Mórrígan

Le travail pourrait, en effet, être salvateur. Il existe bien de petits travaux que beaucoup rechignent à faire (ramassage des papiers gras, des déjections animales etc...). Sans chaînes ni boulets, mais sous surveillance, ceux-ci permettraient de responsabiliser ces détenus, leur donnant aussi les moyens de payer leur dette d'une part aux victimes, à la société et d'autre part de participer aux frais qu'occasionnent leur détention. Aussi, pour toutes les dégradations survenant de leur fait (comme les graffitis) dans l'enceinte de la prison, il serait tout à fait logique qu'ils s'engagent à réparer ou à régler les réparations. Pas de téléphone, pas d'internet, pas de console de jeux, pas d'alcool ni de ripaille, pas d'argent en libre circulation (liste non exhaustive), et un allongement des peines s'ils ne respectent pas le règlement. L'enseignement qu'ils retiennent de la prison, pour la plupart, est nul, puisqu'ils récidivent. Bien des détenus y sont manifestement oisifs, et c'est là que le bas blesse. Il ne s'agit pas de punir pour punir, mais de responsabilisation avant toute chose.

Justement non, c'est pour cela que je vous pose la question à vous (vous général) qui semblez plus optimistes. Je ne crois pas en la rédemption de violeurs ou de tueurs (homicides volontaires en série) qui répondent comme je l'ai écrit plus haut à des pulsions, à un profil psychologique complexe. Pareillement, en ce qui concerne les djihadistes gouroutisés, empreints d'une certaine folie. Ces gens-là récidivent toujours, ils obéissent au besoin de broyer psychologiquement, et/ou physiquement leur victime. Certains voleurs ne récidivent pas, mais pas tous. N.B : Je précise que je suis complètement contre la peine de mort, avant que l'on vienne me l'agiter sous le nez.

Je lis quelques intervenants prôner l'éducation pour les détenus : Comment fait-on pour éduquer des adultes, parfois violeurs ou meurtriers de surcroît ? N'est-ce pas trop tard ? Est-ce possible pour ces criminels sexuels, et/ou meurtriers qui répondent bien souvent à des pulsions ? Là où les professionnels de la psychologie échouent, quelles seraient vos solutions ? En ce qui concerne la réinsertion, comment satisfaire les anciens dealeurs et anciens macs d'un poste de cariste par exemple ? Comment leur vendre un travail pour lequel ils gagneraient 10 fois moins et qui demanderait 10 fois plus d'efforts ?

Mais c'est Sarkomantha ?!!! *rires* (on dirait une de mes tantines aussi^^)

Non, et pas souhaitable non plus.

Se réchauffer à la chaleur de l'âtre et lire un bon bouquin Passer un we chez môman et se faire dorloter parce qu'on a un gros rhume Chanter sous la douche, n'importe quoi, en chewing gum Regarder un navet avec "chacha" sur les genoux qui ronronne Être réveillée en douceur sur un air de Yann Tiersen

8,9, 10... Ça va crescendo : allez encore un effort !

Bonsoir, Bon appétit Nacirah Perso, ce sera cheese & wine : 0 effort, 100% de calories *sourire*

+ 1 !

Même s'il est plutôt écoeurant de voir ce genre de racailles parader, le rétablissement du bagne semble excessif. Sa simple évocation, l'image qu'il renvoie aussi, rendraient hystérique n'importe quelle association pour la défense des droits de l'Homme. Ce serait plutôt difficile à mettre en place. Il est évidemment intolérable que ces énergumènes, en cellule, semblent plus s'amuser qu'autre chose, alors qu'ils devraient payer leur dette à la société. Les faire travailler oui, tant est qu'ils aient un peu de compétences, leur salaire permettant de dédommager en premier lieu les victimes, puis de prendre en charge une partie de leur incarcération, et enfin d'aider leur famille.

Ni porte entrouverte, ni lumière, ni chauffage...qu'il garde bien en tête que je suis impitoyable Je trouve le sujet mal placé, personnellement, peut-être aurait-il mieux trouvé sa place dans "société", dans l'artère principale du forum : ça donnerait déjà moins envie de troller. Ensuite qu'avons-nous là ? Un écrivain -frisé *sueur froide*- qui a écrit un énième bouquin sur le "pouvoir castrateur" des féministes. Autant je trouve la plupart des féministes un brin hystériques, que ceux qui en font des livres, plutôt chiants.

Vous pouvait nous espliqué se qu'et le capte controle si vous play ?

Ah ? Je séquestre le mien dans un placard à balai la plupart du temps, il n'a pas son pareil pour faire la vaisselle ou faire briller les sanitaires, ce qui me laisse du temps pour dévorer "King Kong théorie" ; et c'est bien agréable *sourire*

Sur Canal + ?

Bonjour, On va dire qu'il n'existe qu'un cas comme celui que je connais... *sourire* Mais mon bon monsieur, cela doit faire 3 ou 4 messages dans lesquels je vous ai écrit tout de même assez clairement (en long, en large, en travers) que votre façon "de vous faire jeter par les femmes", est pour moi signe d'une couardise évidente. Pour répondre à votre question, il y a très souvent des signes avant-coureurs d'une rupture (éloignement, disputes récurrentes etc...) aidant ou forçant à s'y préparer. On est pas obligé de souffrir, et encore moins de mentir.

Sans vouloir faire la maligne : un prostitueur est un maquereau.

"Prostitueur" ? Vous mettez la charrue avant les boeufs... attitude récurrente remarquez, aux vues de vos écrits ici. "Ne devrait pas", bien sûr que personne ne devrait, néanmoins factuellement, il est de plus en plus rare que ces femmes aient affaire à des gentlemen. La vie des prostitués n'est pas un long fleuve tranquille, si énoncer ce fait indubitable fait de moi une misogyne, cypridophobe même ; je veux bien, et si cela peut égayer votre journée en prime... *sourire* Justement, des types sans pouvoir font exactement la même chose ; en l'occurrence son pouvoir n'a rien à voir dans cette "relation". Encore une fois vous faites des inférences bien trop rapides. "La dénommée Jade" fournit des informations croustillantes pour le plus grand plaisir des journalistes de caniveau et de leurs lecteurs. Le procès encore une fois, ne tourne pas autour d'une sodomie trop brutale. Il n'est même pas question de viol, mais de proxénétisme. Il savait, ne savait pas, telle est la question. Le fait de prendre la décision d'exercer cette profession attire déjà son lot de traumatismes. C'est une profession qui est subie, exercée à contre-coeur, cachée bien souvent aux proches, rares sont celles qui y viennent par vocation, par goût. Ces femmes, ces hommes également, sont plus que souvent désespéré(e)s et ne pensent pas avoir d'autres choix. Ensuite, qu'est-ce que vous proposez, abolir le plus vieux métier du monde ? Rétablir les maisons closes ? Vous pouvez retirer votre badge des "chiennes de garde", c'est bon *sourire*

Vous êtes assez fort pour vous détacher de ces dames, mais elles, ne le seraient pas, si bien qu'il est mieux de leur donner l'illusion qu'elles ont elles-même décidé cette rupture ? N'est-ce pas encore une fois, très prétentieux ? J'ai fait la connaissance d'une urologue, qui elle, avait fini par totalement être dégoûtée du sexe...mais c'est sans doute parce que c'est une femme, une petite chose fragile *sourire*

Est-ce le seul ? Ces femmes sont payées à enfiler des perles usuellement ? Parce que c'est DSK, c'est immonde, parce que c'est DSK, il est forcément coupable. Il est bedonnant et grisonnant, c'est vrai que cela n'aide pas. Et elle va se détendre le sloggy : c'est sa façon de consommer les femmes, comme d'autres clients le font, voire pire. Beaucoup vont aux prostituées parce qu'elles leur permettent de pratiquer le sexe comme ils ne le pratiquent pas avec "bobonne". C'est glauque, mais oui, mais c'est un métier glauque. Enfin, l'affaire ne tient pas à savoir s'il aurait dû utiliser de la vaseline ou non. Dans un sens, comme dans un autre, c'est une histoire d'argent. Une prostituée ne prétend pas à l'amour avec ses clients, ce qu'elle attend, c'est son pognon. À lui d'endosser la misère quotidienne de ces femmes, parce qu'il a de l'argent justement ? Ça c'est son problème, comme ses relations avec ces prostituées ne devraient que l'être aussi. Ah Mediapart <3 Ah oui, le viol et les petits écureuils...et on parle plus haut de naïveté. Savoureux. C'est un porc certes, comme bien d'autres. On peut se demander comment un homme censé être si intelligent, réputé pour être un petit génie de l'économie, peut être si crétin pour se fourrer dans de telles histoires.

Non, c'est le verbe "devoir" qui me semble inapproprié, et exactement ici : au moins l'amitié la plus profonde doit la remplacer. Il n'y a aucune obligation, certaines circonstances font que l'on ne peut se séparer en toute amitié, je vous en ai mentionné quelques unes, plus haut. Ensuite le fait de refourguer sa compagne à un autre, ne me semble pas très respectueux, d'où le terme consommable (j'aurais pu parler simplement d'objet aussi) ; le fait de l'amener elle, à rompre, pas très courageux. Êtes-vous tout à fait sûr que les gynécologues au masculin, pour exemple, voient l'appareil génital féminin du même oeil que les autres hommes ? Vivre à fond, profiter à fond, consommer en nombre ?

De nombreuses plaintes qui n'ont pas abouties ? Combien ? Aux States, la justice n'est pas la même qu'en France. Il était présumé coupable. Le fait qu'il ait payé pour sa liberté, n'induit pas forcément qu'il était coupable de viol, à ce rythme-là il aurait pu longtemps rester sur le sol américain. Je ne crois pas aux complots, davantage aux actes isolés. Inventé, non, il ne se cache pas d'aimer les femmes, ou d'aimer faire du sexe du moins, et brutalement encore...une réputation dont on peut jouer.

Un mister France partisan, c'est une idée, d'autant qu'il y a de quoi faire :

Je dois quand même vous écrire que votre âge me bloque un peu, en effet, je suis éduquée *sourire* Être humain, aider son prochain, c'est très bien... accourir dès que vos ex ont un souci, un peu plus problématique. Elles n'ont pas de la famille ces dames, d'autres amis ? Enfin, si votre compagne actuelle l'accepte, tant mieux pour elles. Ça risque de durer le temps des figues... La rupture peut se transformer en rejet pour différentes raisons, la violence conjugale me vient en premier, et l'adultère en second quand il n'est vraiment pas du tout "consenti", l'adultère avec un proche qui doit être encore plus terrible aussi. Je ne pense pas qu'on a le devoir de permuter l'amour qu'on a éprouvé pour quelqu'un en amitié - le verbe que vous avez employé est sans doute mal choisi- c'est souhaitable, néanmoins pas obligatoire. Ce qui me gêne finalement, c'est que l'autre n'est plus un être humain avec des sentiments, des rêves, des projets, mais purement et simplement un consommable.

Bonsoir, "Oripeau" ? Ça dépend des vues, je n'y vois pas une connotation si négative, personnellement. Qu'est-ce qui fera que votre synthèse sera la bonne ? Vous pouvez vous fourvoyer, comme bien du monde. Ce n'est pas tant que ces articles seraient rebutants, c'est qu'en général la lecture de ceux-ci implique, d'avoir un abonnement, payant, même numérique. Vous me semblez incroyablement ouvert...et noctambule pour un monsieur de votre âge *sourire* Alors, c'est bien de savoir comment fonctionne l'être humain au niveau psychique, physiologique, s'y rapporter constamment est relativement ennuyeux, on y perd le goût des choses. J'ai le sentiment que vous cherchez à vous persuader vous-même, que l'amour n'existe pas réellement, que l'instinct animal, de consommation prime...mais peut-être que je me trompe. Il se dit souvent que les femmes -et certains hommes parfois- sont cérébrales, que le cerveau marche avec le coeur, si elles n'éprouvent pas de sentiments pour une personne, elles ne peuvent "aller au radada". Une piste à explorer...

Je n'ai aucune sympathie pour le personnage non plus, cependant, dans aucun de ces cas il n'a été prouvé que DSK a abusé de ses femmes. Il est aussi tout à fait possible et facile de jouer d'une réputation...et ça peut rapporter gros !