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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Alors déjà vous allez vous calmer quant aux lettres capitales, aux injonctions, quant à votre pseudo-crise d'autoritarisme. La cour aurait estimé que c'était suffisant pour une jeune fille de 16 ans, au regard de la situation. Personnellement, je n'ai ni lu l'article, ni ne connais tous les tenants et aboutissants.
  2. Le côté historique, les paysages et la musique sont les points forts de la série. Les dernières saisons font le focus sur l'esclavagisme, mais aussi sur le manque de moyens d'un médecin à l'époque, et toute la frustration de se voir perdre un patient, "idiotement".
  3. Pour un délit, il y a tout un panel de peines correspondantes, et la cour rend un verdict, espérons-le le plus juste possible. Pour vous, cela ne semble pas assez. La calomnie n'est cependant pas criminelle ou entre dans le cadre du délit. C'est tout. (L'intervention du Raid me semble quelque peu disproportionnée). Dans ces affaires où des hommes n'ont eu aucune relation avec une autre femme, alors en général la conjointe/l'épouse et les enfants restent. Dans ces affaires où des hommes finissent par avouer avoir bien eu une relation charnelle (consentie selon leurs dires), adultérine, alors il arrive que la conjointe/l'épouse le plaque ou demande le divorce, à juste titre.
  4. Je me fiche éperdument qu'ils soient bons ou mauvais. Il faut surtout mener Polanski, vers la prison.
  5. Oui, la saison 4 débute en Louisiane. J'ai préféré les saisons en Écosse. C'est mièvre depuis le début, mais parfois un trop plein de mièvrerie ben ça ravigote. J'ai failli décrocher à la fin de la saison 1. Le final de cette saison a été si bien tourné, sans en montrer trop, que l'on s'imaginait parfaitement la scène. Et puis les bruitages... c'était intenable, insupportable. J'ai pris mon temps pour aller vers la saison 2, de fait.
  6. Je me doute bien. Sincèrement, on lit tellement d'absurdités, d'horreurs, pour justifier l'injustiable, sur ce fil (et ailleurs), que parfois je fais des reset. Pour des individus, les mineur(e)s une fois pubères, sont des partenaires sexuels/consommables comme les autres, même quand ils/elles n'ont que 13 ans. Finkielkraut ne développe pas, mais il laissait aussi entendre quelque chose du genre.
  7. Le cinéma est vérolé par une espèce de mafia qui gravite autour de Polanski (comme elle gravite autour d’autres grands noms du cinéma). Pour mémoire :
  8. Pas définitivement, apparemment : Excusez-moi, j'ai manqué un épisode là... qu'est-ce donc encore que cette nouvelle dégueulasserie ?
  9. En ce qui concerne l'outrance et la mauvaise foi, vous vous posez là. Vous défendez l'homme. Vous ne défendez pas la neutralité, l'indépendance du cinéma et c'est bien là que le bas blesse. Depuis quand, sur Forum.fr, est-ce que l'on exhorte les intervenantes à avouer si elles ont été violées ou non ? Je vous conseille aimablement de redescendre, une fois. Vous avez été violée et je veux bien vous croire. Le viol est ignoble. J'ai de la compassion pour vous -sans prescription, aucune- comme j'en ai pour toutes les victimes de Polanski, comme j'en ai pour toutes les victimes de viol (mais pas que). Toutefois, cela ne vous confère pas le droit de prendre toute la parole, comme je vous ai lue le faire plusieurs fois, avec l'intention manifeste de museler les autres intervenants (pas compris ce que vous racontez dernièrement dans "International" d'ailleurs).
  10. Vous considérez ceci comme une bizarrerie. Personnellement, je considère que 42 jours, pour avoir alcoolisé, drogué et sodomisé une enfant de 13 ans, ce n'est franchement pas assez. Cela tient de la farce. Un vrai conte de fées ! Pourquoi, elle aurait dû lui faire un Colissimo ? Ah oui, des femmes hystériques topless sont à la tête des journaux : moi je dis complot. Complot ! Il n'aurait jamais dû sortir de prison.
  11. Et les fouetter aussi sur la place publique et les tondre, tant que vous y êtes ? La dénonciation calomnieuse est bien entendu grave (c'est un délit). Le viol reste immonde, inexpiable (c'est un crime). Impossible de mettre les deux, sur le même plan (même pas en rêve !). Le délit prévoit des amendes conséquentes, en plus de TIG, et d'emprisonnement, semblerait-il. Au sujet du premier article, je ne suis pas convaincue. La vérité est détenue par les deux principaux intéressés.
  12. C'est la société que je vais laisser à ma nièce, entre autres. Si nous sommes acteurs de cette société, alors nous pouvons la faire évoluer. Est-ce que l'alcool efface la mémoire ? Toujours ? Non, je refuse de faire comme si l'absorption d'alcool balayait du revers la souffrance de cette femme. Il sera sûrement condamné pour vol et violences physiques, d'autant qu'elles ont été bien attestées par le médecin. Mais pour le viol, voir l'homophobie, rien n'est moins sûr.
  13. Plus simple : quelle peine vous aurait semblé plus juste ? Il me semble que je suis dans le sujet et en plus, bonne élève, j'ai tout lu, jusqu'au bout.
  14. Le 1er article date du 20 avril 2016. Je lis l'article et les commentaires et ça ne me paraît pas si simple et sans vouloir me faire l'avocate de la diablesse, vraiment : Une petite nana de 20 ans avec un bon père de famille de 31 ans. Cela m'interpelle, personnellement. Il y a déjà un rapport inégalitaire. Le plaignant évoque un rapport sexuel consenti, alors que la jeune femme est allée porter plainte dans la foulée. Elle évoque des avances du père de famille puis un viol, selon cet article. Qu'est-ce qui pourrait justifier que cette relation consentie selon cet homme, ait été perçue comme un viol pour cette jeune femme ? Si je me renseigne, sur une source valide quant au viol, voici ce que je peux y lire : "Le viol est un acte de pénétration sexuelle commis sur une victime avec violence, contrainte, menace ou surprise (dans ce dernier cas, la victime est trompée par la ruse de l'agresseur). Tout acte de pénétration sexuelle est visé : vaginale, anale ou buccale, notamment par le sexe de l'auteur. Il peut aussi s'agir de pénétrations digitales (avec le doigt) ou au moyen d'un objet. S'il n'y a pas eu pénétration, il s'agit d'un délit d'agression sexuelle. Il n'est pas nécessaire qu'il y ait des violences physiques pour qualifier un acte de viol". https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1526 Les proches de l'homme attestent qu'elle n'a pas été violée. Le peuvent-ils réellement en cas de viol sous la contrainte, la menace, la surprise ? Qu'en savent-ils vraiment ? Lui tenaient-ils le machin ? (pardon, pardon). On assimile traditionnellement le viol aux coups et aux blessures, aux éclats de voix, au fracas. Cela se passe aussi dans des ambiances feutrées, dans des chambres à coucher, sans un bruit et des femmes, des hommes sont dans un état de sidération. C'est compliqué à prouver. Très. Et d'autant seule contre tous. 2016, n'est pas 2020, le grand méchant #MeToo n'était pas encore passé par là. Le second article est en date du 8 avril 2017. Nous n'avons qu'un court extrait de celui-ci, difficile de nous faire une idée. C'est un peu comme regarder le pilote d'une série, et se voir annoncer qu'il n'y aura jamais de saison.
  15. Ces adultes qui ne savent pas dialoguer, c'est vraiment triste. À partir du moment où le coup est porté, c'est fini, c'est perdu.
  16. L'alcool fait tomber les masques. Les forces de l'Ordre sont mieux formées, plus à l'écoute. Je ne sais pas si cela suffit. Reste encore le regard de la société. Quels rôles ? L'article laisse entendre qu'ils ont tous absorbés une certaine quantité d'alcool. L'amie est très certainement entendue par la Justice. "Ça coupe", c'est ce qui s'appelle une débandade. C'est une réaction (psychologique et physiologique) qui semble être répandue. Des individus ne débandent cependant pas, ils insistent même (ça excite aussi les malades), commettant le viol. Pas convaincue du tout quant à "l'invalidation" du viol. Trop simple. Consentir à un rapport sexuel, n'autorise pas à tout y faire. Violer, par exemple, c'est hors de question. Il faut être deux pour faire l'amour, cela me semble logique aussi. Sinon, il existe des "vaginettes", ou "des poupées gonflables" pour se faire du bien. C'est une "histoire toute pourave", d'une grande violence, qui aura fait une victime. À partir du moment où c'est non, et là ça a bien été verbalisé semble t-il, il convient de ranger tout l'attirail et de ne pas insister. Même si on mort de faim. Des hommes (et des femmes) arrivent bien à le faire. Bah non. Je vais aller voir votre sujet. Personnellement, cela me semble clair. Pas courant, mais clair. Tout à fait d'accord avec le passage passé en gras. Quant à la circonstance aggravante, ce sont des dires. Il faut déjà que le crime soit reconnu, avant la circonstance aggravante, et cela ça ne semble pas gagné non plus.
  17. Dans l’espace ? Nous pourrions nous le demander, en effet. Ils fonctionnent comme une mafia.
  18. Bonsoir, Le sujet n’est pas la violence en général commise sur homme ou sur femme. Le sujet traite de cette jeune femme violée, battue, volée. De son orientation sexuelle. Du consentement, dans un spectre plus large. Créez un sujet, je ne doute pas qu’il intéressera.
  19. Saison 5 ! À chaque début de saison, je me demande qui va le plus morfler, cette fois. Il y a aussi de l’amour, beaucoup d’amour. Ça contrebalance. Et la BO est toujours sublime.
  20. Bref, tout individu alcoolisé n’en vient pas à agresser sexuellement, violer, rouer de coups et faire subir des sévices. On surévalue souvent les effets de l’alcool. Il peut être désinhibiteur, il ne change pas un individu. Ce n’est pas désintéressant. C’est une horreur, effectivement. Par contre, ce n’est vraiment pas le sujet.
  21. Deux heures de sévices et de coups... nous ne pouvons même pas imaginer le calvaire qu’elle a enduré. Elle souligne quelque chose d’important également : « Porter plainte pour viol c'est terrible, c'est un combat long et dur qui s'ajoute au viol. Aller au bout de la procédure, supporter cette épreuve en vaut la peine si elle permet de faire passer la justice», dit-elle. Soulignant qu'il «y a tellement peu de femmes qui obtiennent un procès», elle attend que ce qu'elle a vécu «soit reconnu comme un crime».
  22. Samantha Geimer subit un harcèlement médiatique depuis qu’il y a une affaire Polanski. C’est aussi la seule victime que la Justice a eu les moyens de reconnaître. Aujourd’hui c’est une vieille dame. Demander le droit à l’oubli, pour elle, ne semble pas déraisonnable. Je pense que ce sera toujours « la fille » de l’affaire Polanski, malgré tout. D’autant que l’affaire n’est pas close, parce que le coupable a fui. Si l’une des victimes d’un violeur en série demande à ce qu’on l’oublie, doit-on aussi oublier le violeur et ses autres victimes ? Je vais lire son livre, parce que ce qu’elle a à dire, m’intéresse vraiment. Bien sûr, et elle a écrit un livre et fait des interviews. Est-ce qu’Hanouna vaut pour source ? (je plaisante). Les masseuses (et les masseurs aussi) en voient de toutes les couleurs. Plusieurs de mes connaissances exercent ce métier et c’est un manque de respect oui, que d’imposer sa nudité à l’autre, à quel que moment que ce soit. Ceci peut aussi se voir dans une profession comme artiste tatoueur ou dans l’esthétique. Quand il est demandé à un(e)client(e) de se vêtir, cela ne finit souvent pas en dépôt de plainte. Il y a peut-être des faits plus graves, derrière l’exhibitionnisme. Je ne m’offusque pas qu’un(e) humoriste fasse des blagues (je n’écris pas que les blagues de Florence Foresti sont toutes bonnes). Elle fait son métier. Après c’est une humoriste engagée, et cela peut déplaire oui. Comme nous tous, elle est libre de s’exprimer. Nous sommes libres de ne pas l’écouter. J’écris avec authenticité et ne me mets pas de pare-feu. Désolée si je peux parfois choquer ou décevoir. Je ne mets pas non plus la pression. L’affaire Polanski date des années 70, ne pensez-vous pas que les juges se sont succédés depuis ? Des arguments comme la lubie, la jalousie ou le tremplin pour un juge ne tiennent pas, à mon avis. Son passeport lui a été remis, et c’est un couac. Possible que le juge de l’époque ait eu un coup de pression alors que la peine déjà misérable, ait été ramenée à 42 jours. Nous avons tous l’intuition que Justice ne sera jamais rendue le concernant. Si l’affaire Polanski échaude les médias, les artistes et divise tant, c’est aussi parce la Justice n’a pas la possibilité de clore ce dossier. Parce qu’il n’y a pas une seule victime, également. Je ne saurais vous dire, je ne regarde pas Hanouna (vous voilà sauvé !). J’entends parler de ses dérapages, toutefois ou de la pauvreté du contenu qu’il propose.
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