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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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Sa région, accessoirement. Mais A.Juppé il lui fallait des shoots de verveine pour tenir debout lors des primaires LR de 2017. Il est bien vieux. J'ai regardé même le debriefing, et à l'unanimité, V.Pécresse a été reconnue meilleure. Le débat avait commencé et j'ai pu lire dans la presse qu'elle a souligné l'inhumanité d' E.Zemmour (quant aux réfugié(e)s ukrainien(e)s), son allégeance à Poutine, pour commencer, ainsi que sa misogynie, lorsqu'il l'a coupée ("J'ai le droit de m'exprimer, les femmes ont aussi le droit de s'exprimer" et alors qu'il insistait : "Vous avez dit tellement d'horreurs sur les femmes".
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C'était cacophonique comme le premier épisode de "Face à l'info" (Zemmour vs Sifaoui). V.Pécresse a été bien meilleure qu'en meeting, bien meilleure que E.Zemmour également, qui n'a eu de cesse de ressortir les punchlines qu'il sert ordinairement lorsque ses fans sont rassemblés. E.Zemmour est mieux avec un public déjà conquis, tandis V.Pécresse est elle, meilleure face à l'adversité. Ce qui est dommage lorsqu'il est impossible de débattre sereinement avec un interlocuteur qui ne cesse de couper la parole, de faire porter sa voix, se retrancher dans un vieux sourire goguenard quand il n'a d'autre choix, quand le format est contenu également, c'est que les idées sont remisées. Ce débat n'était pas essentiel, je salue toutefois la belle énergie de V.Pécresse.
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Parfait, c'est que vous commencez déjà à vous défaire des codes de la virilité. Les femmes ne sont pas des mammifères comme les autres. Elles ne sont plus soumises à la pression de la sélection suite au développement de la médecine. Notre remarquable intelligence nous a hissé au sommet de la chaîne alimentaire. Notre conscience, notre libre-arbitre nous différencient des autres mammifères, des autres animaux plus globalement (à l'aune de nos connaissances actuelles). Les femmes ne vivent également pas dans l'eau, ne font pas d'échouage volontaire afin de se nourrir d'éléphants de mer et nos sociétés ne sont majoritairement pas matriarcales (à la différence d'autres mammifères comme les orques). Votre question n'a rien d'innocent. Sur un sujet traitant de la Journée internationale des droits des femmes, vous demandez justification à une intervenante alors qu'elle est solidaire et compatissante envers des femmes à travers le monde et embrayez, quant à la guerre, au sujet des hommes qui souffrent aussi. Il doit y avoir 5 ou 6 sujets traitant de la guerre en Ukraine, et c'est sur celui-ci que vous interpellez une intervenante pour lui demander justification. Ces femmes ne sont pas co-responsables des violences qui leur sont infligées. Absolument pas. Il faut arrêter avec cela. Des femmes victimes de violences pourraient vous lire, c'est choquant. Les seuls coupables sont ceux qui commettent ces délits et crimes. La première "baffe" comme vous l'avez écrit plus haut, n'arrive pas comme un éclair dans un ciel dégagé. La violence verbale, ainsi que les violences psychologiques et matérielles préparent aux violences sexuelles et physiques. Ces femmes sont meurtries, parfois détruites psychologiquement et physiquement. Aucune femme ne s'exprime ainsi envers son fils, mais certaines ne les sollicitent pas aux tâches ménagères, les menant devenir des pots de nouilles. Des femmes font aussi du slut shaming, elles ont été conditionnées à la compétition entre femmes et il y a en sus cette croyance en un "monde juste" qui voudrait que "les gens obtiennent ce qu'ils méritent et méritent ce qu'ils obtiennent". C'est une façon de se prémunir. Si les violences faites aux femmes subsistent, c'est bien parce que la société les accepte toujours en silence. Merci de revenir au sujet initial. La loi "pour la protection de la vie de famille" a en effet été approuvée par le Congrès ce mardi. Elle deviendra applicable une fois signée par Alejandro Giametti, le président conservateur du Guatemala. Cette loi punit de jusqu'à dix ans de prison toute femme qui "a réalisé son propre avortement ou consenti à ce qu'une autre personne l'effectue". Actuellement, ces actes sont punis d'une peine de trois ans. https://www.rtl.fr/actu/international/le-guatemala-durcit-ses-lois-contre-l-ivg-en-pleine-journee-internationale-des-droits-des-femmes-7900132377
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"La tête des nobles au bout des lances", mais vous datez.
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Vitriol est un acronyme en alchimie : "Visita Interiora Terrae Rectificando Invenies Occultum Lapidem". Magnifique et philosophique. Il y a un effet de meute, et un acharnement, à l'évidence. Vous pouvez avertir les modérateurs, en signalant, en leur écrivant un message, ou en les mentionnant, comme je l'ai fait la dernière fois pour vous.
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Danse et crop top dans une église : cinq minutes pour comprendre cette vidéo qui fait polémique
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans France
Ce qui nous définit c'est que nous sommes, pas ce que nous avons ou ce que nous n'avons pas (la foi). Lorsque des internautes écrivent à ce jeune homme de "rentrer dans le droit chemin ou sinon..." parce qu'il a posté un cliché sur lequel il porte une jupe, ou encore que "l'homosexualité est contre-nature et est un péché", il s'agit de menaces et de dogmes, et non d'idées inspirées, d'une liberté d'expression tissée et éclairée. En France, il est tout à fait possible et légal de critiquer une croyance, de se rire de cette croyance, et même de l'injurier. Les lois de 1881 et de 1905 l'autorisent, celle de 1905 réaffirme la neutralité de l'Etat vis à vis des religions. En revanche l'insulte aux croyants est interdite tout comme la diffamation, l'incitation à la haine en raison de l'appartenance à une religion, la discrimination. A l'instar d'Hugo et de Mila, Benjamin Ledig n'a pas insulté les croyants, n'a pas incité à la haine, n'a pas diffamé et discriminé. Nous ne vivons pas dans une théocratie où la religion est le socle de la société, où la religion fait loi ; nous vivons dans un Etat laïque. Cela fait 140 ans que nous pouvons nous exprimer à propos des religions (nul n'est censé ignoré la loi), être en désaccord et dire et écrire tout le bien que nous en pensons, sans en être inquiété(e)s, sans être châtiés. Les dogmes sont discutables, il est possible de dire ce que nous en pensons (mais toujours pas d'insulter les adeptes des religions). En France, la liberté d'expression est un droit fondamental, mais son application est encadrée par la loi et basée sur l'article 10 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen (DDHC). La liberté d'expression n'est pas absolue à moins que... les insultes à autrui, l'incitation à la haine ainsi que les menaces ne soient pas considérés comme faisant partie de la liberté d'expression. En confondant ces infractions et ces délits avec la liberté d'expression, ce ne sont pas les victimes que nous défendons, ce sont les agresseurs. Des athées ont également insulté et menacé Mila, incité à la haine à son endroit. L'excuse de l'offense ne tient pas pour ces personnes. Pas sûre que le Youtubeur Papacito, connu pour sa virulence, et son attachement à l'extrême droite, soit lui-même croyant et cela n'excuserait pas l'incitation à la haine de toute façon. Il appelle explicitement ses followers à "éclater" ce "twerker ecclesiae", tout en se disant "en croisade", et fustigeant au passage la gauche et la République avec lesquelles ils "se torche le bugne". La loi est peu pro-active, davantage réactive. Elle condamne les contrevenants, les harceleurs, pas les penseurs. Cela fait 140 ans et pourtant nous observons depuis quelques années seulement un déferlement de violence à l'endroit d'internautes. C.Malhuret dit très justement qu'auparavant l'idiot du village s'exprimait sur la place publique, sans plus d'effet. Aujourd'hui tous les idiots du village se trouvent sur internet, se réunissent et diffusent leur haine en ligne (il parle aussi des complotistes). Ce sont des tombereaux de haine, des poubelles à ciel ouvert. Tout est possible puisque que tout est à faire. La levée de l'anonymat est aussi au cœur des discussions. En cas d'infraction au moins, il serait bon qu'elle soit plus facilitée. La levée de l'anonymat fait peur, et les harceleurs dans le jardin des parents de Benjamin Ledig sont cagoulés. Ils craignent évidemment la Justice. Nombreuses et nombreux s'accordent à dire qu'il faudrait également que l'Etat fasse pression sur les Gafa, les entreprises possédant les réseaux sociaux afin que les systèmes de signalement et de modération soient réellement efficaces et permettent un traitement en temps réel pour que les contenus constitutifs d'infractions puissent rapidement disparaître. Leur modèle économique reposant sur des économies de coûts pour maximiser la rentabilité, cela promet de ne pas être facile (mais pas impossible). Plusieurs Etats pourraient faire le poids. -
Le président sortant a annoncé en 2017 faire de la cause des femmes victimes de violences, une grande cause de son quinquennat. Certaines mesures ont été prises. Cela reste encore insuffisant puisque nous partons vraiment de loin. Il a aussi grimacé, lundi soir, alors que son bilan -mitigé- lui a été rappelé par une journaliste. II renouvelle son engagement auprès des femmes victimes de violences. Ses propositions, pour les femmes, sont intéressantes. Il ne s’agit pas de privilégier une seule partie des français, davantage de répondre aux préoccupations et aux problèmes des Francais(e)s. Les violences faites aux femmes n’est pas un non sujet. V. Pécresse, ce n’est pas tout pour les femmes ou alors il y a quelques loupées. Sa sortie à propos de femmes fabulatrices, c’était moyen.
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1/Macron 2/MLP 3/Melenchon Centre puis extrêmes. République vs populisme. C’est, de mémoire, ce qu’avait relevé E.Macron en 2017.
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Peut-on tomber virtuellement amoureux ?
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Andrea dans Amour et Séduction
J’aime mais pas via Internet. Je ne like plus non plus, puisque je trouve que c’est plus sympa de formuler une réponse (même courte). « Tomber amoureux » par le biais du net relève davantage d’une misère affective et sexuelle, d’un manque (et du mercantilisme lorsque cela s’opère au moyen de sites et applications de rencontres). Ce n’est pas souhaitable. À personne. Des individus s’y abîment, projetant un idéal sur quelques écrits. Ceci dit j’apprécie de lire certain(e)s intervenant(e)s et d’échanger. Moins (avec) les ouin-ouin satisfaits d’eux-même surtout parce que cela s’avérera toujours stérile. Ce n’est pas une raison pour me filer, me signifier votre présence par tous les moyens à votre portée… en plus cela fait cabot. Je vous souhaite de rencontrer une personne qui vous ressemble… tel un châtiment de l’Antiquité grecque. En réalité, vous ne pensez pas, vous préjugez seulement. -
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Peut-on tomber virtuellement amoureux ?
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Andrea dans Amour et Séduction
Vous n'avez même pas trouvé une gonz' lors d'une manifestation antivax/antipass/antitout ? -
Peut-on tomber virtuellement amoureux ?
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Andrea dans Amour et Séduction
Evidemment. Je trouve cela plutôt rassurant et pour vous (eu égard au sujet) et pour moi (surtout en général). Ceci dit cela ne répond pas à ma question. -
Peut-on tomber virtuellement amoureux ?
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Andrea dans Amour et Séduction
Et vous avez pécho depuis ? -
Jusque là c'est correct. Est-ce l'électorat d'E.Zemmour qui est fait d'hommes anormaux ou est-ce que ce sont les hommes et les femmes qui ne glissent pas vers les extrêmes droites et gauches, qui sont extraordinaires ? Ou bien les deux ? Alors qu'il poursuit sa dégringolade dans les sondages, E.Zemmour s'est encore exprimé quant aux réfugié(e)s ukrainien(ne)s. Il trouve préférable que nous aidions un pays comme la Pologne à les accueillir, puisque, selon lui les femmes ukrainiennes veulent rester au plus près de leur mari et de leurs fils. Mais si, toutefois, dans l'éventualité où (hélas ?), certaines (le moins possible) veulent venir en France, afin de se rapprocher de leur famille de nationalité française, alors oui, il accepterait que nous les accueillions (mais pas trop quand même). Lundi soir, Julie, qui a quitté le Sénégal à l'âge de 2 ans avec sa famille, expliquait que ses parents avaient migré pour une meilleure qualité de vie et qu'elle avait été très bien accueillie en France. Elle a demandé à E.Zemmour s'il l'aurait accueillie, ce à quoi il a répondu par la négative, satisfaisant ainsi ses partisans. Cette jeune femme a l'air parfaitement intégré, voire même assimilée pour les fans d'extrême-droite, et il ne peut pas lui reprocher d'avoir un prénom non conforme (j'ai vérifié sur vitemonprenom.com). https://www.midilibre.fr/2021/09/17/verifiez-si-votre-prenom-est-bien-francais-un-site-parodie-la-proposition-deric-zemmour-9795799.php Ce qui est d'autant plus intolérable, c'est qu'il se savait qu'E.Zemmour a eu des comportements sans doute constitutifs de délits. Les femmes qui ont accepté de se confier mais cette fois à Médiapart -et 8 sur la totalité ont accepté d'être filmées, quelques unes à visage découvert- ont toutes évoqué sa position sociale par rapport à la leur. Il fut un journaliste considéré comme essentiel, elles n'étaient que stagiaires, hôtesses d'accueil, maquilleuses, et militante pour G.Lenfant. Elles se sont également exprimées quant au manque de considération sociétal envers les victimes de violences sexuelles. Cela fait un moment que l'enquête de Médiapart a commencé, elle est mise à jour à chaque fois que des femmes acceptent de se confier. Alors pourquoi cette réflexion conne ?
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Une société patriarcale est essentiellement sexiste (bravo, vous avez gagné une tringle à rideaux). C'est un état de fait, l'idéal viril s'est construit historiquement dans la guerre. Depuis le modèle du citoyen-soldat grec, à la guerre russo-ukrainienne, en passant par la Révolution conférant des droits aux soldats (élection de leurs officiers et sous-officiers, notamment). Les valeurs prônées à la guerre, par l'armée, sont avant tout et par essence masculines. La guerre est dite virile, en effet. Dans une société patriarcale, les hommes sont éduqués à être belliqueux, agressifs, à l'accomplissement d'un statut social dominant, à être stoïques sans épanchement émotionnel, à rejeter la féminité (liste des injonctions viriles non exhaustive). Les femmes, à exactement tout l'inverse. Les codes de la virilité sont ingérés par les garçons, depuis la petite enfance et ainsi préparés, ils sont menés à obéir à des injonctions martiales tout au fil de leur existence. Il est pertinent d'analyser les stéréotypes de genre. Près de 50 ans après la création de pôles d'études féminines et d'études sur le genre, des chercheurs s'y attèlent. Le masculin est enfin questionné, analysé, disséqué (men's studies). Cela gratte, je vous le concède. Cela fait 50 ans, que nous les femmes sommes analysées sous tous les angles, toutes les dimensions. Et plus encore, que nous sommes jaugées afin d'en tirer les meilleurs profits. Le patriarcat et la guerre sont interdépendants, la notion de propriété privée instaurée par la force, est questionnable aussi, et sûrement bien d'autres facteurs. Toujours est-il que vous demandez à une internaute, @Yemaia, de se justifier quant à ses écrits à propos des femmes, alors qu'elle est pleinement dans le sujet (Journée internationale des femmes). Cette journée a été officialisée par les Nations Unies en 1977. En 1982, Yvette Roudy, première ministre des Droits de la Femme -entre 1981 et 1986- rebaptise cette Journée internationale des femmes en tant que Journée Internationale des luttes des femmes. Nous lui devons aussi le remboursement de l'IVG et la loi portant sur l'égalité professionnelle entre les hommes et les femmes. Plus tard, certaines nations adopteront finalement l'appellation "Journée internationale des droits des femmes". La Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, le 25 novembre, est également un temps fort de sensibilisation des populations et de mobilisations (surtout des femmes). Il est curieux de toujours lire des hommes se réveiller brutalement aux mêmes dates (les 8 mars et 25 novembre) se questionnant quant à une journée rien qu'à eux (mais juste ces jours-ci). Vous manquiez d'attention pendant plus d'une seconde ? La Journée internationale des hommes est déjà existante au demeurant (le 19 novembre). Ces mêmes hommes sont aussi capables de piailler après les femmes, qui devraient, selon leurs vues antiféministes -parce qu'il ne s'agit réellement que d'antiféminisme primaire- se contenter de la Journée internationale des droits de l'Homme (le 10 décembre), par souci égalitaire (et comme s'ils étaient des parangons de l'égalité et de l'inclusion). En outre, Movember, devrait encore être l'occasion de vous montrer expressifs et solidaires. Je vous invite vivement à célébrer ces dates, afin de sensibiliser et mobiliser quant aux problèmes intrinsèquement masculins que vous connaissez au quotidien et/ou que vos homologues connaissent, et à respecter celles-ci. Si ces journées ne sont toujours pas obsolètes, c'est en toute logique que nous ne sommes pas encore pleinement parvenues à l'égalité en droits et en faits, que nous avons encore à subir des violences -souvent masculines- dans un univers marqué par la dimension systémique du patriarcat.
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Les suffragettes se servaient de bombes, ceci dit, il n’y a jamais eu ni blessés ni morts. C’est toujours truculent de voir opposer un féminisme plus ancien, sous entendu plus respectable, à un féminisme nouveau, soi-disant terroriste. Au temps des suffragettes, vous auriez été des premiers à bêler et certainement des premiers à vouloir faire perdurer l’inégalité en droits. A contrario, les antiféministes ont commis de nombreux crimes, dont certains sont définis comme des actes terroristes. Il n’est pas question ici d’émettre de réserve, davantage de faire état d’un masculinisme crasse. E.Zemmour est foncièrement idiot et très mauvais stratège. Alors qu’il se plaint d’être attaqué quant à des écrits du passé, concernant les femmes, il n’a de cesse de faire dans la caricature misogyne, sur les plateaux télé. Ce n’est pas comme cela qu’il parviendra à glaner des voix féminines.
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Les viols n’ont rien de risible.
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Je n’ai pas suivi votre conversation. Mais curieusement je ne leur souhaite pas non plus de mourir. Personne ne devrait mourir pour un bout de terre. Un bon coup là où je pense. Je n’ai rien contre les barbes sinon. Cela a son charme lorsque c’est bien entretenu. Enfin cela dépend aussi des traits, cela ne va pas à tous les hommes. Eux font carrément flipper.
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Je plains tout homme et toute femme qui se trouvera sur la route de soldats tchétchènes.
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S’ils ont à partir sur les chemins, sur le front, c’est parce que d’autres hommes les y ont menés, voire enjoints. La guerre est l’exemple le plus évident du coût de la virilité. Des millions d’hommes ont aussi souffert tout au long de l’Histoire, bien sûr. Les hommes « dehors » avec toutes les responsabilités militaires, économiques, politiques tandis que les femmes, asservies, restent « dedans » près des fourneaux et des berceaux. Ce coût viril, c’est un rétrécissement émotionnel et intellectuel, l’appauvrissement de la vie quotidienne et une mortalité plus violente et plus précoce (dans un pays en guerre). Finalement, cette virilité-là c’est un fardeau, pour tout le monde.
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Le monde appartient aux utopistes. Je ne me résoudrai jamais aux rapports de domination/soumission. Nous sommes toutes ouïe, quels sont les problèmes des hommes ? Et que pouvons-nous faire pour les solutionner ? Ton analogie est inadéquate. Le féminisme ne tue pas, à la différence de l’anti-féminisme, et de l’un de ses bras armés (le catholicisme). Le féminisme est éminemment pacifique et alors qu’avec toutes les humiliations et toutes les violences que les femmes ont subi au travers les siècles, elles auraient pu ressembler à leurs oppresseurs. C’est dans nos habitus d’être pacifiques, nous avons été éduquées comme cela.
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Si, il y a bien un projet : la paix, l’harmonie. Tu pourras choisir de montrer tes sentiments, ta sensibilité. Et moi choisir de ne pas le faire. Il n’y a pas de raison pour que l’immense majorité de la population ait à souffrir de la tyrannie de quelques uns. Il n’y a jamais eu de raison valable à cela, en réalité. Alors que nous nous débarrassons peu à peu de l’emprise des religions, il est grand temps de passer à une égalité de droits à une égalité de faits, pour les femmes.
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Alors détruisons les vestiges de cette société patriarcale ensemble.