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Hussard Noir

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Tout ce qui a été posté par Hussard Noir

  1. Les "antifascistes" restent aujourd'hui une poignée de marginaux insignifiants à l'instar des anarchistes et des communistes. La force du mouvement a mué depuis longtemps en "antiracisme", gardant exactement les mêmes recettes et les mêmes méthodes de terrorisme intellectuel.
  2. Mélenchon est une sorte de poissonnière que se prostitue les jours fériés. Bien sûr que si. Marine le Pen de son coté n'a pas appelé à voter Sarkozy que je sache.
  3. Faire le clown sur les plateaux télé pour finir lamentablement par un appel à voter PS "sans condition", si ce n'est pas faire le rabatteur c'est au moins faire la prostitué.
  4. Je serai un bon cavalier quand vous serez un bon écrivain, dans une autre vie. :D
  5. Avant, j'étais de gauche. Mais ça, c'était avant.
  6. Je suis venu chercher la principale information de ce topic, en y amenant une complémentaire : il ne le sera jamais. En revanche il est cocu, rabatteur et cocu.
  7. Ce n'est pas tant le viol qui dérange la société américaine mais le viol gratuit.
  8. Dans une vidéo que s’est procurée Boulevard Voltaire, le déroulement des faits est limpide : Étape 1 : des jeunes femmes — équipées d’un couvre-chef de nonne — font irruption au milieu de la manifestation, en hurlant des slogans débiles en anglais dont l’extraordinaire « In Gay we trust ». Aucune réaction des familles catholiques, probablement pas très aguerries aux subtilités américano-philosophiques dudit slogan. Étape 2 : déçues de ne pas avoir déclenché la sainte ire des familles, les névrotiques nues passent à l’attaque physique, en aspergeant la foule de poudre blanche sortant d’extincteurs marqués « sperm ». Là, évidemment, même les moins anglophones des membres de Civitas auront compris. Étape 3 : quelques mâles du cortège tentent de protéger enfants et familles en repoussant les assaillantes. Bref, ils font leur devoir, ce qui n’est plus vraiment à la mode. http://www.bvoltaire...me-demange,4013
  9. Les Femen ont quand même des principes : Anal sex non, mais cumshot (éjaculation faciale) oui, in mouth (dans la bouche), swallow (avaler). C'est important d'afficher ses valeurs en politique.
  10. Il ne tombera sans doute jamais aussi bas. Mais sa patience sera toujours éprouvée par la pédanterie qui caractérise ses détracteurs. Vous aurez sans doute compris, mauvaise foi de coté, que l'essentiel de son travail que j'évoque ici n'est pas celui de journaliste au Figaro mais celui d'essayiste, et bien qu'il soit vain de raisonner le sectarisme de gauche, j'ose espérer qu'il s'agisse d'essais historiques que vous n'avez pas lus tout simplement, à en juger par le grotesque de vos attaques.
  11. Pour ceux qui osent pigner à la violence contre les femmes quand trois pétasses se font chasser d'une manif après avoir aspergé toutes les gueules de fumigènes, voici un exemple de violence gratuite contre une jeune londonienne qui les aidera à relativiser ce qu'est la violence et ce qu'est l’innocence : http://youtu.be/pI1uvHNTyfY
  12. Vous avez raison : un jour il finira modérateur sur un forum. En attendant l'essentiel de son travail ne réside pas à faire une relecture idéologique de l'histoire mais à faire exactement l'inverse, à dénoncer les relectures idéologiques de l'histoire à travers les époques - l’historiquement correct comme il l'appelle, c'est à dire l'application du politiquement correct à l'histoire.
  13. En 2012, si tous les "anti-sionistes" ne sont pas "judéophobes", ils sont tous du moins xénophobes envers les Israéliens pour une raison très simple qui repose dans leur utilisation anachronique et non innocente du terme "anti-sionisme". En effet le sionisme signifie "Mouvement dont l'objet fut la constitution, en Palestine, d'un État juif". Au moment de sa création par l'ONU en 1947 il était légitime d'être sioniste ou anti-sioniste, pour ou contre la constitution de L’État juif, puisqu'il y eut un vote à l'occasion du Plan de partage, mais aujourd'hui il est complétement anachronique de se déclarer anti-sioniste - Israël est là qu'on le veuille ou non. Se revendiquer - 60 ans après - dans des termes volontairement anachroniques, anti-sioniste (contre la constitution d'un État juif en Palestine), c'est vouloir sa disparition de fait, le sionisme signifiant l’existence même d’Israël. Il y a donc une différence majeure entre critiquer la politique étrangère israélienne et se déclarer anti-sioniste. Je suis heureux que nous soyons d'accord sur ce point, mais l'opposition au sémitisme (si tant est qu'il existe) ne provoque-t-elle pas inévitablement une certaine animosité contre les Juifs ?
  14. J'aimerais revenir une seconde sur l'origine du terme d'antisémitisme, qui ne voulait pas simplement signifier la haine du juif, mais aussi et surtout la croyance qu'il existât un sémitisme auquel on s'oppose, sémitisme présenté comme l'esprit et l'influence - véritable ou fantasmé - de la communauté juive. Critiquer Israël ne fait pas de soit un antisémite, mais les "anti-sionistes" ne se contentent pas de critiquer la politique étrangère d’Israël, il vont comme Djizus jusqu'à voir un sémitisme en France, c'est à dire qu'ils coïncidèrent (pour des raisons vraies ou fausses) les Français juifs comme une caste d'influence, et notamment d'influence pro-israélienne. C'est là qu'on rejoint l'antisémitisme traditionnel, presque du complot juif (véritable ou fantasmé je n'en juge pas), où le Juif moderne serait en France un "agent israélien" comme Charles Maurras voyait jadis le Juif comme un "agent révolutionnaire". Dans la définition traditionnelle de l'antisémitisme (la considération d'un sémitisme auquel on s'oppose), l'"anti-sionisme" est par conséquent dans de nombreux cas un antisémitisme moderne. Ceci dit, je ne juge pas s'il est fondé ou infondé. Certes, nous en parlerons plutôt en MP (ou chez Soral s'il a un forum ?)... la liberté d'expression sur forumfr.com étant toute relative à l'humeur de certains modérateurs.
  15. Je ne sais pas si c'était dans le programme de l'époque mais je me souviens qu'on parlait des poilus dès la primaire, et sous l'angle très individuel de la vie des combattants, sans savoir grand chose alors de la géopolitique du conflit. Le reproche élitiste qu'une certaine caste faisait également à Jacques Bainville. Je vous souhaite cependant d'écrire un jour des ouvrages historiques aussi brillants que ceux de Jean Sévilla et Jacques Bainville. En quatrième Les XVIIIe et XIXe siècles (du siècle des Lumières à la révolution industrielle) sont caractérisés par des ruptures décisives : les révolutions sont au centre du programme. La question des traites négrières et de l’esclavage est aussi largement abordée. http://www.education...ucation_civique Avez-vous un lien qui permettrait de consulter plus en détail les manuels d'histoire de quatrième et troisième ?
  16. Ce ne sont pas les relations entre Israël et la Palestine qui font "la descente aux enfers de la nation française" ; vous êtes sacrement obnubilé par ce conflit auquel vous donnez des proportions de guerre mondiale.
  17. En Seine-et-Marne en 2010, quatre drapeaux français du monument aux morts ont été décrochés par des vandales qui ont ensuite mis le feu à l'un des étendards. Cinq jeunes de 17 ans à 20 ans ont été placés en garde à vue. Trois sont originaires d'Afrique du Nord. « Décrocher et brûler les drapeaux d'un monument aux morts, ça a une signification. J'irai porter plainte lundi », confie le maire, choqué. Au moins cinq voitures ont aussi été incendiées dans le quartier de l'Almont, à Melun. Enveloppés dans un drapeau algérien, trois jeunes de 17, 18 et 20 ans ont mis le feu dans les toilettes d'un train à Melun. Ils ont été placés en garde à vue. http://www.leparisie...2010-971409.php
  18. L'Education nationale contribue à la falsification historique « Anachronisme, manichéisme, réductionnisme » ... Réponses de Jean Sévillia à un entretien sur les manipulations de l'histoire et les ravages de l'historiquement correct. Toutes les époques sont-elles concernées par la falsification historique ? Toutes les époques sont concernées, mais les raisons de ces maquillages varient selon les dominantes idéologiques. Pour faire court, l’histoire est instrumentalisée, en Occident, depuis les Lumières : encyclopédistes et philosophes tressent une légende noire de l’Église, dont ils combattent le pouvoir. Au XIXe siècle, le roman national, tel que l’enseigne l’école jusqu’aux années 1950, s’inscrit dans une veine républicaine qui glorifie la Révolution et caricature l’“Ancien Régime”. L’après-guerre est dominée, jusqu’à la fin des années 1960, par l’histoire marxiste, ce qui s’explique par l’hégémonie culturelle du Parti communiste. (...) Quoi qu’il en soit, le marxisme s’effondre dans les années 1980. Un autre paradigme lui est substitué – les droits de l’homme – , et c’est encore à l’aune de ce paradigme qu’on interprète le passé. C’est cela, l’“historiquement correct” : passer l’histoire au crible de l’idéologie du moment. Ce faisant, on commet un anachronisme préjudiciable à la connaissance historique. Comment définiriez-vous l’idéologie dominante que vous évoquez ? Elle relègue la nation dans les limbes de l’histoire, condamne les frontières, rejette tout enracinement géographique et spirituel. Elle fait l’apologie du nomadisme. Elle élève l’individu au rang de valeur sacrée et proclame son libre arbitre comme ultime référence. Est considéré comme juste celui qui respecte les droits de l’homme, comme injuste – donc immédiatement condamné – celui qui les viole. Alors que l’histoire est un domaine éminemment complexe, on cède à la facilité manichéenne (les bons et les méchants) et l’on procède à des réductions abusives en braquant le projecteur sur certains événements, au risque d’en laisser d’autres dans l’obscurité. Anachronisme, manichéisme, réductionnisme : ce sont les trois procédés de la falsification historique, qui sont beaucoup plus subtils que ce qui se faisait en Union soviétique… Un exemple ? La Première Guerre mondiale. On ne perçoit plus ce conflit qu’à travers la vie des combattants de base. Ce qu’ils ont vécu fut atroce, mais on insiste tant sur cet aspect qu’on oublie la dimension géopolitique de la guerre. Comme nous sommes attachés par-dessus tout à nos droits individuels, comme nous sommes dans un moment de concorde européenne, nous ne comprenons plus ce qui les animait, ni qu’ils aient largement consenti à ce sacrifice. Nous ne comprenons plus l’expression “faire son devoir”. Plusieurs controverses ont éclaté sur des sujets de recherche historique, par exemple sur l’esclavage, après la parution d’un livre de l’historien Olivier Pétré-Grenouilleau, les Traites négrières. Essai d’histoire globale (Gallimard). Est-ce aussi l’effet de l’historiquement correct ? Absolument. En 2004, cet historien – dont l’ouvrage a reçu plusieurs prix – démontre que l’esclavage n’a pas été seulement le fait des Occidentaux. En 2005, il déclare, au détour d’un entretien à la presse, que « les traites négrières ne sont pas des génocides ». La condition des esclaves était certes atroce, mais l’intérêt des négriers n’était pas de les laisser mourir puisqu’ils tiraient profit de leur vente. Aussitôt, diverses associations lancent une procédure judiciaire et nourrissent une campagne si violente qu’elle provoque la réaction de nombreux historiens : un millier d’entre eux signeront un appel rappelant que l’histoire n’est ni une religion ni une morale, qu’elle ne doit pas s’écrire sous la dictée de la mémoire et qu’elle ne saurait être un objet juridique. C’est à cette occasion qu’est née l’association Liberté pour l’histoire, à l’époque présidée par René Rémond. De nombreux historiens considèrent que le Parlement n’a pas à s’emparer de ces questions. Qu’en pensez-vous ? Les lois mémorielles entretiennent une concurrence victimaire, indexée sur la tragédie que fut la Shoah. Elles ont aussi nourri des revendications d’ordre politique, de sorte qu’on peut craindre une instrumentalisation de l’histoire. Il est tout à fait légitime d’entretenir la mémoire des tragédies, de toutes les tragédies, mais la mémoire n’est pas toute l’histoire. (...) Les programmes d’histoire n’échappent pas à la polémique. L’Éducation nationale est-elle à l’abri de la falsification historique ? Je suis navré de le dire, mais l’Éducation nationale est au coeur de ce système. Les commissions des programmes sont constituées d’enseignants qui, pour beaucoup, sont inspirés par le “pédagogisme” ambiant, donc en accord avec l’idéologie dominante. Le retour à la chronologie est infime, l’histoire est toujours enseignée de façon thématique aux enfants. Qu’un agrégé d’histoire fasse du comparatisme entre les sociétés ou à travers les siècles est très intéressant, mais cela n’est guère adapté à des enfants qui n’ont ni les connaissances ni les repères chronologiques nécessaires. Le problème est d’autant plus important que le système scolaire français est très concentré. Mais l’école de la République, celle d’Ernest Lavisse, diffusait elle aussi un message idéologique… L’histoire républicaine était nationale. Parfois caricaturalement, mais cette approche avait au moins la vertu de donner aux enfants, qu’ils soient bretons ou provençaux, un patrimoine commun, presque un héritage spirituel. “Nos ancêtres les Gaulois”… Les choses étaient scientifiquement contestables, mais elles avaient un sens. L’histoire, telle qu’on l’enseigne aujourd’hui, sort de ce cadre national, car le credo politique actuel est de mettre à bas les nations. D’où le bannissement des grands hommes de notre histoire. (...) L'article complet... Source: Valeurs actuelles
  19. Lancer des roquettes à l'aveuglette sur la population israélienne n'a rien d’héroïque, c'est la même connerie que bombarder la population palestinienne mais avec un peu moins de moyens.
  20. En France la cause palestinienne rassemble autant voire davantage de musulmans que la cause israélienne peut rassembler de juifs. Ceci dit je n'ai jamais parlé d'une "alliance suprême des musulmans de France", mais simplement des réalités locales d'un communautarisme à l'ampleur inédite.
  21. Vous avez surtout lu trop vite mes propos qui ne sont pas de l’uchronie car ils ne refont en rien l'histoire. Je n'ai pas dit " si le Hamas avait eu les moyens de sa haine", j'ai dit " si le Hamas avait les moyens de sa haine". Maintenant lorsqu'on connait un minimum ce qu'est le Hamas aujourd'hui, il est évident que s'il avait les moyens de sa haine ce serait les Israéliens que nos chers humanistes auraient à plaindre. Vous parliez d’ineptie, l'ineptie est de considérer qu'il y a des gentils contre des méchants dans ce conflit. Vous sous-estimez gravement l'importance du communautarisme d'en bas, celui qui prend racine dans la géographie et dans la démographie pour finir en séparatisme. Vous confondez tout et vous simplifiez à l'excès. Je vais faire un topic sur la question car elle est complexe et mérite un débat dédié.
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