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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. C'est qu'il vous arrange de ne pas croire... et quand bien même mes propos sont sourcés. Bien sûr qu'il est question de viol et d'inceste. Si "personne n'argumente contre ce qui est déjà écrit dans la loi !", votre commentaire précédent n'a aucun lieu d'être.
  2. Macron est une obsession, pour vous. Sauf qu'elle est aussi rarement proposée, que validée par les quatre professionnels. Pourtant, c'est un droit depuis 2001 (soumis à examen). Il est nécessaire que les femmes sachent qu'elles ont peut-être aussi ce recours, que des professionnels l'envisagent également. Il n'est absolument pas question de mener de force des femmes à l'avortement. Autant vous stériliser, ce sera plus efficace. Il existe aussi des aides et des associations, pour des femmes, avec enfant. Vous n'avez pas répondu au sujet de mineures victimes de pédophilie et enceintes de leur père, beau-père, frère, grand-père, oncle, enseignant, ami de la famille etc... C'est horrible n'est-ce pas ? Vous leur répondriez qu'elles ont dépassé le délai prévu par l'IVG ? Il existe des climats familiaux délétères où les violeurs sont protégés, et les (jeunes) femmes priées d'aller au terme de la grossesse. S'en défaire peut prendre un peu de temps. Alors si on n'est pas anti-avortement, on est forcément des écervelés sans conscience... Mm, vous êtes terrible Solatges.
  3. Ceux qui incendient, cassent les vitrines, pillent les bijouteries, sont aussi des amateurs de foot. Tout comme ceux qui battent leur femme alors que l'équipe qu'ils soutiennent a perdu. Et encore, tout comme ceux qui se permettent de vous tripoter alors que vous passez simplement dans la rue, un soir de match. Il y a un énorme souci avec ce sport, qui fait l'effet d'un désinhibiteur. Ils cassent aussi.
  4. Tant mieux, c'est que c'est pertinent. Vous obligeriez une enfant de 13 ans, violée par son oncle, à aller au terme d'une grossesse non désirée, avec tous les traumatismes, que cela génère. Personne n'impose à la mère. Chaque profession comporte son lot de tâches que l'on n'aime pas ou moins faire. Si cela devient trop pesant, il est toujours possible de changer de service et encore de métier. Il y a 5 815 000 demandeurs d'emploi, parmi ceux-ci des individus très motivés. Un anti-avortement n'a strictement rien à faire en obstétrique : qu'il dégage. La clause de conscience fait débat puisqu'un président d'un syndicat de gynécologues a ouvert sa grande bouche afin de culpabiliser les femmes, en hurlant à l'homicide (tant il s'agit d'IVG). Je n'ai pas lu qu'elle eut été supprimée, toutefois, si c'est le cas, c'est une excellente nouvelle. Toujours est-il que c'est encore ces bondieusards d'Alliance Vita qui agitent la toile, pour une loi, qui existe depuis 2001. En outre, ici, les "pro-vie" sont presque toujours croyants. Je n'accorde à aucune femme le droit de me dicter ce que j'ai à faire de mon corps et encore moins à un homme. Je ne vous accorde aucun droit tant il est question du corps des femmes, et d'autant quand elles sont dans la légalité. Vous n'êtes ni en position de force, ni concerné. Si vous êtes un nostalgique, prenez-donc la direction du Yémen. Et oui, vous êtes une ordure, dès lors que vous vous positionnez afin que des victimes de viols même mineures (!) aillent au terme d'une grossesse, qui nous le savons tous deux, sera encore traumatisante. Le simple fait de ne pas y adhérer amène le soignant à la dissonance cognitive : qu'il change de métier. Perdu. Je suis pour le respect des femmes, pour la dignité, le libre choix. À vous préoccuper de cellules plus que d'êtres humains (en détresse), dans votre genre, vous faites penser à ces individus qui préfèrent nourrir leurs chiens avec un bon steak et priver leurs enfants. Note : il est à constater que les anti-avortements sont aussi très souvent -je vous le donne en mille- des hommes. Ça tombe bien puisqu'il s'agit d'IMG, et pour cause psychosociale. Avez-vous déjà vu une femme noyer ou étouffer son nourrisson, puisqu'il lui rappelle qu'il est le fruit de son viol ? Question bonus : Comment un enfant, qui est le fruit d'un viol, compose t-il avec cette affreuse vérité ?
  5. Ne soyez pas si dur avec vous-même... Vous n'êtes pas n'importe lequel des militants aveugles.
  6. Qu'est-ce que cet amendement va changer précisément ? "Il prévoit de rajouter les termes "ce péril pouvant résulter d'une détresse psychosociale", à l’article 20 du projet de loi bioéthique. Celui-ci dispose donc désormais : «Lorsque l’interruption de grossesse est envisagée au motif que la poursuite de la grossesse met en péril grave la santé de la femme, ce péril pouvant résulter d’une détresse psychosociale, l’équipe pluridisciplinaire chargée d’examiner la demande de la femme comprend au moins quatre personnes…» Qui a souhaité que ce point soit davantage mis en luminance ? Le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), cité au cours des débats parlementaires, s’était déjà positionné à l’automne pour la prise en compte de la détresse psychosociale. «L’IMG d’indication maternelle implique une prise en compte des causes psychosociales "lorsqu’il y a péril grave pour la santé de la mère". Qui est concernée ? Dans un document sur le sujet, le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) explique que cette pratique, "mal connue" dans les services de gynécologie obstétrique, «concerne des femmes en situation de danger personnel, de violences, de difficultés psychologiques majeures ou d’extrême précarité, rendant impossible la poursuite de leur grossesse alors même qu’elles dépassent le délai légal de l’IVG de quatorze semaines d’aménorrhée. Ces situations rendent compte d’une bonne part des déplacements à l’étranger pour interruption de grossesse, néfastes pour la santé, onéreux voire inaccessibles pour certaines femmes.» Il peut s'agir par exemple d'une femme victime de viol ou d'une mineure victime d'inceste qui découvre sa grossesse après le délai légal. S'agit-il d'un allongement de délai ? Premièrement, notons que la loi prévoyait déjà que l’IMG puisse se dérouler sans restriction de délai, contrairement à une interruption volontaire de grossesse (IVG) qui doit se dérouler avant la douzième semaine de grossesse. Est-ce que nombre de femmes y ont recours ? Ainsi, comme l’expliquait Libération dans un article sur l'allongement du délai légal, selon le Planning familial, sur les quelque 7 000 interruptions médicales de grossesse pratiquées chaque année, environ 250 le sont au motif d’une détresse psychosociale de la femme. Pourquoi cet amendement ? Concrètement, ce texte n’introduit donc aucune mesure ou critère nouveau. Il ne fait que clarifier le droit, comme l’ont précisé les députés lors de discussions parlementaires. Pointant que la prise en charge de ces IMG est inégalement appliquée sur le territoire, le CNOGF préconisait alors de formaliser ces IMG : «Les situations difficiles, voire dramatiques que vivent les femmes justifient des processus de réflexion des équipes médicales dans la clarté et la transparence en utilisant complètement les dispositions légales de notre pays.» Sources : https://www.liberation.fr/checknews/2020/08/04/projet-de-loi-bioethique-les-deputes-ont-ils-autorise-l-avortement-pour-detresse-psychosociale_1795927 http://www.cngof.fr/actualites/677-img-psycho-sociale-position-du-cngof#:~:text=L'IMG d'indication maternelle,la santé de la mère ».&text=Le CNGOF recommande une formalisation,bilan annuel d'activité). En clair, ces brebis galeuses d'Alliance Vita, ainsi que de bon petits c(h)réti(e)ns suiveurs, s'insurgent que des enfants et des femmes victimes de pédophilie, d'inceste, de viol, puissent faire valoir leurs droits (loi de 2001) et avoir ainsi recours à une IMG pour cause de détresse psychosociale. Qu'il y ait une méconnaissance quant à ce droit, les arrange. Depuis quelques années déjà, nous assistons à une montée d'intolérance et à une radicalisation à propos autant de l'IVG, que de l'IMG (mieux toléré auparavant, du fait de ces bondieusards et populistes : il est plus que temps de benner toutes ces ordures.
  7. https://www.facebook.com/watch/live/?v=1130913053971747&ref=watch_permalink Le live via Brut. Et vive le sport !
  8. Le quartier des Champs-Élysées sidéré par les violences après la défaite du PSG EN IMAGES - Des dizaines d'individus ont renversé des voitures et brisé des vitrines dans la nuit de dimanche à lundi. 151 personnes ont été placées en garde à vue. Une voiture renversée rue de Magellan dans le 8e arrondissement de Paris, tout près des Champs-Élysées. LE FIGARO / JB Lundi matin rue de Bassano, une artère perpendiculaire aux Champs-Élysées, une odeur de brûlé flottait toujours. Au moins trois voitures ont été incendiées au cours de la nuit qui a suivi la défaite du Paris SG en finale de la Ligue des champions. Plusieurs vitrines de magasins ont également été brisées. Rue de Bassano, lundi 24 août au matin. LE FIGARO / JB Après le match, des tensions ont été constatées et des heurts ont eu lieu dans ce secteur pourtant interdit et quadrillé par les forces de l'ordre. «La sirène d'alarme a retenti vers 2h, nous sommes intervenus immédiatement mais la vitrine était déjà comme ça, par terre. Je pense que le patron n'est même pas au courant», nous raconte un agent de sécurité devant une boutique de design. «C'est une honte, 45 minutes que l'on attend les pompiers, il y a 50 enfants dans l'immeuble. Y'en a marre de ce pays qui brûle!», s'est insurgé au cours de la nuit à l'AFP un habitant de la rue dans laquelle une voiture a été incendiée. Plusieurs véhicules ont été renversés rue de Bassano LE FIGARO / JB Un peu plus loin, rue de Chaillot, Isabelle et Richard Jegado ont passé la nuit devant leur ancienne boucherie reconvertie en restaurant-traiteur. «On devait rouvrir ce matin, on a pris qu'une semaine de vacances, ils ont essayé de forcer la vitrine. À l’intérieur, il n'y a rien à part des pommes et des fraises. Ils ont cassé pour casser», nous raconte la propriétaire installée là depuis 1995. Au coin de la rue de Chaillot et de l'avenue Marceau, la brasserie et la pizza ont vu leurs vitrines voler en éclats. «C'est incompréhensible», dit une employée d'un hôtel. «Si on gagne, on casse, si on perd, on casse», ajoute-t-elle. Suite de l'article et vidéo : https://www.lefigaro.fr/actualite-france/le-quartier-des-champs-elysees-sidere-par-les-violences-apres-la-defaite-du-psg-20200824
  9. Si personne ne peut savoir, ni même la Justice, ne devrait-elle pas garder un impératif de modestie ? Ne devrait-on pas nous garder (enfin je devrais écrire vous plutôt, incluant la journaliste) de décréter que d'autres criminels auraient davantage mérité la grâce présidentielle ?
  10. Cela sent fort et c'est également très fort en bouche, même cuisinée avec tout le talent d'un grand chef. Il faut aimer en effet la rusticité, cette espèce de goût de charogne. D'autres préfèrent la finesse. Tout comme s'adonner au tir sportif. Après bien sûr, en sus, nous préférons manger de la viande qui n'a pas été traquée par une meute de pédezouilles, passablement ivres, et de leurs chiens (qui se prennent aussi des beignes)... trouée d'une multitude de balles et blessée au préalable par l'automobiliste qui n'aura pas pu l'éviter. Toutefois, les antispécistes sont aussi des lourdingues.
  11. Merci maître Capello. Ces hommes ne sont pas exemplaires, vertueux. Enfin dans le meilleur des mondes, ils ne devraient être des exemples à suivre. Jamais sans mon Larousse, sans encyclopédie, pour écrire, comme Solaar. Et s'il subsiste un doute, restent les synonymes. https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/édifiant/27840 http://www.synonymo.fr/synonyme/édifiant
  12. En passant par la curée sur les réseaux sociaux...
  13. Cela fait bien longtemps que cette brutalité est dénoncée par des femmes, que des hommes, suivis de femmes, s'empressent de faire passer pour des chieuses ou des coincées. Je pense davantage à de la paresse, qu'à un masochisme choisi, de la soumission. Il nous a été imposé un modèle, un référentiel masculin, surtout en général. Il s'agit de penser "en dehors de la boîte" (pour franciser l'expression). Il est toujours délicat de défendre la possibilité de porter le voile sans être taxé(e) d'islamo-gauchiste d'une part, et d'autre part c'est aussi encore très compliqué de dire que l'on n’aime pas voir des femmes voilées en France (ou en Europe) sous peine d'être identifié(e) à des positions fascistes grotesques. En République, le débat doit pouvoir avoir court, être ouvert, même en ce qui concerne la religion (et peut-être même surtout, et quelles qu'elles soient). Je suis pour l'égalité homme femme, si bien qu'il ne m'est pas possible de défendre un vêtement politique qui veut que la Femme couvre ses cheveux afin de ne pas tenter les hommes. Pareillement en ce qui concerne les proviseurs zélés qui renvoient les jeunes filles chez elles puisqu'elles portent un basique débardeur, qui déconcentrerait les garçons. En outre, il m'est impossible de défendre et d’encenser la pornographie mainstream, absolument aliénante pour les femmes. J'ai envie de me placer du côté de la Femme qui se libère. L'infériorisation des femmes est un phénomène universel, résultat d'un système patriarcal, qui doit être remis en cause. Il serait tout de même temps. La désexualisation du corps féminin reste l'enjeu de la libération des femmes. Certain(e)s penseurs-ses proposent de faire du corps masculin un objet du regard, du désir, afin de contrebalancer... ce qui ne me semble pas plus respectueux envers les hommes, si c’est fait excessivement, comme pour nous autres. Il faut surtout arrêter avec un consumérisme des corps.
  14. Des mots faciles, des mots fragiles... Moi les mots tendres enrobés de douceur se posent sur ma bouche mais jamais sur mon coeur #team Dalida Par observation, la drague ne fonctionne pas bien. Il y a d'autres profils d'hommes et de femmes qui savent faire tout à fait autrement. On peut avoir un véritable intérêt mutuel lors d'une soirée chez des amis communs puis continuer à développer cet intérêt, au fil du temps, par exemple. La drague dite lourde s'apparente à du harcèlement, pour ne pas dire, que c'est synonyme. Avoir l'autre à l'usure, en la terrorisant, en usant de toujours plus de stratégies, n'est pas franchement édifiant, admirable. Les dragueurs se sont permis d’être lourds, puisque la société a très longtemps laissé faire. C’est un héritage bien lourdingue. Le voile islamique veut dire aux femmes qu'elles sont propriété de leur père, du patriarche, avant de devenir propriété de l'époux, du futur patriarche. C'est une cession. C'est vous Machin ? Mais pourquoi diable est-ce que votre nouveau pseudonyme évoque t-il une literie grand public ?
  15. 166 femmes exécutées par leur conjoint en 2012 dans l'indifférence générale. J'aurais tendance à penser que cela se situe plutôt là. Je ne te demande pas ce qu'est un conflit de loyauté. Je te demande si tu considères ces femmes, comme des menteuses ?
  16. Je n'écrirais pas qu'elle me fait gerber, simplement qu'elle est perfectible et que ses fidèles (au sens sectaire) font froid dans le dos. Votre question est mal formulée (à mon goût) : il n'est pas question d'envisager qu'elle n'ait été qu'une victime, plutôt qu'elle ait été aussi une victime. Les victimes qui sont aussi meurtrières, bénéficient tout de même de peines moins lourdes. Ce qui donne le sentiment que ce procès a été torché, par deux fois. Ce n'est pas encore tout à fait cela, cependant au regard du nombre -toujours croissant- de femmes battues, abusées, et exécutées par leur conjoint, il semblerait que nous commencions à -à peine- être sensibilisés quant à ce fléau. Leurs filles sont des menteuses ?
  17. Pouarf, il avait raison, cette fois-ci : la vieillesse est un naufrage.
  18. On peut toujours débattre des opinions. Rarement, des faits. Aucun souci avec le fait que cette femme ait fait de la prison (il y a eu mort d'homme). Aucun souci avec le fait qu'elle ait été graciée (elle a purgé 4 ans de prison et c'est un des pouvoirs du chef de l'État). De mémoire, en 2012, certain(e)s souhaitaient qu'il soit considéré définitivement (et non seulement dans le cadre de l'affaire Sauvage) qu'une victime de violences (psychologiques, physiques) soit estimée comme étant en état de légitime défense permanent. Axer sur la légitime défense (permanente) et alors que l'homme a été abattu de dos, au moyen d'une carabine, n'a pas été une bonne stratégie. C'est même très maladroit. La violence de la mort de cet homme aura aussi marqué les esprits. Différents procès ont eu lieu au sujet de femmes battues qui ont finalement commis le meurtre, parfois au moyen d'une arme blanche, à l'exemple d'une co-détenue de Jacqueline Sauvage, qui a écopé de 8 ans de prison, ou qui ont étouffé l'homme de leur quotidien. Est-ce que ces mêmes procès, plaidés en 2020, auraient mené aux mêmes sentences ? Jacqueline Sauvage, le symbole des violences faites aux femmes ? Non. Néanmoins, commettre le meurtre pour une victime, fait partie du champ des possibles, encore et malheureusement, et c'est un exemple de ce qui peut arriver. À nous de générer le moins possible de Jacqueline Sauvage. Il y a quelque chose à faire quant à un entourage (famille, voisins, relations professionnelles etc...) qui préfère fermer systématiquement les yeux quant aux violences conjugales, considérant qu'il s'agit d'affaires privées. Même chose en ce qui concerne les enfants battus. Nous pourrions parler d'individualisme, de manque de civisme et d'empathie, de non assistance de personnes en danger... Les langues se déliant quand il est bien trop tard. Il y a quelque chose à faire quant à une Justice (si je ne le sacralise pas, j'y mets tout de même encore une majuscule de prestige), qui préfère culpabiliser les femmes battues quand "elle" ne "comprend" pas pourquoi elles ne quittent pas le domicile conjugal, quand elle ignore (peut-être pas délibérément) l'emprise de ces hommes sur des femmes. La Justice est en quelque sorte une influenceuse, ainsi nous verrons des interlocuteurs tenir exactement les mêmes discours. Il est nécessaire que les mentalités évoluent. Tout indique qu'il s'agissait bien d'une femme battue. Tu préfères prêter crédibilité aux médias Closer et à une journaliste aux dents longues, plutôt que de prendre en compte le témoignage des filles de Jacqueline Sauvage, et encore de ses voisins (de l'entourage proche). Tu préfères annihiler qu'ils aient pu témoigner, tout en te plaignant que d'autres ici, puissent avoir un avis contraire. Pour le reste, merci d'avoir encore illustré mon propos. Ta croisade en ce qui concerne les réseaux sociaux, ta sacralisation de la Justice également, t'empêchent de raisonner à l'endroit.
  19. Une question qui commence par "donc" ? Vous voilà suffisamment renseignée, alors, je l'espère.
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