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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Mórrígan

    Le défi lecture 2020

    Celui-ci remplit les conditions des défis 2 et 4 : Pas sûre de l’avoir fini sur janvier toutefois. C’est un pavé.
  2. Mórrígan

    Censurer l ' humain

    Diktat des minorités.
  3. Mórrígan

    Censurer l ' humain

    Il y a trop de laxisme à l'endroit des religieux prosélytes. Sous prétexte de liberté d'expression, nous les laissons mener à bien leurs manigances nauséabondes. Ce prosélytisme demande à être encadré précautionneusement, juridiquement. En réalité, ils sont trop envahissants. Leurs libertés entravent celles des autres. Personne -mis à part ces pots de chambre- n'a envie de tomber sur ces affiches dans le métro. Qu'ils les placardent à l'entrée de leurs lieux de culte ! Celles-ci n'ont rien à faire dans l'espace public.
  4. Les gigantesques incendies qui ravagent le sud-est de l'Australie depuis septembre auraient entraîné la mort de 480 millions d'animaux (mammifères, oiseaux et reptiles) dans un seul État, selon une étude de l'Université de Sydney. Ce chiffre a été calculé par Christopher Dickman, chercheur en écologie, et son équipe. Mais il a été revu à la hausse ce lundi 6 janvier. https://www.lefigaro.fr/flash-actu/incendies-en-australie-un-milliard-d-animaux-pourraient-disparaitre-20200106
  5. Gnagnagna. Il m’arrive de faire pire ceci dit, sans crier gare, avec mon serre-tête et mes souliers vernis. Une tronçonneuse ? Tu m’inquiètes. Décidément cette signature te chamboule. Je vais te soulager. Pas à ma connaissance... mais diable (!) ce que vous êtes soporifique.
  6. Je connais un directeur "de mon zob" mais zof, jamais entendu parler auparavant. Les enseignes du forum pour promouvoir vos sujets inintéressants ne suffisent plus au point que vous vous sentiez dans l'obligation de vous conduire en indésirable représentant et ainsi de me coller tel un herpès vaginal ou encore un clandestin face à la frontière mexicaine ? En France, nous avons accès au savoir et aux soins, gratuitement. Nous sommes de ces générations qui ont étudié la philosophie depuis la seconde, au lycée. Les bases, nous les avons. La philosophie n'est pas plus élitiste, que sacrée. Elle n'est pas réservée à une caste. Elle n'exclue rien ni personne, aujourd'hui. Elle se veut ouverte. Et, si nous ne sommes pas scolaires, il est aisé de s'informer. Aujourd'hui plus que jamais (bibliothèque toujours, mais aussi internet). Il n'est jamais trop tard pour s'intéresser. Je crois assez que nous avons tous quelque chose à dire et même formulé de façon très simple (si les phrases alambiquées sont repoussoir ou hors de portée), une question même basique peut mener à la réflexion, collective. En ce qui concerne la philosophie d'il y a trop loin, j'aurais tendance à la considérer surtout comme une mémoire, voire un support à la réflexion plutôt qu'une béquille ou vérité absolue. Elle renseigne. Tout comme l'art est aussi mémoire : il nous informe à travers la sculpture, la peinture quant aux canons esthétiques, aux tâches quotidiennes et aux moeurs d'autrefois notamment. C'est ce qu'il nous reste. Je suis plutôt en désaccord avec ces philosophes sans nom propre ou aptonymes, au sujet de tout ce qui touche au sociétal ou aux rapports entre humains, précisément. Sans doute puisque le contexte, nos vies n'ont rien à voir. Ces époques, ces sociétés étaient aussi violentes qu'inégalitaires. Il me paraîtrait improbable de les envisager comme paroles d'évangiles et transposer à ce que nous vivons actuellement. Il y a un décalage. Un fossé. Un gouffre. Le gouffre de Helm.
  7. Voyez cela avec bo(n)bonne. Je ne suis pas votre gonz’.
  8. Vous êtes encore là le censeur fou ? N’oubliez pas d’éteindre la lumière en sortant... et d’aller chercher le pain aussi. Hop, hop, hop.
  9. Le body-positive mais pourquoi pas ? Cela semble à première vue, bienveillant. Ça dépend ensuite de ce que l’on en fait *clin d’œil* Au sujet du sujet, je me garderais bien d’affirmer ou d’infirmer qui est autorisé à philosopher ou non. Ce serait un brin prétentieux. Et qui plus est, sur un forum, l’objectif est quand même bien d’échanger.
  10. Mórrígan

    Censurer l ' humain

    Je fais « migrer » ton post lu sur l’autre sujet afin d’y répondre ci-après : Donc Quasimodo a dit : « Quand on constate qu'il y a une hausse ces derniers temps des femmes qui ont recours à leur 3ème ou 4ème IVG (en lieu et place d'une contraception donc) on peut s'interroger à juste titre sur le fait que l'esprit de la loi Veil ait été détourné. La loi pour l'avortement visait avant tout à éviter aux femmes de mourir dans des centres clandestins d'IVG. Il est important de respecter la vie sous toutes ses formes, cela doit faire partie de la sensibilité et de l'éducation de tout être humain. Je ne vois rien de particulièrement choquant ce n'est pas comme si leur militantisme dénonçait ouvertement l'IVG ou la PMA (qui provoque également une hausse significative de nombreuses maladies de l'enfant dont des cancers graves). » Nous pourrions sans aucun doute éviter une partie de ces IVG si les gynécologues français acceptaient de prescrire plus facilement, et plus tôt surtout, un stérilet à leurs patientes. Les gynécologues de par le monde ne sont pas si frileux. Force est de constater que notre politique est toujours très nataliste. Nous comptons sur ces « accidents » afin de faire grimper notre taux de natalité. On parle souvent de la multiplication des IVG ; des femmes gardent aussi l’enfant, énormément, bouleversant ainsi leur vie, leurs projets, leurs rêves. Ces bouleversements sont moins effectifs chez les hommes... Le stérilet n’est pas non plus 100% fiable, il écarte néanmoins tout risque d’oubli. Les prises de la pilule à des heures irrégulières annulent également son effet. Elle demande une grande rigueur. Sans compter la maladie, qui peut amener à rejeter la pilule (la gastro-entérine notamment). Les cours de biologie, en ce qui concerne la reproduction restent aussi très succincts. Les parents ne prennent pas toujours le temps pour leurs enfants et certains sujets sont gênants. Nous vivons dans une société hyper sexualisée et paradoxalement il y a de moins en moins d’information, de dialogue. Des alternatives et des opinions différentes ? À la bonne heure ! Une propagande anti-avortement dans les couloirs du métro, ça passe moyen. Si les bigotes bannissent l’avortement à titre personnel et selon la volonté d’une autorité religieuse, sacrée, cela n’engage qu’elles. Quant à vouloir influencer les autres, et but ultime criminaliser les femmes qui ont recours à l’IVG, le faire interdire, ça ne passe pas du tout. Qu’ils aillent se faire pendre.
  11. Il y a fort à parier, que si cet homme était maghrébin et non japonais, cela amènerait bien des intervenants à l’empathie à l’endroit de cette femme. Et pourtant les japonais sont bien arriérés également. Ah c’est vrai on écrit plutôt benoîtement qu’ils sont « patriarcaux », « traditionalistes ». Pardon, pardon, pardon, je ne le ferais plus. C’est promis. Le meilleur compromis pour moi, c’est déjà d’éviter d’arracher un enfant à sa mère, comme cela a été le cas ici, pour commencer. C’est extrêmement violent. Note : ce serait donc l’arrivée d’un beau-parent (parce qu’il ne sait rester à sa place ?), qui serait à l’origine du mal-être d’un enfant et non vraiment la séparation des parents ? Vous la prenez à l’envers : aimer ne veut pas dire être forcément amoureux et nous pourrions considérer cela comme un problème effectivement, surtout quand il y a des enfants dans l’équation.
  12. Eh ben, voilà encore autre chose ! Sans parler de consommation de l’être humain, certains individus sont plutôt...délétères. Ils sont pourtant persuadés d’être de grands amoureux. Est-ce plus clair là ?
  13. Certains ont une vision de l’amour bien dégradée, ils déclarent aimer pourtant. LE RESPECT (pour les binoclards).
  14. La domination des uns et des autres n’est jamais bonne pour personne. Le respect est clé de toute relation pérenne.
  15. Ce qui est à craindre en Australie, c’est l’extinction d’espèces endémiques (les koalas notamment), en plus du reste. La première grande catastrophe ensuite, ou la plus grave... Je ne sais trop, il y aurait une mètre étalon pour cela aussi ? Tout est grave.
  16. Vos posts au sujet des femmes sont toujours très effrayants et d’autant quand vous écrivez en parallèle avoir été bénévole pour une association de soutien aux femmes victimes. Bonjour les dégâts. Évidemment, l’éloignement de l’enfant n’est pas moins terrible pour des femmes que pour des hommes. Néanmoins, nous savons qu’au Japon le patriarcat est très exacerbé et les violences faites aux femmes n’y sont pas dérangeante, de fait. Cette femme s’est empêtrée dans un sacré bourbier. L’amour fait faire des choses terribles. Isolée, en terres hostiles, il était tout naturel qu’elle revienne parmi les siens, avec son enfant. Nous aurions toutes fait de même. Il ne faut pas nous leurrer. Dans l’idéal les couples s’aiment et restent ensemble pour toute une vie. Les enfants vivent très bien la séparation ou le divorce des parents, tant que le climat n’est pas hostile. Il serait étonnant ensuite que la justice japonaise renvoie ce petit bonhomme auprès de sa mère ou trouve le meilleur compromis, pour l’enfant. Nous savons très bien comment cela va se passer. Cet enfant est perdu.
  17. Qu’est-ce qui vous empêche de répondre à la question ? Cela reste anecdotique. Les femmes qui disent avoir été battues, l’ont souvent été, effectivement. Il a 4 ans, arrache t-on un enfant, si jeune de surcroît, à sa mère ? Et nous n’avons là que la version des journaux.
  18. Cela promet de ne pas être évident mais je vais me challenger afin de me mettre à votre niveau. Il est logique que cette femme ait regagné la France avec son enfant d’une part. De l’autre, qu’elle le défende férocement. Quelle est la valeur de la parole d’une femme au Japon ? L’enfant ne veut pas quitter sa mère.
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