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Tout ce qui a été posté par January
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Personne n'achète de sapin ici hein ? Ils vont tous le chercher en forêt. Et je répète, ce maire parle d'UN sapin, le sapin monumental de la ville, de rien d'autre. Jamais il n'a parlé des sapins de Noël chez tout le monde, même pas il a abordé celui que mettent peut être les commerçants.
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Personne n'a parlé de TON sapin, c'est ça que personne n'a compris !
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L'audience a du être suspendue.. Le principal accusé Ali Riza Polat s'est levé demandant à prendre la parole, très énervé. "Ces deux enculés de Kouachi, je les connaissais pas. Amedy Coulibaly, c'était un ami, mais pas les Kouachi". Pendant la suspension, l'accusé s'est de nouveau levé, il parle de l'audition de l'enquêteur de la Sdat prévue mardi prochain. "Je vais tout balancer. Ces deux fils de pute de Kouachi je ne les connaissais pas, venez mardi s’il vous plaît". Puis il évoque un individu qui n'a toujours pas été arrêté dans cette affaire. Au début du procès, l'avocate générale avait précisé qu'Ali Riza Polat avait fait des "révélations" au cours de l'été.
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Non mais en vrai, c'est vraiment super bien ça :
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La réponse de la mairie : Elle rappelle que le coût d’installation de cet arbre est de 60000 euros et liste les désagréments induits : "traversée de la moitié de la France en camion et en convoi exceptionnel (pour un arbre de 17 mètres), temps de montage de quatre nuits, avec 12 agents mobilisés en horaires de nuit avec trois nacelles et une grue de trente tonnes; mise en lumière de 10 km de guirlandes électriques, vandalisme fréquent induisant des coûts de gardiennage de nuit". "Le budget économisé sera consacré à des associations caritatives, commerciales et culturelles qui assureront la féerie de la place" "L’an dernier le sapin a été renversé par la tempête. Celles-ci vont se multiplier, avec des risques d’accidents mortels", ajoute la municipalité qui veut "célébrer Noël en privilégiant le vivant" : "les arbres vivants de la place Pey-Berland et de la place Jean-Moulin adjacente seront illuminés. Par ailleurs, "le maire est ouvert à toutes les propositions permettant d’animer cette place à Noël". Et toc ! Bon ici ça fait longtemps qu'ils ont arrêté les sapins. Peut être qu'on y est plus sensible parce qu'on les voit mourir d'année en année, plus ça va plus ils sont en altitude. Mais il y a de grands sapins vivants, même en ville, rond-point, carrefour, c'est ceux-là qui sont illuminés. Pourquoi ce serait une connerie en fait ? Là je comprends pas très bien la vindicte, générale en plus.. LE sapin. Pas les sapins. Ca a bien marché le titre putaclic...
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L'allée du Roi - Françoise Chandernagor
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Raphaël Maris "j'ai su dans le regard de ma mère que c'était fini, qu'il était mort. J'ai pleuré j'étais complètement perdu. EN plus, nous ne pouvions pas aller le voir car nous étions à Toulouse. Nous avons regardé les médias. Nous n'étions pas sûr qu'il était décédé, on garde toujours un petit espoir. Puis on a vu son image dans les médias, on a sur que c'était fini". "Je n'ai pas voulu voir le corps de mon père. Je voulais garder une image de lui. Son sourire (..) " "Je me suis rapproché de mon père entre mes 15 et mes 18 ans. Ca a été arraché. Ces attentats, j'ai l'impression de ne pas avoir pu profiter de lui plus longtemps, avoir plus de discussions avec lui, je pense que les gens qui ont vécu plus longtemps avec leur père (...) J'ai l'impression qu'il manque...(Il cherche ses mots) On m'a arraché quelque chose de très cher. J'étais dans la fascination, j'étais en admiration de ce qu'il était".
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Gabrielle Maris "Ca a été compliqué de venir à la barre. Puis je me suis décidée. C'est important pour moi de l'évoquer ici. Ca a été un père merveilleux". [...] Je le remercie d'une chose, j'avais une chance. Il m'a appris que la vie est belle. Que c'était beau. Il y a dix ans, on se promenait à Paris il m'avait dit :" j'adore voir les gens qui sourient dans la rue". On venait de croiser un homme qui souriait. Mon père était un être profondément vivant, heureux, protecteur. J'étais protégée par mon père. Il était formidable". On ne peut pas perdre son père dans ses conditions, là. Je pense qu'il a eu peur, ça fait tellement mal, d'imaginer, une des personnes les plus importantes, d'imaginer cette terreur. C'est horrible à dire mais j'aurais aimé être avec lui. Lui tenir la main. Lui dire : "Ne t'inquiète pas, allez, c'est rien". Je me disais que si j'avait été là (le 7 janvier) ça aurait été plus doux peut-être".
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Hélène Fresnel A 11h45, le 7 janvier 2015 une collègue d'Hélène Fresnel, qui travaille elle aussi dans une rédaction vient lui taper sur l'épaule et lui dit: "Il y a une fusillade à Charlie" Hélène Fresnel part rue Nicolas Appert; "Je me souviens de Patrick Pelloux qui m'a dit : "Bernard est mort". Hélène Fresnel se souvient de Chloé Verlhac qui criait. "Je cois que je claquais des dents". "Nos vies ont été dévastées.", ajout-t-elle en pleurs. Hélène Fresnel : "Après, je crois que je suis devenue un petit peu folle après, je le voyais partout, je lui parlais. Je crois que j'ai été sauvée par mes enfants et par la psychologue de la police, Sandrine, qui m'a suivie pendant un an et demi. Je m'en serais vraiment sortie difficilement sans elle. Je tiens à le dire. C'est comme un trou à l'intérieur de soi" (elle pleure)".
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L'herbe bleue ?
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"Depuis 5 ans, les menaces sur ce journal n'ont jamais cessé, jamais; Un dessin qui déplait et ces des montagnes de menaces et d'insultes, des" fdp". Depuis cinq ans, et réitéré depuis la semaine dernière, certains ont un objectif et ils l'annoncent : "Il faut que soit terminer le travail des frères Kouachi". C'est en permanence ça. Hier encore, dans la messagerie de la rédaction des kilomètres de... Il est écrit que nous sommes des criminels, que nous sommes en guerre contre les musulmans, qu'ils vont nous tuer, nous, violer, nous cramer. Notre réaction depuis cinq ans, et ça me prend du temps, c'est de ne laisser passer aucune menace de morts et aucun message faisant passer l'apologie du terrorisme. Certains me disent c'est une goutte d'eau dans la mer moi je dis on ne peux plus rien laisser passer".
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Marie-Catherine Bret "Je suis venue vous parler du journaliste, du dessinateur". Elle parle d'une "une relation intime de plus de quinze ans" avec Charb. Elle était aussi membre de l'équipe de Charlie Hebdo, où elle est la responsable des ressources humaines. "Charb et moi avons défilé, je ne sais combien de fois, le poing levé, aux côtés des sans-papiers, privés de tout. Toute sa vie, il n'aura cessé de dénoncer les idées qu'il trouvait nauséabondes : celle du Front national, l'antisémitisme, le racisme." "Charb était également un féministe. Qui n’a aucune couleur, ni noir, ni blanc, ni vert, ni bleu. Ce féminisme de l’émancipation et qui dit qu’une femme n’est pas que soit victime soit coupable, elle est bien d’autre chose et doit pouvoir le dire". Marie-Catherine Bret : "Ils ont tué des hommes mais ils n'ont pas tué nos idées."
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Surtout des gens connus.. 80% des auteurs de viol sont connus de leur victimes.
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Denise Charbonnier "Stéphane dessinait tout le temps, depuis la maternelle il dessinait, il a toujours voulu dessiner. Il était très littéraire, très joyeux, on était très unis tous les quatre, son papa et son frère Laurent" . "Stéphane était un être généreux, humains, toujours prêt à aider tout le monde; Chez nous c'était l'annexe du lycée, tout le monde venait déjeuner". "Charb nous manque, on nous l'a tué, on nous l'a arraché, il nous manque énormément, c'est une souffrance, et c’est un chagrin énorme, une souffrance tous les jours, une plaie ouverte qui ne se refermera jamais". "Charb son engagement c'était la laïcité, la liberté de la presse, il était contre le racisme. Il était travailleur, mais on riait beaucoup". "On a été reçus à l'Elysée après et on m'a expliqué que même s'il y avait eu la voiture de police, ça n'aurait rien changé tellement ils étaient déterminés. Voilà, c'est l'argument qu'on m'a donné." "Charlie Hebdo c'était sa vie. Il a beaucoup voyagé, Liban, Palestine Iran. Il nous manque, et on est fier de lui, on a toujours été fier de lui". "Les tueurs, c'étaient pas des êtres humains, des animaux, c'était des riens. Comment des êtres soi-disant humains ont pu aider de près ou de loin des assassins". Depuis quelques minutes sont projetés à l'écran des dessins de Charb. Ils ont été sélectionnés par la famille notamment. Silence dans toutes les salles) la salle principale et celles de retransmission- ponctué de rire à la vue de certains dessins. Il y est question notamment de religions, du capitalisme, de la gauche, la droite, le FN, la justice, Bayrou.
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Gala Renaud "Michel aimait la vie, Michel aimait les gens. Michel était tout pour moi, Michel était mon amour, le papa de notre enfant, de notre fille, qui n'avait pas encore 16 ans à ce moment-là. [...] Michel était ma vie, Michel était ma France. C'est grâce à lui que j'aime la France comme je l'aime aujourd'hui". [...] "Michel était invité le 7 janvier 2015 par Cabu, qui était venu au rendez-vous du Carnets de Voyages en novembre 2014. Quand avec Gérard Gaillard, ils se sont rendus chez Charlie, Michel voulait rencontrer Georges Wolinski. Gala Renaud explique que Michel Renaud lui a dit le 6 janvier "je pars pour deux jours, mais demain à 19 heures, je serai avec vous". "Il n'est jamais revenu. J'ai appris ce qu'il s'était passé après 14 heures. Notre fille avait fini l'école à midi, elle avait des activités après. On était pressée. Nous sommes venus à la maison, elle a mangé vite, je n'ai pas allumé la télé, ni la radio". Gala Renaud dépose sa fille au centre d'activités. Elle voit quelqu'un de très triste. Alors qu'elle se rend à son travail, elle reçoit un appel du maire, qui veut lui parler. "Je devais installer une exposition dans un lycée. A mi-chemin, j'ai reçu le coup de téléphone. Mon interlocuteur avait une voix calme, mais j'ai compris qu'il se passait quelque chose. Il m'a dit: Gala courage, Gala courage. j'ai dit pourquoi tu me dis ça. Il me dit: "Michel a été assassiné dans un attentat. Je lui ai dit: "Jean-Pierre tu mens, Michel ne peut pas mourir. J'ai crié crié, pendant 300 mètres, ma voix devait être atroce, et je me suis effondrée sur le sol". Gala Renaud dit n'avoir reçu aucun mot de soutien de la part de la direction de Charlie Hebdo. "Je n'ai pas senti beaucoup de fraternité. Ils ne m'ont pas contactée". Elle dit s'être sentie "oubliée". Avocat partie civile à Gala Renaud: Etes-vous toujours Charlie? Gala Renaud : Je n'ai jamais été Charlie, je lis d'autres journaux. Mais je suis Charb, Georges Wolinski et les autres.
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Hélène Honoré "Je suis la fille unique de Philippe Honoré. C'est très difficile d'être à la barre J'ai l'impression à chaque témoignage de revivre le 7 janvier. Il y a aussi un enjeu, maintenant pour moi, faire redonner vie à mon père pour que chacun puisse se l'imaginer, ici vivant avec nous". Le 7 janvier 2015, [...] ma mère m'appelle et me dit qu'il y a eu une fusillade à Charlie. Pour moi ça n'était pas possible, ça ne peut pas arriver, j'allais retrouver mon père ce soir. N'ayant pas de numéro de gens sur place, je cherche un taxi pour aller à Charlie. Le taxi me dit que ça allait être difficile d'arriver à cause des barrages policiers. Je suis arrivée à 12h30. Je cherchais à avoir des informations. C'est Jean-Luc par téléphone qui m'a confirmé ce que je craignais, que mon père était mort. " [...] Hélène Honoré: "Mon père était un autodidacte mais il aimait lire, apprendre. C'est la seule personne au monde en laquelle j'avais une confiance totale dans la connaissance." "Je n'admets pas du tout sa mort. Je rêve souvent de lui. J'ai imaginé ce qu'il aurait dit aux frères Kouachi s'il avait pu leur parler. Il leur aurait souri, il leur aurait proposé de s'asseoir, montré des dessins. Il les aurait regardé avec ses yeux profondément bleu". "Je sais que la réalité, c’est la violence la plus extrême, la plus brutale, que rien ne peut jamais justifier. Personne ne pourra jamais me dire pourquoi mon père est mort mais moi je sais qu’il n’a pas vécu pour rien."
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Valérie Martinez Le 7 janvier au soir j'ai reçu un appel de policier me demandant de venir témoigner le lendemain à 9 heures. J'ai dit pourquoi moi, on m' a dit parce que j'étais la dernière personne à l'avoir vu vivant". "J'étais son amante, sa maîtresse, son amoureuse, mais Stéphane Charbonnier n'avait pas de compagne. Il ne voulait pas de famille, d'enfants. Je respectais ça. Il était marié, mais à Charlie Hebdo". "Les jours n'ont plus la même saveur. Les nuits n'ont plus la même fluidité ni la même douceur. La vie continue sans lui. Mais avec lui quand il reste dans le coeur de tous ceux qui l'ont aimé. C'était un être incroyable, unique, humaniste, antimilitariste." "Je l'aimais". "Je lui parle tous les jours".
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Véronique Cabut "Aujourd'hui le procès est filmé pour l'Histoire et j'y suis très attachée. Cela permettra de montrer plus tard que les personnes de Charlie étaient des gens épris de liberté (elle pleure). C'est cette liberté là que les terroristes et leurs complice ont voulu détruire, une liberté qu'il n'ont pas réussi à atteindre. Cabu était un homme libre. Charlie Hebdo est là, Charlie Hebdo est vivant, continue avec courage avec des nouveaux dessinateurs, des talents. Je ne veux pas que les terroristes et leurs complices gagnent. Donc, ils ont perdu : Charlie Hebdo est là". [...] Un policier me dit : "Madame vous ne pouvez pas monter c'est une scène de crime. Je demandais, pas de réponse, personne ne voulait me répondre. Je me suis battue. Puis quelqu'un en blouse blanche je crois m'a dit": "Oui Madame, votre mari a été assassiné". "Une question me taraude. Je voulais savoir : Comment est-il mort ? Je veux savoir" Puis elle raconte avoir échangé avec Jean-Pierre Tourtier médecin chef des pompiers qui lui dit: " Vous savez madame, j'ai été sur le théâtre des opérations de guerre et je n'ai jamais vu un carnage pareil". " Tout est dit, poursuit Véronique Cabut. Qand on entend les témoignages, l'horreur était là. (elle pleure encore) Je suis désolée."
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Pour moi non (subjectif je sais). D'après ceux qui ont vu la série, et la façon dont ils l'ont décrite, ce n'est pas l'adaptation du livre.
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Là tu cherches vraiment la merde Edit pour ceux qui ne comprendraient pas : ailleurs dans un autre sujet il a été martelé que les tueurs Français, blancs, il n'y en avait pas...
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Oui, c'est pour ça que j'ai voulu poster Je peux t'assurer, sincèrement, que la famille Perrais a toujours été contre l'adaptation TV. En revanche : Durant deux ans, l’écrivain Ivan Jablonka a rencontré les proches de la jeune fille, sa sœur jumelle, ses parents, ses amis, les responsables des services sociaux, l’ensemble des acteurs de l’enquête, gendarmes, juges d’instruction, procureurs, avocats et journalistes. Ensuite, il a assisté au procès du meurtrier en octobre 2015. De cette manière, Ivan Jablonka a pu reconstituer l’histoire de la jeune fille. Il a étudié le fait divers comme un objet d’histoire et sa vie comme un fait social. Mais ils n'avaient pas le droit de s'y opposer, c'est pour ça que lorsqu'ils sont "tombés d'accord" pour que le tournage ne se fasse pas à Pornic, de guerre lasse la tante de Laëtitia a retiré la pétition, juridiquement, impossible de s'opposer. Et les gens ne se sont pas mobilisés, je crois que la pétition a fait un peu moins de 1000 signatures (je ne suis pas sûre, il faudrait que je cherche).
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Oui elle c'est clair : sa tête est mise à prix.
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Zineb El Rhazoui "On a publié la BD avec Charb, s'en est suivi des menaces. Puis il y a eu d'autres articles. Moi j'étais perçue comme "l'Arabe de Charlie", "la traitre". Ils oublient que je suis française et que je veux défendre ma vision du monde". "Le 7 janvier, j'étais à Casablanca". Elle explique qu'on l'a appelée pour lui dire qu'il y avait eu un attentat à Charlie. "Je pensais que c'était quelqu'un qui avait tiré et cassé deux fenêtres. J'ai appelé Charb et il n'a pas répondu. J'ai appelé Luce Lapin secrétaire de rédaction, elle me dit qu'elle est cachée sous une table, qu'il y a des morts, que Charb est mort...Puis J'entends un hurlement de bête blessée, je lui dis: "C'est quoi ça" Elle me dit: "C'est Patrick Pelloux qui pleure". [...] "C'est une idéologie qui a continué à tuer. Le sentiment que j'ai aujourd'hui c'est que de façon allégorique, l'assassin continue de courir. Au coeur de Paris, nous vivons avec des hommes armés, avec toutes les conséquences que cela a. J'ai l'impression que depuis que j'ai intégré Charlie. En vivant avec le journal ses moments durs. De vivre un cauchemar sans fin. Les gens qui vivent ma situation aujourd'hui vivent comme des condamnés à morts, dont la vie est en sursis. Comment se dire que la menace est théorique quand on sait que Charb a été tué." "La meilleure chose qui soit arrivée en 5 ans, c'est encore Charlie Hebdo qui l'a faite la semaine dernière en ressortant les caricatures. Charlie Hebdo a été le seul a sortir ces dessins. On voit bien qu'il y a une tétanie en France aux, Etats-Unis, en Belgique (...) Depuis les attentats de Charlie, je consacre chaque jour de ma vie pour défendre la laïcité et dénoncer la montée de l'islamisme" [...] "Si un jour je me résous à me dire que les Kouachi ont gagné et que la censure est acceptée, je mettrai fin à mes jours. Il faut vivre libre et digne. Malheureusement la France, le monde, sont de plus en plus hostiles à ceux qui critiquent l'islam".
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Oui c'est bien de ça qu'on parle ici. L'émotionnel est une partie de la réponse, bien sûr elle ne peut pas être "le tout". Lorsqu'Ivan Jablonka a voulu écrire son livre, il a pris contact avec la famille, ils se sont rencontrés. La famille a accepté son projet et dans la presse on peut même trouver des compliments envers Jablonka. Oui, pour moi la famille devrait avoir un droit de censure je l'ai dit, un délai etc.. Ces gens ont été broyés par le drame mais aussi par trois procès d'Assises. Cinq ans plus tard on leur remet l'affaire sous le nez, avec la pub qui va bien dans les médias, on peut comprendre que ce soit très difficile, on peut juste...être humain. (Je ne critique pas du tout ceux qui ont vu ou vont voir la série hein ? Je voulais vraiment soulever cette question, parce-que ça faisait un moment que ça me tournait en tête, et du coup j'attends le débat)
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Je l'avais compris comme ça. Et je condamne, on n'exploite pas ce genre de truc quand ça fait à peine 5 ans que la famille en est "sortie". En vérité elle n'en sortira jamais mais là, c'est indécent, indigne.