Mórrígan

Braveheart traite de l'indépendance de l'Écosse, ce qui implique qu'il y ait des batailles. Boyaux et viscères, oui, ils auraient pu aussi guerroyer en s'envoyant des colombes et des baisers, ceci dit cela aurait été moins réaliste, peut-être même moins trippant, sans vilain jeu de mots. Beaucoup de thèmes sont abordés dans ce film. La liberté évidemment, mais aussi la mort, le courage, la résistance, l'identité (ça c'est un truc qui devrait vous plaire), l'amour...impossible, d'autres sûrement qui ne me viennent pas en tête de suite parce que cela fait longtemps. Des thèmes pouvant susciter bien des émotions, et d'ailleurs il n'y aucun besoin de faire pleurer dans les chaumières en permanence, pour faire un bon film (mais ce n'est que mon avis). Même si le récit de l'histoire de Wallace est très libre, très romancé, celui d'Isabelle de France également (et je n'aime pas le jeu de Sophie Marceau, surtout en général), j'ai bien aimé. La B.O, les paysages, font aussi que...

Pour le moment, vous n'avez réussi qu'à m'ennuyer. Et... non pas "juste parce que vous avez relevé" le mécontentement de connaissances, d'internautes, en ce qui concerne l'action du triste sieur en question, que vous avez mélangé à mes propos : il suffit aussi de lire votre "oeuvre" dans son ensemble, et il s'agit de ne pas me faire endosser la pensée des autres (merci bien). En ce qui concerne la retraite, tout le monde est perdant. En ce qui concerne la loi travail, les salariés sont les grands perdants. Je suis entrepreneur, encore bien loin de la retraite (et sait-on si nos jeunes générations en bénéficieront un jour ?). Pour le reste, les différentes taxes, aides, je n'ai jamais bénéficié de quoi que soit et n'attend rien de qui que ce soit, ceci ne m'empêchant absolument pas, pour autant, d'être solidaire. Ça doit être mon côté socialo. C'est un philosophe, il philosophe donc. Ses écrits peuvent déplaire, ce qui est principalement intéressant chez lui, c'est qu'il ose, il ose s'attaquer à des idoles, il offre un point de vue souvent différent et construit : Freud, la religion, Macron ("Zéro de conduite"). Ah oui, les athées, ces mécréants, ne sont pas des "prochains", c'est vrai... vilaine discrimination. Ne soyez pas étonné, en retour, que des athées puissent vous renvoyer la pareille.

Oui, pour la caméra fixe, en effet et maintenant que vous l'écrivez, ça me revient. Ce n'est pas non plus le genre de film que j'aurais grand plaisir à revoir.

La scène du tunnel dure pas loin de 9 minutes, rien ne nous est épargné, pas même le bruit. On se sent réellement impuissant(e) et voyeur/se... J'ai trouvé cela effroyable, personnellement. Tout est dérangeant dans ce film jusqu'à la façon de filmer qui peut parfois donner la nausée (prises de vue qu'affectionnent particulièrement Gaspar Noé, comme on peut aussi le voir dans Doberman). Irréversible ne laisse dans tous les cas pas grand monde indifférent, c'est un bon choix.

Lui reprocher "d'appliquer un programme" si brouillon ? Je le trouve plutôt désorganisé, dans la réaction, l'improvisation, maladroit et malappris, quand il s'adresse au peuple. Vous manquez bien trop de panache, pour me faire lever ne serait-ce qu'un sourcil. Alors m'agacer, vous pensez bien...

Alors évidemment je peux être traumatisante, effrayante, chiante -ou tout autre adjectif à connotation négative "suffixant" en "ante", si cela peut vous faire plaisir- toutefois, vous pouvez me citer sur un sujet "Cinéma" à peu près sans risque. Je promets solennellement de ne pas -trop- vous rosser, enfin seulement si vous évitez toute analyse bizarroïde sur une relation supposément "homo" entre Frodon et Sam. N.B : Vous êtes une vraie gonzesse. Irréversible c'est en effet, plutôt "aouch". La scène du tunnel fiche vraiment la chair de poule.

"Crépuscule d'une idole" est fort intéressant. Pour le reste, tout peut s'expliquer par des blessures remontant à l'enfance. Il explique d'ailleurs dans ce livre, dans d'autres également, qu'il aurait été abusé alors qu'il était en pensionnat catholique, ce qui pourrait expliquer qu'il ait forgé une forme d'allergie à tout cela. En bon catho que vous êtes, vous devriez pouvoir excuser cela : aime ton prochain, et blablabla... https://dejavu.hypotheses.org/151

Ceci dit, vous pouviez aussi lire plus haut, avec attention -j'ai voté blanc et aux deux tours- cela vous aurait aussi évité de trépigner inutilement. Ils seraient à plaindre, en plus, ces élus qui trichent, nous saignent... ils font de leur mieux ? Allons, allons... Ils pourraient vous déféquer sur le postiche, que vous en demanderiez encore. C'est consternant.

Le seigneur des anneaux (les 3) La ligne verte Braveheart Rencontre avec Joe Black Les évadés Croc Blanc Elephant Man Les évadés Les vendanges de feu Sept vies Big Fish Suite française Un long dimanche de fiançailles Mémoire d'une geïsha Je vais bien ne t'en fais pas Je te promets - the vow

Wonder Woman... Tatatataaaaaa Des acteurs fort jolis, une réalisation très propre. Dans le même genre, il y a Thor. C'est très lisse, très manichéen (des méchants kisson trop méchants, et des gentils bah kisson trop gentils, naïfs, et un peu bêtas tout de même), beaucoup d'effets spéciaux, le message très pacifiste décalé, et l'histoire d'amour, terriblement mièvre. "Fresque féministe" ? Je ne sais trop où ils ont été chercher cela. Bref je me suis ennuyée, en plus elle ne tourne même pas sur elle-même pour se transformer, comme dans la série...misère.

Bah... vous *affreuse boule jaune qui se fend la poire* Veuillez vous nettoyer les mirettes, et faites-nous cela bien comme il faut : je ne soutiens personne.

Cette affaire a pris réellement et vraiment beaucoup d'ampleur, à mon sens. Ce qu'elle montre c'est que Choupinet n'est pas trop regardant en ce qui concerne le petit personnel -comme bien d'autres- qu'il n'a pas mégoté sur les frais occasionnés pour la sécurité de sa personne (promotion et privilèges), que dans le public, dans certaines strates, de mauvaises recommandations n'ont aucun impact sur votre carrière, très a contrario du privé, où une réputation vous suit, toujours... mais aussi que les français sont très propices à sauter les pieds dedans, et à ronger leur os, jusqu'au bout. Il y a bien plus grave que l'affaire Benalla, ne croyez-vous pas ? Une procédure de licenciement a été lancée, et ce monsieur devra répondre de ses actes devant la justice. Fin de l'histoire. J'ai voté blanc. J'aime bien lire et écouter Onfray, usuellement, en ce qui concerne l'électorat de Macron, il a manqué là, à mon goût, de sang froid, de justesse, de respect. Aaaah voilà enfin les groupies... Vous avez raison, "programme télé" ne convient pas justement bien, parlons davantage de torchon alors. Moralisation de la vie politique, c'est ce qu'ils nous ont fait miroiter, c'est ce qu'ils nous feront toujours miroiter et beaucoup continueront d'y croire, de voter pour "le moins pire"-"comment qu'ils disent"- tout en oubliant qu'ils ont tout de même voté pour du pire. Les politiques, depuis moultes années, se sont appliqués à nous désunir, nous monter les uns contre les autres, alternant les boucs émissaires, et tout en prônant très fallacieusement le rassemblement. Diviser, pour mieux régner. Un peuple uni, c'est ce qui leur fait réellement peur. Arrêtons de nous tirer dans les pattes.

@Elsa Ce sont des trous "bien sages". Très frais, ce petit haut rose. Tu as toute une gamme sympa chez Asos aussi.

L'image de la lessive est très bonne. Ce n'est que ça, il s'agissait de vendre le produit "Macron". Son programme tenait davantage du programme télé, que du programme politique, c'est en effet, une évidence. Les primaires ont aussi été un véritable fiasco, rien n'a été. Le tapis rouge a été déroulé pour Macron. Je ne rejoins pas les propos d'Onfray néanmoins, quant à l'électorat de Macron, quelque part c'est plutôt moche et anti-démocratique de critiquer cet électorat, ou un électorat quel qu'il soit, ceux qui votent blancs aussi. Il est vrai que nous serions tous tentés de le faire, tant on supporte souvent bien des mesures qui ne nous plaisent pas. J'ai aussi trouvé vraiment ridicule cette pression constante juqu'à la dernière seconde, ou cette culpabilisation étouffante à l'endroit de ceux qui avaient prévu de voter blanc, ou de voter pour le camp adverse (médias, proches, ou encore à travers certains propos tenus sur les forums, sur les réseaux sociaux), à l'entre-deux tours, sous prétexte d'Armageddon à venir... Il n'a pas s'agit encore là d'un manque de culture, plutôt d'une belle démonstration de connerie.

Bonjour Prométhée_Hadès, pas une grande bisouteuse cette femme-là et pire encore pas vraiment une tactile sauf avec ses chats, Cette fichue réputation... parfois non fondée, en plus. Il existe parfois une jalousie ou une rivalité masculine, féminine, qui pousse certain(e)s à raconter n'importe quoi, ou vouloir avertir, afin de dissuader les autres, en toute malveillance. Qu'elle soit fondée ou non, c'est merveilleux d'avoir été amoureux de cette femme. L'amour est un sentiment magnifique, l'un des plus purs qui soient... les papillons dans le ventre, les regards qui en disent longs, le coeur qui bat toujours frénétiquement, légères rougeurs qui montent aux joues. Quand je regarde alentours, j'ai la désagréable sensation que cela se perd, de plus en plus (et j'espère que ce n'est vraiment qu'une sensation), et sans vouloir déprécier, ça ne me sied pas, du tout. Il est vrai, qu'à un âge "charnière" (30-40 ans) certains -vieux- couples se déchirent, se séparent et puis vient le "youpi tralala". Certains deviennent peu regardants et enchaînent alors les "one night stand", sans réelle distinction. Là, ce sont les hormones qui parlent sans doute, le pulsionnel, pas vraiment l'amour et le romantisme. Bon ça les regarde. C'est triste quand ils dénigrent leurs ancien(ne)s conjoint(e)s, avec toute cette amertume dans la voix -ils ne sont pas heureux ces gens-là- et j'avoue avoir mal vécu la séparation de certains de mes amis proches, comme l'enfant qui trouve cela trop injuste, ou qui aurait voulu une happy end. Seulement, il n'est pas possible de choisir ou d'être décisionnaire pour les autres, je le sais bien. Notre société est fondée sur des préceptes encore très catholiques -trop ?- et la multiplication des moyens mis en oeuvre pour "consommer", si elle me désole tout de même un peu -soyons honnête- a au moins l'avantage de rééquilibrer la chose et de laisser à la Femme être autant consommatrice, que l'Homme a pu l'être, avec plus de transparence cette fois. L'Homme a auparavant été un Don Juan, la Femme, elle, une salope. Bien des femmes ont arrangé le nombre afin de se dédouaner d'une liberté sexuelle, jugée bien trop grande, par des hommes, mais aussi par des femmes. Il était bien temps, qu'ils soient simplement "queutards", tous les deux. Oui nous sommes toujours dans le jugement de valeur. La morale ? Qu'est-ce qui définit que nous avons plus raison que l'autre ? Rien au fond, si ce n'est un ressenti, un référentiel ou des envies, tous personnels. Éviter de faire des projections sur l'autre, sur les autres, dans un sens comme dans un autre, ça doit pouvoir se faire. Tous les avis sont respectables sur le sujet, tant qu'ils ne sont pas insultants, puisqu'ils touchent au fond à l'intime, tant qu'il s'agit de ce que l'on veut pour soi. Chacun finira bien par trouver sa chacune, en fonction de ce qu'il aime, ou de ce qu'il est en mesure de trouver. Et ce n'est franchement pas ce qu'il manque, des célibataires. La liberté d'être et de penser, pour tout à chacun, qui s'agisse de quête de l'âme, de se poser ou pas du tout... J'ai envie de vous dire qu'il n'y a pas de bonnes ou mauvaises réponses, qu'elles sont très personnelles, toutes respectables, encore. Il y a peut-être aussi des facteurs (auxquels on ne pense peut-être pas), comme l'âge, la ville etc... qui peuvent aussi influer sur les opportunités, donc le nombre. C'est de plus en plus difficile de juger, au final. Quelqu'un qui a eu peu de partenaires, pourrait aussi être vu comme inexpérimenté ou pas très doué. Ensuite, avancer de tels chiffres, comme vous l'avez fait par exemple pour votre amie et vous, implique forcément de tenir une comptabilité rigoureuse. Je ne suis pas une matheuse -ni même une matteuse, encore moins une mateuse- je pourrais vous donner une fourchette, pas un nombre précis. Quoi qu'encore étant plus littéraire, je me refuse aux chiffres : chaque partenaire est une relation isolée, singulière. Il ne s'agit pas de faire une compil', ce ne sont pas non plus des Kapla (vous avez connu les Kapla ?). Je trouverais insultant, inélégant, inapproprié de tenir un registre de qui a partagé ma couche, même mental. C'est encore là chose toute personnelle, j'admets que certains font différemment. Je détesterais n'être qu'un chiffre parmi d'autres, on peut espérer raisonnablement avoir été plus que cela (oui c'est très égotique, sans doute). Comme je vous l'ai déjà écrit plus haut, je ne pose pas ce genre de question, personne ne me l'a encore posée également - je ne sais pas du tout comment je réagirais, et gardons en tête aussi que la sexualité peut être perturbée par des pensées négatives- je peux m'assurer néanmoins, qu'il est monogame -parce que je ne tolère pas l'inverse, pour mon couple- ou ne verse pas dans des choses qui vont me révulser. Pas de confessions sous la couette, dès que je suis à l'horizontale, de toute façon, je dors. Une vraie petite conne, au sens le plus noble du terme, évidemment.

Très belles photos, jolis contrastes. On voit que "J." est oune artiste, il y a de la grâce dans les mouvements.

Bonjour Promethee_Hades, check, (je suis toujours tentée de vous mettre des accents), Vous êtes peut-être tombé sur des personnalités très contrôlantes. Je suis pour garder un jardin secret, c'est à mon sens nécessaire, il n'est pas question non plus de cacher des choses graves. C'est pour ma part très raisonnable, mais question de principe. Les sans-filtres, les jaloux, les possessifs, les questionneurs fous, les pas sûrs d'eux, je n'aime pas. Les dragueurs, les "casanova" sont aussi facilement décelables, tout est dans l'attitude ou dans le "surjeu". Certains choses n'ont pas besoin d'être évoquées, on les pressent. Fouiller le passé de l'autre n'apporte souvent pas que du bon, on se fait toujours une idée de sa moitié parfaite ou presque, dans les débuts, au moins. L'estime que l'on en a, peut diminuer "connement" pour des histoires de chiffres, des pratiques spéciales ou l'évocation de choses qui ont pu être testées quand en recherche de ce qui ils étaient dans leur "djeunesse", l'évocation d'une sexualité débridée... et bien sûr que l'on préjuge, même si on ne le voudrait pas. Je me souviens, oui, 500, ça fait un sacré chiffre, et de votre génération... si aujourd'hui c'est mieux vu pour une femme, puisqu'un peu plus fréquent, ça n'a pas du être évident pour votre amie, auparavant. Ça ne me ressemble pas, non, et je ne suis pas un "fuck and fly" (clin d'oeil @Promethee_Hades). Bien trop romantique pour cela, si j'en viens là un jour, c'est sans doute que j'aurais laissé place au cynisme et au désenchantement. Pour ce qui est des sites de rencontres même classiques, pour avoir été prête-plume un temps, si les correspondances épistolaires peuvent avoir leur charme, les prétendants sont souvent trop pressés d'en venir aux faits. La solitude les presse sans doute. Manque de charme au final et puis il y a cette démarche de recherche, qui est déplaisante. On choisit sur catalogue, couleur des cheveux, des yeux, taille, poids... brrr. Je peux être très urticante, volontairement. Il faut indéniablement posséder quelques qualités, pour susciter mon intérêt, sinon j'ai beaucoup d'amis, et c'est assurément ce qu'il y a de plus confortable, mon amitié. C'est joli le monde... à travers des lunettes roses. Bien cordialement .

Oui moi aussi, les intervenants n’aiment pas beaucoup les liens. Un aller retour dans une petite ville pittoresque, dans la foule, histoire de dépanner qui avait bien choisi son jour, et on se fait rapidement bousculer, écraser les pieds, entraîner dans des mouvements de foule, hurler dans les oreilles... et moins ordinaire : toucher intentionnellement les cheveux, caresser le visage, les bras, le sac à main... On évite aussi les trop joyeux qui ont à cœur de manifester leur joie en faisant des bises (pas senti d’effluves d’alcool, ni vu de yeux injectés de sang, au passage). Si on peut être amenée, de fait, à croire que des femmes aient eu bien moins de chance et donc à composer avec des agresseurs sexuels ? Oui, tout à fait.

Eh bien ce sont là des considérations bien obsolètes, et davantage encore à l’heure des Tinder, Badoo, Facebook, sex friends et compagnie, à l’heure où tout est en accès illimité, à portée de smartphone, à l’heure où tout est consommable, facilement, même l’être humain. Vous êtes en marge de la société, mon pauvre ami. Je n’ai pas tenu de compte, ni de journal visant à me remémorer, encore moins à noter (oui y en a qui font ça en mode « je niksurmeetic »). En outre, je ne minimise pas, je n’en parle pas, évite d’évoquer les autres, par élégance surtout. De même, un homme qui va me parler de ses conquêtes -pour susciter, je ne sais trop quoi (admiration ? jalousie ?)- ne va pas m’intéresser. Le temps d’avant, c’était le temps d’avant.

Oh je n’avais pas vu ce message, ni jamais entendu cette chanson, en français. Merci. J’ai l’impression que les deux versions diffèrent un tantinet au sujet des paroles. La version anglaise m’est plus agréable même si l’accent français est très marqué.