Mórrígan

J’aime la « peinture » sur le visage ou sur une toile... ça me détend. Est-ce grave ?

Nous, impitoyables féministes, allons prendre le contrôle des médias et vous abreuver continuellement d’images comme celles-ci, pendant quelques années : ou éventuellement : Rendez-vous dans 50 ans, je vous demanderai de relativiser.

Elles ne se mettent pas toujours en couple avec des vieux, au pays. En France, par contre, davantage. Ils paient effectivement pour cela. C’est aussi le cas de certaines africaines.

Dans les années 80... C’est fini l’époque des playmate, des pin-up, de la femme-objet (et heureusement). Cette démonstration « d’élégance » en supermarché est affreusement arriérée.

Ni plus ni moins qu’une femme liée ou qui sera liée à un ours des cavernes, dans des pays où les droits et les libertés des femmes sont souvent niés. Le seul avantage que je perçois, c’est qu’à Budapest, les femmes sont libres de s’habiller comme elles le souhaitent. Un décolleté ne déclenche pas une guerre civile. Les collégiennes et les lycéennes ne sont pas priées de porter une « tenue décente ».

Pour le coup, je suis plutôt d’accord, la première personne à qui l’on (femme ou homme) doit plaire c’est soi-même, et pas que le matin.

C’est bien valable pour ces femmes qui restent aussi au pays.

À Milan, oui, les femmes sont bien habillées (les hommes aussi). Tout comme à Paris, Londres et New-York. Au dehors de ces grandes villes, c’est plus disparate. Les femmes de l’Est sont surtout plus malléables, très dociles, sans le sou... plus promptes à envisager une relation avec un chauve ou un bedonnant, et à fonder une famille, dépendantes. Tout ceci les rend plus attractives aux yeux de certains hommes.

Entre ceux qui prétendent vouloir raviver l’âge d’or et ceux pour qui « ce sera forcément mieux demain », ou encore ceux pour qui « ce ne sera jamais bien », mon cœur balance.

Bien sûr d’où leur réactions sur les réseaux sociaux, d’où l’intervention des associations afin de dénoncer le caractère sexiste de ce tutoriel. Prends un aspro ou bien un verre de vin. Attention pas de mélange. Bien sûr que vous n’êtes pas italienne, vous vous plaisez aussi à dénigrer les italiens, avec récurrence, en bonne franchouillarde, que vous êtes. Je ne « m’offusque » pas parce que je suis d’origine italienne (mais pas que), ce tutoriel est à l’évidence dégradant pour les femmes. Il aurait été tourné en Allemagne, cela aurait été pareil. Les Bardot, Jobert, Birkin et cie n’ont pas fait mieux. M’est avis qu’il s’agit davantage d’une époque, que d’une nation, en particulier.

C’est comme ça que vous faites, Morfou, pour attirer le chaland, rayon boucherie, chez Super U ? La jambe en l’air, itou ? Elle a aussi le droit de faire le clown, tant que cela n’engage qu’elle, tant il ne s’agit pas de faire passer les femmes -en général- pour des cruchasses. Nous ne sommes pas supposé(e)s régresser, en effet.

Bonjour Prométhée_Hadès, check, Le masculinisme est un anti-féminisme. Son dessein est d’atteindre l’égalité homme-femme, en partant du postulat que nous sommes issu(e)s d’une ère matriarcale, société pensée et régie par les femmes, pour les femmes (c’est très drôle). Les masculinistes avancent que les hommes souffrent de nombreuses injustices. Leur principal argument est la garde des enfants quand le couple se sépare, divorce, ou du moins les 20% de cas problématiques (à l’avantage de la mère). Certains sont montés sur des grues afin de manifester leur détresse (le phénomène nous vient du Canada). On s’aperçoit souvent que quand le simple droit de visite est retiré, c’est que ces parents ont dépassé les bornes (entraves à l’autorité parentale notamment). Il en résulte toujours une grande détestation des féministes ou des femmes affirmées, refusant d’être instrumentalisées, chosifiées plus exactement. @soisig a récemment ouvert un sujet à ce propos. Il doit aussi y en avoir dans les archives.

C’est un copier-coller de l’article. Néanmoins, si cela gêne, vraiment, j’en tiendrai dorénavant compte.

Pas étonnée que vous confondiez ces clowneries avec une « tentative de séduction ».

Je comprends ton désarroi. Ils ne sont pas venus de nulle part. C'est une idéologie qui vient du Golfe persique. Kahina Balhoul, si tu ne la connais pas déjà, en parle plutôt bien. La croyance laissée en héritage ne laisse pas à l'enfant le choix, la liberté de penser, de s'interroger. On peut aussi avoir une vie spirituelle sans croire en aucun dieu.

C'est gentil, ceci dit tous les goûts sont dans la nature.

Aux hommes violents d’assumer leurs responsabilités. À la société d’assumer sa complaisance envers ces hommes, son laisser faire. Aux masculinistes d’assumer leur haine des femmes. Pas besoin de sophisme, il suffit de savoir lire.

Nous ne sommes pas dans les années 70. En ondulant des hanches en poussant le caddie et en levant la jambe de façon aussi ridicule, au rayon Barilla ? La honte ! Vous n’êtes pas représentatifs des italiens. L’émission a été suspendue parce que des italiennes et des italiens justement ont trouvé cette intervention choquante, dégradante à l’endroit des femmes. Si les femmes sont libres, alors elles n’ont pas à recevoir des cours de poufitude en supermarché.

Les terroristes ont été approchés par des recruteurs, puis séduits par des « imams des caves ». Ils ne sont pas venus à la religion d’eux-mêmes, même si c’est sur le tard, également. C’est la même pour les protestants réputés pour être aussi très prosélytes. Les nouvelles ouailles se doivent d’être plus croyants (et généreux) encore que les croyants. Il me semble que dans l’idéal, la croyance doit passer par une réflexion, un cheminement personnel. C’est une histoire de gamins, qui n’aurait jamais connu autant d’ampleur sans les réseaux sociaux, véritables vecteurs et amplificateurs de haine. Quoi qu’il en soit, il reste inadmissible, en France, de professer de telles menaces.

Ce genre d’affirmation -« les femmes battues font le mauvais choix de compagnon, c’est leur faute »- blâme la victime et permet à l’agresseur de se décharger de la responsabilité de ses actes. Elle s’apparente aux discours qui reprochent aux femmes victimes de violences sexuelles d’avoir porté une jupe. Victim blaming, ni plus ni moins, qui contribue indéniablement à ce que les violences envers les femmes perdurent.

«Comment être sexy en faisant ses courses»: séquence surréaliste sur la télévision publique italienne (vidéos) La Rai 2, l’une des chaînes publiques italiennes, a offert un grand moment de malaise à ses téléspectateurs, ce mardi 24 novembre, en montrant aux femmes comment faire les courses de manière sexy. C’est une scène totalement invraisemblable en 2020 que la télévision publique italienne Rai 2 a diffusé ce mardi 24 novembre. Lors de l’émission « Detto Fatto », Emily Angelillo, une pole-dancer professionnelle, était invitée pour montrer aux téléspectatrices comment faire leur course de manière sexy. La femme s’est alors lancée dans un tutoriel, poignée de caddy aux mains. « Je pose mes mains sur le caddy et, avec l’aide du caddy, j’essaie de marcher comme j’avais fait avant, genoux tendus », explique-t-elle. « Et je vais faire mes courses au magasin qui va devenir mon théâtre. Puis, par exemple, je pourrais me retrouver dans une situation normale au supermarché qui est de devoir prendre un produit en hauteur dans un rayon. Qu’est-ce que je fais ? Evidemment, je ne vais pas commencer à escalader ou me balancer de manière maladroite. Je me positionne devant le produit, je porte mon poids sur l’avant du pied, arcant le dos, j’allonge le bras et je prends le produit. Puis, si je veux donner une touche un peu plus intrigante à la situation quand je prends le produit...HOP ! Je peux lever un peu la jambe. » Suite de l’article et vidéo : https://www.sudinfo.be/id286757/article/2020-11-26/comment-etre-sexy-en-faisant-ses-courses-sequence-surrealiste-sur-la-television

Ses parents. Les enfants sont conditionnés à croire. Leur vie est marquée par des rites religieux qui renforcent toujours plus l’emprise de la religion. Et c’est comme cela qu’elle survit, tel un héritage. Peu s’en détachent finalement. Dans l’idéal, les croyants le deviendraient à l’âge adulte, après mûre réflexion.

Dix femmes par jour meurent sous les coups de leur conjoint, par exemple au Mexique. Il est conseillé aux mexicaines d'être les plus discrètes possible, de ne pas trop faire valoir leurs droits ou encore de ne surtout pas être militantes pour les droits des femmes. Ces violences ont considérablement augmenté au cours des dernières années. L'action gouvernementale a toujours une incidence sur la conscientisation des citoyens. Elle donne le ton.

Les religions relèvent rarement du choix personnel (et c'est dommage). Elles demeurent culturelles.

Oui, la masculinité de domination, qui consiste à associer le masculin au pouvoir, fonctionne sur l'entre-soi : le fait d'être un homme offre des solidarités tacites. A contrario les femmes font peu démonstration de sororité. Il faut bien écrire quand elles sont solidaires entre elles, celles-ci sont pointées du doigt et huées par les antiféministes/masculinistes (c'est synonyme). Nombre de femmes se défendent ainsi d'être intéressées par les droits et libertés des femmes. Elle a mis son tee-shirt à l'envers, la pauvre. Tu peux en effet considérer que les femmes sont plutôt bien représentées. La loi Savaudet -votée sous Sarkozy- et incluant 40% de femmes aux postes de direction dans la fonction publique, n'est cependant pas paritaire (nous serions à 50/50 sinon). En outre, des femmes soutiennent leur conjoint plutôt que de se présenter à ces postes, dans une espèce d'abnégation, d'effacement et alors qu'elles en ont pourtant les capacités, qu'elles ont également des idées. Nos représentations y sont pour beaucoup. Il y a toujours un fichu plafond des rêves à briser. Tu as raison de t'inquiéter, la condition féminine, partout dans le monde, est de toute façon inquiétante. Les "évolutionnistes" toujours prompts à justifier les inégalités par la génétique, expliqueront que les hommes sont programmés afin de disséminer leurs gènes auprès du maximum de spécimens féminins jeunes (c'est à dire présentant tous les signes extérieurs de fécondité). Ils motiveront aussi la mise au rebut des spécimens (pré)ménopausées par un moindre effet collatéral des exigences de la perpétuation de l'espèce. L'existence d'un seul homme qui aime et désire une compagne (pré)méopausée -et il y en a beaucoup- suffit à invalider cette théorie, sauf à déceler chez lui une défectuosité génétique. Un homme qui n'est pas intéressé par un échange d'égal à égal préférera se tourner vers une plus jeune. Il pourra trouver une admiration inconditionnelle, jugée plus valorisante que le regard de celle qui le connaît intimement depuis 10, 15, 20 ans (même si elle l'aime toujours). Les jeunes femmes sont souvent plus malléables et impressionnables. Les femmes manifestent une assurance intolérable, enfin surtout pour les masculinistes. Les couples présentant un grand écart d'âge sont la résultante d'un ordre patriarcal ancien. "Les hommes ne vieillissent pas mieux que les femmes, ils ont seulement l'autorisation de vieillir" avait retweeté Carrie Fisher, quand en 2015 les spectateurs de la sage Star Wars se sont aperçus qu'il ne s'agissait plus de la brunette en bikini intergalactique d'il y a 40 ans. Les hommes vieillissent, peu se bonifient en réalité (parce qu'ils ne s'entretiennent pas et encore moins que des femmes), mais le regard de la société sur les uns et sur les autres est très différent. La plupart des jeunes femmes sont intéressées par les jeunes hommes, et inversement. C'est très bien comme cela.