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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Mais ne vous justifiez pas mon bon DDR. Vous n’êtes pas factuel, puisque vous interprétez à l’aune de vos considérations humaines. Vous faites ni plus ni moins que de l’anthropomorphisme. Le pingouin vole et vit dans l’hémisphère Nord. Le manchot nage et vit dans l’hémisphère Sud. Donc si le léopard de mer arrive à manger un pingouin 1/c’est qu’il vole bien 2/ c’est que votre père est un danois (je parle du chien). Cf juste au-dessus. Bisous, bisous.
  2. Il n’y autant pas d’homosexualité chez le pingouin que chez le manchot. Ce que vous interprétez comme de l’homosexualité n’est ni plus ni moins ce que l’on nomme une monte soumission, afin de régler des conflits ou d’imposer sa position au sein du groupe. Il n’y a rien de sexuel.
  3. Vous ne seriez pas un peu DDPervers, vous ? Pas mon genre. La fornication inter spécifique n’existe pas dans la Nature, sauf chimères créées par l’homme comme le mulet (ça reste quand même des équidés). Ce qui caractérise l’espèce c’est de pouvoir se reproduire (intra spécifiquement s’entend). Ce n’est pas simplement particulier, c’est juste ignoble.
  4. Partez du principe qu’elle ne l’est jamais. En « Société », il semblerait que ce soit un minimum.
  5. Hum, faire infléchir son manque d’argument vers le crade pour faire diversion, c’est vieux comme la rhétorique.
  6. La méritocratie sonne le glas de la transmission des richesses. La confiscation des biens est réprouvée, plus simplement. Il semble tout à fait normal de vouloir transmettre à ses enfants tant on les aime et souhaite les mettre à l’abri du besoin (le contraire paraît plus suspect). Même les plus modestes transmettent des biens. Nous sommes dans une espèce de médiocratie où les citoyens se contentent d’un SMIC+ et n’hésitent plus à détruire en plus des symboles de la République, ceux qu’ils considèrent être des symboles de richesse (annihilant tout à fait que des citoyens ont aussi travaillé dur afin de se les offrir). Il y a toujours eu des one self men et women, même s’il semblerait y avoir moins de moyens fonctionnels afin de saisir l’ascenseur social. Faire des études n’est plus un gage de réussite dans la vie, il faut en plus être créatif et audacieux, prendre des risques. Certains s’en sortent tout à fait bien.
  7. Vous nous avez fait une sacrée potée là. L’homosexualité et la rêverie n’ont rien à voir avec l’ondinisme et la zoophilie. Les homosexuels ont cessé d’être assimilés à des malades mentaux dans les années 70. Quant aux zoophiles, espérons qu’ils le resteront ad vitam aeternam. Bien sûr qu’il faut les condamner dès lors qu’il s’agit d’imposer son désir à un individu vulnérable et non consentant. Entre le missionnaire et se faire dessus, il semblerait qu’il y ait tout de même toute une palette d’options. Vous êtes vraiment répugnant.
  8. Quant à sa signification, deux versions pour le mien : 1/ Il aurait été inventé par un écrivain irlandais. Il s’agirait alors d’une contraction entre le nom de famille et le prénom de sa maîtresse. 2/ Il viendrait du grec et signifierait papillon.
  9. C’est bien pour cela qu’une partie de la population nous la fait passer pour inoffensive.
  10. Cela s’est déjà fait plus exactement. En plus de cela, le dialogue est scrupuleusement évité dans les familles. Les guédro sont facilement identifiables dans les collèges et les lycées -souvent en échec scolaire- et même au sortir de ceux-ci. Ajoute à cela l’influence des petits cons de Youtubeurs qui vantent le cannabis sois couvert de liberté d’expression. Tant que nous ne pointerons plus les dégâts qu’entraînent le cannabis, que nous ne renouerons pas le dialogue, ne communiquerons pas là-dessus, une partie de la population en profitera pour nous le faire passer comme simplement récréatif et totalement inoffensif. Oui il y a un laisser faire tout à fait inadmissible et les double-discours ont été légion. Nous payons des années de socialisme. Il convient d’être fermes, implacables pourtant.
  11. Alors vous êtes hors sujet. Qui vote pour que cet ordre établi soit maintenu ?
  12. Personnellement je n’assimile pas les voyous au prolétariat, mais libre à vous. La police n’a pas son intérêt à trouver, elle sert et protège les citoyens. NB : merci de citer les messages dans leur intégralité et de passer le passage qui vous intéresse en gras à la rigueur (quand vous tronquez ça n’a plus de sens).
  13. Guillaume Bigot est un orwellien, il est plutôt logique qu'il nous promette un monde apocalyptique. Bien sûr que l'État ne doit pas céder à l'intimidation, aux voyous, et doit se garder de consacrer la délinquance. Il se doit de rester fort. Je nuancerais ses propos toutefois : la guerre civile n'est pas un futur, c'est un possible.
  14. Si G.Darmanin est mis en examen alors il devra démissionner ou être licencié, à l'instar des De Rugy, Delevoye ou encore Benalla, conformément à la volonté d'E.Macron et ses discours en matière d'exemplarité. Je ne suis pas vraiment étonnée de la déclaration d'E.Dupond-Moretti en 2018 (le procès Tron s'est tenu d'ailleurs entre fin 2017 et 2018) et même s'il se veut humaniste. Et d'autant que rares sont les hommes qui entendent et comprennent réellement que les sifflements -émanants le plus souvent d'hommes en groupe- occasionnent gêne et peur chez les femmes. C'est véritablement intimidant, effectivement. Si bien des hommes trouvent injuste et injustifié un différentiel de salaire en raison du genre, s'ils condamnent majoritairement les conjoints violents, pour exemples, différentes études montrent que c'est au niveau de l'approche amoureuse, du date, des habitus masculins dans la sphère privée, que cela coince finalement. Il y a des désaccords majeurs, des idées préconçues au sujet des relations homme-femme hérités de l'éducation, ou d'un manque d'éducation plutôt. L'espace public n'a jamais appartenu aux hommes uniquement (d'ailleurs il n'est censé appartenir à personne en particulier), nous ne sommes pas leurs obligées, nous ne sommes pas disposes. Quand nous nous mouvons dans l'espace public, nous ne pensons pas "séduction" la plupart du temps, mais davantage à ne pas manquer le métro, à ne pas arriver en retard au travail ou se dépêcher d'aller chercher le petit dernier à la garderie tout établissant une liste de courses mentalement ou en planifiant le dîner. Il est définitivement très mal élevé, crasseux, de nous interrompre ainsi dans le cheminement de nos pensées, d'envahir notre bulle. Ce n'est pas un honneur pour nous. Ce n'est pas une faveur qu'ils nous font. S'ils s'ennuient, qu'ils s'occupent. Nous ne sommes pas à la disposition des hommes : ils ne sont pas prédateurs et nous ne sommes pas leurs proies. Il faut impérativement se libérer, s'éloigner au maximum de cette condition animale. À tout prix. A contrario, des hommes, véritables perles rares, ont vraiment été éduqués ou sensibilisés par des femmes (mère, grand-mères, soeurs, cousines, conjointe et amies), ou ont eu à supporter des sifflements et commentaires graveleux à propos de leur arrière-train (quelques femmes font aussi cela malheureusement), si bien qu'ils éprouvent véritablement de l'empathie pour les femmes et désapprouvent totalement les siffleurs. Nous ne pourrons rien faire pour des générations d'hommes qui ne feront jamais que s'accrocher à ce qu'ils connaissent (c'est fichu). En effet, les siffleurs et leurs défenseurs ont tendance à reproduire (ou acquiescer à) ces comportements animaliers qu'ils auront observés d'abord chez un père, un grand-père, des oncles, des cousins, des amis ou à la télévision, au cinéma, qu'ils auront finalement assimilés comme normaux, positifs et admirables. Le sifflement est traditionnel et il est nécessaire de le dégommer oui, puisqu'aujourd'hui nous sommes censés considérer également les voix d'une majorité (à savoir les femmes). Les nouvelles générations assimilent plutôt négativement les sifflements, tant nous prenons le temps de dialoguer et faire de la prévention. Nos arrières-petits-enfants nous verront sans doute comme trop proches des hommes (et femmes) des cavernes. Mais tout autant que vous l'avez été pour d'autres dans les années 60-70 !
  15. Ils pourraient y avoir des vendeurs de cannabis bien proprets, mais ce ne sera jamais le cas de ces bandes rivales bien installées qui terrorisent les grandes villes. C'est évident. Il n'y a aucun intérêt pour les dealers à avoir pignon sur rue et régler des taxes. Ils mènent leurs affaires plutôt tranquillement. Le traffic de cannabis n'est pas assez réprouvé par la société et pénalisé par l'État, la Justice. Nous pourrions commencer par stopper les double-discours déjà et aller vers plus d'information, de dialogue : de prévention, finalement. J'entends et comprends votre point de vue (je me doutais bien que vous n'étiez pas consommatrice de drogues) et même si nous ne serons pas d'accord sur ce sujet. Néanmoins, ce n'est pas en aidant les gens à se droguer, que nous lutterons efficacement contre les drogues. C'est aussi simple que cela. Allez vers une légalisation, c'est céder, abdiquer et consacrer la délinquance, quelque part. Cela ne résoudrait absolument rien, je vous l'assure. Le nombre de victimes du cannabis pourrait encore accroître. Les habitants des quartiers auront toujours à pâtir de l'activité des dealers, c'est désolant mais c'est comme ça. La marchandise pourrait être vendue moins chère (puisque non taxée) ou une marchandise plus forte et nocive sera vendue. Sans parler du traffic d'armes. L'erreur fondamentale aura été d'agglutiner des individus aux même endroits et s'assurer qu'ils n'en sortent pas.
  16. Je ne pense pas que c'était volontairement malveillant. Toutefois, sa sortie s'inscrit tout à fait dans une pensée vioque, éculée, qui ne fait vraiment pas du bien aux femmes, aux enfants, aux hommes, victimes, et encore à nos mentalités. Note : Ce que des hommes sont faibles.
  17. Je pensais plutôt à une banalisation des violences sexuelles voire à un déni, la concernant (et les concernant, tant il s'agit aussi de ses copines expertes en slut-shaming) qu'à une apologie du viol. Vous partez en vrille au sujet d'une culture du viol. On peut y faire entrer tout et n'importe quoi, alors qu'elle existe pourtant vraiment cette culture du viol. Certain(e)s ont la capacité de faire du sexe mécaniquement, quand c'est consenti, exact. Il y a des tireurs d'élite sur Tinder pour exemple. D'autres ne font pas taire leurs leurs pensées, leurs émotions, qui sont au contraire, moteurs à la jouissance. Caroline de Haas lui a répondu très justement : "Quand vous êtes victime d'un viol, vous jouissez moins bien" et je pense qu'elle a raison, sur ce coup-là au moins, d'autant que l'on peut aussi craindre pour sa vie. Ça sentait les "chouchous" ce matin au marché, depuis j'ai la mémoire olfactive qui me titille. Une véritable obsession. Je vois le monde en pralines.
  18. Et alors vous démissionneriez... comme bien d'autres. Je pense au contraire - et vous l'aurez compris- qu'il faut lutter. Il n'est pas toujours évident pour un jeune de s'affirmer, de dire "non" sauf quand il y a une prévention, un dialogue. Dans les années 80/90, il y avait des campagnes à ce sujet, des interventions dans les collèges et les lycées. Aujourd'hui, nous sommes davantage en roue libre. Nous savons que la drogue est interdite, nocive. Il n'y a pas eu vraiment de répressions depuis une vingtaine d'années. Amendes et saisie des biens sont aussi générateurs d'argent, pour l'État. Peut-être qu'un Gouvernement en viendra un jour à prendre des positions fortes, courageuses. Certains en viennent à banaliser ses effets, à l'exemple de @Boutetractyxreqs ici, qui les assimilent à ceux de l'arachide ou d'un repas trop copieux, dans une idée de vouloir en faire quelque chose de très inoffensif. Cela varie en fonction des drogues, des dosages, des individus, la fréquence des prises... Des semaines plus tard, on relève une présence de drogue dans les urines. Personnellement, rien que le fait de ne pas pouvoir évacuer rapidement complètement cette daube, me ferait déjà bien flipper. Afin de vendre, il faut s'établir et régler pour un local (traite bancaire ou loyer). Pour exercer dans ce local, il faut régler une cotisation financière des entreprises. Il faut qu'il soit éclairé ce local (EDF à régler), et souvent il y a un point d'eau (distribution des eaux à régler), ainsi qu'un ramassage des ordures (REOM secondaire à régler) et même s'il est fermé dans l'année ou quelques jours par semaine. Afin de lui apporter plus de convivialité, une ambiance à cette petite entreprise, une radio et/ou une télévision sera branchée, et la SACEM viendra toquer. Il est aussi vivement "recommandé" de cotiser au RSI. Il y a l'impôt direct et l'indirect... Sans parler des employés à rémunérer et de toutes les taxes qui sont affiliées. Être entrepreneur c'est en plus des responsabilités, un état d'esprit. Vous pensez sérieusement que ces dealeurs, au profil de voyou, vont être consciencieux, honnêtes et accepter ainsi comme tout entrepreneur, de régler tous ces impôts et taxes (et j'en ai sûrement oubliés) ? Et rendre nos jeunes dépendants, suicidaires, malades... Tant de potentiels gâchés, avortés à cause des drogues. Ça m'attriste vraiment.
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