January

Tiens ! Ratééééé 'suffisait juste que tu donnes l'idée ! @Paul hochon

En fait tu n'as pas compris mon propos.

Laurent Léger : "Ils voulaient tuer le journal. Ils voulaient effacer le journal. J'ai entendu le nom de Charb, c'est le seul nom que le terroriste a prononcé."

Il y a eu dialogue sur le tournage à Pornic, rien d'autre, et Lestrade a fini par se coucher (l'avocate de la famille a du intervenir quand même). La famille n'a jamais accepté son projet. En apprenant, en plus, qu'il voulait tourner à Pornic, là la pétition est parue. Mais jamais ils n'ont été d'accord avec le projet de Lestrade. Et le dialogue il s'est surtout instauré avec leur avocate.

Sigolène Vinson : il me dit qu'il ne tue pas les femmes. Et je comprends qu'il tue les hommes. Alors je ne le lâche pas du regard car j'ai Jean-Luc dans mon dos. Et s'il le tue et que sa cervelle tombe sur moi, je ne le supporterai pas. C'est pas pour sauver Jean-Luc, mais moi. Il me dit de lire le Coran. Et Al Qaïda au Yémen. Et il ne sait pas que j'ai grandi à 30 kilomètre de la frontière du Yémen par la mer. Avec l'appel à la prière cinq fois par jour. Ce sont mes repères.

Maître Demarcq avait soulevé un loup que je trouvais intéressant depuis le départ.. "Toute cette histoire est partie du fait qu’on a tenu pour acquis le contenu de la conversation entre Christophe et Elisa. Christophe dit : ‘Lorsqu’Elisa m’a appelée, elle m’a dit ça’. Et moi, ce que je soutiens aujourd’hui, c’est que ce n’est pas ce qu’elle a dit", a-t-il affirmé. Il a ajouté : "Je soutiens qu’au vu du dossier, on peut avoir de grandes interrogations sur le contenu de cet appel".

Mouais, bah sans moi en tout cas. S'il y en a un qui me sort ce couplet aujourd'hui il va être très très mal reçu, encore pire que d'habitude. Angélique Le Corre : "Quand Coco a commencé à monter avec l'autre homme, j'ai voulu la suivre et l'autre m'a dit :"toi, tu restes-là, tu bouges pas". Et la porte s'est refermée. Je suis sortie de l'immeuble." Angélique Le Corre : "Luz était sur le trottoir d'en face, je savais que c'était son anniversaire ce jour-là. Je lui ai dit : "qu'est-ce que tu as fait?" Pour moi, c'était une blague." [...] Angélique Le Corre : "Aujourd'hui, je ne suis pas la même. C'est paradoxal, mais je me sens plus forte. Je voudrais juste dire que je ne suis pas terrorisée, en fait."

C'est ce que disait Jérémy en substance, et Corinne Rey elle, dit : "Les coupables ce sont les terroristes et leurs complices. Et puis dans la société, il y a des gens qui baissent leur froc devant une idéologie. Si j'ai voulu parler à ce procès c'est parce qu'il y a aussi un problème de société et j'ai voulu pouvoir le dire ici."

La force de ces témoins, c'est incommensurable.. Corinne Rey en larmes : "c'est le talent qu'on a assassiné ce jour-là. C'était des modèles pour moi, des gens d'une extrême gentillesse avec un vrai regard sur le monde, une intelligence, une manière d'être drôle. C'est pas facile d'être drôle, mais ils le faisaient très bien" "toute cette rédaction était à la fois joyeuse et sérieuse. C'est qui m'a toujours fascinée là-dedans. A la fois libre et engagée." Le témoignage de Corinne Rey est glaçant. Comment se remettre d'une chose pareille ?

Oui, ici : https://www.lci.fr/justice/en-direct-attentats-de-janvier-2015-que-justice-soit-faite-demande-un-rescape-pour-frederic-boisseau-la-1re-victime-chez-charlie-hebdo-2163373.html

Ca m'a brassée aussi, t'en arrives à un point où tu te dis "p! mais stop allez on les juge, là, tout de suite ! C'est bon !" Pendant une seconde tu perds les pédales quoi. Va vraiment falloir qu'ils arrêtent leur cirque du "moi j'ai rien fait du tout". Ca me gonfle deux fois plus depuis que je lis les pc depuis ce matin.

C'est terrible ce que relatent les témoins, difficile d'imaginer.. L'audition de Jérémy, - le collègue qui se trouvait avec Frédéric Boisseau - est longue et le récit est terrible. Il est passé à un cheveu de se faire abattre, il a essayé tout ce qu'il a pu pour son collègue qui est mort alors qu'il "y croyait encore". Couvert de sang, il l'a mis "à l'abri", jusqu'à l'arrivée des pompiers qui n'ont rien pu faire. Il conclue : "Je veux que la justice fasse son travail et qu'elle le fasse bien. Des attentats, il y en aura encore. On voit comment certains pensent aujourd'hui, ce qu'il se passe. Mais je veux que justice soit faite pour que ça ne se reproduise pas si possible". (LCI a parfaitement repris la déposition pour ceux qui veulent la lire)

Le témoin raconte des conneries, lui n'a rien fait il est innocent. (le témoin venait de dire que pour elle, les accusés étaient des terroristes).

Ah oui oui Le type a fait une con!rie sur Paris qui le pousse à se barrer à l'autre bout du pays bon bah.. voilà quoi.

Bah j'trouve ça clair, embrouilles, délinquance et compagnie. Elle a bien fait de se barrer.

Selon nos informations ce mardi matin, le couple d'occupants a été relogé. Invité à réagir en milieu de matinée sur BFMTV, Henri Kaloustian, bien qu'heureux de cette nouvelle, s'est toutefois montré prudent. La maison "n'est pas libre", a-t-il indiqué. En effet, un homme se présentant comme un ami de la famille de squatteurs est toujours sur place, bien qu'il promette selon nos informations de partir dès ce mardi.

LE COUPLE QUI OCCUPE LE LOGEMENT ASSURE AVOIR ÉTÉ DUPÉ [...] Cependant, un coup de théâtre est venu bousculer la situation lundi soir. Sur les coups de 18h30, une violente dispute a éclaté entre les époux squatteurs. L'altercation a provoqué l'intervention de la gendarmerie, l'interpellation du mari, actuellement en garde à vue pour violences conjugales, et le départ de la mère de famille avec ses deux enfants. Contactée par les équipes de BFMTV sur place, cette dernière a protesté de sa bonne foi. "On a un logement sur Paris mais mon mari a eu des problèmes et on a dû quitter Paris", a-t-elle expliqué. Selon cette mère de famille, une rencontre avec un mystérieux intermédiaire a décidé de la suite de cette affaire. "On a dormi plus d’une semaine en station-service avec les enfants, ensuite mon mari a rencontré une personne qui lui a dit: 'Je peux vous louer un logement' et donc mon mari a payé et c’est lui qui nous emmené ici". https://www.bfmtv.com/police-justice/maison-squattee-dans-les-alpes-maritimes-le-couple-qui-occupe-le-logement-assure-avoir-ete-dupe_AV-202009080070.html

Non mais j'ai fait cette tête parce-que l'instruction n'est pas terminée donc il n'est pas question ni de juge ni de verdict, il est plutôt question de résultat d'enquête et de recevabilité ou non d'éventuelles poursuites du coup. J'en sais rien l'issue, faut attendre le résultat d'enquête, pour moi c'est rasoir d'ockham depuis le départ : elle s'est fait attaquer par son chien.

Pauvre premier témoin rescapé qui se fait insulter par Ali Riza Polat. C'est l'AG qui le reprend : "je veux bien que la parole soit libre, mais on ne peut pas laisser une témoin être malmenée de cette façon-là. Pas sur ce ton, monsieur Polat." Les témoins se succèdent, racontent l'irruption des frères Kouachi, comment ils se sont sécurisés puis ont appelé la police.. Les tirs, les cris, leur stress post-traumatique aujourd'hui, leur licenciement, leur impossibilité à se déplacer, à sortir, leur peur permanente, leur culpabilité de ne pas être monté chez Charlie, etc.

Bon, ben raté

Sans surprise, la demande de remise en liberté d'Ali Riza Polat rejetée.

C'est sûr, ils sont peu nombreux aujourd'hui sur Facebook, mais quand même, il y en a quelques uns. Et puis à cette occasion, va savoir s'ils n'y retourneront pas, pour voir .. ?

"inspirée ou basée sur faits réels". C'est à dire qu'il prend une trame et calque d'autres personnages dessus. Tant que "Perrais" n'apparaît nulle part, il me semble que c'est bon..? A priori son personnage principal s'appelle bien Laetitia, partout la publicité fait état d'une série basée sur l'histoire de Laetitia Perrais (là le nom est cité). Si j'étais concernée je serais comme une dingue je crois, je pèterais un câble à en appeler au président de la république tiens !

Pourquoi tu n'avertis pas le service de ce que tu sais ?