Mórrígan

Seulement s'il a de l'argent. Et c'est mignon, cela renvoie aux douceurs.

Mais voyons dans ce sens-là, c’est tellement normal ! Il n’existe pas de « monsieur cougar », ni de « father » ou encore de « grandpa’ » coquin, dans le langage familier, et pourtant c’est quand même bien du pareil au même.

D'accord, alors quand tu as pris la mouche -et que tu t'es un peu énervé- il y a quelques années, alors que je t'ai répondu de "bien astiquer tes bois", suite à un récit de l'un de tes déboires amoureux, c'est que ton égo a du mal à passer les portes... C'est bien de le savoir. Et force est de constater que des mères font encore le jeu du patriarcat. Les filles sont censées avoir des traits de caractère tournant autour de la sériosité et la responsabilité tandis que les garçons sont mous et fainéants... et tout le monde joue parfaitement son rôle : les filles sont plus sollicitées pour les tâches ménagères que les garçons par exemple. C'est dommage parce que cette éducation génère et des boniches et des pots de nouilles. L'écoute et l'échange d'idées, dans le plus grand calme. Satisfait ? À l'évidence, c'est toi qui as choisi de la fermer (ta gueule). Comme cela ne te suffit pas, tu enjoins les femmes également au mutisme.

Les personnes susceptibles sont souvent des sensibles. Ah ce n'est pas comme cela qu'on fait ? Zut alors. Bien sûr que les hommes ont aussi un QI et une sensibilité, sauf que les injonctions viriles portées par une éducation paternaliste ne les laissent pas vraiment s'exprimer. Toutes les femmes ne sont pas attirées par les beaufs. Celles qui le sont viennent souvent du même milieu social et force est de constater qu'ils se reproduisent (beaucoup) et génèrent donc des enfants qui auront du mal à s'extraire de cette sphère (faudrait-il encore et aussi qu'ils le veuillent), ainsi cette façon d'entendre les rapports homme-femme, à l'aune du patriarcat, perdure dans le temps. Je choisis le dialogue et l'éducation afin de contrer le patriarcat. J'obtiens d'excellents résultats. Que tu continues de faire la sourde oreille -puisque c'est confortable pour toi- ne me pose personnellement pas de souci, mais par pitié ne viens pas expliquer aux femmes, comment elles doivent être féministes (merci), parce que c'est déplacé.

C'est pourtant l'expression d'une idée : allez tous vous faire...voir.

"Comme n'importe qui d'autre Twitch (filiale d’Amazon) a supprimé deux commentaires de Donald Trump, quand il a assimilé les immigrants mexicains à des « violeurs » pendant des meetings de campagne, en 2015 et récemment, à Tulsa. La plateforme, d’abord conçue pour la diffusion de parties de jeux vidéo en direct, s’est progressivement ouverte à d’autres « diffuseurs » qui peuvent créer leur chaîne, des personnalités politiques aux artistes. Mais quand le président a lancé la sienne l’année dernière, Twitch a fait savoir à son équipe que « comme n’importe qui d’autre, les politiques doivent accepter nos conditions d’utilisation et nos règles pour la communauté. Nous ne faisons pas d’exception pour les contenus politiques ou au nom de l’intérêt du public ». https://www.lapresse.ca/affaires/techno/2020-06-29/haine-et-racisme-les-plateformes-forcees-de-sevir.php Les réseaux sociaux font valoir leur charte. Tout le monde y est soumis. Seul Facebook semble rester dans le laisser faire, pour le moment.

Vous n'avez pas des perruques blondes à coiffer, vous ?

Bonjour Prométhée_Hadès, check, J'ai toujours refusé de voter contre, de faire barrage, pour ma part ou de voter pour "le moins pire" #Bescherellemonamour Je peux voter blanc. Le vote blanc c'est aussi s'exprimer, dire qu'aucun des candidats ne trouvent grâce à nos yeux. N. Dupont-Aignant avait inclus, dans son programme, la prise en compte réelle des votes blancs. C'était une vraie bonne proposition, qui n'intéresse généralement pas les politiques (et pour cause puisque c'est leur kryptonite). Même chose en qui concerne une moralisation de la vie politique. Bon ensuite, il s'est allié à MLP et ça a été la bérézina. Pour en revenir aux dernières présidentielles américaines, il reste trois mois à Trump pour mettre le bazar et il met déjà du coeur à l'ouvrage : https://www.lalibre.be/international/amerique/elections-us/vague-de-departs-au-pentagone-donal-trump-jusqu-au-boutiste-nomme-des-fideles-5fabda287b50a6525b284e13

Toujours pas.

Qu'est-ce qui empêche Ruffin, qui est plutôt populaire auprès de l'électorat LFI -et tout de même un peu plus intelligent que Mélenchon- de quitter le parti, de s'en créer un nouveau et devenir présidentiable ? Il a tout le temps pour ce faire. En cela, Macron peut être inspirant, il nous a montré que cela peut fonctionner. Nous pouvons constater que les vieux briscards, dont Mélenchon, s'accrochent au pouvoir (le confisquent) et alors qu'absolument tous les partis demanderaient un bon coup de jeune. C'est aussi valable à l'international, comme nous avons pu le voir encore tout récemment lors des présidentielles aux Etats-Unis (tous deux sont des dinosaures). Des idées et de la motivation, il y en a... mais il faut faire place. Et les primaires, qui nous viennent -how bizarre- des States n'arrangent rien puisqu'il s'agit de sélectionner, pour l'autre parti, le candidat qui aura le moins d'idées et de charisme... Elles génèrent des François Hollande. Il faut faire sauter cela aussi. Je crois que nous allons nous faire des cheveux, encore. NB : La candidature de M.Le Pen, c'était attendu, il y a une passation familiale du pouvoir à l'extrême-droite.

Si Bannon a été banni de Twitter, si Trump se fait de plus en plus modérer, cela montre qu'un cadre a bien été défini a priori, qu'ils n'ont pas respecté (comme d'autres). Il y a une charte même sur Twitter (que peu prennent le temps de lire) : https://help.twitter.com/fr/rules-and-policies/twitter-rules Il convient toujours de fixer un cadre et d'autant que bien des hommes ne sont pas sages/sont toujours tentés de s'octroyer des libertés et des droits, qui n'existent pas : il n'y a pas de liberté d'inciter à la haine. Les internautes qui propagent la haine, montent des cabales, se font rattraper par la culotte (et c'est bien normal). Vous vous valez l'un et l'autre.

150000 voix, finalement, c'est insignifiant. Requérir ces voix populaires, est aussi une façon d'évincer ses adversaires, de clamer une légitimité. Un candidat plus présentable et plus jeune, aurait pu lui voler la vedette. Si peu de temps après sa sortie à propos des tchétchènes et alors que tout le monde se souvient encore de son esclandre lors d'une perquisition ("Ma personne est sacrée"), maintenant et si tôt, est-ce vraiment raisonnable ?

N'importe qui de sensible, de susceptible pourrait t'en tenir rigueur. Si j'étais ton paternel, je t'enverrais une bonne claque sur l'épaule afin de féliciter d'avoir su si bien nous parler de tes couilles (au contraire). Le souci, vois-tu, avec ta dernière assertion, c'est que les couples sont souvent très bien assortis. En outre, une grève des sexes par exemple, alors que le conjoint, le mari est pro-choix, est totalement idiote (Alyssa Milano l'a fait) : les anti-choix/natalistes ne vont pas renoncer à leurs idéologies, par pure solidarité masculine. Je soupçonnerais même que cela les arrange. La mère au foyer est plébiscitée par les populistes. Il me semble que MLP prévoyait de leur verser une pension (afin qu'elles continuent à être des boniches). C'est ton point de vue et c'est toi qui laisse le patriarcat subsister et attaquer. Tu connais le dicton : "Qui ne dit mot, consent".

La liberté d'expression comprend-elle l'apologie de la haine ? Si oui, cette apologie se doit-elle de rester impunie et alors que l'on accorde un caractère sacré à la libre expression ? "En cause, les propos qu’il a tenus hier dans son émission quotidienne War Room, Pandemic, incitant à la décapitation d’Anthony Fauci, expert en maladies infectieuses et «M. Covid» des autorités américaine n'ayant pas peur de contredire les propos de Trump sur le virus, et Christopher Wray, directeur du FBI: "J'aimerais qu'on revienne aux temps anciens. Je mettrais leur tête sur un piquet et je les mettrais sur les deux côtés de la Maison Blanche". Diffusée en direct sur Facebook, puis partagée ensuite sur Twitter et Youtube, la vidéo a ensuite été retirée des trois plateformes pour "incitation à la violence", allant à l’encontre des règles établies par les géants du numérique". https://www.liberation.fr/planete/2020/11/06/steve-bannon-banni-de-twitter-apres-un-appel-a-la-decapitation_1804782 Pour info, Christopher Wray, victime du courroux de Bannon, aurait refusé d'investiguer sur la famille de Biden. Twitter est bien trop démissionnaire en matière de modération. Il faut que des tombereaux et des tombereaux de fèces aient été déversés afin qu'ils se décident -tardivement- à réagir. Ce réseau social a bâti sa notoriété en comptant sur les clashs et les cabales. C'est une poubelle à ciel ouvert, définitivement. Ce qui se déverse via le compte de Trump et ceux de ses acolytes, c'est la haine, l'obsession complotiste, le primat donné au racisme et à la misogynie. Ces discours sont séduisants, sacrés, pour des individus armés jusqu'aux dents. Concrètement, c'est la mort. "Les policiers sont intervenus peu après 22H00 et ont interpellé deux hommes à proximité du Hummer, a précisé le Philadelphia Inquirer. Le véhicule était porteur d'autocollants affichant des messages associés à QAnon, un mouvement complotiste d'extrême droite. Le président Donald Trump, dans l'obligation de remporter la Pennsylvanie s'il veut conserver la Maison-Blanche, a appelé mercredi et jeudi à l'arrêt du décompte des bulletins dans cet Etat". https://www.lefigaro.fr/flash-actu/presidentielle-americaine-la-police-dejoue-un-projet-d-attaque-contre-un-site-de-comptage-des-votes-20201106 Nul besoin de justifier votre populisme. Je ne prête pas vraiment attention aux fakes news lancées par Trump (puis relayées par ses partisans), peut-être parce que cela fait beaucoup trop. En plus d'être injurieux, vulgaire et menteur, le président sortant n'a su gérer ni les émeutes raciales, ni la Covid, pas plus que les migrants mexicains qu’il insulte toujours copieusement (dont il a fait enfermer les enfants, privés de leur famille). Trump a accusé la majorité des journalistes de propager des fake news. Il a aussi traité ouvertement les femmes de "chiennes", "que l'on peut attraper par la chatte", de "grosses truies" et encore "d'animaux dégueulasses" (liste non exhaustive). Alors que la journaliste Megyn Kelly a souligné ses outrances, vulgaires, misogynes, il a laissé entendre (après coup, par tweet) qu'elle avait ses règles. Pendant, plusieurs semaines, elle a fait l'objet d'un harcèlement émanant autant du présidentiable (à l'époque) que de son fanclub. Je ne suis pas convaincue de l'intérêt de la vengeance, je me fiche du karma et sais que personne "n'est puni par là où il a péché"... il n'empêche que tout ceci était attendu. Il est même très étonnant que les médias ne se soient pas vraiment et massivement rebellés plus tôt. Le vent a tourné. Et bon débarras !

Absolument !

"Twitter est hors de contrôle" : quel bel aveu ! Il a tellement manipulé les foules grâce à cet outil, instillant la haine, à propos d'à peu près tout. Il est temps que cela s'arrête.

Le divorce était consommé depuis le "départ" de Roger Ailes. De façon générale, la presse semble avoir fait sauter un verrou, très récemment. Il semble aussi que Trump ait été modéré, il y a quelques semaines, sur Twitter (il était temps).

Les grands esprits se rencontrent.

Même s'il va aussi à l'église, Biden paraît pour le moment bien plus modéré. Trump, ça a été un festival. Ambiance. https://www.huffingtonpost.fr/entry/amy-coney-barrett-a-a-frequente-un-groupe-qui-a-pu-inspirer-la-servante-ecarlate_fr_5f84520fc5b6e6d033a5711e

C'est intolérable. https://www.letemps.ch/monde/perdre-un-enfant-accusee-dhomicide Trump est aussi l'icône d'une Amérique évangélique.

S'il était inoffensif, il aurait pu passer pour comique.

Est-ce si étonnant que despote pareil s'agrippe autant au pouvoir ? Définitivement, c'était à prévoir. Tous ces rififis autour du dépouillement, également. Il a ses ouailles (encore moins malignes que leur gourou). C'est une phrase slogan. Étriquée. Elle sous-tend un manque de perspective. Il y aura toujours d'autres alternatives.