Mórrígan

Darmanin a seulement menacé de porter plainte... Sûre que le ministère de l’Intérieur peut se passer d’un grand mou pareil.

La féminité est bien plus puissante que cela (elle tient du spirituel, d’une intériorité) et l’Homme est devenu un individu « anti-naturel » (ce qui n’est parfois pas plus mal).

Vous généralisiez, comme d'autres sur ce fil. Pour toutes les femmes, la féminité peut s'exprimer au travers travers la danse, l'écriture, la peinture et pourquoi pas la conduite automobile (liste non exhaustive). Parfois au travers la maternité (même si ce n'est pas obligé). Alors qu'elles sont l'écoute, l'épaule, la sagesse... alors que les femmes transmettent. Une fois qu'elle s'est révélée cette féminité, elle ne se fait pas taire si facilement, ou ne se déclenche pas dans un cadre, en particulier. C'est un tout qui transpire par toutes vos pores et qui n'a de cesse de s'exprimer.

Et alors, je réponds avec patience et gentillesse à vos questions, des plus sordides : Le sadomasochisme est aussi répertorié parmi les paraphilies, et relève également de la psychiatrie. Toujours pas non. Quand vous vous réveillez avec l'érection du matin ("la gaule", s'il faut s'adapter à la crasse qu'il est encore possible de lire sur ce fil complètement rincé), ce n'est pas que vous avez foncièrement envie de secouer votre chère et tendre. C'est juste physiologique. Eh bien là, c'est pareil. La Nature ne conduit pas. Il ne s'agit pas de me dédire, davantage de vous fournir une canne -j'y ai mis deux "n", n'allez pas vous exciter inutilement- blanche. En tant que littéraire, j'aime faire de jolies phrases. Vous êtes plutôt du genre primaire. Vous n'êtes capable ici que de provocations et de sophismes. Votre comparaison entre zoophilie et régime omnivore est totalement stérile. Pourtant nous le subissons depuis quelques pages déjà... Mm, ce que vous rêvez la nuit, vous le voyez le jour, vous.

Mais, non. C'est un leurre. J'avais compris le sens de vos mots. Du côté de la Femme sauvage, il y a tout autant de constructions latine, que russe, qu'africaine... puisqu'elle a ce quelque chose de très universel. Vous n'avez toujours pas lu. Sans dévaloriser pour autant des cultures que vous semblez affectionner, je ne m'en sens effectivement pas proche et je ne suis non plus animatrice pour la vieillerie dont vous êtes : veuillez le noter. Vous ne me challengez pas du tout. Vous m'ennuyez. C'est aussi le cas de certains hommes, en effet.

Giletjaunisme exarcerbé. Les voitures de sport, les chevaux de course, les villas, les châteaux, la gastronomie, les oeuvres d'art, la haute-couture, la joaillerie, l'horlogerie, plaisent tout simplement à des citoyens qui ont du goût et qui aussi peuvent être passionnés. Des citoyens qui également consomment toujours en France et par la même font vivre tout un tas de brailleurs, jaloux et frustrés, qui eux en demandent encore et toujours plus. Non, toutes les sciences (même sociales, dites "molles") sont connexes, c'est que les étudiants apprennent lors des premières années (c'est la base) et en découle ensuite un certain respect. "L'étude" des races... ah oui, la marotte de l'extrême-droite : le racialisme est une idéologie. Ce qui vaut pour les uns, vaut aussi pour les autres. Et entre les extrêmes, il reste encore la majeure partie de la population (fort heureusement). Réglementation ou favorisation de l'usage et de la revente du cannabis, insensibilisation à la prostitution, avarice mesquine, absence de goût pour la gastronomie ou même en général d'ailleurs, langage qui semble avoir davantage était vomi que prononcé... En réalité, nous sommes sans doute le pays le plus éloigné des Pays-Bas, de toute l'Europe. Nos mentalités n'ont vraiment rien à voir, n'ayez crainte. Vous êtes en colocation avec Nadine Morano ?

Rien à voir avec un vécu, il s'agit davantage de l'Histoire (aussi des femmes). Nombreux sont les hommes qui ne définissent déjà clairement pas la masculinité, leur masculinité, ou bien qui en font quelque chose de plutôt toxique (pour asservir et chosifier, les femmes, les enfants notamment). Ne comptez pas sur eux pour vous mener vers la féminité. Ils vous entraveront. J'aurais tendance à penser que ces femmes -si elles ne sont pas toujours masochistes- ne se sont pas encore "éveillées", intuitivement parlant. Il n'est jamais trop tard pour le faire.

Bien sûr, et il existe autant de nymphomanes que de satyriasiques (sauf qu'on ose assez peu employer ce terme pour désigner des hommes). Je ne suis pas convaincue par l'idée que des personnes puissent déteindre sur d'autres au point de les vider de toute leur personnalité, ou bien il faudrait aussi étendre aux relations amicales, familiales, sociétales. En somme, il faudrait avoir été élevée par les loups et quoi qu'encore, ils pourraient être influents...

C'est le discours dont des hommes nous ont gavées depuis des siècles, peut-être même depuis que le monde est monde. Jamais un homme, des hommes n'ont été des révélateurs de féminité (bien au contraire). Il nous aura fallu des siècles avant même de nous approprier notre propre corps (détachement de la religion, entrée des femmes aux Beaux-Arts, notamment). Vous devez avoir eu une idée de ce qu'est la féminité au travers le discours des anciennes, sages (mère, grand-mères, tantes) si vous n'avez pas été une enfant laissée dans le silence et les interrogations. Nous nous en faisons souvent ensuite notre propre idée/nous nous faisons notre propre construction mentale au fil du temps. Il peut y avoir des périodes clés au cours de la vie qui deviennent déclencheurs. Pour moi, la féminité reste une force instinctive, éminemment puissance. Elle a peut-être quelque chose de mystique, allons savoir.

Toute valeur découle plutôt du respect, à mon sens. Certain(e)s trompent, ne respectent pas l'autre dans le sens où ils savent pertinemment que la fidélité lui est essentielle (et ils ont approuvé). D'autres souhaiteraient changer la personne qu'ils fréquentent en sachant bien qu'elle a tendance à cavaler (c'est aussi un manque de respect). Il s'agit dans les deux cas de faire primer, d'imposer son envie, son désir, sa personne et finalement au détriment du couple. Je suis d'accord avec toi au sujet de l'indépendance. Ce ne sont pas des femmes qui sont instables et fragiles en particulier, mais bien la société va à vau-l'eau.

Et pourtant ce sont bien des opportunités. Ils/elles peuvent ensuite être plus ou moins difficiles. Vous n'avez jamais entendu parler de Tinder, vous. Toutes les occas' sont bonnes à prendre (et il s'agit bien de sexe non tarifé, pour la plupart du temps). Certaines femmes n'ont vraiment pas de chance -ou d'intuition- et attirent presque que des hommes qui ne leur correspondent pas, ce qui les mènent aux déceptions répétées. Il n'est pas question d'en faire des dépravées sexuelles.

Constater.

Les zoophiles, tout comme les pédophiles, ont tendance à romantiser le viol. C'est effrayant.

Ce ne sont pas des exceptions. Pas plus que ces hommes et ces femmes ne sont harceleurs. Nous avons tous/toutes du succès (peut-être pas avec les mêmes personnes) et des opportunités (que nous saisissons ou non). Indéniablement. Éconduire est ensuite une question de volonté, vraie. C'est une action qui découle du choix. Certain(e)s le font puisque la personne ne plaît pas (enchaîner les relations ne veut pas dire évidemment toutes les accepter, il semblait pourtant inutile de le rappeler et de le valider) et/ou puisqu'ils/elles sont fidèles et/ou parce que ce n'est pas le moment opportun etc... Les personnes considérées comme soignées, agréables à l'oeil, sont victimes de préjugés (cavaleuses, capital beauté fugace, absence de modestie, artificielles, dénuées d'intelligence etc...). Tout comme les autres (taciturnes, envieuses, sales etc...). Chacun y va de son petit mot. L'idée globale qui se dégage c'est "Tu n'es pas comme moi" (tout le monde est un jour discriminé) ou bien "Tu es encore moins que moi", et dans le second cas cela peut rasséréner. Je crois très fortement, que les individus sans cesse en compétition pour un homme ou une femme ont une mentalité des plus archaïques. J'aurais tendance à préférer les individus éduqués/évolués. Un peu de jalousie au sein du couple ne m'est pourtant pas déplaisant. Tout est sans doute question de mesure. L'expérience en attire d'autres. Ce qui est charmant pour les uns, ne l'est pas forcément pour les autres.

D'un point de vue éthique c'est très dérangeant. Reste à savoir si le droit se confond ici avec l'éthique ou s'il en est décorrelé. Bonjour, Vous êtes pire encore qu'une enquiquineuse pour l'ultra droite chrétienne, par exemple. Si l'on attend de candidats qu'ils soient tout à fait éloignés de toute forme de modèle social d'asservissement masculin, alors il ne devrait pas y en avoir pléthore. Nous verrons ce que Dupond Moretti donnera. L'avantage quand on n'a pas d'attentes, c'est que l'on a moins de chances d'être déçu. Absolument ! Et vous incarneriez là l'esprit d'une France devenue totalement autophobe... (comme c'est triste !). Il s'agit d'oublier qu'il reste de véritables passionnés d'automobile (et tous ne roulent d'ailleurs pas sur l'or). Porsche c'est une ligne d'abord, un doux ronron et pour les "classiques", une odeur bien particulière. Si cet heureux gagnant a choisi de vivre dans un ascétisme certain, grand bien lui fasse ! Dites-moi -parce que je ne me souviens plus- ce sont les cathos ou bien les protestants qui sont complexés tant il s'agit d'argent ? Personnellement, aux feux, je laisse ces individus sans éducation démarrer en trombe et quand par bonheur ils se font arrêter par la gendarmerie, je me dis que ce n'est que justice. Il faut veiller à ne pas confondre route ouverte et circuit automobile. Il s'agit d'être un conducteur responsable, partageant la route avec les autres usagers. Les pilotes de lignes droites ne sont guère intéressants, pour les passionnés d'automobiles. Au mieux ce sont des indigents, au pire, des nuisibles (je passe sur l'autosatisfaction de sécher BM et M3, ceci s'apparentant à mon goût à une beauferie manifeste). Pour le reste, c'est décidément le procès de la sociologie... Elle ne prend aucune posture cette sociologie -pas plus que la biologie- mais on peut leur faire dire ce que l'on veut. Il s'agit d'apporter du poids à l'idéologie. Il y a un dogme scientifique. Le problème viendrait également d'une désinformation virale (par le biais de médias -qui n'en ont plus que le nom- et les réseaux sociaux). Je tique tout autant quand il est question de "privilèges" blancs chez des militants d'extrême-gauche, que de "privilèges"masculins chez Bourdieu et des militants toujours... d'extrême-gauche ! C'est une sémantique qui me dérange (en plus des militants-d'extrême-gauche), et pourtant force est de constater que si tout n'est pas à jeter, tout ne va pas non plus pour le mieux dans le meilleur des mondes (oui c'est très vilain de citer Voltaire). Tout débat est aujourd'hui confisqué par les extrêmes (l'extrême-droite me dérange ainsi aussi). C'est forcément à déplorer, pour les autres. Pas de mesure, pas de justesse. Que de surenchères. Il y a des emballements pour des mouvements américains, en France, effectivement, qui m'échappent également. Néanmoins, il y a la réalité des réseaux sociaux, des plateaux télé, quelques manifestants dans les rues et puis la réalité observable ainsi qu'une grande majorité de la population. Coupez, sortez, il y a de la vie dehors !

L'interdiction, tout comme la marginalisation (pas de portable, pas d'Internet) ne préservent pas vraiment les enfants. Même plutôt pas. Des parents peuvent se sentir en effet, dépassés, démunis. Il revient aussi aux parents de sensibiliser leurs enfants, de faire de la prévention, de ne jamais rompre le dialogue (même s'ils sont taiseux), qu'il s'agisse de zoophilie, de pédophilie, ou de mauvais traitements infligés aux femmes -mais également à des hommes- au travers cette pornographie trop facilement accessible. Le risque est qu'ils assimilent ces paraphilies à une sexualité normale et attendue. Il n'y a pas de souhait. Vous interprétez, toujours.

Quand un mini scandale éclate dans une boulangerie pour un rendu de monnaie, ou parce qu'il ne reste plus de pavé d'Alphonse, j'ai rarement vu -pour ne pas écrire jamais- un troisième larron entrer et s'adonner à une monte de soumission et sur la boulangère et sur le client mécontent, afin de les apaiser. Si nous en étions restés à l'état naturel, vous vous entre-tueriez avec votre entourage (proche et voisinage) à chaque période d'ovulation de Madame. Peut-être qu'Animal Cross a raison. D'autres m'ont indiqué le contraire. Enfin, vous n'allez pas me la faire à l'envers. Ce dont je suis absolument sûre c'est qu'il n'y a rien de sexuel et contrairement à votre croyance. Et donc quoi encore ? Un chien ne réalise pas son souhait. Un chien n'a pas de souhait. La Nature, ce qui est à l'état naturel, n'a pas de but. Elle (il) est.

Tout le monde a des opportunités et aussi des individus que nous ne soupçonnerions même pas. Un homme avec seulement deux dents et par extension un défaut de prononciation éclatant, peut être un vrai tombeur, par exemple. C'est étonnant et pourtant... Choisir, c'est aussi renoncer et ça ça se perd, genre vraiment. D'autant que tout est fait pour faciliter les rencontres (non seulement pour les célibataires) et faire primer son désir sur tout le reste, en dépit de toute responsabilité. Être en couple (ou bien avoir affaire à une personne en couple) est de moins en moins un motif de renoncement. Le couple est encore moins respecté qu'auparavant (ni le sien, ni celui des autres). Nous vivons décidément à l'ère d'un consumérisme (et d'un individualisme) qui n'en finit plus de galoper. Des minorités ont été pointées et parfois lynchées, auparavant, c'est tout à fait vrai. Or, quand celles-ci prennent de l'ampleur/gagnent en adhésion, généralement, alors, elles sont mieux acceptées et il y a un basculement des valeurs. Le particularisme n'est plus. C'est "normal".

Vous passiez -et vous passez toujours- pour des enquiquineuses (au minimum), pour une partie de la population. Il convient d'entendre la colère de ces femmes, somme toute légitime tant il s'agira toujours de violences viriarcales (et comme d'autres ont entendu les vôtres). C'est un droit de manifester, pour quelle que raison ou cause que ce soit d'ailleurs (et tant que cela ne glisse vers l'insurrection, perso, ça me va). Il est inutile de me rappeler l'utilité d'une "révolution" qui tient davantage d'une révolution contraceptive -que sexuelle au reste et c'était déjà bien pour l'époque- nul besoin de faire un déroulé des droits des femmes depuis Olympe de Gouge (je m'y intéresse déjà). La dépénalisation de l'avortement était essentielle oui et c'est un droit que nous générations suivantes, devront toujours sauvegarder. Et Dieu sait qu'il y a de la houle ! Il m'est impossible de rester hermétique à la souffrance et d'autant quand elle est verbalisée, clairement. Les violences viriarcales doivent être combattues, c'est indéniable. Il est dommage que des femmes de l'Ancien Monde, dont vous êtes, pensent qu'il n'y aurait plus rien à faire et refusent aux autres, ce qu'elles se sont permises auparavant. C'est juste une expression, mais les mots entraînent les actes. Regrettable et tout autant que les vieux débris qui se permettent de donner des noms de fruits, d'animaux tant il s'agit de la vulve des petites filles (s'il le faut, n'hésitons pas à employer les termes scientifiques). Fred et Willma ont presque tout des américains des années 50... Au lieu de changer de paradigme, nous creusons, toujours plus profond. C'est triste. Je n'oublie pas d'où nous venons (il ne faut jamais). Croire que les Hommes ne peuvent pas évoluer positivement est une grave erreur, que nous payons déjà depuis des siècles. Eh bien De Rugy a démissionné pour moins que cela, et en même temps il était cuit. Pas nécessairement, cela peut aussi être un flat 4. Porsche a renoué ces derniers temps avec le moteur à 4 cylindres (718 Cayman et Boxter). Il n'est pas rare que des conducteurs de Polo ou de Clio -même pas tuning- chauffent les propriétaires de Porsche au feu rouge... Quoi de plus jouissif que de se fumer une Porsche ou -soyons fous- une Lambo pour bien commencer le week-end ? Devrais-je en conclure que les conducteurs de citadines souhaitent imposer leur domination au monde ? Ils nous boufferont tous, comme les chinois. Blague à part, tous les cuistres sont dans la Nature, signes extérieurs de richesses mis à part. Les sciences humaines, dont la sociologie, ne réfutent pas plus les différences hommes-femmes, qu'une possible innéité en toutes choses. Si les sciences sont connexes, la soiologie n'en a pas la légitimité. Elles sont bien plus neutres ou moins nocives que vous le pensez. Seuls les idéologues s'appliquent à faire de la promotion. Certains se servent aussi de la biologie pour ce faire.

Et donc, vous n'avez pas les qualités d'animation de Polac (un petit effort, DDR). Ce que vous interprétez être du sexe est simplement la mise en place de relations sociales (monte de soumission). Ce que vous interprétez être des animaux en demande de sexe, sont tout bonnement des animaux dominants. Ensuite, libre à vous de laisser votre chien imposer son statut de dominant à votre pantoufle, aux pieds de chaises comme à vos invités. Le chien comprend des ordres simples, dès lors qu'il y a été habitué chiot et encore des expressions faciales simples (comme la mécontentement). Quand le mien commence à danser la lambada sur l'un de mes Exotic Shorthair (d'ailleurs il se prend fréquemment un coup de griffe sur la truffe), je sais -parce que des scientifiques l'ont décrypté- qu'il n'est pas là pour s'adonner une sexualité déviante (inter espèces), davantage qu'il souhaite imposer son statut de patron. Cette vieille jalousie ! Les hommes contemporains correctement élevés soutiennent les droits des femmes (merci les gars). Cela en dit long sur votre intégrité (NDLR votre grande médiocrité). *Ce n'est pas vrai qu'il nous fait encore le coup de la PMA, de la partialité des juges pour enfants, d'une société qu'il fantasme "gynocentrée" ... sur un sujet qui traite de la... zoophilie* On dirait un vieux disque rayé, entre Berthe Silva et Carlos. Un mouchoir ? Si vous parliez de moi, il faudrait peut-être dire des choses concrètes. Avec vous, nous sommes au 42ème sous-sol de la joute verbale. J'aime voyager, mais pas vraiment dans les bas-fonds. Vous êtes tombé sur le râble ici d'à peu près toutes les femmes pourtant connues pour leur pacifisme, leurs qualités de conciliation, les accusant la plupart du temps d'être actrices de propagande anti-hommes, d'être inégalitaires ou complètement misandres et de faire l'étalage de leur sororité. Bref, vous êtes clairement masculiniste. Personnellement, je n'ai jamais eu leur patience. Dès votre tout premier message sur ce site, vous avez en effet donné le ton, sans jamais discontinuer. Pétri à tel point de haine, je me demande tout de même, par curiosité, comment il vous est possible de tenir encore physiquement debout ? Vous feriez passer un moine de l'Inquisition pour un Teletubbies. Copulo ergo sum vous conviendrait le mieux. C'est un grand malheur d'ailleurs pour l'espèce humaine, proche de sa fin, l'homme à tête de gland ayant pour vilaine habitude de se reproduire énormément. Oui vous êtes répugnant, je le pense sincèrement, puisque c'est l'essentiel de ce que vous nous montrez. Maintenant que c'est dit -et que vous ne le digérez toujours pas (tant pis !)- reprenons-donc le sujet.

Ce qui semble effectivement logique pour des personnes touchées par la précarité. Et c'est souvent le cas de femmes, les inégalités entre les hommes et les femmes sur le marché du travail étant à l'origine de la précarité pour les femmes (salaires différentiels, surreprésentation des femmes dans des secteurs des moins rémunérés comme l'Éducation ou la Santé, rupture de parcours dus aux grossesses notamment, puis difficultés de réinsertion par la suite). Conjointement, les structures familiales ont évolué. Dans 9 cas sur 10 les familles monoparentales désignent des femmes seules avec enfants à charge. La conjugalité entraîne souvent une amélioration de la situation financière et du quotidien, alors on peut se persuader d'être amoureux-se. Pas sûre que l'on puisse réellement vivre toute une éternité sans amour véritable, toutefois. Au sujet du sexe, j'émets plus de réserve et bien que nous soyons également des "créatures" désirantes. Et d'ailleurs il faut un certain temps afin d'être au diapason/que ce soit agréable sur ce plan-là. Des femmes et des hommes se sont mis(es) en couple simplement par devoir ou pression sociétale. Cela a pu être le cas pour nos ancêtres. Cela a toujours cours au sein de certaines communautés et milieux. Il est compréhensible que des femmes qui ont eu une kyrielle de partenaires, puissent parfois déplaire ou repousser. Comme les hommes qui collectionnent les conquêtes, me déplaisent (et je ne pense pas être la seule). Ce qui cause ma répulsion n'est pas tant une peur d'un manque de personnalité ou qu'ils aient pu être vidés de leur substance auparavant ; davantage que l'intellect, le charme ne valent rien à mes yeux dans la relation amoureuse tant qu'ils ne s'accompagnent pas de valeurs. Et la fidélité en est une. Néanmoins, cela tiendrait plus du critère personnel que du principe universel.

Un extrait de thèse devrait vous satisfaire : « Les comportements de soumission sont adoptés par des individus de rang inférieur envers un individu de rang supérieur, ils permettent d’apaiser des tensions mais aussi de se rapprocher d’un deuxième individu afin d’avoir accès à des ressources (nourriture, nouveau-né) et de créer ou maintenir des alliances. Parmi ces comportements, il y a deux expressions faciales, le « bared- teeth display » (« mimique dents découvertes » en français) ressemblant à un sourire, et le « teethchattering » (« claquement de dents » en français), qui seront décrits dans la partie I.2.c. D’autres comportements de soumission sont la fuite, l’exhibition de la zone périnéale (hors période de reproduction, par les femelles), le « crouch » (« accroupissement » en français : l’individu écrase rapidement tout son corps contre le sol à l’approche de l’individu dominant). Un comportement très fréquent est la supplantation, l’individu dominant approche l’individu dominé et ce dernier lui laisse sa place. La supplantation est bien visible lorsqu’il y a une ressource alimentaire, les individus au plus haut statut hiérarchique ont ainsi un accès privilégié à la nourriture. Ce comportement peut également s’observer lors d’un épouillage si l’individu veut prendre la place d’un individu dominé. Enfin, la monte entre deux mâles chez les macaques Berbères est considérée un comportement de dominance de la part de l’individu qui monte. » http://theses.vet-alfort.fr/telecharger.php?id=3749 Vous pouvez imprimer la dernière phrase et vous en faire un poster.