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Tout ce qui a été posté par January
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Blanquer est un foutu poltron qui ne veut pas aborder le vrai problème. Projet de costume pour les représentants de la République et du peuple : Sinon ça aussi, c'est républicain : Et quand t'as piscine :
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Je cherche des livres où il y a l'argent en vedette mais... Me viennent des fables,, le Balzac, Baudelaire, Zola Mais c'est plutôt une critique de l'argent
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Adoré oui, c'est vrai que c'est toi qui l'avais recommandé !! Merci !
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"Pour un oui pour un non - Sarraute" et "la petite fille sur la banquise - Bon". 'suis bloquée sur l'Avare.....
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La fortune des Rougon - Emile Zola ?
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Ca fait rien que chacun fasse selon ses connaissances et ses goûts même si c'est pas du classique : depuis le début du jeu, grâce à certains participants, j'ai lu deux bouquins cités ici
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Non mais.. non.. Nagui est la cible d’une rumeur d’ampleur sur les réseaux sociaux selon laquelle il serait l’auteur des mutilations de chevaux qui sévissent en France. "Je ne comprends rien…Je n’ai aucune idée d’où c’est parti" La rumeur a enflé sur les réseaux sociaux et notamment Twitter où le présentateur s’est même retrouvé en tendances France lundi, autrement dit dans les sujets les plus populaires. Ce qui aurait pu ressembler à une mauvaise blague s’est en réalité transformé en une importante campagne de fake news. https://www.sudouest.fr/2020/09/22/chevaux-mutiles-l-animateur-nagui-cible-d-une-folle-rumeur-sur-les-reseaux-sociaux-7873819-10407.php Les gens sont complètement cinglés..
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Ca marche !
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C'est ça !
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Non plus ! @Auger non, pas pi Indice n°3 : Services secrets
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Non, pas will hunting, Indice n°2 : code
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Zarie Sibony Caissière à lHyper Cacher, elle a été en contact direct avec Amedy Coulibaly. "Je tiens à m'excuser auprès des familles des victimes en espérant que ce que je vais raconter en va pas faire grandir leur souffrance. Je témoigne au nom des victimes, parties ce jour-là, que je n'oublierai jamais. J'ai été là du début à la fin. Je faisais passer un poulet surgelé à la caisse. J'ai entendu la détonation, j'ai lâché le poulet qui s'est explosé par terre". "Si yohan n'avait pas été là en train de ranger un caddie, c'est sur moi que le terroriste aurait tiré. Yohan était blessé, il tenait sa joue dans sa main et il disait : "Au secours, Patrice, ça fait mal" (Patrice est le patron du magasin, il a été blessé mais a réussi à s'enfuir). Puis j'entends le terroriste dire à quelqu'un : "comment tu t'appelles ?". J'entends une détonation. Je suis sous ma caisse. Philippe Braham est mort. j'entends les pas lourds du terroriste. Je vois sa tenue militaire, ses armes. Il m'a dit: "ha t'es pas encore morte toi, tu veux pas mourir ; et il a tiré. C'est quand j'ai vu l'impact dans ma caisse que j'ai compris que j'ai failli mourir. J'ai vu les corps de Yohan et de Monsieur Braham. Je pensais qu'il faisait ça pour de l'argent. Je lui ai proposé de tout prendre. Il a rigolé il m'a dit :" tu crois vraiment que je suis venu pour de l'argent ?'. Puis il m'a expliqué qu'il faisait parti de la même équipe que les Kouachi, qu'ils s'étaient coordonnés. Puis il m'a dit: "vous les juifs vous aimez trop la vie, vous pensez que la vie c'est le plus important, alors que c'est la mort le plus important". Je voulais survivre, j'allais tout faire pour. Tout ce qu'il allait me demander j'allais le faire. Il a dit aussi: "vous êtes les deux choses que je déteste le plus au monde, vous êtes juifs, et français." Le terroriste a braqué l'arme sur l'autre caissière, Andrea. Il m'a dit: "tu as 10 secondes sinon je la tue". Je descends voir les autres en bas. J'étais paniquée, je criais, je leur disais de monter sinon il allait tuer d'autres personnes. En bas les gens ne comprenaient pas ce qu'il se passait en haut. Je leur disais qu'il avait tué des gens, qu'il fallait monter. Personne ne m'a écouté. Je suis remontée. Mes dents claquaient, s'entrechoquaient, j'avais tellement peur, je n'arrivais même pas à parler. J'ai récupéré mon téléphone, par réflexe j'ai appelé le 17 comme me l'a demandé le terroriste. L'attente a été assez longue, tellement longue qu'il se permettait de se moquer de nous en disant qu'on était apparemment pas assez important pour la police pour qu'ils répondent. J'ai fini par appeler le commissariat de Saint-Mandé. Ils ont été en lien avec le preneur d'otages. Le terroriste a dit à Andrea d'aller fermer la porte. Elle bougeait pas elle était pétrifiée. J'ai dit il n'y a pas de problème, je vais la fermer. Puis j'ai vu Monsieur Saada, je lui ai dit: "Ne rentrez pas, vous ne pouvez pas rentrer". Il ne m'écoutait pas. Il m'a dit, ne vous inquiétez pas mademoiselle, je fais très vite, je prends juste une petite chose. L'heure correspondait à la fermeture pour Shabbat. Puis il a vu Monsieur Braham au sol, et le terroriste. Il s'est retourné mais le terroriste lui a tiré une balle dans le dos. Il est tombé en arrière, il tremblait et il est mort. Le terroriste a poussé le téléphone de monsieur Saada qui bloquait le rideau. et j'ai fermé le rideau de fer. Je me suis dit que j'étais en train de tous nous enterrer vivants. Zarie Sibony raconte comment Yoav Hattab a tenté de prendre l'arme. Il s'est fait tuer. "Le terroriste nous a demandé à Samuel et moi d'arracher toutes les caméras. Je pense qu'on en a oublié deux. Un des otages les a enlevées. Puis le terroriste a renversé les caddies, nous a demandé de s'assoir dessus.. Il nous a demandé quels étaient nos noms, âges, profession, religions. On était tous juifs français sauf deux. Il leur a dit qu'ils avaient mal choisi leur jour pour faire leurs courses. Puis il nous a parlé de la Syrie, où l'armée française se permettait de tuer. On a dit qu'on n'y était pour rien. Il nous a dit: mais vous payez vos impôts, en cela vous êtes coupables". Zarie Sibony va décrocher le téléphone qui sonne : "Au bout du fil, des journalistes, un musulman qui dit du mal du terroriste. "On a enlevé les téléphones pour qu'ils s'arrêtent de sonner. Puis le terroriste est allé un moment dans le bureau sur un ordinateur. J'ai pleuré. Il m'a dit: "Ha tu pleures, mais pourquoi". Il osait faire des blagues, il disait : "allez-y mangez, c'est gratuit". En bas dans la chambre froide il y avait 6 personnes dont Sarah et son bébé. J'ai dit qu'il y avait personne en bas, et il m'a cru. En haut il y avait un autre enfant, un de 3 ans qui vomissait. J'ai demandé si je pouvais nettoyer; IL m'a dit oui, qu'on ne dise surtout pas que je fais du mal aux enfants. Son discours est si irrationnel, il vient de tuer des gens, sans coeur. Zarie Sibony a l'impression que les autres sont morts à cause d'elle, elle culpabilise. "Le terroriste les a tués comme si c'était des objets alors que c'était des personnes, il a détruit des familles. Les familles des victimes, je pense à elle tous les jours". "A un moment, le terroriste nous a dit : 'Je vais prier dans le fond du magasin, ne tentez rien'. Samuel m'a dit : Zarie tu entends ? On entendait des coups et des voix sur la porte de secours. C'est la police qui essayait de rentrer. Mais la porte était bloquée par les palettes de farine que le terroriste avait voulu que l'on mette là. Des personnes avaient réussi à se sauver un peu avant. J'ai dit à Samuel: 'Je pense que la police est en train d'essayer de rentrer'. Les coups ont cessé. Je vois le terroriste qui avance vers nous; Toujours avec une arme dans une main'. "Le terroriste a dit à la police: 'si vous essayez de continuer de rentrer, je les tue tous'. Pendant ces 4 heures, j'étais sûre de mourir. Je priais juste que ce soit une balle dans la tête, rapide, pas comme Yoav. Puis le rideau de fer s'est ouvert très lentement. Je ne sais pas pourquoi il ne nous a pas tués; Il avait le temps de le faire. J'ai vu les lasers rouges. Il y a eu trente détonations environ. Ça s'est arrêté. Un des otages a dit : 'c'est bon c'est terminé ils l'ont tué'. Je n'arrivais pas à le croire. Il fallait que je vois son corps mort. C'est la police qui a du nous pousser dehors. On nous a emmenés dans un endroit sécurisé, une banque. Là-bas, ils nous ont posé plein de questions. Moi, j'étais complètement déconnectée. Je regardais Andrea je lui disais : 'c'est fini, on est en vie'". Zarie Sibony vit aujourd'hui en Israël.
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Indice n°1 : Mathématiques
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A un moment donné faut se rassurer, la police, la justice, elle sait très bien à qui elle a affaire. Donc je ne vois pas, en dehors du propos assumé de Morfou, ce que ferait avancer la publication en long large et travers de l'identité des agresseurs. Ce genre de proposition n'a d'autre résultat que d'augmenter la haine, et dans la haine on ne réfléchit pas, quand il faudrait qu'on réfléchisse peut être tous à "comment vraiment sonner un coup de semonce" aux élus qui "semblent" ne rien voir ? Selon l'opinion qu'on a naturellement.
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Oncle de Yohan Cohen "Aujourd’hui, j’essaie d’accompagner mon beau-frère. Je l’ai quatre à cinq fois au téléphone par jour. Cet attentat a détruit sa vie. Aujourd’hui, vous allez chez ma mère, c’est un sanctuaire. Elle n’a plus que la peau sur les os. C’est pas qu’un enfant qui est mort, c’est toute une famille qui est morte. Ma sœur, quand elle vient en France, c’est un enfer. Ce n’est plus possible pour elle. Des fois elle vient le matin et repart le soir. Ma soeur, il faut l'accompagner chaque jour". Au sujet des accusés il dit : "moi je les juge pas des gens-là, mais je trouve que la justice a bien fait son travail. Coulibaly c’était pas la fin de l’histoire. Et ça me rassure de savoir qu’ils sont là, je pense que la justice sera faite. Moi je suis pour une police répressive. Hier, quand il y a eu des photos projetées, j'ai dit à mon beau-frère de sortir. J'ai reconnu le corps de mon neveu, je n'ai plus que cette image en tête. Je n'ai pas de souvenirs. Aujourd'hui j'espère qu'on va trouver les coupables, apparemment ils sont dans le box. Enlever la vie à des gens, il n'y a rien de plus terrible. Ce procès ne fera pas avancer mon beau-frère et encore moins ma soeur. La colère, oui on a de la colère, mais surtout de l'impuissance. Etre impuissant et subir. Un enfant de 20 ans, Yohan. Il y a eu Charlie Hebdo, Montrouge. Yohan c'était son dernier jour, on ne voulait pas qu'il aille travailler ce jour-là, on lui a dit que c'était dangereux, il a voulu y aller.
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On est parti de la large publication des identités des agresseurs, et là tu as dit "pour faire bouger les choses". J'ai demandé pour quoi faire Exactement ? Et du coup tu change de sujet, je ne comprends plus. Avoue que c'est pas normal d'envoyer des sous-entendus sans assumer ? Regarde @Morfou, elle le dit elle, c'est très clair dans sa tête ce qu'elle voudrait qu'il se passe avec cette publication, elle assume. On ne peut pas reprocher aux autres ce qu'on ne fait pas soi-même Plouj
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J'vais me répéter mais... "La connerie à c'point-là... Ca devient gênant."
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J'ai pas généralisé ! Oh la t'es d'mauvaise foi ! Relis toi : t'as dit non, pas avant 90 (c'était pas généralisé ça ? ). Je t'ai montré une exception en te disant : bah nan moi j'en portais. C'était ça la conversation, remonte le fil !
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Bah j'ai dit ça où ? Les affaires je les vois dans les journaux comme vous tous. Et je me dis que je suis bien là où je suis. Le souci bcbg, c'est employer la langue de bois. On ne peut pas d'un côté reprocher aux politiques de l'employer et de ne rien faire et de l'autre, cacher ses véritables opinions. Regarde : Ca c'est très clair, Morfou elle, elle demande le lynchage. Elle assume.
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Valérie Braham, veuve de Philippe Braham Quand j'ai appris pour la policière de Montrouge, mes enfants étaient scolarisés à Montrouge. J'ai eu très peur et je ne voulais pas les envoyer à l'école. Mon mari m'a dit: "Mais pas du tout, on ne va pas arrêter de vivre à cause d'un petit con !". Vers 13h10, ma soeur m'appelle et me dit: Valérie tu es au courant, il y a une prise d'otages à l'Hyper Cacher à Vincennes. Je dis : c'est bon, Philippe il a fait les courses hier." A 15h, elle va au commissariat et dit que son mari était là-bas : "Ils ne m'ont pas prise au sérieux, je n'avais aucune preuve". Elle doit attendre: "Ca a été les heures les plus longues de toute ma vie". Quand il y a eu l'assaut, j'ai regardé l'écran. j'ai même cru le voir. On nous a dit pas de victimes. Tout était chamboulé. J'ai appelé les gens, les hôpitaux, personne ne pouvait me répondre. Le président de la communauté a réussi je ne sais comment à avoir la réponse. Je vois mon beau-frère discutait avec lui. J'ai dit : "mais qu'est ce qu'il se passe ?? Mon beau-frère ne pouvait même pas me regarder.. Je n'y croyais pas. Tant que je ne le voyais pas, je ne pouvais pas y croire". "Je ne sais pas ce que je vais leur raconter à mes enfants plus tard. Il savent que leur papa est parti, que c'est un méchant monsieur qui l'a tué mais ils ne comprennent pas pourquoi un méchant voulait tuer papa. Je leur dis qu'on ne peut pas comprendre. Les conflits entre les pays, je n'y suis pour rien, mon mari il n'y était pour rien. Je suis en colère et je ne pardonnerai jamais". Elle ajoute : "Pour mes enfants, c'est fini les parcs, les Disneyland. ca fait cinq ans et demi que mes enfants n'ont pas été dans un parc".
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Moi j'suis sûre que si
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Bah c'est ça que je te demande, de préciser, une fois les noms connus, alors c'est ça qu'on fait ? On les publie partout ? et pour quoi faire ? "ce qui se conçoit bien s'énonce clairement" non ? Et là on dirait que c'est pas gagné. Tu attends quoi de ces publications ? C'est à dire ?
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Oh joli !
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Précise, dissuasif pourquoi ? Comment ? Tu peux les avoir les identités, je l'ai déjà dit, c'est simple, les audiences sont publiques. Tu demandes le planning au greffe.
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C'est l'impression que tu donnes Morfou, je dis juste ce que je ressens en te lisant Bah la meilleure façon de connaître d'autres générations que la sienne c'est de poser des questions, c'est ce que je fais avec toi. Et peut être que là tu vois, tu as affirmé, mais non : j'ai bel et bien porté des crops à partir de 84, ç'aurait peut être été mieux en forme de question ?