Mórrígan

C'est vrai, il y a une constance en ce qui concerne les toutes dernières places, néanmoins. De Gaulle a été évincé de ce récent sondage, pour une raison que nous ignorons. Ça risque d'envoyer du steak...

Le choc est visuel mais fugace. Une information scandaleuse en chasse vite une autre. Vous remarquerez que nous avons droit à des tombereaux de scandales ou d'égarements présidentiels, à la semaine. Nous en oublierions vite l'essentiel. Onfray a le mérite de mettre encore ici en exergue la personnalité mafieuse de ce qui nous sert de président, tout en étayant parfaitement. Il nous rappelle ainsi toutes les manigances de notre trop cher président. En l'heure actuelle où l'opposition est inexistante -les partis ont été décimés soigneusement avec le concours des médias, les têtes d'affiche annihilées, avec soin- ce sont les intellectuels qui ont toute place, et c'est bien plus plaisant à lire. Destruction semble être le terme approprié, d'autres auraient écrit plus volontiers "dépeçage". Au sujet de l'autodestruction d'Onfray... avec dans les 25% d'opinion favorable en faveur de Macron, l'heure ne semble pas être encore venue. Ses quelques détracteurs devront encore patienter, se suspendre à ses métaphores et jouer les fausses vierges effarouchées, faute d'arguments. Pourriez-vous citer le passage où Onfray aurait tenu des propos à caractère homophobe, violents, à l'endroit de toute une communauté, et avec précision, s'il vous plaît ? Onfray, qui se définissait lui-même, il y a quelques temps encore, comme étant un "vrai" socialiste, aura aussi eu le courage d'avoir souligné notamment le caractère misogyne de certains "festoyeurs" invités à faire de l'Elysée, une boîte de nuit hard discount. Je trouve très intéressant qu'il ait été le seul à avoir compris qu'il subsiste une certaine "hétérophobie", une haine palpable à l'endroit des femmes, chez certains membres d'une communauté très protégée. Vrai socialisme ? Justesse et humanité. La gauche telle que nous l'avons toujours connue est une parfaite imposture. Onfray idéalise alors quelque chose qui n'aura jamais existée. Il y a évidemment eu quelques prises de décision en faveur du progrès avec certains ministres inspirés. Pigeon, oiseau à la grise robe, dans l'enfer des villes, tu te dérobes Tu es vraiment le plus agile. Très juste et remarquablement bien écrit. Macron n'assume pas, non. Aux prémisses de l'affaire Benalla, nous nous souviendrons de sa délicieuse "enrobade" auprès de députés strictement LREM. Jacky et Michel. Onfray un si joli couple *sourire en coin* Sa plume est acide au possible, caustique, irrévérencieuse par instants. D'aucuns se contenteront de buter sur ses métaphores viriles, d'autres pourraient pousser la réflexion et éventuellement trouver proprement scandaleux que soient lancées des chasses aux hommes, des hommes qui n'ont commis pour seul crime d'avoir la pensée, libre (destitution, mise en place de philosophes pro-Macron et d'un autre âge semble t-il). Et il porte si bien le costume *pleins de petits coeurs rose poudré*

Votre Altesse, Votre Excellence, Votre Sérénité, Mon cher Manu, Mon Roy, Mais aussi: Mon Chéri, Je me permets en effet cette familiarité, mon cher Manu, car des photos t’ont récemment montré partout sur la toile aux Antilles enlaçant un beau black, bodybuildé en prison et luisant de sueur tropicale, ce qui semblait te ravir jusqu'au plus profond – si tu me permets l’expression… Ton sourire béat montre en effet que ta dilection va plus facilement à qui accompagne son selfie avec toi d’un doigt d’honneur qu’aux intellectuels qui n’ont pas l’heur de te plaire parce qu’ils ne te font pas la cour. Décidément, tu sembles n’aimer que ceux qui te font savoir leur amour d’une façon qui ne prête pas à confusion: il faut t’enlacer torse nu pour te plaire, essuyer sa transpiration sur ta chemise blanche, et passer plus de temps en salle de sport qu’en bibliothèque. Je comprends dès lors que le philosophe Etienne Balibar, avec lequel tu dis avoir rédigé un mémoire universitaire sur Machiavel, n’ait plus le souvenir de toi. Il n’est probablement pas assez couvert de sueur, trop âgé et trop intellectuel à ton goût. A ceux qui voudraient augmenter un peu leur culture, ce qui n’est pas de trop ces temps-ci, consultons l’encyclopédie en ligne Wikipédia, soyons fous! Elle nous donne cette signification du doigt d’honneur: "Le majeur dressé autour des autres doigts baissés évoque un phallus et le reste de la main, un scrotum". Traduction pour qui ne maîtriserait pas toutes ces subtilités lexicales, il s’agit tout bonnement d’un "doigt dans le cul". Le doigt, on voit bien à qui il appartient, le cul, on se tâte – si je puis dire! Est-ce le tien personnellement? Auquel cas c’est ton affaire, mais n’en fais pas un étalage public: un président, ça ne devrait pas faire ça comme dirait l’autre… Ce cul, est-ce le nôtre en tant que tu incarnes la souveraineté populaire? Est-ce celui de la France dont tu es le corps mystique? On ne sait. Mais cette fois-ci, ça nous concerne. Et permets qu’on puisse ne pas jouir d’une pareille intromission dans notre intimité sans notre consentement. Demande à madame Schiappa: c’est la définition légale du viol. Quoi qu’il en soit de ce fondement et de son propriétaire, c’est proprement manquer de doigté envers la République que de se laisser mettre de la sorte en arborant ce sourire radieux qui témoigne de ton contentement. Pareil goût relève de ta vie privée qui est celle du second corps du roi, elle ne devrait pas affecter ton premier corps qui est politique et républicain. Ce sourire, c’est le même que tu arborais sur les marches de l’Elysée le jour de la fête de la musique en compagnie d’une brochette d’individus, eux-aussi férus de ce très subtil langage des signes. On ne dira pas que tu caches ton jeu. Il n’y a que les crétins pour feindre que tu dissimules. Tu es du genre à nous le mettre bien profond, pour dire clairement ce qui ne devrait pas te choquer sous forme de mots, puisque la chose te ravit quand elle se trouve exprimée sous forme de geste. Mais mettre ou ne pas mettre, là est la question… Or, cette question, tu l’as franchement résolue. Car, depuis quelque temps, tu montres en effet que, toi ou tes services, vous n’avez pas grand souci de la légalité (je ne parle plus de moralité, on sait désormais dans quelle estime tu tiens toute morale…), je parle de légalité. En adoptant cet angle de vue, on voit bien comment tu nous la mets, tu nous le mets, tu nous les mets… D’abord, premier doigt, il y eut cette étonnante évaporation de tes bénéfices en tant que banquier chez Rothschild: tu sembles en effet avoir habilement fait disparaître cette somme considérable de ta déclaration de patrimoine avant les présidentielles. Quid en effet des cinq millions d’euros que tu as engrangés comme banquier pendant huit ans et dont personne ne retrouve la trace ? (source : "Cinq millions d’euros en huit ans, où est l’argent, Emmanuel Macron?" dansEconomie Matin du 16 février 2017). Cinq millions, ça en fait des billets de cinq euros que tu voles dans la poche des étudiants qui reçoivent l’APL! Ensuite, deuxième doigt, il y eut cette soirée de levée de fonds à Las Vegas qui a permis, via des facturations de Havas-Business, le prestataire de service de cette soirée apparemment effectuée sans appel d’offre, donc illégalement, de dégager de considérables marges, en dizaines de milliers d’euros, pour le candidat que tu étais alors. Qui organisait ce genre de soirée fort peu légale ? Muriel Pénicaud, ton actuelle ministre du travail (source : "Déplacement de Macron à Las Vegas: la très chère soirée organisée par Havas" dans Le Parisien du 8 juillet 2017). Fillon est tombé pour trois costumes: cette seule soirée t’aurait permis d’acheter des pardessus et des pantalons pour tout ton gouvernement et leurs cabinets pendant de longues années. Or, ce ne fut pas la seule soirée ayant permis des largesses à ton endroit. Troisième doigt, devenu président, il y eut l’affaire Benalla. Chacun a eu le loisir, durant ce feuilleton de l’été débordant sur la rentrée, de voir combien et comment tu couvrais qui te couvre. Entre mensonges, stratégies de communication, enfumage, intoxication, désinformation, instrumentalisation, bien malin qui peut désormais savoir où se trouve la vérité. Dans cette affaire, je veux n’en retenir qu’une. C’est une affaire dans l’affaire. Quand ton petit protégé s’est retrouvé en garde à vue, la police n’a pu effectuer une perquisition à son domicile pour cause de légalité: elle n’intervient pas la nuit. Comment se fait-il qu’une équipe ait pu être diligentée pendant ce temps-là au domicile de Benalla pour ouvrir son coffre et faire disparaître son contenu, dont des armes à feu? Qui a dit quoi, et à qui, pour que ce forfait qui entrave la bonne marche de la justice ait été commis? Et par qui? Il faudrait demander à feu Gérard Collomb et lui demander si ça n’a pas un peu à voir avec sa récente démission… On ne fera croire à personne que ce faux cambriolage ait pu avoir lieu à cette heure, dans ce lieu, dans cet endroit de l’appartement d’un homme que tu protèges contre vents et marées, sans que tu sois un peu au courant! Qu’y-a-t-il entre lui et toi pour que se trouvent détruites les preuves des coups tordus de cette affaire? De quels doigts et de quels fondements symboliques, ou non, est-il ici question? (source: "Affaire Benalla. Compagne introuvable, coffre-fort disparu… les zones d’ombre subsistent" dans Ouest-France du 23 août 2018) Puisque nous sommes dans la cambriole, ajoutons un autre forfait, ce sera le quatrième doigt, nous ne sommes pas bien loin de toute la main. Chacun sait désormais que la communication de monsieur Benalla, qui mettait tant dans l’embarras monsieur Collomb (un nom qui, je le jure sur ta tête, n’entre en rien dans ma métaphore filée du doigt et du fondement…), est pilotée par la Reine Mimi. Qui est Mimi? Laissons parler les éditions Grasset qui publient bientôt une biographie non autorisée du personnage. Voici la quatrième de couverture du livre en question : "On l’appelle 'Mimi'. Michèle Marchand, la papesse des paparazzis, la gardienne des rumeurs, des secrets de la politique et des affaires. Elle collectionne les scoops sur les puissants mais elle a compris que le plus utile n’était pas de les vendre. Les posséder suffit. Et en parler, ici ou là. Elle ne dispose d’aucun titre officiel mais 'Mimi' se rend tous les jeudis à l’Elysée. Son agence de presse, Bestimage, a l’exclusivité de l’image de la Première Dame et de celles, privées, du couple Macron. (sic !) Une manne. Et une première. Jamais un couple présidentiel n’avait concédé un tel passe-droit à une 'petite marchande de photos'. Comment 'Mimi' a-t-elle pris le contrôle des secrets de Paris? Pourquoi lui est-il accordé tant de privilèges? Que sait-elle? Que tait-elle? Difficile d’enquêter sur cette femme, puissante et redoutée. Ses amis se taisent et ses obligés ont peur." Et puis ceci, qui ne manque pas de piment : "Garagiste, tenancière de boîte de nuit, mariée à des braqueurs puis à un policier, championne de ski, reine de la presse people… avant d’arriver au cœur du pouvoir. La vie de 'Mimi' est une énigme et un vertige." On comprend que ce vertige en donne à d’autres. Voilà pourquoi, fort étrangement, l’appartement de l’un des journalistes a été cambriolé. Par qui? Toi seul le sait me semble-t-il. Ou Monsieur Collomb, qui a récemment fait ses valises… comme un voleur! Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que l’équipe de monte-en-l’air qui a œuvré sur le coffre fort de Benalla était aussi de service chez l’un des biographes de la désormais fameuse Mimi. (source: "Un des biographes de 'Mimi' Marchand mystérieusement cambriolé" dans L’Obs du 26 septembre 2018). Pour les besoins de ma démonstration, je sais que tu me comprendras, j’ai besoin d’un cinquième doigt. De sorte qu’ainsi, nous pourrons franchement parler d’un "Fist Fucking" – autrement dit, pour ceux qui se trouveraient autant déroutés par cette expression formulée dans la langue de Shakespeare que par les subtilités lexicales du corps humain, voici une libre traduction de mon cru : "La main, puis tout le bras dans le cul". Tu m’excuseras toutes ces variations proctologiques, mais c’est toi qui m’y contrains, après avoir commencé aux Antilles… A plusieurs reprises, celui qui te sert de Benalla pour tes discours, Sylvain Fort, a fait savoir que tu n’appréciais pas un certain nombre d’intellectuels - dont ma pomme! Il fut dit un temps qu’un genre de "cellule riposte" allait être mise en place pour répondre aux idées "nauséabondes", bien sûr, de ces personnes dont j’étais et dont je suis. Notre Sylvain avait alors sorti du chapeau les noms de Michel Serres et de Pierre Nora: tu voulais du sang neuf et rajeunir la société française, ces académiciens totalisent 174 ans à eux deux, c’est réussi. (source : "Le devoir de mémoire de Macron" dans Le Parisien du 11 juin 2017). Tout le monde a pu voir que tu étais capable de changer la loi pour récompenser Philippe Besson qui est à ta personne ce que Heidegger fut à Hitler, Sartre à Staline, Sollers à Mao (puis à Balladur)… Tu as en effet décidé de faire voter un texte permettant d’ouvrir une vingtaine de postes de consuls généraux supplémentaires à des fonctionnaires comme à des non-fonctionnaires afin de rendre possible ce hochet à offrir à ton ami avec l’argent de la République. (source: "Ce décret qui permet de nommer Philippe Besson consul à Los Angeles" dans Le Parisien du 30 août 2018). Un homme qui est capable de passer par-dessus la loi pour récompenser un intellectuel qui le…, qui le…, disons, qui chante ses mérites, n’aurait pas à se forcer beaucoup pour faire savoir combien il lui plairait que ce philosophe, qui lui déplaît, cesse de voir ses cours diffusés sur le service public! Je dis ça comme ça! Après la fraude fiscale, trois doigts, les cambriolages, deux doigts, la promotion d’un ami comme avers d’une médaille dont le revers est l’éviction d’un ennemi, cinq doigt, voilà, le compte est bon: la main est passée tout entier, le bras peut suivre… Voilà un an que Votre Altesse, Votre Excellence, Votre Sérénité, Mon cher Manu, Mon Roy, mais aussi: Mon Chéri, tu es au pouvoir. Et tu nous régales chaque semaine avec de nouvelles aventures. Il te reste quatre ans de règne. Je t’annonce une bonne nouvelle: comme je dispose de plus de temps pour moi depuis que mes cours à l’Université populaire sont passés dans la moulinette de ton rectum citoyen, je me réjouis de pouvoir t’annoncer que je t’écrirai plus souvent que je ne l’avais prévu lors de ma première lettre. Cette perspective nouvelle me donne le même sourire que toi, mais pour d’autres raisons: je suis ravi! On sait que le sage montre la lune et que l’imbécile regarde le doigt: pour ma part, j’en prends le ferme engagement, je ferai part égale entre la lune et le doigt… Salut Manu Michel Onfray https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/lettre-a-manu-sur-le-doigte-et-son-fondement

Épisode 2 de la série Insatiable en replay. C’est... enfin je ne sais pas trop encore.

T’as le look Marie-Chantal...

Eh oui... Le plus étonnant c’est que quelques uns encore seraient encore bien capables de dire « mais comment qu’il a trop raison notre Président ! ». Pour les 60 ans de la Vème République une enquête de popularité a été menée : https://www.google.fr/amp/s/www.ladepeche.fr/article-amp/2018/10/03/2881125-le-meilleur-et-le-pire-president-depuis-40-ans-sont.html Sur le podium des plus appréciés, les présidents : Mitterand, Chirac et Sarkozy. Classé avant-dernier Macron ! Hollande arrive dernier.

Oh... et le sujet n'est même pas à l'asile ?

Il n'y a pourtant rien de sorcier.

Les politiques se sont toujours appliqués à diviser, désigner des boucs émissaires, afin surtout d'éviter d'avoir à se justifier de leurs propres échecs. Le peuple se laisse si facilement manipuler et corrompre. C'est une affaire qui marche, depuis des lustres. Vous remarquerez que les plus prompts à suivre les paroles de "Dieu le père", à l'applaudir, quand ils s'expriment à ce sujet (ou sur d'autres avec une certaine violence), ont souvent pour référence... leur propre personne. Ici au travail, persuadés de faire mieux que l'autre -toujours- d'être en effet plus méritants ou brillants. Race supérieure du travailleur. Ils peuvent aussi être perçus comme tout autant de fainéants par d'autres (c'est ce qui ne les effleure pas). Macron parle là indirectement à leur ego. C'est une portion de la population qui a un besoin constant de valorisation. Les recettes qui marchent... Son discours ne trouve pas écho chez tous, fort heureusement, et il désespère beaucoup, en déçoit de plus en plus également (un oeil sur les sondages). Certains restent conscients que les demandeurs d'emploi font toujours partie d'une population active, que nous ne sommes pas en période de plein emploi, qu'il faut donc en conséquence laisser le temps au temps.

Ah oui, forcément il s'agit d'exercer la profession de cariste pendant des mois, peut-être des années, rien que pour embêter ce bon président Macron. Mm. Ce jeune homme ne dénigre rien, il a déjà travaillé dans la restauration. Ce n'est pas parce que Saint Macron a dit, qu'il faut faire. Vous savez ce qu'il se dit : à l'impossible, nul n'est tenu. Il y a une majorité silencieuse, qui lit.

Ah non pas tout à fait, du tout... absolument pas, même : Le jeune homme a déclaré sur BFMTV être heureux de travailler dans un secteur qu'il aime en précisant avoir refusé une vingtaine d'autres d'offres, dont certaines comme horticulteur. «J'aime autant horticulteur que cariste», confie-t-il. http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018/09/27/20002-20180927ARTFIG00352-jonathan-l-horticulteur-au-chomage-est-devenu-cariste.php

Nous sommes en plein dans le sujet, c'est sans doute ce qui vous dérange. Avoir été horticulteur, être cariste et mépriser le "travail manuel", fallait la sortir celle-là *slow clap*

Nom d'un crétin d'oursin, c'est affligeant... en plus d'être "fainéant", "d'avoir de l'embonpoint", ce serait maintenant "un vil opportuniste". Vous en tenez une bonne couche, bien grasse. Je souligne votre propos si... amusant : Au sujet des frontaliers, vous aurez relevé la notion temporelle, enfin ceci demande un certain effort... "toutoutouyoutou neuronal". Il serait mieux pour vous, que vous ne soyez qu'un troll, ne croyez-vous pas ? *clin d'oeil*

Mon bon @Fuck Them All, Un petit mot sur ce jeune homme qui a finalement trouvé un emploi ? Vous vous réjouissez, évidemment, après avoir fait de (lourdes) insinuations sur sa motivation et son physique (trop heureux qu'un intervenant vous ait ouvert la voie). Pour le reste, voyez-y plutôt une invitation à vous corriger et vous rendre meilleur ou un peu plus supportable à lire, déjà que le fond n'y est pas, que vous écrivez "petit nègre", alors si en plus, aucun effort n'est fourni au sujet de la forme... d'ailleurs il va falloir que tout ceci s'arrête, vous tournez en rond. La France et la Suisse travaillent depuis quelques années en étroite collaboration, par obligation, puisque des petits malins ont trouvé quelques failles ou moyens de contourner, d'oublier de déclarer, par le passé et si peu de rétroactivité, snif. Oh certains oublient encore, moins maintenant. C'est fait connu. Tout se trouve sur Internet, vous ne savez pas chercher, en plus du reste. Il est d'ailleurs rappelé pour ceux qui tiennent de la poule, la marche à suivre : https://www.frontalier.org/fiscalite.htm Vous ne pouvez avancer de façon si péremptoire que les français ne pratiquent pas l'anglais couramment au travail, ou suffisamment alors que vous-même écrivez travailler en Suisse depuis belle lurette. Les anciennes générations ont été moins sensibilisées à l'apprentissage de l'anglais. Les générations suivantes pratiquent davantage, certains ont un excellent niveau. Les générations à venir seront encore meilleures. Vous avez l'impression de pleins de choses et si peu de flair... Il ne s'agit pas de moi ou de votre "life", seulement d'informer quand vous vous appliquez à faire de la désinformation. Vieillir, tout le monde y parvient, évoluer par contre, n'est pas à la portée de tous, hélas pour vous. Faire du troll à haute fréquence, comme vous le faites et à 35 balais, cela fait pitié. Il n'y a que les gosses de 15 ans qui font cela, pas les trentenaires, allons allons...

Déjà été écrit... bon il fait ce qu'il veut de ses fesses (nous ne sommes pas sur Gala.fr, si ?). D'ailleurs, il a des petits yeux vicieux. (Je plaisante, c'est surtout son implacabilité qui peut être consternante). Nous lui souhaitons bon vent.

Je pourrais davantage être (légèrement) soucieuse en ce qui concerne votre hermétisme à l'ironie, à l'humour plus en général ou encore, au sujet, de votre orthographe. Je n'ai pas "Trotro" l'âne, la fibre maternante. La Suisse n'est pas plus élitiste que la France, il s'agirait plutôt (NDLR : pas le chien de Mickey, l'autre) encore, des salades que nous servent habituellement des individus souhaitant se donner une valeur ajoutée ou un galbe qu'ils n'ont pas, pour d'autres encore -salariés suisses mais résidents français- de nous faire oublier qu'il y a encore peu, ils bénéficiaient d'une fiscalité des plus avantageuses... les petits margoulins. Il faut savoir au moins se débrouiller en anglais, être "fluent" au mieux, dans bien des domaines : commercial, financier, mais aussi scientifique (toutes les publications scientifiques se font dans la langue de Shakespeare) etc... et pas qu'en Suisse, loin de là. Aujourd'hui, si vous ne maîtrisez pas correctement l'anglais, votre champ d'activité ne pourra être que très réduit. L'anglais est enseigné, en France, dès la primaire... il n'y a rien d'exceptionnel à savoir parler anglais, et demain ça le sera encore moins. Vous pouvez déconseiller tout ce que vous voulez : des stages obligatoires sont prévus au cours des études supérieures (licences, masters évidemment, mais aussi BTS, IUT, écoles d'ingénieurs ou privées...) ceci dit même au collège, rendez-vous compte. Pour ceux qui vous lisent et n'auraient pas -encore- relevé votre troll (à 35 berges, tout de même... ne voudriez-vous pas faire quelque chose de constructif ? Même de l'harmonica ou du patinage artistique, vous maîtrisez déjà suffisamment bien les claquettes), qui rencontrent peut-être une période de doute ou de découragement pendant leurs études, de lassitude, bien sûr qu'il vous faut étudier si vous en avez les moyens, accrochez-vous. Mettez toutes les chances de votre côté, toujours. Les places sont chères. Les diplômes sont autant d'atouts pour se faire une place dans la jungle. Il y a aussi une possibilité de passer un MBA sur 1 ou 2 ans, il faut pour cela justifier d'un Bac+4 et répondre à "quelques" critères, l'avantage, c'est que tout ou partie peut-être pris en charge par la société, et offrir alors encore d'autres perspectives de postes. Au sujet de "Jonathan notre horticulteur", non rebuté à l'idée de travailler dans un autre domaine, celui-ci aurait accepté un poste, en qualité de cariste, pour le moment. Il devient de plus en plus difficile de le traiter de fainéant. Il devient de plus en plus difficile de reprocher aux personnes toujours actives et en recherche, d'être des fainéantes. D’après BFMTV, c'est le directeur d'une agence d’intérim de Montargis qui a contacté le jeune homme. Le chômeur a mis quelques jours pour se remettre du bruit qu'a provoqué son échange avec Emmanuel Macron dans les jardins de l'Elysée, lors des Journées du patrimoine. "On s’est dit que c’est un jeune qui a besoin, qu’il a eu des moments difficiles dans sa vie, et que c’était peut-être à nous, acteurs de l’emploi local, de l’aider. Il m’a dit qu’il n’était pas du tout arrêté par l’idée de travailler dans un domaine spécifique et que tout ce qu’il voulait, c’était travailler pour pouvoir s’en sortir", explique le directeur, Julien Pruneau, à nos confrères. Il deviendra donc cariste. "Je vais exercer dans un truc que j’aime. J’aime autant horticulteur que cariste ", confiait Jonathan à la chaine d'info.

Le coeur de Valls est à Barcelone, il y a passé les vingt premières années de sa vie, il serait difficile de lui reprocher. Il aurait pu aussi faire les choses bien, dans le bon ordre, proprement. Il a été rémunéré pour un travail non accompli. Le message qu'il fait passer, c'est qu'il n'en a plus rien à faire de l'Essonne, ou même encore de la France (correction : il tient toujours à conserver sa voiture de fonction ainsi que ses gardes du corps quand il reviendra sur le territoire... ce serait un droit). La France, tout comme l'Espagne ont des identités nationales fortes, elles ne sont pas interchangeables. Que les catalans le reprennent s'ils en veulent encore, qu'ils le gardent surtout. Faire passer une loi au sujet du non cumul des mandats a été une bonne initiative, il n'est pas possible d'être représentés efficacement par des hommes et des femmes engagés à seulement 30% pour un poste, 25% pour un autre et encore 45% ailleurs, ceux-ci percevant, en plus, tout autant de salaires (à taux plein) et avantages en package. Dans le privé, l'absentéisme si répétitive (comme c'est ici le cas pour Valls), non justifiée, peut être considérée comme une faute grave et ainsi mener à un licenciement. Il serait intéressant de faire calquer "certains us et coutumes" du privé, au public. Les députés sont finalement des salariés, à notre service. Cette loi passée depuis le printemps 2017 -il me semble- n'est cependant pas assez stricte à mon sens, s'il n'est plus possible de cumuler tant il s'agit de mandats de même nature, il l'est toujours avec un poste de conseiller régional, par exemple. Le four et le moulin... Cela faisait quelques temps que les absences de l'ancien premier ministre ont été détectées et révélées (et il ne serait pas le seul). Ainsi le nouveau président de l'Assemblée Nationale ne serait pas contre l'installation d'un outil permettant à nos députés de pointer : "L’Assemblée ne fournit pas de données complètes sur l’activité des députés, même si cela pourrait changer. Richard Ferrand le nouveau président de l’Assemblée nationale a annoncé dans une interview à Libération qu’il «souhaite que l’Assemblée se dote d’un outil qui puisse rendre compte de la totalité et de la diversité du travail d’un parlementaire». Contacté par CheckNews, le palais Bourbon a indiqué que «la mise au point d’un outil de ce type n’a pas, à ce stade, été expertisée». Autrement dit, pas de projet concret pour l’instant." https://www.liberation.fr/checknews/2018/09/27/manuel-valls-est-il-le-seul-depute-fantome-a-l-assemblee-nationale_1680869 Nous savons aussi que certains ont pour habitude de venir signer la feuille d'émargement avant de s'éclipser dans les 10 minutes... c'est inadmissible. L'heure est à la moralisation de la vie politique, enfin elle le sera vraiment peut-être un jour. Morphopsycho ? *sourire* Il s'agirait plutôt d'un comportement et d'habitudes récurrentes, d'une personnalité très écrasante patentée.

Ce qui est étonnant dans un cas comme celui-ci, c'est que le choix de la démission est laissé à l'appréciation et non imposé. Par ailleurs, nous apprenons également que les députés absentéistes à l'Assemblée peuvent faire l'objet de sanction financière. Il est toujours écoeurant de voir des lois passer à 35 voix sur plus de 500, qu'attend-on pour sanctionner ?

Par le biais de ce discours fort nivelant (vers le bas), vous pourriez laisser à penser que vous avez bien peu de bagages. Il émane une certaine amertume ou plutôt un tempérament envieux de vos écrits. Il n'est jamais trop tard, même à votre grand âge, vous savez. Nombreux sont mes défauts... j'ai un penchant pour la littérature et l'éclectisme. L'éclectisme dans la littérature. Toutefois, je suis bien-aise que vous ayez trouvé les voies de la démystification via Google (Alléluia !). Tout est important. L'expérience seule ne suffit plus. Nous ne sommes plus en période de plein emploi depuis trop longtemps. Cela fonctionnait plutôt bien pour nos grand-parents et encore un peu pour nos parents, maintenant c'est plus difficile et même dans ce domaine semblant être si abordable pour notre si cher président (il existe des BTS, une sélection, des profils plus attractifs que les autres donc). La concurrence est très importante et il faut être encore plus créatif, encore plus polyvalent, encore plus motivé, encore plus compétent que l'autre, sortir du lot, être aussi là au bon moment et avoir le réseau peut y aider, être connu donc (LinkedIn offre bien plus d'opportunités que Pôle Emploi, notamment) mais aussi ne pas trop être gourmand en ce qui concerne les prétentions salariales quand elles sont à l'appréciation du candidat (c'est comme le "Juste Prix"... en plus pervers) . Beaucoup de critères, peu d'élus. Nombreux sont les employeurs qui souhaitent une masse salariale qualifiée et diplômée, même si atypique (en dehors du travail au noir). Étudier demande de la rigueur, un calme, une organisation, un sens de l'analyse affuté et le pouvoir retranscrire ou savoir se servir de tout ce qui a été appris habilement et rapidement (traduction : ça percute là-dedans et vite). Ce sont des qualités fort appréciables ou appréciées dans le monde professionnel. Tout ce qui a été appris n'est jamais perdu, cela servira forcément à un moment ou un autre. L'entreprise qui emploie forme ensuite (logiciels et CRM etc... méthodes ou techniques de vente ou en adéquation au domaine). Aujourd'hui, il est demandé d'être qualifié mais également d'avoir de l'expérience, ou au moins un peu (avoir travaillé ou fait des stages pendant ses études, occupé(e) un job d'été peut aider ; cela démontre que le candidat n'a pas les deux pieds dans le même sabot). Ce qui est intéressant et encourageant donc, c'est qu'études et expérience professionnelle ne s'excluent pas, malgré ce qui peut en être dit. Il est regrettable que ceux qui réussissent, ne témoignent pas plus souvent. Il ne nous est plus demandé d'être seulement bon, mais simplement meilleur que les autres. En conséquence, il est plutôt logique que des individus aient besoin d'un peu de temps afin de trouver un emploi, ou d'avoir l'opportunité d'être meilleurs qu'une autre sélection de candidats.