Mórrígan

Ce n’est pas un débat sur le shampooing et vous êtes intellectuellement inintéressante. Allez troller ailleurs si j’y suis.

Ah non, ce n’est pas physique pour moi, surtout « langagier » (« Allez papa, allez maman ») et il y avait un truc dans sa gestuelle qui me dérangeait à l'époque de Top Chef. « L’épreuve de dégustation à l’aveugle » a fini par me dégoûter définitivement. Je regarderai quand même à l’occasion, au moins pour voir de quoi on parle.

Un psychologue ou psychiatre au besoin (pas « psy » tout court c’est un terme trop fourre-tout pour tout un tas de formations non diplomantes), pourra déjà mettre un doigt sur ce qui ne va pas, ce à quoi vous n’auriez pas pensé, faire un diagnostic. Il existe différentes méthodes d’analyse ou de moyens appris lors d’un cursus universitaire où des méthodes variées sont enseignées, et au moyen de stages. Son but est d´ameliorer votre état psychique, votre quotidien, et/ou votre santé mentale. Un psychiatre, qui lui est médecin, pourra vous délivrer une aide médicamenteuse si c’est absolument nécessaire. Vous conviendrez que cela tient un peu plus la route que deux ou trois conseils balancés par des intervenants bienveillants ou non, sur un forum. C’est un vrai métier, que vous, vous ressentiez le besoin de consulter ou non.

Consulter, vous devriez.

Absolument pas. Ça ne dépend pas. La psychologie est un vrai domaine, offrant de vrais métiers après cursus universitaire et validés par un diplôme d’état. Vous risquez de faire plus de mal qu’autre chose, même en voulant bien faire. Et vous n’en savez rien.

Justement chacun y va de son petit conseil en pensant bien faire certes, quand il ne s´agit pas complètement de psychologie de PMU. Le meilleur des conseils que l’on puisse lui donner est de s´orienter vers un professionnel, psychologue ou psychiatre.

Vous devriez peut-être y songer sérieusement, vous n’en êtes pas à votre première dépression. Le discours d’un professionnel pourrait sans doute vous aider à comprendre et aller de l’avant. Le dessin permet peut-être de vous évader, d'échapper aux réalités de la vie, de vous mettre dans une bulle...mais ce ne sera jamais suffisant, mais je pense que vous le savez déjà.

Vous ne tenez pas compte de l’avis du comité d’éthique puisque jusqu’à preuve du contraire, il est toujours contre, et vous, vous êtes exprimé largement pour la GPA. Vous vous rangez plutôt derrière ces états généraux de la bioéthique dans l’espoir qu’une décision soit prise allant en faveur de la GPA. C’est nettement différent. Un acte de générosité et d’amour ? Incroyable, vous êtes totalement gouroutisé. Je ne suis ni pour ni contre le mariage pour tous par essence, je n’en ai cure tout simplement, et beaucoup d’intéressés également puisqu’ils trouvent l’institution du mariage totalement poussiéreuses. Ils font comme avant SCI, assurances vie & co. Ce qui est dérangeant, c’est que la circulaire Taubira, visant à aider les couples hétérosexuels ou homosexuels, plus ou riches, à créer un enfant sur mesure, a été vendue avec.

Il n’y a pas qu’un âne qui s’appelle Martin. Thierry de son petit nom, c’est aussi un chef très humain qui a œuvré auprès des prisonniers afin de leur offrir une formation, et auprès de chômeurs (formation Steetfood).

Ce n’est pas tant qu’elle est complexe, vous limitez les intervenants en ne leur offrant que 2 possibilités afin de définir le socle de « l’amour homme-femme », et vous les orientez vers une vision, qui est la vôtre : spiritualité vs sensualité. Je vous l’ai écrit ce qui les retiendrait, en partie, une piètre estime de soi, mais aussi l’impression de ne pas avoir d’autres choix ou d’autres issues (dépendance financière, aucun soutien familial ou amical), la peur de se retrouver seule, l’envie ou l’espoir de sauver l’autre de lui-même (liste non exhaustive), parfois un mélange de tout cela.

Bonjour et bienvenue. L'écriture peut être thérapeutique, parfois, oui, mais cela ne suffit généralement pas. Êtes-vous suivi ?

Il est trop compliqué de répondre à votre question tant il y a de facteurs et de variantes et n’y a pas de recette entre toutes. Pour répondre à celle-ci : Non, elles n’aiment pas toujours toutes le sensuel. Elles se font parfois piéger par des hommes qui semblaient doux et les comprendre au départ. Certaines souffrent d’un complexe d’infériorité et se disent qu’elles ne méritent que cela. D’autres, que tous les hommes sont pareils. Parfois cela vient du l’éducation et etc...

Non si je voulais faire du contre, je me taperais sur le ventre en gratifiant joyeusement d’autres mouvements extrêmes. Là il s’agit de factuel, pas de guignoleries, et par ailleurs, vous n’êtes pas seul sur ce fil ni sur ce forum, ce que vous trouvez inutile peut intéresser quelqu’un d’autre. Je conçois tout à fait que beaucoup ne s’intéressent absolument pas à la cause féminine ou au encore à l’enfant, comme c’est votre cas, tout comme la cause homosexuelle ne m’intéresse plutôt pas. À chacun sa croix.

Et ils restent consultatifs/n’ont donc aucune vraie autorité. Nous nous dirigeons vers une GPA mieux acceptée, qui donne l’illusion d’être souhaitée par des citoyens se sentant plus ouverts ou plus modernes voire plus tolérants. La réalité est que les autorités ont travaillé en ce sens, sous le règne d’Hollande déjà. La vraie question est de savoir quelles sont leur dessein, leurs intérêts. Ce ne sera jamais une évolution sociétale ni une évolution tout court pour les femmes, ni pour l’enfant, davantage un grand recul, une régression .

Il n’est pas très honnête de brandir les civitas à tout bout champ tant il s’agit d’un sujet sur la GPA. On peut être contre la GPA sans faire de bondieuseries.

La GPA est le premier pas vers l’acceptation. Les autorités ont plutôt bien réussi à manipuler l’opinion publique, et on peut le constater ne serait-ce que sur un forum, à la lecture de ce fil notamment. L’article que j’ai posté souligne ceci : « La Cour ne doit pas se laisser instrumentaliser par ceux qui ne poursuivent qu’un seul but : obtenir la légalisation de la GPA sur notre sol. Une fois toutes les barrières levées, les partisans de la légalisation soutiendront comme ils le font déjà qu’il vaut mieux organiser la GPA en France pour mieux la contrôler. Faut-il rappeler que les requérants sont fondateurs et dirigeants de l’association C.L.A.R.A., que l’agence commerciale de mères porteuses Extraordinary Conception dit sponsoriser (cette agence pratique le choix du sexe de l’enfant à naître comme une option possible, chiffrée 4.000 dollars), dont l’objet principal est d’obtenir la légalisation de cette pratique ? ».

L’émission où il est question de cuisiniers du dimanche qui se prennent pour les meilleurs chefs du monde, où les proches font appel à lui parce qu’ils en ont ras le bol de manger des trucs bizarres ? Dans Top Chef, il avait l’air prometteur, après ce sont sa personnalité et sa façon d’être qui sont rebutantes à mon goût. J’ai été déçue de ce qu’il propose à la carte de son restaurant aussi, c’est sans plus.

De la servitude... Beaucoup d’espoirs. Peu d’élus. Comme ailleurs. Quand il y a un grand chef, toute une brigade vit dans son ombre. Les plus doués ou les plus indépendants prennent leur envol afin de se faire un nom, quelques uns y arrivent. Les télé-réalités culinaires sont de bons tremplins de nos jours.

Vous ne pouvez pas comparer de la cuisine ménagère à de la haute gastronomie. C’est tout aussi impensable que de dire qu’avec un thermomix, on fait de la grande cuisine. C’est un métier et un travail de recherche et de remise en question constante, qui demande technique et savoir-faire, et il faut s’y consacrer pleinement. N.B : beaucoup de chefs surfent sur la vague du végétarisme (Robuchon, Marx, Ducasse fût un temps etc...).

Il serait malhonnête de cantonner Bocuse à son poste de cuisinier du roy, ou de n’écrire qu’il n’a fait que de l’adaptation. Toutes les générations de chefs apprennent de leurs pairs par transmission -ou presque- et développent ensuite leur propre cuisine. Les autodidactes manquent souvent de technique, de rigueur et/ou de constance. On peut ne pas aimer l’homme, ni être sensible à sa cuisine (c’est aussi mon cas, lui préférant la table d’Anne-Sophie Pic, de Thierry Marx ou encore Yannick Alléno, pour les plus médiatiques), il reste l’un des meilleurs ambassadeurs de la gastronomie française à l’étranger comme cela a été souligné plus haut, il est aussi à l’intitiave du col bleu/blanc/rouge des MOF, il était à la tête d’un empire culinaire, et son nom reste synonyme d’excellence, à l’instar de Ducasse, entre autres choses. Je ne suis pas fan de la cuisine de Gagnaire, pour exemple, même si je lui reconnais une certaine justesse dans les associations, et une certaine renommée. Trop classique, malgré un dessert intéressant à la fois « tourbé » et acidulé (mais pas à mon goût). Tout est question de palais, et en dépit de cela on peut être objectif. Nous avons effectivement la chance d’avoir en France, beaucoup de chefs qui méritent le déplacement. Le classement en étoiles, les « tables remarquables » sont de bons indicateurs d’une table de qualité. Il y a quelques bonnes surpises aussi en « relais et châteaux ». Pour le reste, c’est un peu au petit bonheur la chance, grâce à la presse, ou au bouche à oreille, voire au moyen de quelques outils genre Tripadvisor si l’on sait discerner le vrai du faux (c’est souvent foireux). Je constate que le classement en étoiles s’avère souvent juste, ou adapté à mon palais du moins. Il m’est arrivé de noter qu’un étoilé manquait de régularité, ne serait-ce qu’en terme d’assaisonne ment (la base) ou d’association des produits, plusieurs fois, et constater que l´année suivante il a perdu une étoile...ou à l’inverse noter qu’une table mériterait d’être étoilée, revenir quelques temps après et constater qu’elle a effectivement gagner son étoile. La troisième étoile est attribuée -et si c’est encore juste- sur des données plus globales, ou plus environnementales : pour un parking trop petit, certains n’auront jamais accès à la 3ème étoile alors qu’ils le mériteraient et de loin.

« Ose penser par toi-même ! ». Non, jamais de la vie. Je préfère encore être brûlée. Je pourrais ainsi, par le futur, être canonisée. (Je n’ai pas lu ce roman et en ai trouvé un résumé : il y a un air de Bienvenue à Gattaca, non ?)