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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Rha ne pas donner de nouvelles, comme ça, c’est nul. Il y a peut-être une raison ou un contre-temps. Et sinon, ce n’est pas con du tout, il n’y a rien de plus douloureux que l’indifférence, en amour. Il faut un peu de temps pour digérer, et souvent la solitude aide à cela. Se concentrer sur soi, prendre soin de soi, méditer peut-être. L’entourage (et aussi bienveillant puisse t-il être), les gens plus en général, sont mal à l’aise avec leurs semblables quand ils vont mal, alors les semblables font bonne figure.
  2. Donc... il propose de « traiter » le « choix de vie » de « personnes borderline, mais toutefois interessantes » au moyen de l’homéopathie. Il fume ?
  3. Même chose... et le dernier paragraphe et tout plein de vérités.
  4. Pas fan de reggae, la version est plutôt originale >
  5. Mission impossible Fallout C’est un bon film d’action, 2h30 qui passent rapidement. Ce qui est admirable c’est que Tom Cruise aurait fait quelques unes des cascades...d’autant qu’il n’est plus tout jeune. Bon après le scénario est ce qu’il est et les répliques, ce qu’elles sont. Très rapidement, on se doute de pleins de choses, d’autres sont impossibles, ce qui tombe bien puisque c’est Mission Impossible.
  6. À travers votre prose, égrenée ci et là, nous pouvons lire les qualités humaines que vous vous êtes attribuées, exception faite de la modestie. Si je sais faire la discrimination entre les sexes ? Oui, monsieur : grave ! Je ne suis pas exclusivement ou seulement pour l'égalité des droits des femmes, ma pensée se refusant aussi d'être cadenassée en quelconque chapelle idéologique. Il m'est dès lors possible de m'attendrir également pour les enfants, ainsi que pour des hommes, emprisonnés... au même titre que les chiots, abandonnés. "Victimiste", m'a t-on casifiée récemment, avec dédain, lors d'un dîner mondain. Allez, visiblement, on aura pas mieux. Il y a plusieurs façons d'entendre ce que l'on appelle communément "féminisme", sans doute, puisque différentes générations marchent côte à côte, aussi parce que ce courant de pensée ou cette idéologie est toujours relativement jeune (officiellement daté autour de mai 68 avec l'émergence d'un militantisme, encore timide), même si des femmes à travers les âge, et depuis "Lucy", ont été pionnières (entre autres noms : Kahina, la guerrière rebelle, Olympe de Gouge "Si la femme a le droit de monter sur l'échafaud, elle a également le droit de monter à la tribune", Qiu Jin qui écrivait des poèmes pour les femmes dans la Chine impériale du début du siècle au coup d'État, Clara Zetkin qui fut à l'origine de la première revue féministe, en Allemagne...). Ce mouvement "protéiforme" représente différentes idées ou pensées en faveur des femmes, pour l'égalité en droits, à travers le monde. Les femmes sont toutes différentes, la Femme est plurielle. Ainsi tantôt, certaines pourront se retrouver dans les mots de Simone de Beauvoir "La femme est un homme comme les autres" -et là ces messieurs, très en général, prennent peur- ou encore dans ceux d'une autre Simone, Simone Veil, la survivante, la rebelle, pour qui j'ai, pour ma part, une très grande admiration :"Ma revendication en tant que femme c'est que ma différence soit prise en compte, que je ne sois pas contrainte de m'adapter au modèle masculin". En outre, Clarissa Pinkola Estès, auteur, psychanalyste aux influences jungiennes, et conteuse (ou guérisseuse comme elle se plaît à l'écrire : les contes et la mythologie, leur interprétation, offrant une fenêtre vers la psyché féminine) développe, dans "Femmes qui courent avec les loups" Histoires et mythes de l'archétype de la Femme sauvage, que chaque femme porte en elle une force naturelle, instinctive, riche de dons créateurs et d'un savoir immémorial -essence de la Femme- hérité de la louve, la loba, ou celle qui sait, la que sabe, la vieille dame. Savoir, qu'elle aura été puisé dans un monde entre deux mondes rio abajo rio ou rivière sous la rivière, littéralement. C'est un excellent ouvrage qui fait presque 800 pages, et que je vous conseille. Malgré cette force génitrice, créatrice, ce savoir qui sommeille en nous toutes, il me semblerait bien malaisé d'être le porte-voix ou le défenseur de toutes les femmes. C'est sans doute aussi en cela, qu'il existe divers mouvements féministes, tout autant que de façons de l'interpréter, et leaders. Vous pensez bien qu'un homme, qui, de plus, n'entend manifestement rien aux femmes, ne peut raisonnablement se poser en défenseur des femmes, et ainsi proposer à une femme...un concours de quéquette (c'était déjà incongru, mais là cela devient absolument vulgaire). Vulgaire, effectivement, vous l'êtes encore, dans l'assimilation de l'éducation à la classe sociale. Vous auriez développé l'idée que ceux qui n'ont pas reçu d'éducation ou une éducation suffisante et valorisante -les plus nécessiteux donc- en dépit de la classe, aurait été autrement plus intéressant, puisque c'est une vérité indéniable. C'est tout un modèle patriarcal qui est à remettre en cause, absolument dans toutes les classes sociales, plus prononcé encore, dans certaines cultures, et je sais là plutôt pourquoi je l'écris, étant moi-même de culture latine, de toutes parts. La réalité (observable), c'est que dans bien des foyers les mâles bénéficient d'un traitement de faveur en ce qui concerne des basiques comme le partage des tâches ménagères notamment, allant à des concepts bien plus profonds et bien plus salement ancrés, visant à viriliser le mâle et rendre les femmes, invisibles. Je lisais il y a quelques années, un article, fait de témoignages de femmes indiquant comment elles élevaient leurs fils de façon féministe (partage des tâches ménagères, "conscientisation" aux inégalités salariales, sociales, sociétales et sensibilisation, à travers le monde, respect des femmes très en général...). À première vue, nous pourrions penser que c'est une façon d'élever les enfants plus égalitaire, normale, eh bien non il y avait bien indiqué dans l'article "féministe" et ça l'est, manifestement, au regard de ce qui se fait plus usuellement. Quoi qu'il en soit, le problème vient définitivement des hommes et nous n'avons pas à payer votre manque d'éducation. Si vous êtes indigents, arrive un âge où la réflexion peut prendre place, et à force d'instruction, il est possible de compenser ou penser sans être con. Éducation, instruction, législation, qu'importe tandis que nous puissions arriver à un résultat. La liberté demande une maturation, des choix et des erreurs nécessaires, tout comme le cheminement de l'indigent vers l'homme plus respectueux, des femmes. Je ne suis pas inquiète, cela prendra le temps qu'il faudra. Enseigner aux hommes ou inciter les pères à prendre davantage de congés parentaux -et il existe des pères formidables, plus poules que les mères- changer les mentalités, favoriser l'accès aux femmes à des postes à responsabilités ou recruter des femmes, plus de femmes, leur donner une chance de montrer leur savoir-faire à égalité avec des candidats, pourraient favoriser la diminution d'écarts salariaux entre hommes et femmes, encore faut-il d'abord dégommer quelques modèles sociaux et professionnels aujourd'hui trop poussiéreux. Non je ne baisse pas les bras, mais c'est sans doute parce que je suis une femme, ça... Que l'outrage sexuel "puisse être une pure invention", tout comme le harcèlement de rue -ça y est vous avez retrouvé la mémoire ?!- cela se passe uniquement dans votre tête, parce que cela vous arrange. Définitivement, il n'y a pas un seul homme, dernièrement, sur ce fil, qui donne réellement l'envie d'être lu, tant vous pouvez être bornés et malhonnêtes, messieurs. Que disait Simone Veil déjà, sur les hommes, leur virilité, leurs peurs... ? Ah oui : "Personne n'est plus arrogant envers les femmes, plus agressif ou méprisant, qu'un homme inquiet pour sa virilité". Vos repas dominicaux doivent être fort mouvementés. Ma douce maman, quant à elle, vous aurez expliqué avec un sourire bienveillant, que c'est parfois l'unique moyen de défense possible ou riposte nécessaire et à son corps défendant, quand tout dialogue a été rompu, et à armes également, toujours, exclusivement. D'ailleurs, nous semble t-il, que c'est ce que la loi prévoit. Sa douceur explique sans doute, en partie, qu'elle déclenche dans son sillage quelques sifflements ou tirades bovines (de la drague ça ?) qui me donnent toujours l'envie irrépressible d'encastrer quelques boulards dans quelques pare-brise. L'amour inconditionnel de l'enfant pour sa mère, vous devez aussi savoir ce que c'est.... Et non, absolument pas, il ne s'agit pas de définir une sentence au hasard ou bien à la tête du "client". Ces actes répréhensibles, graveleux, réunis sous la bannière d'"outrage sexuel" sont aussi classés en fonction de la gravité de l'acte (il me semble avoir lu un tableau passer, pas vous ?). D'ailleurs, un tiers sera seul juge du flagrant délit. Je comprends que vous râliez, ceci dit, faire 36 lois pour chacun de ces actes quand il est possible de les regrouper tout en les dissociant tout de même, ce n'est ni plus ni moins que du chipotouillage. Vous serez toujours en désaccord, et peut-être tout simplement pour la "beauté du geste", vous pourriez l'être pour quelque chose de plus "grand", ne croyez-vous pas ? La liberté ? C'est vrai, la liberté c'est ce qu'il y a de plus grand. Que quelques femmes puissent accepter de devenir la récompense d'hommes vicieux, grand bien leur fasse. Peu de femmes réagissent positivement aux sifflements, à la drague au harcèlement de rue -inquiétants ou trop souvent sans imagination- sans doute parce que ce n'est pas plaisant. Des hommes aiment aussi assez être traînés en laisse, harnaché par les gonades, et des femmes aiment les ridiculiser de la sorte, la loi définit aussi qu'il s'agirait là, d'attentat à la pudeur, notamment. Il n'est pas possible de faire n'importe quoi dans l'espace public, en cela précisément qu'il ne nous appartient pas. C'est principalement ce qui le différencie de l'espace privé. Si des femmes aiment se faire siffler, que leurs...hommes s'adonnent à cette "gratification" donc, dans l'espace privé. La masse n'aime pas cela. Vous souhaiteriez aussi, qu'il soit -re-donné la "liberté" aux hommes d'agir puisqu'ils seraient muselés, ou pire encore, émasculés par les lois, par La loi. Ce n'est pas vraiment la liberté que vous essayez depuis quelques messages de me vendre, mais bel et bien l'anarchie. Ne vous reste plus qu'à convoler avec cette dame, d'un âge avancé, que vous trouvez, peu amène (moi je la trouve sympa, sans plus, bon un peu survoltée). J'ajoute, qu'il semblerait que nous ne comprenions toujours pas, malgré les messages échangés sur ce fil et d'autres, sur le sujet. Il y a cette image persistante ou ce mythe de la fragilité féminine, encore trop présent, qui vous poussent messieurs (et là c'est plus général), à penser -mais pas trop fort parce que sinon vous vous bougeriez- que nous pourrions avoir besoin de vos démonstrations de force virile. Nous n'avons pas besoin de sauveurs, simplement de solidarité. Exit le damoiseau sur son cheval blanc, puisque ce cheval blanc nous l'avons toutes en nous, ce qui nous mène à nous élever contre vos congénères oppresseurs, parfois, pour d'autres, quand elles n'ont pas encore trouvé leur propre cheval blanc. Bien évidemment, quand nous intervenons, nous risquons tout autant que vous autres, si ce n'est plus : nous faire traiter de pouffiasse, et ensuite de se prendre un coup de couteau et peut-être, entre temps de subir des attouchements, ou un viol. Nous avons toutes ce monde intérieur, ou une vie en grande partie intérieure. Le cheval blanc, vouloir l'égalité en droits pour les femmes, est en chacune d'entre nous. Absolument toutes et je suis désolée de vous décevoir. Même la femme la plus opprimée, dans des pays où naître femme est déjà compliqué, dans des pays auxquels nous ne pensons pas instinctivement tant ils semblent évolués ou novateurs en bien des domaines, où l'égalité et la vérité sont bannies et indicibles. Nombre de femmes ont mené des vies semblables : réduites en surface et considérables en-dessous. Opprimées. Des femmes à Téhéran, luttant pour leurs droits, bravant les coups de bâton et la peine de prison puisqu'elles laissent l'espace de quelques secondes leur chevelure au vent, juchées sur des bornes dans les rues, ou encore des femmes dans le milieu artistique au Japon, ayant subi, sexisme, agressions, harcèlement et/ou viol puis enfin bashing puisqu'elles ont osé s'exprimer, considérées depuis comme ennemies des hommes et de la nation, sans oublier la mère de famille, fichée de deux marmots, conduite inexorablement aux fourneaux et au repassage par son cher et tendre, alors qu'elle rêve d'autre chose. Votre "raisonnement" est plutôt très tortueux, faire appliquer une loi en faveur des femmes, afin, (enfin !) que l'espace public soit plus viable pour elles, plus "secure", retirant un peu de confort aux beaufs sans gêne, n'amènera en rien au voile (et puis quoi encore ?). Les hommes doivent impérativement s'habituer à ce que la Femme soit féminine sans avoir à manifester leur ravissement de façon dégradée et dégradante. C'est un message tout simple qui passe également avec cette loi. Une jupe courte ou longue, les chouchous, ça se soulève de toute façon, de la même façon. Si vos hormones vous titillent trop messieurs, allez vous faire soigner. Le laisser faire aurait pu sans doute, amener au port du voile, généralisé, mais dans longtemps. Et puis, le jour où vous me verrez écrire en faveur du voile -islamique ou catho peu importe- qui n'a, à mon sens, rien de sacré, et reste patriarcal, c'est sans doute que mon compte aura été ici piraté. La Femme, en France, majeure, peut avoir un vrai choix, celui d'être une femme libre ou celui de rester contrainte. les religions (toutes confondues) ne lui laissent pas penser qu'elle peut évoluer, tout bonnement puisqu'elles sont toutes misogynes (les religions, pas les femmes). La patriarcat, c'est comme l'herpès génital récurrent, il demande un traitement de fond (l'éducation) afin d'éviter les récidives, auquel il convient de combiner un traitement dit de choc, empêchant le papillomavirus de s'étendre (la loi). Il ne s'agira donc évidemment pas d'allouer un agent de police à chaque foyer afin que soit exercée plus de parité. Pauline Lannier ne veut pas vous convaincre d'adopter un mot pour un autre... elle n'est pas en cause puisque beaucoup ont déjà assimilé "féminisme" à "égalité", depuis quelques années déjà (comme je l'ai expliqué dans ma réponse à votre voisin du dessus). Ça ne vous plaît pas, soit. Ce qui est troublant dans vos mots, c'est que vous écrivez qu'assimiler ces deux termes serait comme un aveu d'échec, avouer que vous auriez "perdu"... mais vous êtes en guerre avec les femmes ? Avec l'arsenal itou ? C'est un jeu ? C'est quoi le projet là ? Si vous pensez que les femmes réclament plus que l'égalité, c'est que vous n'avez visiblement rien entendu aux femmes. Prôner l'égalité, même pour les hommes, c'est à mon sens, retrouver son humanité. Vous ne pouvez revendiquer la liberté de penser et d'être tout en reniant à l'autre de penser et d'être différemment, encore une fois et c'est très antagoniste. Trop. S'il y a bien un milieu professionnel où il y a peu de liberté, c'est bien la vente. Aussi, quand une vendeuse vous sourit, c'est en général qu'elle fait ce qu'il lui est demandé de faire : être servile et bien aimable, tout en vous vendant un maximum d'articles, si possible, et c'est mieux. La vente c'est du charme, de la séduction, toujours qu'il s'agisse d'un pot de glace, de croquettes pour chien ou d'une maison. Séduire suffisamment monsieur -et en général ils ne sont pas bien difficiles- tout en oubliant jamais madame, qui est absolument toujours décisionnaire (pouvoir, pouvoir). Les chefs des chefs en stratégie des ventes, dans certaines enseignes, dans le prêt-à-porter, notamment, élaboraient, il y a encore quelques années, des méthodes de vente censées être révolutionnaires, et propres à la boîte : vous mettez le nom de l'enseigne en question et faites suivre du terme "attitude". Des vendeurs et des vendeuses doivent y coller. Des vendeuses, professionnelles et très consciencieuses, se sont vues ainsi invitées à boire un verre ou un petit café, souvent, pour peu qu'elles aient été au goût du client. J'espère que cela ne se fait plus. Quant aux zones de non-droits, elles ne se concentrent seulement plus autour de Paris, vous en retrouverez aussi à Lyon, Marseille, Tours, Orléans, Grenoble (sacré coupe-gorge) etc.., les femmes se font importuner aussi dans les plus petites villes, ou mater les cuisses avec insistance, siffler encore lorsqu'elles descendent de leur véhicule, suivre... d'où le caractère urgent d'une telle loi. Nous n'y arriverons sans doute pas du premier coup, vous ne pouvez raisonnablement pas reprocher à un collectif d'individus d'essayer de faire bouger les choses, parce que cela fait bien trop longtemps que cela dure. Je vous laisse en compagnie de @jimmy45, entre hommes """"viriles"""".
  7. J’ai envie de vous écrire que la pudeur de l’autre ne nous regarde surtout absolument pas, ça me paraît très difficile de juger cela tant c’est personnel... (il n’y a pas de mieux ou de moins bien), à moins d’être une vieille cagote et de devoir faire son rapport au père Marcel, en vue du prochain sermon. Révéler des parcelles de son âme, de son corps, son parfum de glace préféré, chacun fait et fera comme bon lui semblera et comme il aura bien envie de le faire, tant qu’un tiers n’est pas mêlé à tout cela... quand il l’est c’est souvent un -ou des- gosse(s), personnellement ça m’est très dérangeant : ça fait vraiment flipper ces parents qui usent de l´image de l’enfance afin d’attendrir (au public ou au privé), sorte de fierté mal placé, et ce n’est pas toujours leur image, a contrario des autres. Vraiment pas sympa votre ex.
  8. Quand vous rencontrerez cette exception, faites-moi signe.
  9. Y en a qui ont essayé, et se sont cassés le nez, pleins, à chaque fois, tous. Ça me fait toujours sourire de lire des intervenants fantasmer sur qui je suis... au moins je ne laisse pas indifférent(e) ! @Isadora. Il sort quand ce « chéri » de zone blanche ?
  10. Vous n’en saurez rien. Bonjour Prométhée_Hadès, check, C’est particulièrement bien vu et quelle mémoire ! Revenons au sujet, si vous voulez bien.
  11. Oh plutôt pas non : peu démonstrative et très secrète, trop perso. Si j’écris, je cache habilement mes poèmes, états d’âme et récits, comme s’il s’agissait du trésor de Barbe Noire. Ils ne seront pas lus de mon vivant ou probablement jamais et ce n’est pas plus mal, puisque tel n’est pas le but. J’espère qu’Isadora se verra un peu rassurée des réponses publiées sur son sujet.
  12. Bonjour, Respire. Non "un mec normalement constitué" et en début de relation, amoureux, à tendance à l'être beaucoup (amoureux), il te déifiera même peut-être, sûrement même (ne prends pas peur). C'est justement maintenant qu'il faut lui écrire des romans, parce qu'après il n'aura pas le temps, ou il ne le prendra pas toujours : "le travail tu comprends"- le train train en fait- "je te promets ma chérie, je lirai plus tard" et puis il lit seulement en partie, ou bien, il oublie. Maintenant, tout de suite, c'est nouveau, tout frais, tout beau, tout feu tout flamme. Il va prendre le temps, lira cela comme le merveilleux roman de tes aventures, merveilleux parce que ce sont les tiennes. Il lira tout, pour mieux te comprendre, pour mieux t'aborder. Ensuite, il s'agira de l'entretenir. cette relation. Profite des premiers moments, ce sont toujours les meilleurs. (En zone blanche ? Ce n'est pas trop grave ?).
  13. Je n'ai pas suivi. @Fuck Them Allpréfère les femmes à l'international ? Des bottes de jardinage et des vêtements sombres... j'opte pour la solution B et préfère en conséquence, ne pas être élégante selon vos critères *tirage de langue* En plus vous ne savez pas faire la différence entre un top et une robe (quelle buse !).
  14. Vous ne devriez pas, en effet... sait-on jamais, vous pourriez virer féministe sans crier gare. C'est sûrement contagieux, peut-être que ça saute, vous savez comme des sauts de puce *boing boing boing* Collision de caddie chez super U et féminisme... hum vous vendez du rêve là. Désolée de vous décevoir, mais il n'y a pas un brin de féminisme là-dedans, c'est une scène ordinaire de supermarché, faite de réactions ordinaires, émanant de personnes qui le sont tout autant, et vous êtes une vraie petite commère, en sus. À l'initial, Najat Vallaud Belkhacem travaillait déjà sur cette loi puisque des cafés, des quartiers devenus hostiles ou coupe-gorge, autour de Rochechouart, Barbès, Gare du Nord n'étaient plus fréquentés par les femmes. Qu'il y ait des no woman's land en France, pays des droits et des libertés, n'est tout bonnement pas admissible. Marlène Schiappa a ensuite repris cette loi et étendue à des comportements jugés inoffensifs...par des hommes, lourds et oppressants pour les femmes, et nous l'en remercions. Nous pourrions en effet, y voir, une loi sur le savoir-vivre, puisque des parents ont échoué, et l'Éducation Nationale également (bien que je reste d'avis qu'il est surtout du rôle des parents d'éduquer les enfants sur ce point en particulier). Il y a aussi très certainement une part de mimétisme, bien des pères se comportant comme des machistes envers leur épouse, donnent la voie à suivre, à leur(s) fil(s). Les rôles sont encore trop bien définis. Il y a une certaine violence envers les femmes, ordinaire, sexiste et avilissante, une véritable discrimination, une forme d'esclavage, que vous ne voyez pas, que nous ne voyons plus, parce qu'elle s'est banalisée. La Femme est une boniche, c'est ce qu'il lui a été inculqué, par tradition séculaire. Les boniches ne sont pas respectées, c'est aussi simple que cela. Cette loi est aussi éducative puisqu'elle s'accompagne d'un stage de sensibilisation à l'égalité homme-femme, ce qui est plutôt très intéressant. Évidemment, oui, vous pouvez être démissionnaire, fataliste même, puisque vous n'êtes pas directement concerné. Cette loi a été créée afin que des femmes puissent circuler tout autant librement que vous autres dans l'espace public, avec le respect qu'elles méritent et sans crainte. Cette loi concerne donc les femmes pouvant potentiellement être victimes d'agissements outrageants émanants d'hommes non éduqués, toutes les femmes, des hommes sans éducation sont concernés et personne d'autre. Vous ne vous sentez pas concerné ? Vous n'êtes pas concerné, tant mieux, cette loi n'est pas faite pour vous : circulez. Souligner qu'une femme est pour l'avancée en droits pour les femmes est finalement un pléonasme : nous le sommes toutes...même la femme la plus opprimée, la plus captive, semblant se satisfaire d'une vie ménagère, a une fibre féminine, enfouie au fond d'elle-même, qui ne demande qu'à s'exprimer et elle sait qu'un jour, il y aura une opportunité, et qu'elle pourra la saisir. L'article de Pauline Lannier est intéressant -j'ai une lecture quelque peu différente, veuillez m'en excuser...ou peut-être ne retenons-nous l'un et l'autre que ce qui nous intéresse vraiment ou allant dans le sens de notre argumentation : "je n'argumente pas, je t'explique pourquoi j'ai raison"- puisqu'elle souligne d'une part que le terme "féminisme" en lui-même est à connotation négative, de part son étymologie -et la compréhension qui en découlera donc pourra être faussée- expliquant aussi que des groupes activistes tels les femens (les médias aussi mais cela elle ne le précise pas, conflit de loyauté peut-être) ont aussi peut-être contribué à cette image négative du féminisme ; d'autre part que les hommes sont à inclure. Je vous prie de m'excuser pour la longueur de la phrase précédente et pour faire synthétique, son message est le suivant : vous n'êtes pas l'ennemi, nous ne sommes pas vos inférieurs. Le terme est sans doute mal choisi puisqu'il résonne dans votre tête, enfin dans celle de quelques hommes, comme haine des hommes donc misandrie, pouvant ainsi s'y substituer trop facilement. Le féminisme était un bon produit marketing à la base (et nous n'avions pas besoin qu'il nous soit vendu puisqu'il est au fond de chacune d'entre nous et que quelques uns d'entre vous, trop peu), victime d'une mauvaise presse. Nous ne sommes pas revanchardes. Il n'est pas question de vous retirer des droits, juste un peu de confort, enfin pour certains. Des femmes resteront des boniches, par habitude et tradition puisque le modèle patriarcal est malheureusement très persistant ou trop ancré (une vraie saloperie ce machin-là), que des femmes se contentent de leur sort, ou en semblent heureuses, tout comme certains esclaves ont pu en faire de même, puisqu'ils n'ont connu rien d'autre que l'esclavage. Certains sont morts ainsi, en esclaves. Le patriarcat est une forme de domination sur la femme (ça devrait vous plaire, nous remontons là aux racines du mal animales : rapport dominant/dominé). Je comprends bien que voir votre confort fuir à toutes jambes puisse être effrayant, ne vous inquiétez donc pas outre mesure, messieurs. Vous expliquez que vous êtes des couards en bande organisée...enfin presque ou plutôt des couards conditionnés à être couards finalement, le "Dalloz" serait le stimulus, sinon vous leur déchireriez leur race aux agresseurs/harceleurs/lourdingues. C'est seulement cela qui vous retient, la loi. Nous faisons à peu près le même constat, vous me fournissez une excuse...une causalité, pardon je ne le referai plus, promis. Vous n'avez pas besoin d'en venir aux mains, pour toutes les raisons déjà évoquées plus haut, mais vous avez le droit d'être têtu. Je le suis aussi ou plutôt, pugnace. Espérons que la loi soit assez dissuasive, les forces de l'ordre assez en nombre, afin de vous éviter tout dilemme ou prise de position en faveur d'une femme dans le besoin. Voyez comme cette loi va permettre de vous retirer un poids. Petit rectificatif, Dark Vador, la majorité des français ne se dit pas de droite et féministe. La faute à la mauvaise presse toujours. Cumuler les deux...préparez-moi le bûcher, s'il vous plaît. Des femmes se défendent de toutes leurs forces d'être féministes -c'est dingue- pour les raisons évoquées dans l'article, ici, mais aussi pour certaines parce qu'elles ont bien trop peur de se mettre à dos les hommes puisqu'elles sont surtout dans un optique de séduction (d'autres plus maternantes se laissent aussi attendrir par vos grands yeux embués), ce n'est pas censé être vendeur d'être révoltée ou non soumise et pourtant force est de constater que de plus en plus d'hommes y voient un certain charme : affirmation et répondant. Il faut absolument arrêter de culpabiliser les femmes, elles ont tout à fait l'opportunité de vouloir l'égalité en droit, vouloir le respect, tout en vivant en harmonie avec les hommes. C'est possible, bien évidemment. Je crains que vous fantasmiez un peu la chose : une femme qui s'interpose est une intruse. Elle peut, en plus, ne pas correspondre aux critères de beauté du mâle en rut et c'est souvent le cas (trop jeune, trop vieille, trop brune, trop rousse, trop blonde, trop d'arguments au niveau du buste, ou pas assez, trop ceci ou pas assez cela). Le coup de couteau, nous le risquons tout autant que vous, en plus des insultes sexistes qui y sont assorties. Buter un homme ne sert à rien non plus, en plus il y a 10 chances sur 10 pour que vous fassiez un séjour en "zonzon" (il paraît que l'on y mange bien, et que l'on y est au chaud, mais tout de même...). Le Dalloz, souvenez-vous. Ne pensez plus primate, think different, nous sommes en 2018... enfin il semblerait. Il n'est toujours pas interdit de se défendre verbalement, à nous de faire en sorte que cela ne vire pas au n'importe quoi. Parce qu'autoriser à faire n'importe quoi, vous savez bien là où cela peut mener, vous m'avez "mentionnée" hier, alors qu'une intervenante prônait encore, le n'importe quoi, souvenez-vous. Être séducteur n'est pas si mal, tant que les femmes sont respectées, qu'il ne s'agit pas d'un "objet" parce que c'est cela, c'est toujours ça, la femme est un objet, pour le lourdingue, très interchangeable, un moyen de parvenir au confort et au plaisir donc d'en faire une boniche au bon service de monsieur à terme. Ce n'est pas sympa d'être sifflée, draguée dans la rue, non, absolument pas. Il n'y a là rien de flatteur et je pense que l'on peut légitimement se demander si un dragueur n'est pas potentiellement un peu un dragueur compulsif. J'entends par là que plus un homme a une facilité à aborder et draguer, plus il a de chances de répéter son manège avec dextérité et aussi d'aller voir trop souvent si l'herbe n'est pas plus verte ailleurs. C'est signe d'instabilité. Ça n'inspire pas confiance. D'ailleurs cela pourrait être très éliminatoire. Il n'y a aucun respect, la Femme est là l'inférieure. C'est moche, vous ne trouvez pas ? J'ai personnellement plus d'admiration envers celui ou celle qui séduit au quotidien, afin d'entretenir la flamme, plutôt que celui ou celle qui séduit en batterie, des inconnu(e)s. Siffler la cucaracha en do mineur, est-ce que cela fonctionne ? Pour rester dans les gallinacés, est-ce que les cailles tombent ? La plupart des femmes sont-elles éblouies quand elles sont importunées de la sorte ou par d'autres moyens tout aussi désagréables ? Je ne le crois pas, pas si sûre que beaucoup de couples se soient formés suite à de la drague de rue. Vous pensez mieux défendre le droit des femmes... vous ? Vous ne manquez pas d'humour, un bon point pour vous. Les certitudes c'est beau, c'est bien, mais cela ne suffit, bichon. Il ne se suffit pas de clamer les choses avec force, pour que cela fasse de vous un vérace, vous ne parviendrez qu'à passer pour féroce, tout au mieux. Ça ne vaut pas un pet de lapin ça, enfin, je ne vous appellerai pas "acquitator", et n'en appellerai pas à vos "talents", même pour vous flatter l'égo...ce n'est pas le genre de la maison. La réalité c'est que vous n'êtes pas très doué. Vos mots sont dangereux, sincèrement, parce qu'en plus de considérer les femmes comme de la vulgaire marchandise est pour vous, normal, vous assimilez -à tort- basses classes sociales (ce n'est pas péjoratif) à beauferie. J'ai plutôt tendance à considérer également que des hommes et des femmes qui font poser de la moquette dans leur garage afin d'y faire reposer leur "Féfé" sont des beaufs, de même que ceux qui font installer une verrière dans leur salon pour y entreposer leurs modèles de collection, au même titre que celui qui va vêtir son véhicule d'une banderole de l'OM. La beauferie est davantage, à mon sens, une attitude, c'est un concentré de ce qui se fait de plus... -je ne trouve pas de termes très sympas là- on va dire alors de beauf hein. Même chose pour des femmes -et des hommes- qui voient en leurs gosses soit des hyperactifs soit des enfants précoces ou à haut potentiel (parce que les hyperactifs ne sont plus trop à la mode comprenez, place au HP, QE ou autres abréviations justifiant qu'elles/ils mettent leurs gosses en étendard, fierté de beauf mal placé, sans consulter qui de droit) et s'auto-proclamant, elles-mêmes, "mamans-stars". Maintenant que le cadre est bien défini, excluant ainsi des préjugés sur les classes sociales- vous allez peut-être pouvoir me lâcher la jupe avec Arlette et sa bicyclette. Il y a encore beaucoup à faire en ce qui concerne l'égalité des droits. Je me suis toujours demandée pour exemple, pourquoi des femmes, appelées communément féministes, réclamaient l'égalité des salaires, ou la parité, puisque ne constatant pas moi-même d'écart entre mon salaire et celui des mes collègues masculins lorsque je n'étais pas à mon compte (du moins en ce qui concerne le fixe, le variable dépend un peu de la chance, beaucoup du travail). J'ai pu néanmoins constater que les plus hautes fonctions sont souvent attribuées aux hommes, même sans réels talents "objectivables", sous prétexte de genre, ou de maternité éventuelle de leurs concurrentes (oui une femme occupant de hautes fonctions est tout à fait capable de se faire engrosser et de prendre en plus un congé parental, rendez-vous compte, le bazar pour lui trouver un intérimaire). Dans certains milieux, comme les ressources humaines, les hommes -moins en nombre- sont davantage rémunérés que les femmes (j'ai posté un article là-dessus, il y a quelques temps sur je ne sais plus quel sujet). Il est toujours à constater que les réactions masculines sont vives à ce propos, sur les forums, beaucoup moins au réel, parce qu'en vrai de vrai, il y a vraiment réellement beaucoup à faire. N.B : Je fais la différence entre l'outrage sexuel, et le harcèlement de rue -dont vous déniiez auparavant, l'existence- et les condamne tous les deux.
  15. Est-ce que je vous demande si votre mère pisse debout ? Des bottes... en plein été ? En caoutchouc aussi tant que vous y êtes (sic). Mes baskets sont roses et non blanches, et toujours plutôt en bon état. Je ne change pas de fringues quand je manipule de l’eau de javel ou quand je bricole, et il m’est arrivé de sortir les poubelles en tenue de soirée -plusieurs fois- ceci dit ce n’est pas bien grave tant que je n’utilise pas votre carte bancaire pour faire du shopping, vous en conviendrez.
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