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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Il m'apparaît hors de propos de parler d'un féminisme qui se serait radicalisé, comme si toutes les femmes étaient au diapason. Ce serait chouette vu d'un certain angle de vue, mais non. Le féminisme n'est pas fait d'un seul bloc. Au sein de tout mouvement aussi hétéroclite soit-il, certains éléments sont plus "convaincus" que d'autres. Il s'agit de parler d'activistes. Résumer ensuite le féminisme aux Femens ou aux chiennes de gardes par exemple, serait complètement insensé, puisqu'encore une fois, ce n'est pas que cela. Que ce soit bien clair, les hommes violents sont seuls responsables. Il n'est pas question de les dédouaner. Nous pouvons chercher à comprendre pour prévenir, encore, déjouer. Il est hors de question de tenir les victimes pour responsables (ce que vous avez tendance à faire trop souvent tant il s'agit de femmes, de femmes qui s'orienteraient vers les machos et bla bla bla). Rien n'autorise de telles violences, perpétuées le plus clair du temps, par les hommes. Aucune d'entre nous n'échappe vraiment à la violence. Qu'on l'ait vécue dans sa chair ou qu'on ait vu sa mère, sa tante, une soeur, une amie ou une voisine la subir. Dans un pays tel que la France, pourtant, ceci ne devrait être. Ce que je constate, à mon tour, c'est que celles qui s'en sortent le moins bien, sont celles qui ne sont pas entendues et soutenues, celles qui sont isolées et quel que soit le milieu socio-culturel. Si votre discours envers les femmes était correct, alors il n'y aurait aucune raison pour que des femmes ici, vous reprennent constamment. Soit vous êtes trop prompt au victim blaming (à l'endroit des femmes, toujours) soit vous vous exprimez avec maladresse. Dans tous les cas, il y a un couac.
  2. Bonjour Prométhée_Hadès, révérence, Contente de te lire. Y a pas de 'blème, j'ai bien saisi le trait d'humour.
  3. La race canine... vous vous en réclamez lisiblement.
  4. L'appât du gain. Est-ce que le chef d'État en question a consulté le peuple avant de faire exécuter son homologue ? Est-ce que le peuple était d'accord avec cela ? A t-il voté pour cela ? Même chose quand Hollande a équipé les "rebelles" syriens... est-ce que nous voulions cela ?
  5. Ah mais oui tout à fait... chez les chiens.
  6. Tout dépend si le condamné est exécuté avec un couteau à beurre ou bien l'injonction létale. La seconde méthode est usitée dans les États dits les plus civilisés (États-Unis) et là ça devient un luxe que d'exécuter. Certains de ces États se ruinent pour mettre un terme à la vie. Certains en sont au moratoire et d'autant que des innocents ont été exécutés (oups). Quand il est exécuté avec un couteau à beurre, il est à supposer que prier sauvera les âmes des bourreaux. Il s'agit là du Coran, mais n'y a t-il pas un équivalent de "Tu ne tueras point" ?
  7. Croisée récemment dans une série... Ça m'a rappelé que mère-grand l'écoutait toujours. Elle ne veut plus sortir de ma tête maintenant.
  8. Tant de monstruosités... Que ces hommes soient amenés à faire de la prison, avec une peine de sûreté (un cumul des peines) afin de ne pas en sortir, puisqu'ils sont dangereux pour la société, puisque se sont des barbares avérés, d'accord... mais perpétuer ces barbaries en les condamnant en retour à mort, c'est juste impensable en 2019. C'est tellement archaïque.
  9. Adaline, incarnée par la sublime Blake Lively, vu il y a quelques temps et en effet, l'amour au cinéma quand c'est bien fait c'est vraiment sympa <3 Le côté SF apporte. Vu récemment, et très fidèle à mes souvenirs d'enfant. Ça chante, ça chante et ça chante encore :
  10. Ce sont des femmes qui ont pris des positions fortes en faveur des femmes, comme la plupart des féministes. Vous voyez que tout n'est pas bon à jeter. Aussi dingue que cela puisse paraître ces femmes peuvent non pas être admirées mais détestées par d'autres femmes, que le commun nommera aussi de féministes (puritaines). L'histoire des droits des femmes et assez récente au regard de celle de l'humanité. La dépénalisation de l'avortement a été votée en 1974. Cela pourrait vous paraître tard (à moi aussi). Nombre de figures féminines connues, dont celles susmentionnées, dont Simone de Beauvoir ont adhéré au MLF -Mouvement de libération des femmes, soixantuitard- afin de faire bouger les lignes en ce qui concerne la libre disposition du corps des femmes. Il est difficile d'adhérer à tout, même en tant que femme -j'en conviens- tant les différentes idées de ce mouvement hétéroclite et encore jeune, peuvent s'affronter. Si des femmes se retrouvent dans certaines idées, c'est qu'elles ne sont pas vaines pour tout le monde. Quand je vois des tribunes féministes écrites contre d'autres féministes, je me dis que le patriarcat peut dormir tranquille. Les violences conjugales sont en -grande- partie culturelles, et il sera possible d'y remédier, en les condamnant fermement et unanimement, en étant proactifs aussi. Il y a une tolérance culturelle et législative en ce qui concerne les violences conjugales, transmises de génération en génération. Ce gouvernement a annoncé qu'il ferait ce qu'il faut en début de mandat, à partir de là il n'a pas droit à l'erreur. Je ne connais pas de violence au sein d'un couple où l'homme n'est pas persuadé avoir les pleins pouvoirs, les pleins droits sur sa conjointe et encore arguer que c'est elle qui pousse à bout. C'est à vomir. Je ne suis pas pro PMA, non pas parce qu'elle pousserait les femmes à ne plus fréquenter les hommes. Les hommes et les femmes se sont toujours fréquentés et si vous regardez un peu ce qui se passe au dehors, vous constaterez qu'ils s'entendent toujours plutôt bien. Davantage puisqu'il s'agit de créer de l'humain (sur mesures) alors que nous sommes déjà trop (c'est irresponsable). Il s'agit de vendre de l'humain, ce qui est insoutenable, tout en profitant de la pauvreté des uns et des autres. Dans cette optique, je suis aussi contre la GPA. L'argument qui défend la légalisation la PMA puisque les femmes se font déjà inséminer en Europe, est finalement un aveu d'échec. Bon ce n'est pas le sujet. Il est plutôt facile de vous exciter vous. L'antagonisme impuissant/puissant s'inscrit parfaitement dans le sujet. Que vous ayez fait partie d'une association en faveur des femmes, et alors qu'à vous lire ici déjà quelques temps vous ne cessez de vous plaindre avec effusion des femmes, est plutôt flippant. Cela laisserait à penser que ces associations acceptent vraiment n'importe qui.
  11. Tout de suite, les mots qui fâchent. Au contraire, il est plutôt honorable de se réclamer français ou d'être si fiers de sa nationalité (française) que les origines et la confession religieuse viennent en second. C'est un bel exemple d'esprit civique. Quel intérêt de porter sa religion en guirlande ? La foi se doit avant toute chose d'être personnelle.
  12. Oh mon... dieu ! La société a évolué très lentement pour les femmes. Nos droits ont été accordés sur le tard, bien après ceux des hommes (droit de vote en 1944, c'était "hier"), tant et si bien qu'une mentalité sexiste, misogyne a eu tout le loisir de bien s'ancrer. Ces droits et libertés accordées très tardivement n'ont de cesse que d'être fragilisés, remis sans cesse en cause, souvent par -je vous le donne en mille- les croyants extrémistes. Olympe de Gouge, Simone Veil, Yvette Roudy, Simone Iff... Autant de féministes qui ont oeuvré pour les droits et libertés des femmes. Libre à vous de les considérer comme des enquiquineuses ou des religieuses. Les causes qu'elles ont défendues ont été nécessaires, vitales même oserais-je écrire, pour les femmes et l'avancée de la société plus en général. Elles le restent. L'avancée de la société sur d'autres plans (les nouvelles technologies notamment) en amènent également de nouvelles. Bien des causes féminines sont légitimes. Si elles ne vous intéressent pas ou si vous ne vous sentez concerné, solidaire, vous pouvez vous retirer avec bienveillance et laisser les dames oeuvrer. Mais... ne venez pas nous saper ou vous plaindre, parce que vous trouverez toujours une réponse. L'homme puissant/impuissant est un antagonisme, tout simplement. Remplacez par l'homme serein ou sûr de lui, si vous préférez.
  13. Quatre femmes en 2019, ah il y a vraiment de quoi sauter au plafond. C'est que tchi ou tout autant que d'imams et encore de prêtres autoproclamées. INRI "Iesvs Nazarenvs Rex Ivdaeorvm" généralement traduit par "Jésus le Nazaréen, roi des Juifs". Il s'agit aussi de parler de judéo-christianisme. Vos ardeurs à vouloir faire passer le judaïsme pour moderne au regard du christianisme alors qu'ils sont tous deux de même essence, sont vraiment ridicules. Ils ont aussi en commun l'Ancien Testament semblerait-il. Je vous l'ai déjà écrit : ces 3 religions monothéistes se valent. Au sujet des femmes, il n'y en a pas une pour relever l'autre. Les croyants les plus avertis ont en tête ce phallocentrisme et s'en désolidarisent, peut-être ont-ils aussi à coeur de vivre en 2019. Déjà un diminutif... et n'imaginez pas trop, coquin. Vous faites des rébus ? ^.^
  14. Pas plus pas moins que quand vous ne saisissez l’ironie d’un message. Sans rancune.
  15. Comme la plupart de vos compatriotes français, étant donné que la France a pour bâti le catholicisme... pour le meilleur et pour le pire. Il est vrai que vous ne pouvez vous retrouver pleinement dans aucune tendance, femme à quéquette que vous êtes. Revissez votre monocle et laissez de côté vos jupons (pour l’amour de Dieu !). Au plaisir. NB : Il doit être passionnant @Hellspawnpour que vous ne puissiez vous empêcher d’y faire référence ou le citer . Un petit béguin « madame-monsieur » ?
  16. La religion a été un outil de contrôle, de domination, au fil des siècles. Domination des religieux sur le peuple d'abord, manipulation des chefs. Domination des hommes sur les femmes, ensuite. La tradition judéo-chrétienne a fini par considérer la Femme, seule fautive du péché originel. Le port du voile est préconisé et alors qu'il ne s'agit pourtant pas d'une prescription religieuse. De même que les mariages forcés ou l'excision n'ont rien à voir finalement avec la religion. Il suffit de confronter le statut de la Femme tel qu'il ressort des textes "sacrés" des 3 religions monothéistes, aux situations antérieures et actuelle et de voir comment des hommes ont pu asseoir leur domination sur les femmes. Comme si finalement ils voulaient s'accaparer la relation à Dieu. Il n'y a pas plus de femmes prêtres que rabbins et encore imams. Les femmes sont subalternes, à l'exemples des soeurs. Seul un point de vue masculin est développé. Résultat, c'est comme si la moitié de l'histoire nous manquait. On entend aussi dire que les hommes ne sont pas des êtres compliqués et c'est d'ailleurs l'idée qu'en général ils veulent entretenir d'eux-mêmes, persuadés qu'elle correspond à une réalité objective. Leurs buts leur paraissent aussi simples et évidents. Possible qu'ils se pensent limpides étant donné qu'il ne s'embarrassent pas de leurs émotions (puisqu'ils pensent les maîtriser). Être homme irait alors de soi. Les hommes sont habitués à taire leurs souffrances personnelles et intérieures, il leur est difficile de manifester leurs émotions et leur sentiments, de l'empathie, tant ils sont barricadés psychiquement parlant, la virilité les obligeant. Leur malaise peut s'exprimer dans leur corps (impuissance effectivement, burnout etc...). Les assignations de genre traditionnels sont profondément ancrées dans la société. Malgré l'avancée de la cause féminine, nous sommes fortement dirigés encore par un état d'esprit patriarcal. C'est particulièrement vrai pour tout ce qui touche à la petite enfance et à l'éducation, aux finances... Ces rôles pèsent lourdement sur les mariages et les relations de couple. L'impuissance s'exprime aussi à mon sens, pleinement par ce besoin de contrôle, de possession, d'ascendance, de pouvoir incessants sur les femmes. Il s'agit en conséquence d'empêcher les femmes de réaliser leur plein potentiel, jalousement. Nous pourrions voir cela comme une peur, un aveu d'impuissance. Les femmes sont capables de tant de choses, et alors que des hommes se sont appliqués à leur faire croire le contraire. Travail de sape séculaire. L'homme puissant n'a pas peur de la Femme, pas même qu'elle soit libre. Il ne la considère pas comme une menace, comme l'ennemie, mais davantage comme son pendant, son égale... puisqu'il la respecte. S'il est fort, c'est une force tranquille dont il n'a nullement besoin de se réclamer. Il accepte ainsi la discussion, la sensibilité qui peut être différente, le point de vue qui en découle, la remise en question parfois, tout ceci menant à une synergie. Je vous trouve aussi perspicace, que pertinent yaplu'
  17. Après les poils sous les aisselles et les croisades, voilà le marxisme... Je m’interroge : pouvez-vous faire encore plus primaire ? N’en avez-vous donc pas assez de gesticuler ainsi sous mes yeux ? Vous me souhaitiez, il y a quelques temps, une bonne continuation, après un désaccord au sujet d’une série à succès. Après plusieurs sollicitations de votre part (conservateur finalement), que j’ai préféré souvent laisser sans réponse -tant c’était intelligent- vous m’écrivez aujourd’hui, en cette place, de vous bloquer. Comme vous êtes versatile ! La faute à votre anima sans nul doute... Note : pour le shoot d’adrénaline, essayez donc le parapente ou le MMA. Effet garanti *clin d’œil* Absolument et c’est assez réciproque pour les « femmes de caractère ayant une éthique », il y a intérêt à trouver son autre. Les personnalités écrasantes, sans relief, finalement indigentes ont par contre un besoin récurrent de domination sur leur conjoint(e). Nous pouvons reconnaître l’altérité sans pour autant la valoriser à l’excès (seul(e)s les hystériques ont tendance à faire cela).
  18. Soirée télé, envie d’une chirashi... et d’un verre de blanc moelleux aussi.
  19. Écrit-il la Bible fichée sous son aisselle transpirante... Note : Ne vous permettez plus.
  20. Pas de bol, Jesus aurait des soucis d'érection.
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