Hussard Noir

Je pense qu'il est capable de consulter Wikipédia tout seul. Cependant j'aimerais vous faire méditer sur le terme de stabilité ethnique...

Que vous éludiez est révélateur.

Quelle rhétorique grandiose.

Avez-vous testé personnellement ?

C'est vrai. Es-tu antisémite ? Ni l'un ni l'autre grâce à Dieu.

Qu'est-ce que la liberté d'expression dans la démocratie? Tu éludes ma question elle est pourtant sérieuse.

Savez-vous nager ?

Djizus semble ignorer que Israël est une démocratie. C'est si douloureux à admettre ?

Je risque une fatwa ? Non, être arabe n'oblige pas à être antisémite...

C'est ce cher S-Nova qui m'attribuait l'intention de vouloir exterminer de la face de la Terre les Mélanésiens, une intention qui lui avait été révélée dans le marc de café un dimanche de septembre. Il faut donc s'attendre aux accusations les plus fantasmagoriques de la part de notre physicien astrologue. Je vous ai instruit sur l'origine étymologique de l'islamophobie, maintenant libre à vous de vous faire le haut parleur de l'obscurantisme religieux en répétant niaisement sa dialectique. Nooooooon... Je pense comme le général de Gaulle que les minorités doivent rester de toutes petites minorités, sinon ce n'est évidemment plus la France. Beaucoup parmi les musulmans ont la double nationalité, concept foireux auquel je suis opposé ; qu'on supprime la nationalité à ceux qui en ont deux permettrait déjà un certain ménage chez ceux qu'on nomme les "Français de papier". Au bord du gouffre on a le droit de ne pas avoir peur du vide, on peut même fermer les yeux ; la chute n'en sera pas moins mortelle. Les gauchistes ont toujours un train de retard sur les mauvaises nouvelles - ils découvrent la guerre en 40, ils découvrent l'islamisme français avec Merah, et ils découvriront dans une cinquantaine d'année l'impact qu'aura l'islam en principale religion sur la France. C'est à la mode.

On a le droit de ne pas aimer l'islam et on a le devoir d'en faire une obsession quand on sait qu'elle deviendra le première religion de France d'ici vingt à trente ans.

Programme des élèves de 5ème : « On commence par les débuts de l'islam (...) l'histoire de France avec Louis XIV ça arrive en dernier. » « Des grandes figures de l'histoire de France malmenées voire carrément passées à la trappe. » http://www.wat.tv/vi...efh_2i0u7_.html « La chronologie de l'histoire n'est plus du tout respectée. » « L'abandon de la chronologie est extrêmement dommageable, parce-que les jeunes n'ont plus de repères. » « On étudie différentes civilisations qui correspondent aujourd’hui à leurs origines, au multiculturalisme que l’on trouve dans la société française ; ça correspond aussi à une partie de leur histoire qui est nécessaire aujourd’hui, on ne peut plus faire de l’Histoire "française" entre guillemets. » http://www.wat.tv/vi...cxb_2eyxv_.html Deux reportages édifiants.

Voltaire faisait du christianisme une obsession, et alors ? Je préfère être du coté des blasphémateurs, libre à vous de préférer le coté des intégristes en vous faisant le haut-parleur de leurs armes étymologiques telles que "l'islamophobie".

Le corps français n'a pas cessé d'être catholique en 1905, les églises ne se sont vidées significativement que depuis les dernières décennies, et l'augmentation du nombre de musulmans est un autre problème dû à l'immigration massive et extra-européenne de ces trente dernière années.

C'est très bien : je préfère être un passéiste qui sait les définitions des mots qu'il utilise et qui sait conjuguer le verbe être au présent, plutôt qu'un moderniste inculte. Le racisme est l'idéologie de la hiérarchisation des races, aucun rapport avec moi ; du reste, l'islamophobie n'est pas une xénophobie comme le laisse penser cette expression malhonnête mais un blasphème, donc un droit fondamental comme je l'ai précédemment dit : « L’islamophobie, on peut le condamner mais, fondamentalement, c’est un droit. On a le droit de ne pas aimer l’islam, comme on a le droit de ne pas aimer le judaïsme ou on a le droit de ne pas aimer l’Eglise catholique ou protestante. » Alain Jakubowicz, président de la LICRA. http://www.franceint...cisme-en-france Forgé par les intégristes iraniens à la fin des années 70 pour contrer les féministes américaines, le terme d’«islamophobie», calqué sur celui de xénophobie, a pour but de faire de l’islam un objet intouchable sous peine d’être accusé de racisme. Cette création, digne des propagandes totalitaires, entretient une confusion délibérée entre une religion, système de piété spécifique, et les fidèles de toutes origines qui y adhèrent. (...) Nous assistons à la fabrication planétaire d’un nouveau délit d’opinion, analogue à ce qui se faisait jadis dans l’Union soviétique contre les ennemis du peuple. Et ce avec l’onction des médias et des pouvoirs publics. (...) Il est des mots qui contribuent à infecter la langue, à en obscurcir le sens. «Islamophobie» fait partie de ces termes à bannir d’urgence du vocabulaire.... http://www.liberatio...-l-islamophobie

On parle donc à un mur. Vous n'avez strictement rien compris ni rien retenu de l'article expliquant que l'islamophobie est un terme intégriste qui n'a pas lieu d'être dans la bouche du prétendu démocrate laïque que vous êtes. C'est assez désolant de voir à quel point la gauche française peut-être irrécupérable dans sa médiocrité intellectuelle, après s'être fait l'idiote utile du capitalisme elle se fait l'idiote utile de l'islamisme.

Source ? Vous êtes dans le déni de réel. Les données accumulées par les instituts de sondages - et qui se trouvent confirmées au fil des années - permettent une approche rigoureuse du sujet. (...) Les populations pratiquantes catholiques et musulmanes - indiquent qu'il y a actuellement en France un jeune catholique pratiquant pour trois jeunes musulmans pratiquants. (...) - 65 % des catholiques pratiquants ont 50 ans et plus ; - 73 % des musulmans pratiquants ont moins de 54 ans. En France, on peut estimer aujourd'hui que en données absolues, pour un musulman pratiquant, il y a trois catholiques pratiquants. Mais si l'on approfondit l'analyse, il apparaît que ce rapport tend à s'inverser d'une façon inéluctable car il est inscrit mécaniquement dans la démographie. (...) Et ce, dans un avenir proche, deux ou trois décennies. http://www.lefigaro....n-en-france.php Pour contredire ceci vous n'avez que des sarcasmes, c'est à dire strictement rien.

En effet, on peut même faire remonter les origines idéologiques de l'antiracisme au dreyfusisme. Comble de l'ironie sous l'occupation, les antiracistes de l'entre-deux-guerres se sont retrouvés en masse dans la collaboration et dans l'antisémitisme le plus virulent. Voir l'ouvrage de Simon Epstein devenu référence, Un paradoxe français : Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance. Spécialiste de l'antisémitisme, Simon Epstein a constitué au fil des ans un socle informatif considérable sur les itinéraires contrastés de deux catégories de Français : ceux qui protestèrent contre le racisme et l'antisémitisme dans les années 1920 et 1930, avant de s'engager dans la Collaboration ; et ceux qui exprimèrent une hostilité ou un préjugé à l'égard des Juifs, puis qui se retrouvèrent, l'heure venue, dans la Résistance. (...) Les principaux chefs de la Collaboration ont traversé, chacun à sa manière, une phase de dénonciation de la haine antijuive ; beaucoup furent même militants de la Ligue internationale contre l'antisémitisme (LICA). Réciproquement, de nombreux résistants, et non des moindres, sont originaires d'une extrême droite nationaliste qui, dans les années 1930, fut fertile en prises de positions hostiles aux Juifs. C'est ce phénomène paradoxal que Simon Epstein décrit puis analyse, en s'appliquant aussi à démonter l'occultation dont ces chassés-croisés, déroutants certes mais significatifs, ont fait l'objet dans les mémoires françaises.

Il n'est pas moins intéressant que l'avis de Djizus. Vous êtes un consommateur déraciné adepte du je-m’en-foutisme, alors bien sûr que ça ne vous cause aucun problème.

Excellent papier qui mérite d'être cité, d'autant qu'il ne saurait être ostracisé par les gauchistes les plus malhonnêtes puisqu'il émane de Libération. Transporteur, lisez ceci : Forgé par les intégristes iraniens à la fin des années 70 pour contrer les féministes américaines, le terme d’«islamophobie», calqué sur celui de xénophobie, a pour but de faire de l’islam un objet intouchable sous peine d’être accusé de racisme. Cette création, digne des propagandes totalitaires, entretient une confusion délibérée entre une religion, système de piété spécifique, et les fidèles de toutes origines qui y adhèrent. (...) Nous assistons à la fabrication planétaire d’un nouveau délit d’opinion, analogue à ce qui se faisait jadis dans l’Union soviétique contre les ennemis du peuple. Et ce avec l’onction des médias et des pouvoirs publics. (...) Il est des mots qui contribuent à infecter la langue, à en obscurcir le sens. «Islamophobie» fait partie de ces termes à bannir d’urgence du vocabulaire.... http://www.liberatio...-l-islamophobie Maintenant que vous savez, vous n'utiliserez plus cette expression sans avoir conscience de faire le jeu des intégristes et de relayer - par le concept même de ce mot - leur propagande totalitaire.

comme sa sans rien dire ? tu baisse ton froque et tu part ? non et ho , avant faut tout mettre a feu et a sang , ne rien laisser au inquisiteur , juste un tas de ruine ... L'islam sera la première religion de France d'ici 20 à 30 ans, c'est inéluctable pour des raisons démographiques. Ça ne veut pas dire que les islamistes seront au pouvoir, mais ça veut dire que les musulmans seront nombreux au point de l'être davantage que les catholiques, situation inédite dans l'histoire de France, c'est dire la vitesse impressionnante à laquelle l'hexagone s'islamise.

C'est peut-être le mot "légitimité" que vous cherchez. Cependant la "justice israélienne" n'a rien à voir avec la politique étrangère des annexions territoriales.

L'inverse m'aurait étonné...

Certains accusent les Français "d'islamophobie", si vous avez suivi la conversation...

« L’islamophobie, on peut le condamner mais, fondamentalement, c’est un droit. On a le droit de ne pas aimer l’islam, comme on a le droit de ne pas aimer le judaïsme ou on a le droit de ne pas aimer l’Eglise catholique ou protestante. » Alain Jakubowicz, président de la LICRA. http://www.franceinter.fr/emission-le-telephone-sonne-questions-sur-le-racisme-en-france