January

Super.

Comment sont arrivés les esclaves Quasiment tous les ports de France ont armé et vu partir des milliers de navires négriers. Je ne suis même pas sûre que la France n'ait pas battu certains records de ce côté-là.

30 jours.

Ou ton casier judiciaire est vieux ? Violence + humiliation sur un môme de 9 ans, la honte.

Juste avant celui-là, j'avais choisi la semaine dernière Cinq petits indiens de Michelle Good. Elle raconte la vie terrible de ces enfants indiens qu'on a déracinés pour les mettre dans des écoles à la sauce catholique. Canada, fin des années 1960. Des milliers de jeunes autochtones, libérés des pensionnats, essaient de survivre dans le quartier d'East Vancouver, entre prostitution, drogue et petits boulots. Il y a Maisie, qui semble si forte ; la discrète Lucy, épanouie dans la maternité ; Clara, la rebelle, engagée dans l'American Indian Movement ; Kenny, qui ne sait plus comment s'arrêter de fuir, et, enfin, Howie, condamné pour avoir rossé son ancien tortionnaire. On dit jamais deux sans trois, coïncidence, mais je suis dans : Red Arctic, hiver 1931. Une meute d'une trentaine d'hommes armés, équipés de traîneaux, d'une centaine de chiens et d'un avion de reconnaissance pourchasse un homme. Un seul. Tout seul. C'est la plus grande traque jamais organisée dans le Grand Nord canadien. Pendant six semaines, à travers blizzards et tempêtes, ces hommes assoiffés de vengeance se lancent sur la piste d'un fugitif qui les fascine. Cette course-poursuite va mettre certains d'eux face à leur propre destin. Car tout prédateur devient un jour la proie de quelqu'un d'autre... Il y a aussi des indiens dans cette histoire, des "loucheux", pisteurs.

Défi commun réalisé, j'ai fini La dernière frontière. Ce genre de thème m'a toujours particulièrement touchée, tout ce qui a trait aux peuples décimés. On retrouve dans ce livre l'invraisemblable peur, avec l'ignorance conjuguée au pouvoir, qui mène à la haine de son prochain, et à son extermination. Il y a bien d'autres choses dans ce livre, je laisse chacun découvrir.

Je l'ai trouvée très bien. Oui, c'est romancé par Julie Héraclès qui néanmoins a largement respecté la véritable histoire de Simone Touseau. Je suppose que la fiction tient aux anecdotes qui lient le tout, son héroïne à elle s'appelle Simone Grivise.

J'ai fini "Débâcle" de Lize Spit, je reviens prévenir pour qui aurait été intéressé : âmes sensibles s'abstenir.

Je ne sais pas si ça a été posté mais si jamais Sinon la loi est toute neuve, en tout cas c'est jusqu'à 10 ans de prison et 150 000 euros d'amende.

C'est noté.

Ca n'existe pas ça, ce serait dommage d'être banni de son propre sujet...

Tu trolles ton propre sujet ?

Sinon ça vous intéresse, les discussions de mardi, lors de la saisie en référé du conseil d'état ? https://www.actu-juridique.fr/administratif/libertes-publiques-ddh/saisi-en-refere-le-conseil-detat-va-se-prononcer-sur-linterdiction-de-labaya/

Les attaques personnelles on va s'en passer, merci.

Euh..

Hors sujet.

Dans le sujet qui nous occupe c'est la loi de 2004 qui est importante.

A jour : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1jcKsQSV3PE8bOElGuuBw1MA2Umr-Ue2N-4KLFw8bQC8/edit#gid=0

Bien d'accord avec toi ! Elle est malaisante au possible. En même temps on ne peut s'empêcher de la détailler, il y a un truc. Je ne me souviens pas d'un livre avec une couverture qui m'aurait fait cet effet...

Tu te rends compte de ce que tu postes ou pas ? Les mots ont un sens. Ce que tu as posté, si on résume c'est : parjure = peine de mort, comme ça plus de problème. Et bien sûr ça, ce n'est pas extrémiste du tout ! Bref.

Non, il y a plein d'autres sujets où parler spécifiquement des immigrés, du logement etc. Et je l'ai déjà dit : digression ok, des pages de hs non. Respectez les sujets, les auteurs, les participants. Merci. Et comme d'habitude : si un sujet ne vous intéresse pas, n'y participez pas.

Extrémisme.

Le sujet c'est l'abaya à l'école. Merci.

La mythologie dit qu'Héraclès (le Dactyle) les a créés. Une autre version dit Zeus lui-même, en souvenir de sa lutte avec Cronos. Encore une autre version nomme Héraclès (le demi-dieu) le créateur, qui là, effectivement, honore Zeus, après l'épisode Augias. Mais les jeux servaient surtout à démontrer les qualités physiques et performances et puis assurer de bonnes relations entre les places grecques. Il n'y avait qu'un seul gagnant à l'époque, on l'appelait l'Olympionique, c'était super important à l'époque hein, le gars rentrait chez lui auréolé de gloire ! Il avait des avantages jusqu'à la fin de sa vie et il pouvait même se faire ériger une statue, la classe.