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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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Pourquoi les romantiques ne sont jamais heureux en amour ?
Mórrígan a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Plus l'on se sent amer, plus on le devient. C'est un énième cercle vicieux, inextinguible. L'amertume n'est pas le fruit d'une volonté. Elle est instinctive. Lui résister est un acte profondément volontariste. Le romantique tel que vous le décrivez, en phase terminale, est un grand passif. Le roi pouvait se permettre de répudier son épouse pour une raison bancale, et prendre une nouvelle épouse ensuite. Alors qu'il était prince, il était monnaie d'échange. -
Bonjour, La loi Elan, depuis 2018, facilite l'expulsion des squatteurs (c'est immédiat). C’est un discret amendement opéré par les parlementaires qui devrait redonner le sourire aux propriétaires. Jusque-là, les occupants illégaux pouvaient bénéficier d’un délai légal de deux mois, prévu par l’article L 412-1 du Code des procédures civiles d’exécution, «entre le commandement de quitter les lieux et la mise en œuvre effective de l’expulsion». La future loi logement, dans sa version actuelle, prévoit de le supprimer, comme le précise son article 58 ter voté par la commission mixte paritaire (composée de députés et de sénateurs). «C’est un vrai soulagement pour les propriétaires, explique Me Romain Rossi-Landi, avocat parisien. Le laxisme de la justice envers les squatteurs les écœurait et ne les incitait plus à louer leur logement». https://immobilier.lefigaro.fr/article/logement-la-loi-durcit-enfin-le-ton-avec-les-squatteurs_179c583a-c320-11e8-ad1e-60c1e544ba7a/ Si ceci devait vous arriver, soyez procéduriers afin que cela ne se retourne pas contre vous (pas de pétage de dents, surtout), les forces de l'Ordre devraient pouvoir vous aider à déloger rapidement les squatteurs. Je vais sans doute écrire là quelque chose d'inaudible pour les propriétaires "qui ont la rage et l'esprit revanchard", toutefois, les squatteurs sont aussi parfois abusés par cette fameuse "tierce personne" qui prend la poudre d'escampette après avoir fait signer un bail bidon et empoché une coquette somme. Ces squatteurs sont également victimes.
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Où avez-vous été chercher -je cite- que "derrière chaque IVG, il y a un homme qui pousse la femme à le faire" ? C'est très assertif. Prouvez-le-moi maintenant. Vous êtes athée, Morfou ? De quelle liberté sexuelle, voulez-vous donc parler ? Se faire tirer par les cheveux, subir la strangulation, être soumise au bukaké, aux douches dorées... vous considérez que c'est la liberté cela ? Il y a eu une révolution davantage contraceptive et une légalisation de l'avortement. La révolution sexuelle reste à venir.
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Chiche ! Qui peut le plus, peut le moins : si la France a reconnu aux femmes le droit d'interrompre leur grossesse, par volonté, alors elle entend aussi qu'un avortement thérapeutique puisse être réalisé alors que la santé de la femme enceinte et/ou de son enfant est en cause. Des femmes sont décédées en Irlande et en Italie puisque des médecins ont fait valoir une objection de conscience vis à vis de cet acte médical. Peut-être êtes-vous pressé de voir ceci arriver en France. Je préfère éviter de sacrifier des femmes, personnellement. Vous pourrez vous exprimer quant à l'avortement -à titre personnel toujours- dès lors que vous vous serez fait greffer un utérus. Mais pas avant.
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Après les 158 interpellations pour des violences et des pillages près des Champs-Élysées à la suite de la défaite du PSG dimanche, quinze personnes étaient jugées à Paris ce mardi en comparution immédiate, pour «violences sur personne dépositaire de l'autorité publique», «vols aggravés» ou «recels». Le premier dossier est celui d'une jeune femme née en 2001. Elle aurait lancé des pétards en direction des forces de l'ordre sur les Champs-Élysées. «Je ne les avais pas vus, vos collègues, j'ai acheté ce pétard 1,50 euro, je ne voulais faire de mal à personne», plaide-t-elle. «Ce ne sont pas mes collègues…», répond le président. Interrogée sur ses projets, elle assure vouloir suivre une formation à Lyon pour devenir infirmière militaire, «mais si vous marquez ça dans mon casier, ils ne me prendront pas», déplore-t-elle. «Quel étrange comportement pour une infirmière...», s'interroge le président. Elle écope de quatre mois d'emprisonnement avec sursis. Derrière le pan de cellophane scotché sur le box, le second prévenu, 21 ans, est accusé de recel. Il porte une chemise Café Coton, l'une des marques pillées ce soir-là. «J'ai trouvé les chemises et la bouteille de champagne dans un sac à côté de l'Arc de triomphe», explique-t-il aux juges. «Mais les chemises ne poussent pas par terre, Monsieur, non ?», ironise le président. Le prévenu écope de 105 heures de travaux d'intérêt général. Cissé, également âgé de 21 ans, est aussi accusé de recel de chemises, de la marque De Fursac cette fois-ci. «C'est les policiers qui l'ont mis dans la fouille», tente-t-il. «Est-ce que vous mesurez la gravité de ce que vous dites», se hérisse le président. Un autre jeune de 18 ans a également été interpellé avec un pull Sandro à 390 euros et un chemisier à 165 euros, «ramassés au sol», précise-t-il. «Décidément, c'est une manie», s'exclame le président. https://www.lefigaro.fr/actualite-france/violences-a-paris-apres-la-defaite-du-psg-15-personnes-jugees-mardi-enquetes-sur-le-pillage-de-bijouteries-20200825
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Certain(e)s ne considérant pas Lilith. Vous êtes d'accord avec absolument toutes les thèses de Girard ? Tout comme l'arrêté municipal peut mentionner l'interdiction de porter des strings, comme ce serait le cas à "Paris plage". L'essentiel étant que la population en soit clairement informée. Vous savez très bien faire la différence entre regarder et bloquer sur une personne (c'est votre dadaïsme qui vous reprend). Quand un homme bloque sur une femme, comme s'il s'agissait d'une danseuse du Pink Paradise, alors qu'elle retire simplement sa robe de plage, c'est qu'il a un sérieux problème de cul. Dans une vie de femme, on en croise plusieurs des comme ça. Bloquez sur la poitrine de votre femme, ça lui fera plaisir (^.^). Laul. S'il s'agissait seulement d'interdire d'interdire, si la jouissance se trouvait dans la transgression, alors nous serions tous et toutes, pédophiles, zoophiles et encore nécrophiles...
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Il s'agit plus précisément de "on" qui est un indéfini. De n'importe qui en somme, plus que de nous, en particulier. Les religions ne me sont pas dérangeantes tant qu'elles ne sont pas hostiles et prosélytes, tant que des regards torves ne sont pas lancés aux incroyants aussi... Il y a la théorie et puis, il y a toujours la pratique. Dans l'enfermement des appartements, la République est le plus souvent impuissante. Un communautarisme s'observe au sein de toutes religions, même si l'Islam est le plus souvent pointé, peut-être aussi puisque la France a un bâti judéo-chrétien. Ailleurs, c'est le christianisme qui pourrait déranger. Le protestantisme parvient à s'imposer, de plus en plus. Vous observez, avec l'Histoire, qu'une religion en a souvent chassé une autre (pour ne pas écrire toujours). Qu'il s'agisse de politique, de religion, l'heure semble être à la radicalisation. Je ne sais trop par quel miracle, ça ne se passe encore pas si mal. Toutes les religions sont vendues comme des religions de paix. Les parents qui ont à coeur d'ouvrir leurs enfants à la spiritualité, évitent surtout de les conditionner, de les entraver, depuis le plus jeune âge. Elles achètent la paix. C'est un sacrifice. Mon grand père disait toujours que la chevelure est la plus belle parure de la Femme. Qu'il était clairvoyant ! Le voile demeure patriarcal. Il n'a rien de sacré. Est-ce que les médias auraient intérêt à rappeler aux femmes que l'Islam n'impose pas le voile ? Sont-ils philanthropes ou bien se nourrissent-ils de nos conflits ? Vous imaginez une actualité positive, permanente ? J'ai créé un fil positif pendant le covid, lassée de voir s'accumuler les hospitalisations et les féminicides, il n'a pas eu grand succès... Est-ce que les gouvernements successifs se sont sentis réellement concernés par la cause féminine ? Sont-ils vraiment humanistes ? Je ne le crois pas non plus. De tant à autre, ils lancent une mesurette par pur électoralisme. On encadre : le voile n'est ni autorisé à l'école, ni au collège et au lycée (certaines transgressent pourtant), pourquoi l'autoriser à la faculté ? Dans la rue ? Il n'y a pas si loin, le voile était porté seulement au moment de la prière.
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En principe, les chasseurs sont plutôt rustauds et bagarreurs (comment oublier la pelle et le slip bleu ?). Ils arrivent déjà plutôt bien à se "canarder" entre eux : https://www.lefigaro.fr/flash-actu/oise-un-chasseur-tue-accidentellement-un-autre-chasseur-20200901
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Toutes ces couleurs, toutes ces différentes tailles de police... L'impression de passer la visite annuelle chez l'orthoptiste. La technique du colis a été éprouvée. Il a toujours agi avec préméditation pour les viols. Mais en ce qui concerne le meurtre c'est que je me demande aussi : pourquoi a t-il ôté la vie à cette jeune fille, alors qu'auparavant il glissait un couteau non loin de la victime ligotée afin qu'elle se libère après qu'il l'ait violée ? http://Les criminels ne souffrent en définitive que de pathologies propres à l'espèce humaine. Ne jamais répondre à une demande d'aide émanante d'un étranger, ni même d'une vague connaissance (on ne sait jamais). Cette enfant a payé sa bonne éducation. C'est d'une tristesse.
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Il y a effectivement une série d'étapes dans la procédure judiciaire à respecter et amenant à retarder l'exécution de l'individu. Cependant elle n'explique pas à elles seules le coût faramineux de la peine de mort au moyen de l'injection létale. La procédure requérant le peine de mort coûte en moyenne 20 fois plus qu'une autre procédure. Ce qui pourrait s'expliquer partiellement par un complément d'enquête (à l'initiative du procureur). Les entreprises pharmaceutiques en Amérique et en Europe refusent aussi d'approvisionner le système carcéral américain. Elles ne veulent plus voir leur nom associé à la peine de mort. Se procurer le cocktail de produits afin d'euthanasier les criminels devient de plus en plus compliqué et de plus en plus onéreux a fortiori. L'un des produits a été remplacé pendant un temps par du cyanure, le prisonnier meurt à petit feu dans des souffrances terribles, ce qui a fait scandale. Le midazolam, destiné à l'anesthésie, s'est avéré également non assez puissant. Il n'y a véritablement aucune façon douce et digne d'ôter la vie à un être humain. Seules les sociétés les plus archaïques s'accrochent à la peine de mort. Les victimes se font effectivement laminer et non seulement par une cour. Le processus judiciaire, qui se prolonge sur plusieurs années, peut être compliqué à vivre pour la victime. Elle doit rapporter la preuve de la réalité des faits à différents intervenants (enquêteur, membre d'un bureau d'aide aux victimes, avocat, expert psychologue, juge d'instruction...) et souvent à plusieurs reprises. Il lui faut tenir bon encore dans le cadre d'une confrontation, se déroulant dans le bureau du juge d'instruction, en présence de l'auteur présumé. Et puis, il y a aussi l'entourage, qui voudrait bien aider, soulager mais qui ne sait pas quoi faire de sa peau. S'installent des non-dits. Le voisinage curieux finira par savoir. Pendant tout ce temps, les victimes peuvent avoir la légitime impression de mener un parcours du combattant. Dans le meilleur des cas, elles répètent encore et encore ce qui leur est arrivé, en supportant que leur parole soit mise en doute, constamment. Ce qui fait partie d'une procédure, peut être pourtant éprouvant, d'un point de vue humain. Une horreur... ne serait-ce qu'imaginer le calvaire que cette pauvre gamine a vécu, à quelques pâtés de maisons de chez elle fait froid dans le dos. Il faut en parler avec les adolescents. Les mettre en garde, prévenir, tout le temps/toujours. En cela l'information, les faits divers servent de support (malheureusement). C'est très humain de le faire, même si nous savons aussi que les criminels ne souffrent en définitive que de pathologies propres à l'espèce humaine. C'est peut-être une façon de se protéger de la sordidité, de l'horreur. Pour la plupart d'entre nous, le criminel est une entité maléfique que l'on préfère chasser au plus vite de l'esprit tant il nous emplit d'effroi. Certains prennent le temps tout de même de se délecter du récit de leurs crimes afin de se jauger ou de se rassurer effectivement (ce n'est pas le cas de tout le monde). Manichéisme que l'on retrouve au plus profond des religions, notamment.
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Ou en l’occurrence, d’éviter de lui demander de dégager avant de lui sauter à la gorge.
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Il y a une volonté de banalisation via ces vidéos plutôt improbables -mention spéciale pour celle où l’on peut voir deux « meufs » parler comme « as » de la chasse à cour- ainsi que la propagande au moyen des réseaux sociaux, avec le concours d’influenceurs-chasseurs. Plutôt en accord avec cette internaute qui souligne que « l’ancien monde » a échoué dans sa campagne marketing. La communauté des chasseurs reste minoritaire d’une part, privilégiée lors de ce quinquennat, de l’autre. Comme bien souvent, les minorités sont très demandeuses et braillardes. Il suffirait d’en revenir à un peu plus d’équilibre (moins de passe-droits pour les chasseurs) afin de contenter tout le monde. Parce que la forêt, finalement c’est comme la route, ça se partage. Je ne connaissais pas du tout, après avoir entré les nom et prénom de Miss Marcassin dans mon moteur de recherche, une photo, parmi d’autres selfies et fusils, m’a interpellée : Merci à tous pour vos nombreux messages de soutien . Quant aux faits, avec la plus grande sincérité, voici ce qu’il s’est passé : samedi soir, aux abords d’une soirée arrosée entre amis, un individu m’aborde, me fait des remarques désobligeantes et refuse de partir. Énervée, je le frappe voilement. Évidemment, je ne fais pas le poids...Quelques minutes plus tard, mon conjoint arrive sur place, mais le mal est fait, plus personne sur les lieux... Je pars avec les gendarmes et les pompiers. Voilà. Je sais pertinemment que je n’aurais pas dû réagir comme je l’ai fait, mais il est dommage de devoir en arriver là quand on revendique sa passion... Divers messages de félicitations et d’encouragements ont suivi, dont Monique du 42 encore plus fière que la Jojo (à ne pas confondre avec le jaja) soit porte-étendard de la chasse. Il y a pleins de petits mots sympas, aussi, à l’endroit des « anti-chasse ces salauds » plus généralement. Beaucoup de poses avec trophées (NDLR ce qu’ils appellent des « prélèvements« ). Purs moments de grande littérature et d’émerveillement pour l’internaute ébahi. Sans ironie aucune, cette fois, pas sûre que le choix de l’égérie soit si judicieux. Elle (ré)conforte les beaufs dans leurs habitus sans nul doute, mais elle ne démocratise rien.
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C’est une réflexion additionnelle. Je n’ai pas écrit que vous aviez écrit (ou que vous pensez) revanche, pas de souci. Merci également à vous.
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La question que vous soulevez est intéressante et pourrait faire l’objet d’un sujet à part entière, en société. La prison n’est peut-être pas la solution, c’est la seule que nous ayons trouvée, pour le moment, afin de protéger un maximum de citoyens d’une part, et de ne pas verser dans les mêmes violences et pathologies que ces criminels, de l’autre. La peine de mort est aussi une arme, et il me semble que les décisionnaires ne sont ni omniscients ni toujours sages. Je lisais récemment ces propos, qui me semblent très justes : Toutefois, comme l'écrit M. Pierre-Henri Imbert, directeur général des Droits de l'Homme au Conseil de l'Europe (1), il convient de garder à l'esprit que « La revanche découle de notre caractère et de nos instincts, mais pas de la loi. Celle-ci ne peut obéir aux mêmes règles que la nature humaine. Si le meurtre semble naturel au genre humain, la loi, elle, n'est pas faite pour imiter ni reproduire cette nature. Elle est faite pour corriger la nature. » http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/peinedemort/
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Hello Paul, C’est apparemment toujours moins coûteux pour la société.
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C’est là que le dialogue aurait de l’importance (le débat visant à imposer son idée à l’autre).
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La peine de mort par injonction létale, qui est la plus douce, est un gouffre financier. Des États américains sont endettés. Une réelle perpétuité pourrait aussi faire réfléchir ces prédateurs. Certains ne sont jamais passés à l’acte et se définissent « abstinents ». Ils sont également sous suivi psychiatrique.
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Et les tisons ardents sur les côtes.
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Et pourquoi pas l’écartèlement sur la place publique et les latrines au fond des jardins aussi ? En accord, il ne faut pas attendre qu’il y ait un meurtre, comme ici. Soyons pro-actifs au lieu d’être seulement réactifs.
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Il y a déjà des sujets dédiés à Fourniret. Merci de respecter celui-ci.
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Condamné à 15 ans, auparavant. Cela faisait 4 ans qu’il n’avait pas violé. Certains étaient confiants. Et pourtant, il n’y a jamais de rémission. Un violeur en série, violera encore et toujours. Les remettre en liberté, c’est faire courir des risques aux innocent(e)s. Cette pauvre enfant, serviable, en a fait les frais. Quelle tristesse. Entre les exécuter et les relâcher, il y a quand même d’autres solutions : les garder en prison, les castrer chimiquement et les garder en prison... Est-ce que les parents réclament la peine de mort ? Véritable cumul des peines et perpétuité incompressible. Pour effacer son passage, peut-être ?
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Notre pays autorise bien des choses. Mais, dans les faits est-il aisé de se convertir à l’Islam alors que l’on a été conditionné au christianisme ? Que l’on a baigné dans ce milieu ? Que toutes les connaissances ou presque sont chrétiennes ? L’inverse ? N’y a t-il pas des incompréhensions ? De l’hostilité ? Du rejet ? Quel traitement réserve t-on à celui qui décide (cette fois) qu’on ne le forcera plus à croire ? Est-ce que les religions judéo-chrétiennes et musulmane font preuve d’une grande ouverture, d’une grande tolérance, les unes envers les autres ? Envers les non déistes ? Le choix n’est pas laissé aux enfants dans ces familles imprégnées de religion. Pas plus qu’aux femmes. Il n’y a pas de liberté de soumettre. La soumission n’est pas le fruit d’une volonté. Elle est instinctive. C’est lui résister qui est un acte profondément volontariste. Des femmes sont masochistes, les autres paient pour rien. Il y a quelques semaines, par un temps caniculaire, je laissais passer une famille au passage piéton. La femme était voilée et couverte de pied en cap de vêtements sombres et amples, tout comme sa fille, à laquelle je ne donnais même pas 10 ans. Cela glace le sang. Il y a quelque chose à faire pour ces femmes et ces filles, j’en suis persuadée. Et la loi, peut encadrer cela. Vous proposez quoi ? On encadre et on éduque.
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Nantes : un homme reconnaît le viol et le meurtre d'une adolescente retrouvée dans une maison en feu Le quadragénaire, déjà condamné pour une série de viols et tentatives de viols, a été mis en examen et placé en détention provisoire. Jeudi 20 août, dans le centre-ville de Nantes, C., 15 ans, sort de chez elle vers 16 heures pour aller récupérer un colis. À 17 heures, ne la voyant pas revenir, sa mère s'inquiète. Moins d'une heure plus tard, le corps de C. est retrouvé par des pompiers en intervention dans une maison en feu située rue Adolphe-Moitié, tout près du domicile de la jeune fille. Une semaine après le drame, un homme a avoué le viol et le meurtre de C., a annoncé le procureur adjoint de Nantes Yvon Ollivier samedi 29 août, à l'occasion d'une conférence de presse au palais de justice. «La victime passait par là, elle a eu le malheur de lui plaire», a déclaré le magistrat. Dans la soirée de samedi, François V. a été mis en examen et placé en détention provisoire. Le quadragénaire avait été interpellé et placé en garde à vue jeudi 27 août. Sa compagne, interpellée en même temps que lui, a quant à elle été relâchée. En garde à vue, le suspect s'est très vite livré. «Il nous a dit clairement être venu à Nantes ce jour-là pour chercher un logement désaffecté pour pouvoir passer à l'acte. Il est ensuite descendu et a trouvé une victime qu'il a réussi à faire monter dans l'immeuble» en lui demandant de l'aide pour porter un carton, a déclaré le procureur adjoint, selon l'AFP. Il aurait ensuite violé et étranglé C. avec un câble, puis mis le feu à l'appartement à l'aide d'eau de javel et d'allumettes. Suite de l’article : https://www.lefigaro.fr/actualite-france/nantes-un-homme-reconnait-le-viol-et-le-meurtre-d-une-ado-retrouvee-dans-une-maison-en-feu-20200829
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