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Tout ce qui a été posté par January
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Selon un sondage Ipsos/Sopra Steria pour Le Monde, la Fondation Jean-Jaurès et l’Institut Montaigne, 55% des Français seraient favorables au rétablissement de la peine de mort. Sans surprise, c'est à droite et à l'extrême droite que l'on retrouve la majorité des partisans au rétablissement de la peine de mort. Ainsi, les sympathisants du Rassemblement national (RN, ex-FN) sont 85% à y être favorables, 71% chez les sympathisants du parti Les Républicains (LR). A titre de comparaison, seuls 39% des sympathisants La République en marche (LREM), du Parti socialiste, d'Europe Écologie-Les Verts ou de la France insoumise souhaitent son rétablissement. Cependant, les opinions favorables au rétablissement de la peine de mort sont en progression chez les sympathisants de tous les partis par rapport à 2019 : +3 points au RN ou au PS, +8 points à EÉ-LV et chez LREM, et même +31 points chez les sympathisants de La France insoumise. https://www.leprogres.fr/societe/2020/09/15/retablissement-de-la-peine-de-mort-une-majorite-de-francais-y-est-favorable
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Voilà, les gens sont lourds et dangereux en plus !
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Les services de police ont intérêt d'être très vigilants, pas des kilomètres qu'on se prenne un nouveau caramel On est monté d'un cran dans la nuit de jeudi à vendredi avec ces nouveaux communiqués d'Al-Qaïda. Notre politique, c'est de ne jamais en parler, sauf que là c'est devenu public. Ces menaces sont précises, elles sont travaillées, elles reprennent la charte graphique de Charlie Hebdo. les menaces visent aussi "les Français en général, qui osent soutenir Charlie Hebdo et qui votent des lois interdisant aux musulmanes vertueuses de s'habiller comme elles le veulent". L'avocat ajoute que les musulmans sont également "mis en garde lorsqu'ils restent à l'arrière et ne défendent pas le prophète". "Ces menaces concernent 66 millions de Français en réalité" https://www.francetvinfo.fr/societe/justice/proces-des-attentats-de-janvier-2015/video-nouvelles-menaces-contre-charlie-hebdo-al-qaida-cible-aussi-les-francais-en-general-affirme-l-avocat-du-journal_4105451.html
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Euh... Destination finale ?
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Le problème aussi et on l'a vu sur le topic, c'est que les gens ne prennent pas conscience qu'un enfant peut mourir d'allergie. Un enfant ou un adulte, oui. Une allergie c'est pas juste une intolérance, elle est détectée, diagnostiquée, et c'est sérieux. Mais voilà on l'a vu ici, soit "bah dis donc, quelle petite nature", ou alors "non mais les parents ils en font trop, c'est bon, il va pas mourir de boire un peu de lait faut arrêter !" Bah si : il est mort, un petit garçon, six ans. Ce rabâchage fait pour dire que "les parents en font trop", qu'ils surprotègent leurs enfants, leur passent tout etc etc etc, voilà à quoi ça peut arriver aussi. On se dit "j'peux bien lui donner une crêpe c'est pas si grave que ça"...
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Ah oui je ne m'en souvenais plus.
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/Mode HS on/ Si tu n'as pas vu "Jalouse" avec Karin Viard, regarde le, il te plairait /Mode HS off/
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Un sac de billes - Joffo ?
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Je viens d'entendre la maman du petit garçon, elle veut passer à autre chose, tourner la page et pardonner. "Ce n'est pas de sa faute".
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Ca marche je complète.
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Tu compares enfant et adulte maintenant ? Wow..
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Le président demande "à l'ensemble des accusés de se lever. Pour que ceux qui souhaitent réagir, ce n'est pas une obligation, puisse le faire Abdelaziz Abbad : je voudrais dire que c'est beaucoup de courage pour les soeurs venues témoigner au sujet du policier. Ce crime est aussi violent que ce qu'on a vu sur la vidéo de Charlie Hebdo. C'est violent et ça me touche vraiment. Je leur souhaite beaucoup de courage.. Willy Prevost : c'était des témoignages forts. Tous ceux qui sont venus témoigner aujourd'hui ont du courage Miguel Martinez : je voudrais adresser mes condoléances à la famille Merabet, saluer le courage des policiers parce qu'il en a fallu. Et je ne me reconnais pas dans cette idéologie. Metin Karasular : moi ma femme et mes six enfants, s'ils ont un problème, ils vont appeler la police vu que je suis en prison. Chez nous [en Belgique] c'est sacré, on ne s'attaque pas à la police. Ali Riza Polat : je suis désolé pour les familles. Encore une fois, je ne les connais pas ces deux-là [les frères Kouachi]. J'ai hâte d'être demain pour m'expliquer avec l'enquêteur. Mickaël Pastor : je ne peux qu'exprimer ma compassion et ma tristesse. Il faut de la dignité et du courage. Saïd Makhlouf : la famille Merabet a été vraiment touchante. On voit que ces gens [les frères Kouachi] ont tué des musulmans.
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Un policier, conducteur d'une voiture A son tour, il raconte l'arrivée rue Nicolas Appert où "on n'avait aucune connaissance de la présence des locaux de Charlie Hebdo". Comme ses collègues, le policier de la BAC "n'a aucune info. Je ne sais pas ce qu'il se passe. Alors je sors mon arme, je retire mon brassard." Lui aussi essaie de passer un message radio "mais les ondes sont encombrées". Le policier de la BAC résume le contexte lors des premières interventions des forces de l'ordre au pied de l'immeuble de Charlie Hebdo : "c'était le chaos total, la panique totale." Le premier assesseur lit le compte-rendu de l'expertise médicale de ce policier : "insomnie totale pendant une semaine, isolement social, pleurs, angoisse lors de la prise d'otage de l'Hyper Cacher avec ses enfants scolarisés à proximité, retentissement professionnel important". "Il faut digérer le 7 et puis le 9, on remet le couvert, si je peux dire. On repart dans l'horreur." Un autre policier, passager "On tombe nez à nez avec un véhicule, je pensais que c'était le véhicule de la BAC, on fait des appels de phare, ils ouvrent les portières, deux individus sortent. on comprend vite que ce n'est pas la BAC. Ils sortent des kalachnikovs. Notre seul réflexe est de s'abaisser dans l'habitacle. On commence à essuyer des tirs très cadencés, rapidement." "je tire avec ma main droite. Ca a réduit un peu leur cadence de tir". Son coéquipier au volant réussi "une marche arrière miraculeuse, à l'aveugle. Chapeau." "On a eu de pare-brise complètement criblé, des impacts dans les appuie-tête. C'était exigu, les Renault Megane sont très basses. Alors je me suis dit : c'est un petit miracleLle véhicule bougeait énormément. La violence des impacts, ça sifflait dans l'habitacle. Ca tapait fort. C'était d'une violence inouïe." Un autre policier, conducteur Conducteur de la voiture qui a fait face à celle des frères Kouachi. "On croise cette foutue voiture qui n'a rien à faire là. Je fais des appels de phare, ça ne bouge pas. Les 2 sortent. Des gens crient : "c'est eux, c'est eux. Ils commencent à faire feu". A son tour, le conducteur raconte la "pluie de morceau de verre dans le véhicule". Mais les trois membres de l'équipage sortent de la voiture "quasiment indemnes". "ça nous échappe à un certain moment. On est hagard, sidéré. Moi ça a été mon état. J'ai fini par m'asseoir d'un bistrot et j'ai fumé 3, 4, 5 clopes d'affilée. On est juste une victime de plus, tout policier qu'on soit. Comme plusieurs de ses collègues, ce policier lui aussi a quitté Paris depuis. "J'exerce en province, sur la voie publique."
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@Sittelle Dans ton tableau j'ai deux fois Yrmeline ou le chat des pierres. Dans "couleur rouge sur la couverture" ou "faisant partie d'une saga". Tu veux que je le mette où ? Lien du tableau à jour le 14 septembre 2020 : http://www.okok.fr/informations-fichier/2c306788-99f3-4f97-a519-98a93ab1bc87
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Oui j'ai bien reçu ta liste, je compléterai le tableau dès que possible. Des nouvelles ? Thriller-polar "Au-delà de l'horizon" de Franck Thilliez "Chavirer" de Lola Lafon (bon moral exigé, thème difficile, traité de plume de maître) "Propriétés privées" de Lionel Shriver (des nouvelles, sous la plume acérée de Shriver, avec pour thème la société matérialiste) "Survivre" de Vincent Hauyy (science-fiction, sur fond de catastrophes, un prog. de survivalisme)
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Tu voudrais lire quoi, quel genre ?
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Une policière Appelée pour "des jets de pétards", elle arrive à pied avec deux collègues. Depuis les fenêtres les gens leur font des signes, elle voit les frères Kouachi sortir, entend tirer et les voit tirer sur les policier en VTT. "J'étais persuadée qu'ils me voyais que j'allais mourir. " Elle voit Ahmed Merabet mourir, elle entre dans Charlie Hebdo et s'en veut de ne pas pouvoir soutenir le regard d'une personne blessée. Elle explique la difficulté à retourner travailler, la culpabilité (malgré qu'elle ait tiré sur le pare-brise des terroristes qui s'enfuyaient). Aujourd'hui elle a changé d'arrondissement, elle n'a plus fait usage de son arme depuis ce jour-là. Un policier Appelé pour des tirs, surpris, il ne se passe jamais rien dans le coin. Comme sa collègue, il entend que des gens se sont fait tirer dessus et se demande ce qu'il peut bien y avoir dans ce bâtiment qui justifie l'irruption d'hommes armés. Les terroristes sortent, il se plaque au mur, vu la puissance de feu, il ne pouvait rien faire. Il est sûr, lorsqu'il voit les terroristes tirer sur la voiture de police, que ses collègues sont morts (ils sont sains et saufs). Il entend la voix d'Ahmed Merabet et les détonations de son exécution. Comme sa collègue précédente, quelqu'un l'interpelle en lui disant qu'il y a au moins 20 victimes dans les locaux de Charlie Hebdo. Il trouve ça gros.. Il raconte le silence de mort dans les bureaux et les mares de sang. Il raconte l'horreur, la boucherie, il demande qu'on le laisse tranquille à la radio, il sécurise les lieux en attendant les secours. Quand il ressort, il apprend la mort d'Ahmed Merabet... Il explique les séquelles psychologiques, cette obsession après les 8 et 9 janvier, de "chasser les terroristes", l'hypervigilance et finalement, le départ de Paris et RP.
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Oui merci
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Je le vois "archivé" ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.. Mais si c'est possible, je te laisse suivre les évènements de demain (procès) et les reporter sur ton topic, en faisant supprimer celui-ci.
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Il ne s'agit pas de la blâmer ou de la féliciter. Le débat porte sur sa responsabilité certes, mais est-ce qu'une institutrice doit être dépositaire de la santé d'un enfant à "conditions particulières" ?
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Une policière J'étais sur mon vélo, je me disais : "il n'y a pas de banque, pas de commerce. Je pensais que ça devait être des enfants avec des pétards. En arrivant, sur une terrasse, on voit des gens qui nous faisaient des signes. Je me tourne et je vois deux hommes en noir cagoulés, armés, qui tirent sur nous. Des tirs précis. Coup par coup. Je jette mon vélo, je cours et j'entends le sifflement des balles. Je n'ai aucune notion de temps. Ca tirait et ça tirait. Je me suis dis : "je vais mourir." Je ne savais pas ce qu'il se passait. J'entends "collègue blessé à terre". J'ai traversé et j'ai vu Ahmed Merabet à terre, ses yeux vitreux, il était blanc. (Elle part en courant chercher les pompiers, coincés dans les embouteillages. Puis retourne rue Nicolas Appert) : Je vois un homme les mains en sang qui me dit "là c'est Charlie Hebdo, c'est une boucherie". Je ne sais pas qui est cet homme, je ne l'ai plus revu. La policière voit arriver François Hollande sur les lieux. "Je lui ai dit : "monsieur le président, vous marchez sur la douille." Ca me fait rire avec le recul, mais je crois qu'il n'a pas compris, lui aussi était en état de choc". La policière raconte la sortie "de Philippe Lançon, la mâchoire décrochée. Riss aussi". "le plus dur c'est d'accepter et vivre avec. Il faut aller de l'avant. Je suis entrée dans la police en 2004. J'étais une femme de terrain, je portais la tenue. J'adorais ça, j'étais une femme d'action. Depuis, je ne peux plus porter la tenue. J'ai essayé ..." "je ne peux plus porter l'uniforme. Je ne peux plus être en brigade. Pourtant j'adore ça. Du coup, je suis devenue responsable communication en province. Aujourd'hui, j'adore ça".
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Voilà, tu avais donc bien oublié de préciser.
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Le procès de l'enseignante s'ouvre ce mardi. L’enfant âgé de 6 ans, qui était allergique aux produits lactés, a fait un choc anaphylactique fatal. Son enseignante était pourtant informée de son problème de santé. « Elle lui a demandé s’il pouvait manger des crêpes. Il a dit : « oui, j’en mange à la maison », sauf que c’était des crêpes à l’eau », précise à l’AFP son avocat, Me Frédéric Lalliard. « Elle lui en a donné deux petites. Il en réclamé d’autres ; elle a refusé », ajoute-t-il. [...] « Ma cliente sait aujourd’hui qu’elle n’aurait jamais dû lui donner ne serait-ce que deux crêpes. Le Code pénal parle de « négligence » : pour moi, sa faute relève plutôt du manque de vigilance et elle devra être largement atténuée car on est dans des circonstances où l’on demande à une maîtresse de devenir médecin ». https://www.ouest-france.fr/societe/justice/eleve-decede-apres-avoir-mange-des-crepes-le-proces-de-l-enseignante-s-ouvre-ce-mardi-6972511
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L'assassinat du policier Ahmed Merabet le président lit l'OMA"Chérif Kouachi montait sur le trottoir et s'approchait du policier. Il lui criait:"Tu voulais me tuer ?"Ahmed Merabet tournait la tête en sa direction et lui répondait :"Non, c'est bon chef" en levant les mains, paumes ouvertes. Chérif Kouachi continuait de courir vers le policier, pointait le canon de son arme en direction de la tête du policier et tirait". Le policier est décédé, sur le trottoir. La scène a été filmée par un riverain & diffusée sur Facebook. Nabiha Merabet "J'en veux énormément à cette personne qui a diffusé cette vidéo (l'assassinat de son frère).Comment peut-on diffuser 1 vidéo d'horreur comme ça?J'en veux aussi aux chaînes de télé qui l'ont diffusée & qui continue de le faire. On essaie de faire le deuil, d'avancer. Et tous les ans à la même période, c'est la même chose. On revoit cette vidéo, on entend sa voix. Qu'on le laisse reposer en paix !" La compagne d'Ahmed Merabet En larmes, au sujet de la vidéo de l'assassinat du policier diffusée sur Facebook puis sur les chaînes télé : "Comment enlever de notre tête cette vidéo? Le monde entier s'en souvient comme d'un homme à terre. Moi je m'y refuse". Elle s'adresse aux accusés : Mais je suis debout face à vous. Je veux que vous ayez conscience (...) Je suis debout et vous n'aurez ni ma haine, ni mon pardon." Vincent B. adjoint de sécurité "J'ai vu Ahmed dans une mare de sang.J'ai pris son arme, je l'ai rangée.J'ai dit:est-ce que tu m'entends? Ses lèvres bougeaient mais aucun son ne sortait. Je restais avec lui, je lui mettais des claques au niveau des joues pour qu'il reste avec moi. Je voulais qu'il reste confiant. Je n'attendais qu'une seule chose, les pompiers." A l'époque, le gardien de la paix de 28 ans aujourd'hui, effectuait depuis trois ans un "contrat jeune comme adjoint de sécurité pour avoir une première approche de la police nationale".
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Un air de famille ?