Mórrígan

Le réseau peut aider. En politique, il ne s´agit pas toujours de cela, il suffit parfois d’être là au bon moment, et d’avoir le mot juste afin de se distinguer de la masse. Les nouveaux moyens de communication, les réseaux sociaux peuvent être supports. Cela s’est déjà vu, et se verra encore. La cooptation en deviendrait presque up to date. Et puis on l’a aussi vu avec l’émergence de nouveau partis politiques, le rêve est maintenant accessible à tous. Le petit boucher du quartier peut aussi devenir député, il lui suffit juste d’être bien mis et surtout d’être estampillé EM. C’est grotesque, comique ou pathétique, parce que vous vous arrêtez à des figures qui le sont elles-mêmes. Nous avons toutes quelque chose à dire, certaines s’érigent en porte-parole. Nous avons aussi droit de ne pas être tout à fait d’accord, ou de ne l´être que partiellement. Les plus idiots tiendront pour vrais leurs propos, et généraliserons joyeusement. Les plus sensibles se sentiront opprimés et verseront leur petite larme à la moindre occasion. Il s’agit là davantage de recruter une femme parce qu’elle est femme. C’est comme aimer une œuvre d’art pour aimer une œuvre d’art. C’est stupide et handicapant pour les femmes, finalement.

Et ce ne sont pas des revendications. Pourtant, il y a quelque chose de juste, de vrai dans le propos. Les femmes ne sont pas plus incapables que les hommes, et ne sont pas pour autant plus capables parce que femmes. Il y a quelque chose de suspicieux et de dérangeant dans cette volonté à vouloir imposer la présence de femmes, à vouloir les recruter afin de respecter des quotas, en vue d’une parfaite parité politique. L’effet pervers de la chose, c’est que les qualités de ces femmes passent après leur identité du genre. Ouvrir davantage ces domaines connus pour être « miso » aux femmes, les encourager, oui. Faire un comptage, non. C’est juste la vieillerie qui veut cela. Il y a d’autres moyens de faire que d’utiliser la force brute. La plupart du temps les pots de confiture s’ouvrent très bien, sans avoir recours à une grosse cuillère, ni même un cornichon. Autant de femmes que d’hommes moins costauds développent d’autres compétences, leur ingéniosité par exemple. Mm, elle est drôlement sympa votre mère-grand... la mienne vous aurez fait décoller du canapé afin de vous faire passer l'aspirateur, puis la vaisselle, à la main, à l’ancienne. Je crois bien qu’elle était profondément féministe.

Oui, oui, nous avons aussi nos Balkany. Les femmes ne sont pas moins capables ou incapables que les hommes.

C’est très alarmant, et nous ne sommes en effet, à l’abri de rien. Il suffit de taper au cul du pot ou de se servir d’une grosse cuillère sur le bord couvercle. Affaire réglée.

Complètement vomitif, même.

Et ?

Presse automobile ? Sympa !

La femme serait vraiment l’égale de l’homme le jour où, à un poste important, on désignerait une femme incompétente.

Lalaland C’est une surprise, je m’attendais vraiment à tout autre chose. Bon évidemment, il y a un côté « Chantons sous la pluie » avec les claquettes et toussa. Le film est moins niais qu’il n’y paraîtrait. Juste, entre amour et désillusion. Je me suis tout de même ennuyée vers le milieu du film. 21 nuits avec Pattie C’est...loufoque et parfois très cru, néanmoins il fallait cela pour aborder un thème qui reste très glauque.

Mais cela existe déjà ! http://www.lepoint.fr/societe/vive-la-journee-internationale-de-l-homme-19-11-2012-1530989_23.php

Merci ! Je ne suis pas peu fière. C’était il y a fort longtemps (2004).

Il était mignon Cyril Lignac en talons aiguilles... Ce sont les commerces qui distribuent des fleurs lors de la journée internationales des femmes, pas les hommes. Relax. Et lors de la fête des mères, les publicités type "Conforama", pour les aspirateurs et les robots culinaires, pullulent : Joyeuse fête bobonne ! Des femmes se battent tous les jours de l'année, pour leurs droits. Cette année la journée internationale de la femme mettra encore davantage, l'accent sur le harcèlement sexuel et la violence faite aux femmes (eu égard à l'actualité) mais attirera également l'attention sur "l'activisme rural". Le 28 septembre sera une journée nationale pour le droit à l'avortement. Et vivement le 19 novembre, que vous veniez revendiquer, messieurs. On ne s'en sort plus avec toutes ces célébrations. Si la question du droit à l'avortement vous intéresse, une enquête intéressante a été diffusée hier soir sur Arte "Avortement, les croisées contre-attaquent". https://www.arte.tv/fr/videos/075221-000-A/avortement-les-croises-contre-attaquent/

Don't cry for me Argentina...

Il faut bien avouer qu'il y a un air...

Sale temps pour les pédo et hébéphiles : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/02/27/01016-20180227ARTFIG00332-relation-sexuelle-avec-une-fillette-de-11-ans-une-enquete-pour-viol-ouverte.php http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/03/02/97001-20180302FILWWW00119-l-age-du-consentement-sexuel-fixe-a-15-ans.php

Ce serait bien la première fois qu'on laisse entendre que je suis une sale bestiole *sourire*

C’est son côté Aragorn... ça leur fait toutes ça la première fois *sourire*

Trop et il le sait, il est incroyablement expressif. Quelle sale bestiole !

Patrick (initialement Baldick), mon crétin d’oursin, toujours très compliqué à prendre en photo, tant il est incroyablement tonique pour un anglais. C’est le cliché que je préfère, toute la misère du monde >

J’arrive de moins en moins bien à siester. Il faut des conditions optimales : noir total et aucun bruit, aucun. Elles ont forcément un potentiel pour faire quelque chose, ces femmes. Il est toujours dommage de n’exister qu’en rapport à un statut marital ou de mère. Je trouve cela très triste.

Bonjour Prométhée Hadès, C’est assez spécial en effet, et les gens sont parfois très « imaginatifs », au moins vous avez tenté de faire quelque chose. C’est de moins en moins le cas aujourd’hui. La dame que ma mère a tenté de défendre à l’époque ne se livrait pas à un jeu de rôle. C’était assez choquant pour que je me rappelle encore aujourd’hui de la retentissante gifle que son mari lui a infligée.

Je vois. Je vois aussi des choses hallucinantes, qui donnent l’envie d’emprunter à une consœur la fuite, mais sans laisser choir la pantoufle de verre. Il y a quelques années encore de cela, les femmes divorcées ici bas, n’étaient pas non plus bien vues ou les bienvenues. Elles ne le sont pas encore tout à fait, dans certains milieux alors que l’homme, lui, a tous les droits et tous les égards. Ces femmes d’origine maghrébine dont vous parlez, évolueront peut-être avec la société, on l’espère. Quelques trains de retard, juste... Je me souviens d’un épisode dans les années 90, qui nous a laissé pantoises avec madame ma mère. Une femme se disputait assez violemment avec son mari (il en était venu aux mains), semblait-il, alors que nous partions faire des courses. Maman, féministe de son temps -ou gentleman à ses heures- est intervenue et sommant le vilain monsieur d’arrêter, fermement mais poliment. La femme s’est retournée contre nous, invectivant et crachant même, et nous sommes restées comme deux ronds de flan alors que nous n’étions parties chercher, que de la glace. Mentalité spéciale. Je vous crois sur parole...et jetez les pommes, foi de Blanche-Neige. #J’aime pas la sieste.