibaly. Coulibaly a dit que je lui devais de l'argent, il m'a emmené dans une forêt et m'a tabassé'." L'enquêtrice précise que Willy Prevost a pourtant de nouveau "travaillé" avec Amédy Coulibaly en 2014.
-
Willy Prévost Il encourt 20 ans de réclusion criminelle pour participation à une association de malfaiteurs terroriste criminelle. Le casier judiciaire de Willy Prevost porte trace de six condamnations pour notamment vol aggravé, vol en réunion, outrage et rébellion, détention et transport d'armes de catégorie B, détention et transport d'armes de catégorie C, contrebande de marchandises prohibées, refus d'obtempérer. "Je voudrais d'abord avoir une pensée pour les victimes et les familles des victimes, femmes, enfants, mari, parents... " Gros problème de santé à 9 ans. « Je me suis fait tiré dessus ». Il a reçu une balle perdue dans l’abdomen alors qu’il discutait avec un ami dans son quartier. 2 mois d’hôpital. A habité chez ses parents jusqu’en 2012. Avec son père, certains jours, c'était compliqué. "Il buvait de l'alcool, j'ai pris une fois des coups. Il voulait taper ma mère". Puis part. Willy Prevost explique : «avec la personne qui a commis un attentat, j’étais en conflit. J’ai du partir à cause de lui.» Il parle d’Amedy Coulibaly. Willy Prevost craignait à l’époque pour sa sécurité. L’accusé a toujours déclaré avoir été en quelque sorte le souffre-douleur du tueur. Grand consommateur de drogue avant son arrivée en 2019 dans le quartier d’évaluation de la radicalisation à Fleury. Il vit mal l'étiquette qu'on lui porte. On dit qu'il est lié à Amedy Coulibaly, mais lui dit qu'il n'est pas comme lui. Il est décrit comme "calme" , "discret", "respectueux", en détention. Pas d'incidents à signaler.
-
au niveau de l'enquête de personnalité : Père violent, mère aimante, bons rapports jusqu'à l'annonce de sa conversion à l'islam.. Enquêtrice :« Nous avons parlé de ses perspectives d’avenir. De ce qu’il voulait faire à la sortie de prison. Son idée était de faire de l’argent à la sortie, de l’illégal pur et dur, de la vente de drogue pour gagner beaucoup. "L'argent est le moteur de sa vie à tous les niveaux". D'après l'enquêtrice, Ali Riza Polat ne surjoue pas, il est authentique, vraiment comme ça, c'est sa façon d'être.
-
Non mais au secours... On a affaire à un agité du bocal pour être polie. Il est énervé, il parle d'une dette qu'il a envers Amedy Coulibaly, il dit qu'il s'est fait arnaqué, parle d'indics, de balances, de menteurs.. Nouvelle question à la noix : « Est-ce que pour vous dans l’islam la haine du juif et de l’occident est inscrite dans ce combat religieux qui semble être le votre ? » Réponse tout droit sortie de la quatrième dimension : Non, je ne suis pas dans un combat religieux comme vous le dites ! Et là il se met en devoir d'expliquer que tous les musulmans ne sont pas des criminels. Il énumère l’incendie d’une mosquée, l’attentat d’Utoya en Norvège, celui par un supremaciste blanc en Nouvelle Zélande. «Je comprend pas, vous dites qu’il y a que des Musulmans qui font ça. C’est pas vrai». Alors que personne n'a dit ça Un autre avocat de la partie civile à l'accusé : Quel est votre sentiment au sujet des actes commis à Charlie Hebdo et à l'Hyper Cacher? Ali Riza Polat : C'est pas bien je l'ai dit. Faut pas tuer des gens. Une autre avocate lui demande ce qu’il compte faire à la sortie. Ali Riza Polat répond sans détour : Je l’ai déjà dit. Je vais faire du banditisme encore plus. Boum, au moins pour lui on est sûr, il va rester en prison. Il vient peut être même de s'offrir la perpétuité. Là, la brillante disciple de Jaques Vergès n'y pourra pas grand-chose...
-
Il conteste connaître amedy Coulibaly depuis l'adolescence, mais ils ont fait du business ensemble oui. (ah quand même, tout ne s'est pas complètement passé à l'insu de son plein gré.. Me Mouhou et la question à la con : Selon vous, la religion musulmane est-elle conciliable avec la délinquance? Accusé : "C'est pas parce que je fais la prière... J'ai jamais fait des crimes de sang, j'ai jamais été violent. La religion chrétienne est-elle conciliable avec la délinquance ? La religion juive est-elle conciliable avec la délinquance ? Je comprends pas votre question. J'ai fait des conneries, des péchés, comme tout le monde. Une personne qui va aux putes le dimanche, un chrétien, c'est un moine ? " Et comme on dit "à question con hein..." Me Senyk : Vous visiez quelqu'un en particulier en disant que vous étiez ici "à cause de mythomanes", de "balances", quelqu'un dans la salle? Ali Riza Polat : "Ouais, Ca va être réglé, quand on va être dans le fond. Attendez, patientez. On verra ça quand on verra le fond.
-
Me Patrick Klugman fait observer que: "Si vous êtes né musulman, de parents musulmans, pourquoi vous êtes vous converti ? Vous étiez déjà musulman... " - Avant je pratiquais pas, je mangeais du porc tout le temps. Tu peux pas revendiquer être musulman et manger du porc. L'avocat le reprend sur le tutoiement et lui rappelle qu'il doit s'adresser à la cour. Me Caty Richard parle des soucis en détention, notamment à Osny : "Un couteau retrouvé", "une carte de téléphone avalée", "11 manches de brosses à dent". L'accusé conteste tout : "S'ils ont trouvé un couteau, qu'ils le montrent, qu'ils prennent les traces ADN. On verra si j'avais un couteau". Me Caty Richard : L'adresse mail albaloche@... c'est vous?" - Vous savez pourquoi ils m'appellent baloche? Les grosses baloches, vous savez ce que ça veut dire sérieux, ça veut dire les grosses couilles. [...]
-
Indice 2 ?
-
Jour 3 Ce matin on reparle des audiences à rallonge qui ne sont pas tolérables à long terme pour les accusés. La cour prend acte. Ali Riza Polat "Je suis là à cause de certaines personnes, des balances mythomanes. Ils balancent, comme ils voient que je parle pas, mais ils mentent. C'est des mythomanes". [...] "L'école c'était pas mon fort". A l'adolescence, il "magouille de plus en plus". "Ma vie, c'est que ça, faire du business, je travaille pas dehors, j'ai fait des petits boulot". "Je ne voulais pas travailler. A l'adolescence, je suis tombé dans la délinquance". Il explique qu'il a fait ça "pour avoir de l'argent, pour acheter ce qu'on veut. J'avais rien, je voulais des choses". L'accusé dit être tombé dans la délinquance à l'âge de 14 ans. Très vite il se met dans les stups, vers 16 ans. "Je suis tombé en 2009, je voulais pas aller en prison. Il y avait des personnes de la cité, des millionnaires. (...) Une fois que j'ai mis les pieds en prison, je me suis dit, maintenant je veux plus. " Le président l'interroge sur l'argent.. Je suis pas accro, j'en veux c'est tout", indique l'accusé. - Et Vous ne vous dites pas je vais faire des études et devenir trader, vous c'est la magouille pour avoir de l'argent. Même quand vous faire des projets de sortie, vous voulez faire de l'argent ? "Oui c'est ça, moi JE VEUX DE L'ARGENT", répond l'accusé. Un million d'euros, c'est rien du tout, je veux profiter". [...] Musulman depuis 2014, dit faire "ses cinq prières par jour". Mais "je ne mélange pas la vie et la religion. Je suis croyant, je fais mes 5 prières par jour mais à côté je fais mes conneries". Il explique prier notamment pour demander pardon, pour ses actes de délinquances notamment. "C'est comme les chrétiens, ils font des péchés et après ils demandent pardon". Sur la détention : Ali Riza Polat indique "ça se passe mal". Il a d'ailleurs fait une demande de remise en liberté. Dans le rapport des questions est écrit "qu'il parle peu", qu'il élève vite la voix", qu'"Il ne pose des questions qu'à l'encadrement masculin". "C'est faux, je parle à la directrice, répond l'accusé. L'autre la surveillante, elle me cherche des poux, la directrice, elle, elle ne me cherche pas des poux". [...]
-
Bah quoi, y a un accident, elle tombe Troie ?
-
22 établissements scolaires fermés.. «S'agissant des classes c'est autour d'une centaine, ça varie évidemment chaque jour», a-t-il ajouté, précisant qu'environ 250 protocoles pour des suspicions de cas étaient déclenchés chaque jour. https://www.20minutes.fr/societe/2853711-20200904-covid-19-vingt-deux-etablissements-scolaires-fermes-selon-jean-michel-blanquer
-
Euh.. L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux ?
-
Relance @sphynxxxix si tu veux, yourself91 ne sera peut être pas là avant un bon moment, on reprendra son énigme après
-
Relance @Crève, querida ne sera peut être pas là avant la fin de la journée, on reprendra son énigme ensuite
-
Ici il n'est pas question du domicile principal mais de résidence secondaire, et la loi n'est pas la même !
-
Les nouveaux occupants, sans domicile fixe, avaient récupéré les clés de la maison en question par une tierce personne. ? Qui ? Après quelques échanges houleux, les gendarmes reçoivent un coup de fil et ont l’ordre de laisser entrer les squatteurs. ? Ordre de qui ? C'est pas clair ce truc, ils rentrent chez eux par la force publique et ensuite ce sont les mêmes qui les éjectent ?? Ils ne pouvaient pas laisser courir non ?! C'est quoi cette police ?? Le droit est trop complexe oui, concernant le squat de résidences secondaires.
-
Toutes les mesures du plan de relance, c'est par ici : https://www.economie.gouv.fr/files/files/directions_services/plan-de-relance/annexe-fiche-mesures.pdf Il est fait une large place à l'écologie. J'ai un peu de mal vu la situation, ce n'est pas que je n'y suis pas sensible mais je me demande si on ne pouvait pas attendre et mettre certains budgets ailleurs, à l'urgence Je n'ai pas encore tout lu, peut être ceci explique cela. D'un point de vue strictement économique, des avis ?
-
Les enquêteurs privilégient la piste de multiples auteurs, avec de possibles imitateurs, après les nombreux cas de mutilations de chevaux mais aussi de poneys ou d'ânes recensés en France ces derniers mois, a indiqué une source proche de l'enquête à franceinfo jeudi 3 septembre. L'hypothèse d'un auteur unique qui se déplacerait dans toute la France n'est donc pas la plus plausible à ce stade. https://www.francetvinfo.fr/animaux/bien-etre-animal/chevaux-mutiles-les-enqueteurs-privilegient-la-piste-de-multiples-auteurs_4093639.html ça veut dire qu'à travers toute la France et probablement proche de nous, il existe des gens qui sont capables de mutiler et tuer des chevaux.. J'me répète je sais bien mais bon sang ça fout les j'tons.
-
Il est 21 heures, alors qu'il reste à auditionner l'enquêteur de personnalité de Neza Pastor Alwatik, un avocat fait remarquer que si on continue, les détenus ne regagneront pas leur cellule avant minuit et ce n'est pas tenable sur 49 jours. Tout le monde est d'accord, et on espère que les problèmes techniques de la journée ne seront pas habituels.. L'enquêteur est entendu brièvement, il rappelle notamment que Nezar Mickaël Pastor Alwatik a été détenu du 22 octobre 2010 au 15 mai 2013 à la maison d'arrêt de Villepinte où il a fait la connaissance d'Amedy COULIBALY avec lequel il travaillait à la buanderie. Nezar Mickaël Pastor Alwatik a décrit Amedy Coulibaly comme "simple" et "gentil". Il dit qu'il n'imaginait pas qu'il pouvait commettre "de telles atrocités".
-
Audition : Neza Pastor Alwatik, sur les conditions de sa détention : "Faut comprendre que ça a été très très très difficile, ce qu'il s'est passé dans ces atrocités, il n'y a pas de mots assez forts. Etre considéré comme un terroriste, un djihadiste, croyez-moi que quand j'ai été incarcéré, j'ai été l'animal que l'on vient voir dans sa cellule. Les surveillants venaient, ouvraient la cellule à 4 heures du matin. J'ai été coupable dès le début. Dès le début on a fait de moi un terroriste, un djihadiste. Je ne me mets pas en position de victimes, dans ce procès je n'en suis pas une, les victimes sont dans cette salle et les autres. Mais vous savez, pour moi il n'y a rien de pire que d'être accusé d'une chose que vous n'avez pas faite". "C'est quand on m'a sorti de l'isolement, après 33 mois, que ma détention a changé. Les fouilles se sont multipliées. J'étais considéré comme la peste. Ensuite on me faisait des mutations de bâtiments. J'avais entamé un travail psychologique avec la psychologue". L'accusé explique que quand il est arrivé à la maison d'arrêt de Nanterre, "ils n'arrivaient pas à déterminer s'il était radical ou pas". "A partir de là, je me suis mis dans une bulle. Sinon j'allais péter un câble". [...] Dans le rapport de détention, Nezar Pastor Alwatik est décrit comme calme. "Il lit beaucoup (...) Bon comportement depuis son arrivée (...) Bonne entente avec le personnel de surveillance". Neza pastor Alwatik évoque son mariage religieux : "Je me suis marié religieusement, ça a duré un mois et demi. Juste après la cérémonie, je me suis rendu compte que c'était une erreur. J'ai essayé d'arranger les choses mais ça n'était pas possible. Je ne m'entendais pas avec elle, on n'était pas sur la même longueur d'onde. Je me suis marié d'une manière religieuse, je ne connaissais pas bien la personne", explique l'accusé. "Ce mariage c'était pour moi la seule façon d'avoir une femme, de fonder une famille. J'ai fait passer le message à tous mes amis, que je voulais me marier, avoir des enfants. Ca s'est très mal passé."
-
Nezar Pastor Alwatik Il lui est reproché 3 infractions pour lesquelles il encourt 20 ans de réclusion criminelle: la participation à une association de malfaiteurs terroriste criminelle, l'acquisition, détention et cession d’armes de catégorie B en réunion et en relation avec une entreprise terroriste et le port et transport d’armes de catégorie B en réunion et en relation avec une entreprise terroriste. Enquête de personnalité : N'a manqué de rien, enfance des plus communes. Son père tombe malade, il meurt en 2003. Très difficile pour l'accusé, à partir de ce moment-là il se réfugie dans le cannabis. Sur la relation fusionnelle avec sa mère, l'accusé dit : "Je suis fils unique, j'ai une mère méditerranéenne. Jusqu'à maintenant, je suis collé à ma mère, c'est comme ça", répond l'accusé. Scolarité normale mais un peu dissipée. A raté un bep mais je l'ai repassé en prison et je l'ai eu avec mention. En détention il a passé l'équivalent du bac et l'a obtenu." Il a "enchaîné avec des cours par correspondance à l'université". Le casier judiciaire de Nezar Pastor Alwatik porte trace de trois condamnations pour notamment acquisition, détention, transport et cession de stupéfiants.
-
Un nouvel indice du matin ?
-
Les gens dans le box ne sont pas venus tuer des journalistes les armes à la main ! De mieux en mieux. Il n'est pas question du Bataclan ici. Ca tombe bien, ç'en est une.
-
@Crève relance le jeu.
-
Miguel Martinez A 16 ans il travaille. [...] "Il dit qu'il 's'est dirigé vers la religion musulmane très naturellement, très tôt. La religion m'a aidé dans les passages difficiles de ma vie", dit-il. Il a perdu sa mère quand il avait 25 ans. "Je me suis retrouvé orphelin", déclare-t-il. Miguel Martinez est marié depuis 2009 et a deux enfants. sa fille avait 4 mois quand il a été incarcéré. Son fils aura deux ans le 25 janvier. Le casier judiciaire de Miguel Martinez porte trace de 20 condamnations entre 2000 et 2016 (violences aggravées, trafic de stupéfiants, conduite d'un véhicule sans permis, outrage, extorsion avec violence...)."On voit partout un tempérament assez nerveux", relève le président. [...] L'accusé indique être "mal à l'aise en permanence". "Personnellement je suis vacciné contre le terrorisme depuis longtemps. Je me suis converti dans les années 90, les années noires en Algérie. J'ai profondément honte de me retrouver aujourd'hui au tribunal dans une affaire comme ça. J’ai un profond mal être de me retrouver face aux victimes qui croient que je suis responsable de leur malheur " poursuit l'accusé. L'enquêtrice de personnalité de Miguel Martinez : Concernant la religion, l'enquêtrice indique que "Miguel Martinez a le sentiment de vouloir se rapprocher de Dieu. Il dit que dans son quartier la majorité de la population est maghrébine et Turc et que ça l'a aidé à se rapprocher de l'Islam. Il se sent écouté et apaisé". "Il n'a ni manqué d'affection ni d'attention". [...] Ok, alors mes excuses. Le lien c'est le live, ce sont les débats, et il me semble que là déjà, il y a quelques questions à se poser.
-
Saïd Makhlouf "Je n'ai vraiment manqué de rien", dit l'accusé qui a été élevé dans de bonnes conditions. Il est le dernier d'une fratrie de quatre. Ses frères et soeurs ont "un niveau d'études important", relève le président. "A la fin de la 3e, je devais faire un CAP. J'ai pas eu d'entreprise. J'avais presque 17 ans [...] j'ai directement commencé à travailler comme animateur à la mairie de Gentilly. Puis j'ai fait des déménagements. Je n'arrivais pas à trouver de stabilité dans le travail, je suis parti au Canada. Puis je suis revenu. Il fallait que je trouve un travail, je ne savais pas dans quel domaine me mettre. On m'avait parlé de la RATP, des ambulances. J'ai fait ça, ambulancier. ca me plaisait d'aider les personnes. Puis j'ai été interpellé dans ce dossier. En détention, c’était très compliqué, surtout les deux premières années, l’image qu’on veut me donner à tout prix, que je suis un terroriste. Je ne suis pas radical, c’était assez choquant. On me dit que je suis un terroriste. Je suis loin de ça. Je n'ai jamais eu cette idéologie là. c'est très dur (la détention), les fouilles cellules..." Saïd Makhlouf dit avoir été ambulancier pendant trois ans avant qu'il ne soit interpellé. Il avait un salaire de 1800 euros. Il avait aussi une autre source de revenus occultes provenant du trafic de stupéfiants. Un avocat de la partie civile pointe du doigt des "escroqueries de voitures". L'accusé confirme. Des condamnations au casier, violences en réunion, vol aggravé, refus de se soumettre à contrôle, conduite en état d'ivresse.. En prison, Saïd Maklouf s'est découvert une passion pour la cuisine. Saïd Makhlouf réfléchit même à un CAP pâtisserie. L'accusé a aussi comme loisir le sport, la lecture et la musique. Il écoute notamment Beethoven. Pour ce qui est de l'enquête de personnalité, le président rappelle que l'accusé n'a pas souhaité y participer, et que l'enquête n'a été faite que sur la base des témoignages des proches. "On peut retenir que c'est une famille soudée, et très proche de lui, c'est le petit dernier", commente le président de la cour d'assises. Tu ne devrais pas lire du tout. CGU : si un sujet ne vous intéresse pas, n'y participez pas. Bonne soirée.