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Tout ce qui a été posté par January
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Non mais la logique
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Les deux personnes interpellées – l’auteur présumé des coups et celui soupçonné d’être à l’origine de la diffusion de la vidéo – sont âgées de 13 et 14 ans et ont été placées en garde à vue. La victime est, elle, âgée de 14 ans. P! mais... Le cef tout de suite b!del!! M'énerve ! On va dire "roo c'est pas possible, on le connaissait pas avant gnagnagna.."
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Non.. J'ai cherché mais pour l'instant il n'y a rien.. Par contre ils ont décidé aussi d'appréhender celui qui a filmé et diffusé. « enregistrement et diffusion de faits de violences volontaires »
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Ce film m'a beaucoup choquée la première fois que je l'ai vu, il est dur. J'écoute encore la BO. Je n'ai jamais retrouvé une BO plus pertinente que celle-ci dans un autre film, ça m'a vraiment marquée.
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C'est ça oui, alors c'est encore un film que tu devras voir
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Patrick Pelloux Il parle du courage de Charlie de faire vivre la liberté d'expression malgré les menaces. Il revient sur les caricatures, notamment, l'incendie des locaux... Patrick Pelloux dit être arrivé 5 à 7 minutes après le drame. "On a tout de suite vu des impacts au niveau thoracique et abdominal. Jean-pierre Courtier, médecin militaire me dit tout de suite; "c'est du gros calibre". Plus je montais l'escalier, plus il y avait du sang sur les marches. Je suis rentré dans la salle, c'était une vision très difficile, de la fumée, une odeur de poudre, Simon à gauche, plein d'étui de balles par terre. Puis j'ai vu Charb qui était au delà de toute ressource thérapeutique, avec des balles partout. Sigolène m'a parlé. J'ai commencé à compter, à diriger les secours par rapport à ce qu'on voyait". [...] "je suis médecin urgentiste depuis très longtemps, j'ai fait un stage chez les pompiers. Des scènes comme ça, j'en ai Jamais vu. C'était un carnage. J'ai senti comme une fracture à l'intérieur de moi, il y a avait les blessés à aider, la désespérance de voir Charb dans cet état... Il fallait des pansement sur des blessés, des garrots, j'étais dans un automatisme. Cet automatisme, je le vis tous les jours, c'est très difficile. Quand on fait médecine, c'est pour sauver des gens, s'il y en a que j'aurais voulu sauver c'était eux et j'en étais incapable". Patrick Pelloux a appelé le standard de l’Elysée, Hollande l’a rappelé et a dit "J’arrive". Il décrit à nouveau la scène : "C'était une véritable scène de guerre, l’apocalypse, c’était une attaque tellement folle qu’il fallait que le chef des armées soit au courant tout de suite."
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Eh non, Indice n°4 : Vatican
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Merde moi qui me croyais déjà super sévère...
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Non, tu me méprises. Les agressions ce sont les risques du métier, celui d'aider des gens très abîmés, en galère ! Et là vous êtes en train de dire que ça n'existe pas, c'est bien, votre monde est parfait. Parfaitement méprisant de votre prochain, pouah, je préfère mon monde finalement, malgré ses risques, je ne vis pas d'un rêve.
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C'est pas de ça qu'on parlait, faut suivre. On parlait des gens qui galèrent. Uniquement de ça. Et comme chez vous ça n'existe pas, bah vous vivez dans un monde parfait, voilà.
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J'aime bien ce monde parfait Dans un monde pareil je me serais pas fait agresser hier soir tiens..
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Non, Indice n°3 : Trains
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Je viens de voir ça en "alerte info" : Le gouvernement « va être obligé de prendre des décisions difficiles » dit le conseil scientifique Un conseil de défense lié à l’épidémie doit se tenir ce vendredi https://www.20minutes.fr/sante/2857643-20200909-coronavirus-gouvernement-va-etre-oblige-prendre-decisions-difficiles-dit-conseil-scientifique
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Me Malka: on en arrive à 2015, l'attentat. Est-ce que tu ne regrettes pas la publication des caricatures de Mahomet ? Riss: C'est pas comme ça qu'il faut raisonner. La question c'est pourquoi on vit ? Pour être libre ou esclave. Je ne veux pas vivre soumis à l'arbitraire démentiel des fanatiques. Je regrette de voir à quel point les gens sont si peu combatifs pour défendre la liberté. Si on ne se bat pas pour sa liberté, on vit comme un esclave et on met en avant une idéologie mortifère. Me Malka : Les nouvelles publications la semaine ont engendré des menaces et des condamnations de plusieurs pays.. Ne prenez-vous pas là le risque de mourir ? Riss: C'est pas le risque de mourir, c'est le risque d'être libre. On a grandi sans imaginer qu'un jour on pourrait remettre en cause une liberté qui nous semblait tellement évidente.
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Non, Indice n°2 : traître
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Me Malka demande pourquoi avoir publié à nouveau ces caricatures le jour de l'ouverture du procès avec cette Une "Tout ça pour ça !". Riss : Ces caricatures sont-elles si offensantes, c'est au lecteur de juger. Quand on les voit franchement, c'est pas des dessins très très méchants. Si on avait renoncé au droit de publier ces caricatures, ça voudrait dire qu'on a eu tort de le faire. le fait qu'il y ait eu cet acte de violence témoignait d'un climat d'intolérance en France dont nous n'étions pas responsables."
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Il est chouette votre monde, y a pas de handicapés, y a pas de gens qui se traînent des boulets depuis qu'ils sont nés, y a pas de malades, y a pas d'illettrés, ah nan c'est chouette hein, vraiment. C'est où ?
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Ca ne devrait arriver nulle part !!!
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Indice n°1 : Deuxième guerre mondiale
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Riss raconte maintenant l'attaque du 7 janvier 2015. Il évoque l'irruption des terroristes. "Un homme intégralement vêtu de noir" est apparu. "Il avait son arme en position semi basse, il tenait la porte de la main droite, il a regardé les gens, j’ai eu l’impression qu’il était peut être surpris qu’il y ait autant de gens dans la pièce." "Puis j'ai vu Franck Brinsolaro se lever et sortir son arme, il a dit, ça c'est pas normal, c'était la première fois que je le voyais sortir son arme". Les tirs commencent. "J'entends une voix proche qui dit : pas les femmes, pas les femmes. Puis les tirs reprennent". "Je comprends que je vais mourir, c'est la fin de ma vie. J'attends mon tour. Souvent on se demande comment on va mourir. Voilà, moi je vais mourir ici, sur le sol de Charlie Hebdo, dans mon journal. Les tirs continuent. Je me demandais si j'allais recevoir une balle dans la tête, dans les poumons, je comptais les secondes car je me disais que chaque seconde qui passait était peut-être la dernière. La, je reçois un coup dans le dos. Comme un gros bout de métal dans le dos. J'arrête de respirer. Je retiens mon souffle. Les tirs se sont estompés, se sont interrompus. J'ai retenu le mot Yemen. Puis je l'ai entendu revenir, il disait: "Charb, Charb, il est où Charb. Là il y a eu encore d'autres coups de feu, les derniers. Et ça a été terminé, plus un bruit, un silence total, terrible. Au bout d'un moment, on entend à nouveau une fusillade lointaine. Mais on ne savait pas combien étaient ces individus, combien d'équipes il y avait. Moi je n'ai pas bougé d'un millimètre pendant toute cette séquence. Et assez vite j'ai entendu des voix que je connaissais, je crois celle de Sigolène Vinson, puis des mouvements dans la salle. Les gens qui parlaient, murmuraient. Fabrice Nicolino gémissait, Sigolène avait parlé... Et les autres ? J'ai du me résoudre à ce que tous les autres soient morts". "Je voulais pas les voir comme ça, quelques minutes avant, ils étaient tous debout, ils étaient tous vivant, j'ai fait attention de ne pas regarder la scène. Mais je n'avais pas le choix de voir Charb, il était à côté de moi. Je l'ai enjambé, aidé par un pompier; J'ai commencé à ressentir la douleur." Riss dit qu'il ne s'est pas trop dans quel état il se trouve quand il est dans l'ambulance qui le transporte? "Je ne voulais pas claquer comme ça, je n'étais pas sûr d'être vivant". Il réalisera qu'il est vivant quand il verra ses proches à l'hôpital.
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Riss (Laurent Sourisseau) est à la barre. "Très tôt Charlie a parlé d'immigration, de sans-papiers. Charlie s'est mobilisé contre la montée du Front National. L'occasion d'attirer l'attention sur l'idéologie du FN qui nous semblait incompatible avec les valeurs de la République". "Au même moment en Algérie arrivait l'islamisme, les actions du GIA mais ça nous semblait lointain. La France c''était la République, pour nous elle était préservée". "Puis En 2006, Cabu arrive en disant que le directeur de France Soir avait été viré pour des dessins publiés, des dessins sur un thème religieux. Sans même avoir vu les dessins, on 'est dit on va les publier. En France il y avait une espère de frilosité, de peur. On pensait qu'on serait plus soutenu. Une fracture a commencé à se révéler" "Cabu avait publié un dessin après des émeutes au Nigéria. Cabu avait fait un dessin qui représentait Mahomet qui disait: "élections de miss sac à patates organisée par Mahomet ". Premières menaces. Pendant quelques semaines il y a eu un camion de policier devant le journal, Cabu a été protégé... En 2011, avec la révolution arabe, on a décidé de faire un dessin sur Mahomet, pas trop terrifiant, pas trop menaçant. On pensait que les choses s'étaient arrangées. Le journal n'était même pas en vente, dans la nuit du mardi au mercredi, Charb m'appelle et me dit "Le journal a brûlé" "D'années en années, tout cela prenait une tournure grave, avec une dégradation de la tolérance dans la société française. Nous on était constant" L'équipe de Charlie part bosser chez Libé. "Et là on a découvert la protection". "ll fallait imaginer toutes sortes de choses invraisemblables qui pouvaient nous arriver. Comment être ouvert au monde quand on nous demande d'être enfermés entre 4 murs avec des gardes partout ?" ajoute Riss. Pour lui , un journal doit être ouvert à tous.
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Nabil a été interpellé. Le procureur de la République de Reims confirme qu'une plainte a été déposée et qu'une enquête est en cours, confiée à la sûreté départementale du commissariat de Reims. https://www.francetvinfo.fr/societe/justice/agression-d-une-adolescente-filmee-devant-un-college-a-reims-son-agresseur-presume-a-ete-interpelle_4099601.html Quoi, l'enquête ? A priori la victime aurait mal parlé à une fille qui serait allée chercher Nabil pour lui casser la gueule. Ca va être vite réglé l'enquête.. Et puis il n'y a aucune raison de se faire rosser comme ça merde ! L'enquête.. Je vote toujours pour délocaliser Nabil, allez hop, en cef, et toute sa famille sous surveillance. Et puis aussi celle de l'autre fille là, si cette version des faits est confirmée.
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Les vaches aussi ?? Ce week-end, deux génisses ont été mutilées dans une ferme de Sens-de-Bretagne, au nord de Rennes (Ille-et-Vilaine). Les photos relayées par France Bleu Armorique sont choquantes. Les animaux présentent d’importantes plaies de plusieurs dizaines de centimètres, l’une à une patte, l’autre au niveau du cou. https://www.20minutes.fr/societe/2857395-20200909-deux-premiers-cas-vaches-mutilees-decouverts-bretagne
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Ah j'ai trouvé qui d'ailleurs : le procureur de la république.
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Pourquoi dérapage ?