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Castorama et Leroy Merlin condamnés à fermer 15 magasins le dimanche.
getalife a répondu à un(e) sujet de PASDEPARANOIA dans France
Non, même en théorie ça marche pas. Désolé. -
Castorama et Leroy Merlin condamnés à fermer 15 magasins le dimanche.
getalife a répondu à un(e) sujet de PASDEPARANOIA dans France
? Et alors ? Qu'est ce qui empêche le consommateur d'aller voir la concurrence le reste de la semaine ? Allez, essaye encore. Et au fait, l'exploitation, c'est le truc des socialistes. Ils aiment bien voler l'argent des gens pour le gaspiller comme ils l'entendent. et t'as jamais envisagé la possibilité qu'il pouvait faire plus de chiffre le dimanche parce qu'il a plus de clients ? blablabla. -
Castorama et Leroy Merlin condamnés à fermer 15 magasins le dimanche.
getalife a répondu à un(e) sujet de PASDEPARANOIA dans France
Si ça ne vaut plus le coup, ça veut dire que les politiciens auront taxé le travail de manière excessive jusqu'à le dissuader complètement. Ca s'appelle pas laisser faire la nature, ça s'appelle laisser faire les tyrans. LOL, la stupidité économique dans toute sa splendeur. Tu crois que les gens achèteraient un produit qui est 2x plus cher le dimanche que le lundi ? -
Castorama et Leroy Merlin condamnés à fermer 15 magasins le dimanche.
getalife a répondu à un(e) sujet de PASDEPARANOIA dans France
Je suppose qu'il est rentable les autres jours aussi ... et alors ? What's your point ? Raison de plus pour autoriser toutes les entreprises à ouvrir le dimanche. Pas seulement les commerces. -
Castorama et Leroy Merlin condamnés à fermer 15 magasins le dimanche.
getalife a répondu à un(e) sujet de PASDEPARANOIA dans France
Le socialisme est une religion, le code du travail est sa Bible. Désolé personnellement je suis athée (et libre). -
Castorama et Leroy Merlin condamnés à fermer 15 magasins le dimanche.
getalife a répondu à un(e) sujet de PASDEPARANOIA dans France
Au fait, petite question aux bolchéviques contre la liberté de travailler. Quid de ceux qui ne veulent pas travailler le lundi ou le mardi ou le mercredi ou le jeudi ou le vendredi ou le samedi ? Quid des militaires, personnel hospitalier, pompiers, etc ? On dirait que votre réglementation est quelque peu arbitraire, isn't it ? Elle est où l'égalité ? Je croyais que la loi devait s'appliquer à tous de la même manière ? Vous êtes des égalitaristes ou des nostalgiques de l'ancien régime nom de dieu ! -
Castorama et Leroy Merlin condamnés à fermer 15 magasins le dimanche.
getalife a répondu à un(e) sujet de PASDEPARANOIA dans France
je me torche avec le code du travail. -
Castorama et Leroy Merlin condamnés à fermer 15 magasins le dimanche.
getalife a répondu à un(e) sujet de PASDEPARANOIA dans France
L'analyse de ce type est d'une débilité profonde. Si les gens n'avaient pas besoin de travailler ou de consommer le dimanche, ALORS POURQUOI LE FONT-ILS ? Si la production et la consommation du dimanche pouvait si facilement se reporter sur le reste de la semaine, alors pourquoi ne pas fermer aussi d'autres jours ? Je propose de fermer les entreprises tous les jours de la semaine sauf le lundi. Comme ça on fait tout le lundi et on après on est tranquille, on peut regarder TF1 le cul posé sur le canapé le reste de la semaine. raison de plus pour autoriser tout le monde à ouvrir le dimanche, DUH ! -
Dommage que vous ne soyez pas aussi talentueux pour le raisonnement que pour le sarcasme.
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Petit article pour mettre les choses aux clairs : On entend souvent les syndicats ou les politiciens expliquer que le salarié étant dans une situation de subordination vis à vis de son employeur, il faut nécessairement un arsenal élaboré de lois protectrices (en réalité liberticides) et de dispositifs sociaux très encadrés (salaire minimum, droit de grève, durée légale du travail) pour empêcher par exemple les licenciements ou tout autre "abus" de l'employeur, qui serait en position de force vis à vis du salarié. En fait, le salarié est bien dans une position de subordination vis à vis de l'employeur, mais uniquement dans le cadre de son contrat (il n'est ni un esclave ni un serf, mais un homme libre qui loue sa force de travail) : il est tenu d'exécuter les tâches pour lesquelles il est rémunéré, de même que l'employeur est tenu de le payer en contrepartie. Dans cette situation, employé et employeur sont à égalité, leur relation étant fondée sur un échange (travail contre salaire). Le lien de subordination qu’il y a entre le salarié et son patron n’est nullement différent de celui qui existe entre n’importe quel prestataire, n’importe quel commerçant et sa clientèle. Le salarié n'a aucun droit au travail inconditionnel, pas plus que l'employeur ne peut déborder du cadre du contrat de travail. Le niveau de risque est le même : le salarié peut être licencié, l'employeur peut faire faillite ou subir des pertes si le salarié fait mal son travail. L'employeur n'est pas davantage obligé d'embaucher un employé et de le garder indéfiniment que le salarié n'est contraint de rester à vie dans l'entreprise. Le droit positif dans la plupart des pays favorise exagérément le salarié, par exemple en mettant toutes sortes d'obstacles au licenciement (alors que le salarié, lui, peut démissionner sans avoir à se justifier). La social démocratie transforme ce qui à l'origine est un échange libre en une relation contraignante et paternaliste : il faut "protéger" le salarié contre le patron. Le résultat de cette "protection" est visible : c'est le chômage, qui est proportionnel au niveau de règlementation du pays. Ceux qui objectent que le salarié est dans une position d'infériorité parce qu'il doit gagner sa vie pour pouvoir vivre (comme si ce n'était pas le cas de l'entrepreneur, qui doit réaliser du profit pour assurer la survie de l'entreprise) tentent de réinventer un droit du travail qui ne peut exister que dans un pays totalitaire. Rien n'empêche le salarié de se mettre à son compte ou de devenir travailleur indépendant pour adopter la position de "supériorité" que serait à ses yeux celle de l'entrepreneur. Croire qu'il y a de toute éternité, d'un côté les patrons "exploiteurs", et de l'autre les salariés "exploités" ressortit à un manichéisme stupide, digne seulement de la propagande ou syndicale la plus démagogique, ou de collectivistes qui rêvent de transformer tout le monde en fonctionnaires avec la sécurité de l'emploi. Les seules situations où l'employeur est en position de force par rapport au salarié sont celles qui découlent de façon illégitime du droit positif, et à travers lui de l'influence politique du patronat, comme ce fut le cas souvent aux XVIIIe et XIXe siècles : loi Le Chapelier en France, interdiction de la grève ou des syndicats, "carnet de travail" qui suivait l'ouvrier (qui existe encore dans certains pays socialistes comme Cuba), etc. Dans la sixième soirée de la rue Saint Lazarre Gustave de Molinari répond longuement à l'objection socialiste qu' un ouvrier, pressé par la faim, est obligé d'aliéner une quantité considérable de son travail en échange d'un faible salaire. Molinari explique comment le laissez-faire est bien plus efficace que la contrainte étatique : “Laissez faire l'industrie privée, elle servira beaucoup mieux les travailleurs que ne pourrait le faire le gouvernement. Donnez pleine liberté de mouvement et d'accord aux ouvriers, et ils sauront bien chercher les endroits où la vente de travail s'opère avec le plus d'avantages ; des intermédiaires actifs et intelligents les seconderont au plus bas prix possible (pourvu toutefois qu'on ne s'avise pas de limiter le nombre de ces intermédiaires et de règlementer leur industrie). L'offre et la demande du travail qui gravitent naturellement l'un vers l'autre, s'équilibreront alors sans obstacles. Laissez faire les travailleurs, laissez passer le travail, voilà toute la solution du problème du travail."
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Pourquoi mon raisonnement est conjoncturel ? Consommer ne signifie pas nécessairement acheter le dernier iphone ... ça peut vouloir dire "manger", "se vêtir", "avoir un toit", etc. La pression productiviste imposé aux salariés est le résultat du SMIC. Si les salaires étaient libres, les personnes les moins productives pourraient trouver des emplois moins bien payés mais moins exigeants en termes de productivité.
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Vous n'expliquez rien du tout. Déjà premièrement, la proximité avec le pouvoir, c'est une grosse blague vu comment les entrepreneurs sont matraqués par les taxes et les réglementations. Deuxièmement, ce concept d'utiliser la puissance publique pour obtenir des avantages, c'est typiquement socialiste. Les libéraux prônent le laissez-faire économique. C'est précisément à cause du pouvoir énorme que vous avez confié aux politiciens que ce genre d'ententes et de corruption est possible. Ensuite, la puissance d'organisation, je vois pas à quoi ça fait référence et comment la domination se manifeste avec ça ... et la possession du capital non plus. Je possède une maison et une voiture, vous vous sentez dominé ? Ce ne sont que des slogans creux. Il n'y a rien de sensé dans ce que vous dites. Je vous trouve très méprisant avec les gens qui ont un job alimentaire et qui n'ont pas la chance de travailler pour le plaisir comme vous. Mais c'était pas mon propos puisque ce que je voulais dire c'est qu'il faut produire pour pouvoir consommer. Ce qui signifie que la fameuse relation de soumission au "patron" qui sert de justification à toute la violence socialiste est une escroquerie intellectuelle. On n'est pas soumis à son patron spécifiquement, on est soumis à la nécessité de consommer.
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Vous commencez votre tirade en parlant de domination. Ca veut dire quoi domination concrètement ? Si vous voulez dire que le patron donne des ordres à ses salariés ? Ouai, d'accord ok... c'est un peu la définition d'un patron. Au départ vous parliez de vol ? Vous disiez que les patrons volaient leurs employés ? Vous avez abandonné cette idée ou elle est toujours d'actualité ? Et si ça vous intéresse, je peux vous expliquer votre erreur de raisonnement. Elle est très classique. Vous le dites vous-même d'ailleurs "le fait qu'il ne puisse pas attendre bien longtemps sans travailler [le rend dépendant du patron]" ... donc voilà la fameuse dépendance dont vous parlez. Sauf que ça n'est pas une dépendance vis à vis de son patron, c'est une dépendance au travail. On a besoin de travailler pour produire et donc pour pouvoir consommer. Personne ne vous force à travailler. Aucun être humain ne vous oblige à travailler. C'est la nature qui vous oblige à travailler. Parce que vous avez besoin de bouffer. Comme disait Paul dans la Bible "si quelqu'un ne veut pas travailler, qu'il ne mange pas non plus".
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"Un patron s'approprie le produit du travail de ses salariés et ensuite il le redistribue selon ses propres critères (où ceux des actionnaires) entre salaires, investissement et le profit." "Tout cela relève en effet de subjectivité, au moins 2 subjectivités qui s'affrontent: pour le capitaliste le profit qu'il fait est nécessairement légitime (et il a des idéologies comme le libéralisme pour le justifier) donc toute atteinte au profit lui semble un vol. A l'inverse pour le salarié le profit du patron est fait sur son travail et toute redistribustion plus favorable n'est que la reprise de ce qui lui appartient et là aussi le salarié pourra trouver des idéologies pour défendre son point de vu (socialisme, anarchisme...)" La vérité n'est pas une question de point de vue. Si les libéraux ont raison alors les socialistes ont tort et inversement. Il ne peut pas y avoir deux vérités contradictoires en même temps. Votre relativisme cache en réalité une volonté de fuir le terrain du raisonnement car vous savez pertinemment que vous ne pouvez pas rivaliser sur ce terrain. Désolé pour vous mais l'argumentation socialiste ne passe pas l'épreuve du raisonnement. Vous dites qu'un patron s'approprie le produit du travail de ses salariés, puis vous dites "le profit du patron est fait sur le travail [du salarié] et toute redistribution plus favorable n'est que la reprise de ce qui lui appartient" => donc vous dites que le patron vole son salarié (en prenant des précautions de langage car apparemment vous n'êtes pas sûr de vous). Eh bien, C'EST FAUX. Le patron propose un travail en échange d'un salaire. Le salarié l'accepte VOLONTAIREMENT. C'est un échange volontaire entre deux personnes consentantes. Il n'y a aucun vol. Par contre, la redistribution que vous prônez est clairement du vol parce qu'il s'agit de prendre la propriété de quelqu'un SANS SON CONSENTEMENT. C'est la définition même du vol. Le raisonnement est implacable. Il donne raison aux libéraux. Ce n'est pas une question de subjectivité. C'est une question de logique et d'honnêteté intellectuelle.
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Ce concept s’applique aux artisans et auto entrepreneurs, mais qu'en est-il de ceux qui vivent du travail des autres ? On vit tous du travail des autres. Comment sont financées ces missions ( police, armée, etc..? ) Par les impôts. Et le reste c'est quoi ? Le reste, c'est ce qui relève des individus. Education, assurance, épargne, logement, culture, travail, loisirs, etc. Le principe de subordination est non seulement inscrit dans la loi, mais appliqué par les tribunaux. Forcément, puisqu'il est inscrit dans la loi ... lapalisse Une distribution équitable et au mérite n'est pas un racket, c'est la rétention des richesse crées par d'autres qui constitue le racket. Quel est votre problème avec la notion d’équité ? Distribuer la richesse suppose que l'on autorise des gens à prendre aux uns pour donner aux autres (en se servant allègrement au passage d'ailleurs). Ce processus ne se fait pas "selon le mérite" mais selon des "intérêts politiques" et par la coercition. Le mérite, c'est d'obtenir quelque chose honnêtement. Obtenir quelque chose par la violence gouvernementale n'a rien à voir avec le mérite. C'est le contraire du mérite. Tous ces termes "équité", "justice sociale", "fraternité", "solidarité" ont été dévoyés par l'idéologie socialiste pour justifier la coercition gouvernementale et le racket. Il n'y a pas redistribution sans vol. Il n'y a pas de vol juste. Il n'y a pas de solidarité contrainte ou de fraternité obligatoire. La solidarité est volontaire ou n'est pas.
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Celui-là fait partie des 1%. C'est un article de la DDHC.
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Evidemment le droit ne s'applique pas par l'opération du Saint Esprit !! Les criminels ne sont pas arrêtés et jugés par la nature ! Ils sont jugés par des hommes. C'est une évidence ! Les libéraux n'ont jamais prétendu que le droit pouvait s'appliquer sans l'intervention de l'homme. Ce qu'ils veulent dire avec le droit naturel c'est que chaque individu est propriétaire de son corps. Il n'y a que l'individu qui peut ressentir et contrôler son propre corps. On ne peut pas contrôler le corps des autres. DONC votre corps vous appartient DE FAIT. Chacun est propriétaire de son corps. Par conséquent chacun peut faire ce qu'il veut de son corps mais comme le principe s'applique à tout le monde, la liberté des uns a pour limite la liberté des autres. Et le droit de propriété aussi découle de là puisque si on est propriétaire de son corps, alors on est aussi propriétaire des choses acquises honnêtement issues de l'usage de son corps (notamment par le travail et par l'échange). C'est ça le concept de droit naturel. Vous n'avez toujours rien compris. Je suis démocrate quand il s'agit de décider de choses qui concernent vraiment la collectivité ... en gros la police, l'armée, la justice et la voirie. Mais pour le reste, le pouvoir décisionnel revient aux individus eux-mêmes. Il y a toujours la nécessité de satisfaire aux exigences de la personne pour laquelle vous produisez quelque chose. Pour l'employé, le patron est en fait un client. Il vous paye en échange d'un service que vous lui rendez. C'est comme ça depuis que l'homme a inventé la division du travail et qu'il s'est spécialisé dans différents métiers ... on ne produit plus pour sa propre consommation mais pour échanger sa production avec d'autres. On est donc dépendant de la volonté des autres. Ça n'a rien à voir avec de la subordination. C'est une contrainte naturelle liée à la spécialisation du travail. Si vous voulez l'éviter, alors produisez tout ce que vous consommez vous-même. PS : c'est pas parce qu'un principe est mentionné dans une loi qu'il est valable. En réalité, 99% des lois françaises violent les droits fondamentaux. Donc vous confirmez ce que je disais. Le but des syndicats est de partager différemment la richesse, c'est à dire de la prendre aux uns pour la donner aux autres. Et pour cela, ils ont généralement recours à la violence. C'est exactement la définition du racket. Stupide. Vous reprochez aux libéraux de défendre des choses qu'ils ne défendent pas. Technique sophistique classique de l'homme de paille.
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Si naître riche est un privilège alors naître beau aussi est un privilège. Naître en France plutôt qu'au Bangladesh est un privilège. Naître intelligent plutôt que stupide est un privilège. etc. Sauf qu'en réalité, Monsieur le sophiste, ça n'a rien à voir avec les privilèges de de l'ancien régime auxquels vous faites référence, car les privilèges de l'ancien régime étaient issus de la volonté POLITIQUE et étaient sanctionnés par la LOI. Alors que naitre riche, beau ou intelligent est le fruit du HASARD. Ca n'a rien à voir avec l'aristocratie et ça n'a rien à voir avec l'injustice. On ne peut pas qualifier la nature d'injuste. Seule l'action humaine est juste ou injuste. Qu'est ce que la démocratie vient foutre la dedans ? Est-ce que vous accepteriez que je vote pour décider comment vous devez décorer votre maison ou baiser votre femme ? La démocratie, c'est la tyrannie de la foule contre l'individu. Vous vous plaignez de la subordination alors que les relations économiques sont toujours des relations de coopération volontaire. Un salarié doit obéir aux exigences de son patron pour toucher son salaire. De même un patron doit obéir aux exigences de la clientèle pour gagner de l'argent. C'est comme ça quand on produit pour les autres. C'est le principe de l'échange ! Et vous voulez remplacer ça par la véritable subordination !! C'est à dire l'étatisme qui n'est pas une relation d'échange avec le citoyen mais une relation de POUVOIR car l'Etat détient le monopole de la violence !!! Elément de language de la novlangue socialiste : racketter devient s'organiser. Vous avez oublié de préciser dans les exemples du 4° : allocations, pensions, subventions, emplois publics, emplois aidés, protections des monopoles, licences, lois et fiscalité anti-concurrence, brevets, etc.
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DUVAL : "Le principe de base du capitalisme c'est que le capital permet d'accumuler d'avantage de capital. J'épargne une partie de mon travail, cela forme un capital, ce capital me rapporte à nouveau du capital. L'argent que me rapporte ma propriété n'est pas dû à un travail supplémentaire de ma part mais au droit de tirage sur la production que la propriété me donne en système capitaliste. C'est cela même une rente." Et alors ? C'est un crime ? Tout investissement permet de générer un gain (ce que vous appelez une rente). Que ce soit un gain d'argent ou de temps, c'est sa raison d'être. Qu'est ce que vous avez contre l'investissement ? Vous préférez que les gens consomment tout ce qu'ils gagnent ? Qu'ils cessent d'investir ? Donc on dit adieu aux machines, aux bâtiments, aux usines, aux routes etc ? Je vous signale quand même que le capital se dégrade avec le temps. Et je vous rappelle aussi que la consommation est une destruction. La consommation c'est la jouissance immédiate alors que l'investissement est fait pour durer. De tout temps, on a admiré les gens qui construisaient quelque chose pour leur avenir ou pour celui de leurs enfants (que ce soit une maison, une entreprise ou autre chose). On les considérait comme des gens vertueux. Mais avec le socialisme, c'est l'inversion des valeurs : la vertu devient vice et le vice devient vertu. Ensuite sur l'héritage: si le mérite (effort de travail par exemple) de mes aïeux me revient sous forme d'héritage, si donc le mérite se transmet de génération en génération autant rétablir tout de suite la noblesse. Dans l'Ancien Régime, la gloire supposée de mes aïeux justifiait mon prestige et ma supériorité présente. Dans le système capitaliste les efforts supposés de mes aïeux justifient ma fortune présente. Le mérite d'être bien né! Mauvaise foi inouïe. Je n'ai jamais dit que le mérite se transmettait. Il n'y a pas que le mérite qui permet de devenir riche, je l'ai déjà dit 100 x. Il y a aussi la chance. Et la chance n'a pas moins valable que le mérite. Ce qui justifie la fortune des héritiers, c'est de l'avoir acquise honnêtement sans voler ni agresser personne. Mais vous, le principe de non-agression, vous vous en foutez vu que toute votre idéologie repose sur la coercition. "L'avantage de la théorie marginaliste de la valeur c'est qu'elle permet de tout justifier." Rien à voir avec la théorie marginaliste de la valeur ... c'est juste la théorie de l'offre et de la demande. Eh ouais, le travail vaut ce qu'on lui en donne ... Désolé d'aller à l'encontre de vos croyances mais c'est juste la vérité. Si la théorie marxiste de valeur travail était vraie alors on pourrait payer des gens à creuser des trous puis les reboucher. Vous diriez "ce travail mérite un bon salaire car un c'est un dur labeur" Sauf que ce travail est inutile ... ! Voilà la stupidité de votre belle théorie marxiste. "vous faire embaucher pour aller expliquer à ces ouvriers à quel point ils sont redevables envers le capitalisme et leurs patrons." On vous présente des faits et des arguments. Vous ne savez répondre que par des sarcasmes. Comme c'est typique. Quand les faits contredisent sa croyance, le socialiste préfère toujours ignorer les faits.
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http://www.youtube.com/watch?v=-CzUktC_EAQ
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Je ne relativise pas cet accident ! J'ai dit que les propriétaires étaient responsables ! Ils savaient que cette construction était dangereuse. Ils n'en ont pas tenu compte. Maintenant, ils seront jugés et condamnés pour leur faute. Ce n'est pas une question de normes. Les normes existent déjà mais elles ont été contournées. Et comme par hasard, le propriétaire de l'immeuble (Sohel Rana) était l'un des membres dirigeants d'une des branches du parti politique au pouvoir . Alors vous êtes bien beaux d'accuser les multinationales qui n'ont rien à voir avec ça et d'appeler le pouvoir politique à la rescousse alors qu'il est impliqué jusqu'au coude ! Oui effectivement, la caractéristique principale de l'Etat, c'est la force. C'est très simple à comprendre, et pourtant très peu le comprennent. L'Etat ce n'est pas seulement la guerre. C'est aussi la police. En un mot, c'est l'institution qui a le monopole de la violence. C'est l'institution qui a le pouvoir de contraindre les gens à lui obéir. C'est l'institution qui a le pouvoir d'ôter la vie ou la liberté à quiconque en toute impunité. Les personnes privées peuvent commettre des crimes mais elles sont toujours comptables de leurs crimes. Les politiciens volent, enferment, torturent et tuent en toute impunité. C'est ça la différence. Plus les politiciens ont de pouvoir, moins nous avons de liberté. Alors bien fous sont ceux qui veulent accroître leurs pouvoirs ! Bien fous sont les socialistes ! Leur folie a engendré les pires dictatures de l'humanité et ils en redemandent encore et encore ! Tant que les gens croiront que les hommes d'Etat savent mieux qu'eux mêmes ce qui est bon ou mauvais pour eux, alors la tyrannie continuera de régner.
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Tu es grotesque papi ! Les sweatshops valent mieux que le travail au champ ou la mendicité ! C'est la seule alternative pour ces gens là ! Si on leur retire les sweatshops, on les condamne à un travail encore PIRE ! TIENS REGARDE LES RESULTATS DE TON IDEOLOGIE Discussion terminée. Je perds pas mon temps à discuter avec des malades mentaux.
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Vous voulez faire la liste des crimes commis par les hommes d'Etat aussi ? Je vous préviens, la liste est longue ... Guerre des Gaules : 1 millions de morts, 1 million d'esclaves Conquêtes mongoles : entre 30 et 60 millions de morts Massacre de la Saint Barthélémy : entre 5 000 et 100 000 morts Guerre de succession d'Autriche : entre 100 et 450 000 morts Guerre de 7 ans : entre 1 et 1,3 million de morts Guerres napoléoniennes : 3 millions de morts Guerre franco-prussienne 1870 : 350 000 morts Première guerre mondiale : 9 millions de morts Révolution bolchévique : entre 5 et 9 millions de morts Famines soviétiques : entre 6 et 8 millions de morts Deuxième guerre mondiale : 65 millions de morts Purges soviétiques : 15 millions de morts Grand bond en avant (Chine) : entre 18 et 38 millions de morts Politique des khmers rouges : 3 millions de morts Famine Nord coréenne des années 90 : entre 1;5 et 3,5 millions de mort Deuxième guerre du Congo : entre 4 et 5 millions de morts ETC Vous en voulez d'autre ou on arrête là ?
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Coup classique chez les gauchistes : incapable de rivaliser sur le terrain du raisonnement, ils jouent la carte de l'émotion. Regardez comment ces sales multinationales cupides ont tué des milliers de gens avec leurs immeubles mal construits ! Sauf que les ateliers textiles en question n'appartenaient pas à une multinationale mais à des producteurs bangladeshis. Les marques qui se fournissent au Bangladesh ne sont pas responsables de l'état des bâtiments de leurs fournisseurs. Et même si elles l'étaient, il s'agit d'un bâtiment parmi des milliers ! Les accidents ça arrive, les propriétaires peu scrupuleux ça existe. Mais au moins les propriétaires seront jugés et punis pour leur négligence. Vous qui avez l'air de dénoncer la cupidité (comme si être cupide était un crime en soi ...) alors pourquoi ne dénoncez vous pas la cupidité des politiciens qui eux volent, mentent, emprisonnent et tuent en toute impunité. Cet accident est malheureux mais contrairement à ce que vous prétendez, il ne remet absolument pas en cause les bienfaits des multinationales dans les pays pauvres : si les multinationales arrêtaient de se fournir là bas, les milliers d'ouvriers du textile perdraient leur emploi et se retrouveraient avec des solutions de subsistance bien pires : faire la manche, ramasser les ordures, travailler au champ pour une misère. Vous déplorez leurs conditions de travail en atelier mais quelle alternative proposez vous ? Ils n'ont rien d'autre ! Vous croyez qu'un pays aussi pauvre peut obtenir un niveau de vie à l'américaine du jour au lendemain ? Le développement d'un pays, ça prend du temps mais le moyen le plus rapide d'y arriver, ça reste incontestablement le commerce international (et non vos bons sentiments).
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On n'achète pas des êtres humains. On achète éventuellement leurs services. Ça n'est pas un crime. Si un juge se laisse corrompre, ce n'est pas le prévenu qu'il faut blâmer mais le juge. Pourquoi parlez vous d'exploitation ? Les multinationales emploient des gens pour travailler, simplement. Là encore ça n'est pas un crime. Les êtres humains ont besoin de travailler pour produire et pouvoir consommer. Les multinationales ont l'avantage d'avoir une productivité élevée. Les employés des multinationales sont généralement mieux payés que dans les autres entreprises. Le travail n'a pas de valeur intrinsèque. Si vous estimez que Bill Gates n'a pas travaillé pour en arriver là où il est, alors appelez ça "agir". Il a agit, il a pris des décisions, il a fait des choix qui l'ont amené là où il est. Et à moins de prouver le contraire, aucune des actions qui l'ont conduit là où il est ne sont condamnables. Il n'a jamais volé, ni tué, ni agressé personne pour acquérir sa fortune. Il a juste utilisé son talent, son travail et son intelligence pour créer des produits qui se sont très bien vendus et bâtir un empire industriel qui lui appartient et qui vaut des milliards. Je n'ai jamais dit que le travail et le mérite étaient les seules façons acceptables de devenir riche. Je vous ai déjà répondu sur ce point. On peut tout à fait devenir riche par chance : en gagnant au loto où en naissant dans une famille riche. Hériter n'est pas un crime. La seule façon inacceptable de devenir riche, c'est par la violence. Mais les autres façon - le travail, le talent, la chance - sont justes et légitimes.