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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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Fraude fiscale : nos photos de vacances à la loupe
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Miss Fleurette dans Politique
C'est une pratique déjà courante en ce qui concerne les pages professionnelles. Tout ce qui est au public est consultable pour n'importe qui. S'en servir (à des fins commerciales ou de traques), c'est encore autre chose. S'abriter derrière la CNIL, mouais, est-ce qu'elle les empêchera d'aller fouiller dans les messageries quand elles ne sont pas hyper cryptées comme Whatsapp ? -
C'est possible aussi, des jeunes hommes sont attirés par des femmes plus âgées. Il y a eu un rapport, il y a deux versions des faits. Donc vous faites des inférences sauvages et je vous renvoie au sujet dédié, je m'y suis largement exprimée : https://www.forumfr.com/sujet809936-asia-argento-aurait-acheté-le-silence-d’un-homme-qui-l’accuse-d’agression-sexuelle.html?tab=comments#comment-11356547
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Bonjour libredeparler, Mais tout à fait, ces femmes ont droit au respect sauf qu'elles y renoncent pleinement quand elles se révèlent défenseurs du "droit d'agresser sexuellement les femmes", également à leur dignité. Si elles souhaitent se faire agresser, mais grand bien leur fasse, nous ne pouvons les sauver d'elles-même, après tout. Ces femmes renoncent aussi au respect quand elles parlent d'agression sexuelle en terme de -je cite- "non événement" (c'est un délit, pour rappel) : Comment voulez-vous encourager les femmes à porter plainte -ou leur reprocher de ne pas l'avoir fait comme certain(e)s s'y plaisent- s'il leur est envoyé en permanence un message mensonger, dangereux (=ce n'est pas si grave)?! Elles y renoncent encore quand elles se permettent un texte des plus péjoratifs et des plus blâmants encore envers les victimes. Être victime ne rend pas pour autant la victime plus faible. Être victime, c'est être victime, il n'y a aucune connotation stérile à y apporter en sus. Les victimes n'ont pas à avoir honte, ce sont les délinquants et les criminels sexuels qui sont à blâmer. Il est crucial de ne pas culpabiliser les femmes victimes de violences (quelles qu'elles soient) et de ne pas minimiser les faits. Il est primordial d'assimiler la réalité des violences sexuelles pour mieux les combattre. Les propos que ces bonnes femmes ont tenus au travers et au dehors de cette tribune, sont indignes. Il n'y a pas à tortiller, il s'agit bien de délits et de crimes : tolérance zéro. Des femmes, mais aussi des hommes n'ont pas tardé à réagir à sa parution : Des hommes font partie de mouvements féministes, pas énormément et bien que des mouvements comme "Osez le féminisme" notamment soient très ouverts à la mixité (toutes les femmes ou presque souhaitent le respect, peu de femmes sont militantes ou activistes, déjà, plutôt logique que nous y voyions aussi peu d'hommes), et pour des raisons évidentes peut-être : quand on a des privilèges, on a surtout envie de les garder... Des hommes, dont des personnalités plus ou moins connues, s'expriment en faveur des femmes, comme vous aurez pu le lire ici. J'entends bien que Caroline De Haas ne vous revient pas. Ses interventions, en toute objectivité, en réaction aux déclarations de ces rombières et au moins(moi ce sont elles qui ne me reviennent pas) ont été bienveillantes et salutaires, et heureusement qu'elle a su réagir spontanément et rapidement. Votre tout dernier paragraphe, va totalement dans le sens des interventions de Caroline De Haas pourtant. Cet adage sonnerait plutôt là comme "l"homme impose, la femme doit composer avec" (débrouille-toi avec cela ma grande). Il y a une nette différence entre imposer et proposer. Je vous l'écris une nouvelle fois, la drague n'est pas un souci, la pugnacité n'est pas non plus un souci tant qu'il n'y a pas de menace, agressivité, intimidation. Un compliment sur un chemisier, un sac à main, ou que sais-je encore, n'est pas malvenu, tant que c'est correct, poli, cela peut même indiquer que des hommes sont sensibles au prêt à porter et peuvent être raffinés. C'est positif. Ce qui n'est pas admis et admissible ce sont des commentaires déplacés et à connotation sexuelle sur une tenue vestimentaire ou des parties de l'anatomie visibles et même non visibles du public, de siffler les femmes comme des clébards, de les toucher, de les agresser et d'en abuser sexuellement. Vous aimeriez vous voir une femme strictement inconnue vous sauter sur l'entrejambe, faire des commentaires sur votre pantalon et ce qui se trouve en-dessous, vous foncer dessus, et vous aspirer comme un Dyson ? Ne croyez pas ces rombières, qui n'ont de toute façon, plus rien pour elles, et se sentent ainsi obligées de se ranger derrière les hommes, pour se donner un galbe, ou en être appréciées. Il y a toujours un spectre religieux, son expression la plus parfaite est la subsistance d'individus misogynes et parfois prosélytes en plus du reste (vous les décèlerez notamment sur des sujets tels que le port du voile ou l'obsession de couvrir les femmes très en général, l'IVG, l'euthanasie etc...). La femme est, pour ces religieux, la soumise et l'inférieure, toujours. Au service de l'Homme, elle doit organiser ses mouvements, bouger, penser en fonction des hommes et ne vivre que pour ceux-ci. Ce sont des discours qui ne devraient plus avoir court en 2018. Je ne pense pas non que les féministes aillent faire leurs lois jusqu'aux chambres à coucher, ce sont toujours des délits et des crimes qu'elles dénoncent, pour rappel. Il me semble que certaines figures de mouvements féministes très controversés aient aussi indiqué qu'elles se prostituaient. D'autres revendiquent l'amour pluriel, ou la liberté sexuelle autant pour les femmes que les hommes, et d'autant le féminisme est souvent catégorisé comme une idéologie de gauche. Ensuite, nous pouvons trouver dans ce mouvement encore jeune, toutes générations confondues, de toutes influences politiques, le discours n'est pas toujours unifié. Des femmes se réclament aussi être féministes quand elles tiennent tout de la Femme misogyne (Catherine Deneuve, Sophie De Menton, Brigitte Lahaie, Nadine Morano... et d'ailleurs certaines sont des cagotes avérées, ceci explique cela sans doute). Mieux vaut un réveil tardif, que rien du tout... Eh oui, il se fait soigner, et s'abrite d'ailleurs aussi derrière son addiction sexuelle. C'est bon là, vous allez pouvoir prendre l'ascenseur avec des femmes sans prendre peur ? Donc Jimmy Bennett accuse Asia Argento d'agression sexuelle là où vous vous écrivez carrément que c'est une violeuse. J'en aurais vu d'autres, encore mieux, parler de pédophilie. Il aurait 17 ans et demi à l'époque où il y aurait eu un rapport (et peut-être pas une agression). En France, une femme qui couche avec un jeune de 17 ans et demi est dénommée simplement milf ou cougar et ne tombe pas sous le coup de la justice.
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Alors vous vous êtes vraiment trop fort, Caprio peut aller se rhabiller ! Malgré l’enregistrement et les aveux de Weinstein (il ne passera pas aux aveux si facilement, les ténors du barreau qu’il a engagés ne sont pas idiots), le nombre important et toujours grandissant de femmes -de différents milieux- témoignant (ce qui permettra peut-être de dessiner un modus operandi), les dépôts de plainte dans 3 États aux States (eh bah non Asia Argento n’a pas déposé plainte contre « Veyvey », il lui aurait même demandé de témoigner en sa faveur, avant qu’elle ne se rallie à #Metoo), ainsi qu’en Allemagne et en Angleterre (accusé de trafic sexuel), vous demandez à ce que l’on ne s’avance pas trop vite... par contre au sujet D’Asia Argento, vous avez-vous vite de nous faire tomber le couperet. Weinstein est au moins un prédateur et un délinquant sexuel. Ceci dit, je ne m’inquiète pas trop pour lui, il a les moyens financiers de s’en sortir à très bon compte. Il n’y a pas de relevés d’ADN. Il en faudra bien plus pour que cela pour qu’il prenne du pénal et il faudrait au moins convaincre le grand jury. Des rumeurs circulent déjà et aussi au sujet d’un procureur corrompu... Il aurait été agréable que vous preniez les mêmes précautions avec « l’affaire Argento ». Si l’affaire est plus récente (y a t-il une instruction déjà ?) et toujours très floue, vous, vous l’avez déjà jugée coupable de viol. En outre, ce n’est pas parce que cette actrice est vraisemblablement paumée, qu’elle a eu une relation suivie avec Weinstein qu’il n’a pas abusé d’elle à un moment ou à un autre. Nous aurons entendu que quand cet... homme veut quelque chose, il ne demande pas l’autorisation pour l’obtenir. Le cas Weinstein est emblématique de la misogynie de la culture ricaine, pire encore il trouve des échos chez nous. N.B : et rangez-moi ce numéro de pleureuse que je ne saurais voir. Oh complètement dans le sujet... Toute ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé et blabla
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Philippe de Villiers : Quand il n'y a plus de frontières, l'identité se dilue".
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans Politique
Vous penchez certes, néanmoins si vous me nommez, vous oubliez aussi de me mentionner ("@" suivi du pseudo, pour votre information et à l'avenir, je vous pardonne ici, puisque vous seriez une "nouveauté"), il convient aussi, dès lors, de replacer la mosquée au milieu du village. En bref, ce n'est pas parce que je me refuse à sombrer dans la démesure, que je suis pour autant aveugle. En accord, dans les grandes lignes, au sujet du 2) et du 3). Une remarque -et les arabophones m'arrêteront peut-être ou pas- le djihad ou le jihãd signifie, "la voie", des extrémistes y ont apposé une "valeur" guerrière. Le message du Coran aurait donc été travesti, une fois n'est pas coutume, par les croyants les plus extrêmes. Il y a déjà pourtant fort à faire avec les écrits religieux. La guerre civile, je n'y crois effectivement pas. Davantage en des actes isolés qui font monter la mayo, et si vous n'y mettez pas de l'huile de pépin de raisin, elle redescend au bout d'un petit moment. Une guerre civile, impliquerait une mobilisation de toute part, or je ne crois pas plus en autant de votes d'adhésion pour le FN, que pour autant de votes d'adhésion pour Macron. Les uns ont fait barrage à l'autre et inversement. La tendance serait, de plus en plus, et si nous regardons autour de nous, à l'isolationisme (États-Unis, Brésil, Russie, Hongrie...), les français n'y sont peut-être encore prêts, ou simplement pas favorables, malgré la grogne des "nationalistes". Autre remarque, et au dehors de votre intervention, remarque générale quant à cet article dédié à cette personnalité politique : il me semble qu'il y a confusion, un brouillage de pistes, erreur ou abus de langage simplement peut-être et je le retrouve à droite à gauche sur ce topic. Ainsi, à mon sens, mondialisation et mondialisme sont deux notions distinctes, mais pouvant s'imbriquer (De Villiers joue là sur ces deux notions). La mondialisation, c'est l'articulation globale des échanges commerciaux transnationaux. Le mondialisme, lui relève, de l'idéologie (un truc en -isme, dites donc encore) et prêche pour la fin des frontières, de la singularité souveraine des États, au profit d'un "pays monde", ainsi le citoyen est "citoyen du monde". Mm, c'est en effet une abjection. La réaction des parents est très froide, et paraît très inhumaine, toutefois, elle n'est pas si rare dans les familles où l'inceste s'est installée, et même malheureusement plutôt fréquente. Des hommes, et des femmes peuvent être des piètres humains, ce qui n'en fait pas pour autant des piètres "dirigeants", c'est peut-être difficile à concevoir et pourtant... -
Bonsoir libredeparler, C'est un chouette pseudonyme que vous avez là. Nous devons chérir cette liberté d'expression, mais pas en particulier, surtout en général. La vôtre, la mienne, celles des rombières qui ont écrit cette tribune, celle de Caroline De Haas que vous prenez la précaution d'appeler "madame" etc... Il est impératif qu'à des voix médiatisées (celles de ces actrices, journalistes, bigote et/ou animatrices radio à côté de la plaque) puissent répondre d'autres voix médiatisées (celle de Caroline De Haas, enfin auparavant puisqu'elle a pris "ses congés", celles d'actrices, de politiques réellement engagées pour les femmes, ainsi que pour les victimes de violences sexuelles). Quand ces personnalités se regroupent pour nous pondre une tribune, véritable ode aux violences sexuelles, que celles-ci y ont déjà été prises, font l'objet par la suite d'un bashing, je ne suis pas soulagée par les "bien fait pour toi", je n'ai cure du karma et sais que personne "n'est puni par là où il a péché". Je crois en une ligne de conduite et un réveil, parfois tardif, du bon peuple. Par ailleurs, les plus futés d'entre nous, auront bien compris l'inutilité de la tribune, pour les mieux éduqués encore, son ignominie. Le viol doit être fermement condamné par notre société, il n'est jamais inutile de rappeler encore, que c'est un crime. Dès lors, les propos s'inscrivant dans la culture du viol -comme c'est le cas de ceux qu'ont tenu toutes ces dames sus-nommées- doivent être impérativement contrés. L'apologie au viol, l'apologie au crime doit être contrée. Bien sûr et évidemment que j'ai parfaitement entendu que vous ne tolériez en aucun cas le viol, que vous êtes solidaires des victimes, et c'est ainsi qu'il m'a semblé utile de vous informer des interventions de Caroline Haas (ou de vous les rappeler, si vous en aviez déjà connaissance), auxquelles vous devriez, en toute logique, agréer puisqu'elles sont salutaires. Ce qui est valable pour le viol, l'est aussi pour toute agression sexuelle (condamnation, et les propos doivent impérativement être contrés, encore une fois) bien qu'ils soient catégorisés seulement comme un délit, ayons conscience qu'elles laissent une empreinte néfaste, un sentiment d'insécurité constant et pouvant amener à une grande souffrance psychologique. Que serait la liberté d'expression, sans la liberté de penser ? Les médias nous transmettre. Les médias nous captent, via des moyens rhétoriques souvent, de l'information pas toujours, mais avant toute chose le titre est choisi et il doit être saisissant, percutant. Ainsi comme vous avez pu le voir, cette échange de 45 minutes (on en dit des choses en 45 minutes), avec un journaliste de l'Obs et : ""1 femme sur 2 victime de violence sexuelle. Dans la majorité des cas, par quelqu'un de leur entourage. Donc ça signifie que les agresseurs sont nombreux. 1 sur 2, 1 sur 3 ? Je ne sais pas. Beaucoup"a été traduite par ce même journaliste, il a donc été titré : "Un homme sur 2 ou 3 est agresseur". Cela interpelle, choque, ce journaliste a très bien fait son travail et soyons sûrs que le travail aura été récompensé à hauteur de l'effort. Nous pouvons, évidemment ne nous en tenir simplement à cette manoeuvre manifestement commerciale du média, ou bien, aller plus avant et prendre le temps de lire les propos de la promise, au bûcher. Titrer ainsi peut donner le sentiment aux violeurs qu'ils entrent dans une norme, et c'est évidemment plus que dangereux. Afin de contester les chiffres, il faudrait aussi qu'ils avouent que leur méfaits sont des abjections. Les violeurs peuvent penser aussi, que ce qu'ils font ne va pas à l'encontre du droit ni même à l'encontre de la dignité physique de la personne dont ils abusent, nombre sont ceux qui récusent le non-consentement d'ailleurs...Un indice, peut-être. Pas vu encore le lobby des "violeurs en colère" contre les gros titres de l'Obs. Ce qui vous déplairait surtout (et arrêtez-moi si je me trompe), c'est que Caroline De Haas englobe le viol dans les violences sexuelles, puis revient au viol, switche, et pour vous, crimes et délits finissent ainsi par être mélangés pour le lecteur qui ne prend pas garde. Certains pourrait trouver cela pernicieux, et selon le droit le crime est au-dessus du délit. Pour d'autres, ceci ne rend pas pour autant le délit plus acceptable pour les individus sensibles à la cause des femmes, des victimes plus généralement, ou engagées pour ces causes : tout devient alors inacceptable, intolérable. Quand vous écrivez que "probablement moins de 10% des hommes sifflent les femmes dans la rue", j'ai d'une part à coeur de vous rappeler, l'importance des mots, d'autre part, celle des chiffres. Intuitivement, je vous écrirais que plus de 10% des hommes sifflent les femmes dans la rue, celles-ci l'apprennent parfois bien jeunes, quand elles ne sont encore que des filles, quand elles croisent des hommes, seuls, mais le plus souvent en groupe. Des groupes d'hommes parfois bien plus âgés, des hommes qui ne devraient pas avoir les yeux qui traînent sur les collégiennes (le sac à dos et les livres, en plus des traits encore poupins ne sont que trop d'indicateurs, du jeune âge de ces filles), des hommes qui ont des filles aussi, peut-être, du même âge. Avez-vous déjà entendu parler de ce que les anglophones ou les amoureux de l'anglicisme nomme le "male gaze" ? Littéralement le "regard masculin", sur les femmes. Pas tous les regards, que l'on se rassure (les hommes et les femmes ont encore droit de se regarder). Je vous parle des regards appuyés, évaluateurs, pouvant constituer un jeu entre mâles, et s'accompagner souvent de commentaires déplacés et graveleux sur une tenue, sur le corps des femmes (ce qui se voit évidemment mais aussi, ce qui porte sur des parties plus intimes non appréciables à la vue du public) et nous tombons là pleinement sous le coup de l'outrage sexuel, qui est désormais rappelons-le, un délit). Ce male gaze a fatalement des conséquences -plus ou moins- terribles en ce qui concerne l'acceptation de son propre corps, en ce qui concerne ce sentiment d'insécurité pouvant vous tarauder, quand vous êtes femme, seule -et même en groupe- dans un espace public. Un espace public, qui si par définition, est public devrait appartenir autant à tous les individus et ce en dehors ou en dépit -devrais-je écrire- du cadre genré. #MeToo, la libération de la parole des femmes -qui restent cibles et victimes majoritaires- a eu un effet bénéfique en ce sens, puisque des pères, des maris, des hommes plus en général, qui entendaient auparavant d'une oreille, se rendent aujourd'hui davantage compte de l'ampleur du problème, puisque des femmes, beaucoup, se sont exprimer. La prunelle de leurs yeux, les femmes généralement sont en danger dans l'espace public mais pas que. Des hommes sont ainsi devenus encore plus solidaires, des femmes, conscients réellement des difficultés, des dangers qu'elles affrontent, au quotidien, et c'est aussi ce que révèle l'article. Il n'y a pas de dissensions majeures entre les hommes et les femmes, il y en a entre des hommes (+des femmes) qui couvrent les criminels/auteurs de délits sexuels, et des hommes et des femmes qui s'élèvent contre tout ce petit monde. Pour vous rassurer et encore, ce n'est pas la drague qui est visée, et la pugnacité peut être aussi une qualité, tant elle ne s'accompagne d'une attitude et de comportements menaçants, imposants, agressifs, violents. Des femmes ont tout intérêt à entretenir la confusion, ce ne sont pas les féministes, et je vous laisse deviner pourquoi. N.B : Afin de discerner les réponses en direction d'Anatole et celles qui vous sont en votre direction, il suffit simplement de lire le message original. Elles augmentent de façon exponentielle. Je ne dirais personnellement pas que les victimes sont ridiculisées par la justice, ou du moins le terme "ridiculiser" est mal choisi. Davantage que les mentalités sont encore très rétrogrades, la victime est toujours blâmée, la victime est considérée encore pour beaucoup trop de monde, comme responsable des violences sexuelles du fait d'autrui (c'est abject), auparavant celles-ci été dissuadées de parler, aujourd'hui il leur est reprocher la parole (c'est finalement double peine). Les forces de l'ordre ont encore à être formées. La justice est souvent impuissante tant que les faits sont loin, et se reposer sur l'ADN seulement et simplement n'est que trop expéditif, la justice est débordée certes, la justice doit aussi être conscientisée. Sandra Muller(#Balancetonporc) a exclu les hommes en imposant un cadre genré d'emblée, là où le mouvement #MeToo les inclut puisqu'il s'adresse à toute victime de violences sexuelles, des hommes ont aussi témoigné de l'inceste ou de la violence, du viol, qu'ils ont subis sous ce hashtag. Les contours de #Balancetonporc sont aussi très mal définis : des femmes considèrent que déjà des hommes déblatérant des commentaires et appréciation graveleux à leur encontre, font de l'homme, un porc, ont-elles réellement tort ? L'avantage c'est que des françaises non anglophones, ont pu aussi verbaliser, que le phénomène a pris de l'ampleur dans l'Hexagone, qu'il y a eu une véritable conscientisation des hommes, et des femmes. Vous confondez avec Asia Argento. Des médias, des hommes et des femmes ont peu penser qu'il serait plaisant que le mouvement coule avec celle-ci. La fondatrice de #MeToo est Tarana Burke, qui a aussi rappelé que ce hashtag est mixte, que des hommes s'y expriment tout autant, qu'aucune victime n'est exclue sous prétexte de genre. Des femmes refusent les propositions malvenues qu'il s'agisse du milieu artistique ou d'ailleurs. Certaines s'en sont mieux sorties que d'autres, toutefois face à l'agresseur. Personne n'affirme que des femmes ne couchent pas pour un poste, un rôle, ce qui est dangereux c'est de partir du postulat que puisque cela existe, une majorité de femmes est coutumière de ce fait. C'est souvent le raccourci qui en fait, et d'autant plus qu'il s'agit du milieu artistique. Gageons que la condamnation pourra permettre aux victimes d'avancer. Weinstein est au moins un délinquant sexuel (à moins que vous ne considériez que peloter la poitrine d'une femme contre son gré, malgré son refus, la menacer, n'est finalement que badinage ? Et pour info, il a bien reconnu avoir laisser traîner ses grosses pattes sur sa poitrine), peut-être un criminel sexuel.
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vos vieux titres ici années 60/70/80/90
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de hannibal25 dans Musiques
Spéciale chanteuses -presque sans cheveux : -
Vous avez du mal à imprimer, manifestement, le grand âge peut-être ou toute une vie bercé par une culture misogyne, sans nul doute. Je vous répondrai plus tard à un sujet sur le viol, où vous vous êtes aussi "illustré". Weinstein a exercé un chantage auprès d'actrices, souvent jeunes (des proies faciles), de collaborateurs également (cf plus haut), qu'il a faits taire par tous les moyens (intimidation, menace, proposition de sommes d'argent et cadeaux). Ses manoeuvre ont à peu près fonctionné pendant un temps. Il y a eu déjà quelques fuites en 2013. Je ne sais plus quel acteur plaisantait (balançait) d'ailleurs à ce propos lors d'une remise d'awards. Jane Krakowski, également, a été l'une des premières à en parler. Le vent commençait à vraiment tourner pour lui, il n'est pas possible d'agir en toute impunité ad vitam aeternum, preuve en est et c'est heureux : Harvey Weinstein œuvrait depuis l’automne 2016 pour étouffer les révélations sur ses abus sexuels présumés. C’est ce qu’a affirmé le New Yorker, lundi 6 novembre, en détaillant les moyens colossaux utilisés à cet effet par le producteur américain. Selon l’article, il a employé ni plus ni moins une « armée d’espions » pour empêcher, en vain, l’éclatement du scandale qui secoue Hollywood depuis un mois. D’après le New Yorker, M. Weinstein a eu recours à des journalistes de la presse à scandale, voire à des agents secrets d’entreprises comme Kroll, l’une des plus grandes sociétés de renseignement au monde, ou Black Cube, firme essentiellement composée d’anciens agents du Mossad ou d’autres agences israéliennes de renseignement. L’hebdomadaire cite des dizaines de documents et sept personnes directement impliquées dans les efforts du producteur déchu. L’article détaille ainsi le rôle d’une ancienne agente israélienne, employée de la société Black Cube, dont le contrat prévoyait au moins 200 000 dollars (172 000 euros) d’honoraires. Elle avait contacté l’actrice Rose McGowan, l’une des principales accusatrices de M. Weinstein, en prétendant être une militante pour les droits des femmes. En secret, elle a enregistré des heures de conversations avec l’actrice, qui s’apprête à publier ses mémoires, The Brave, un livre qui inquiétait déjà le producteur américain depuis des mois. https://www.lemonde.fr/societe/article/2017/11/07/harvey-weinstein-a-embauche-une-armee-d-espions-pour-etouffer-les-accusations-d-agressions-sexuelles_5211243_3224.html Vous pouvez répéter autant que vous voulez que "Weinstein est certainement un sale type", vous concédez un peu, pour mieux réfuter ensuite. Weinstein est déjà au moins un agresseur, supposément un harceleur, et reste à prouver s'il cumule les mandats au point d'être, en plus, un violeur. Pour le reste, vous vous plaisez vraisemblablement à déformer mes propos, j'ai été bien moins magnanime à l'endroit d'autres intervenants et pour bien moins que cela. Oh et pour votre culture personnelle, quiconque s'intéresse un minimum à l'horlogerie sait que Rolex est vraiment considérée comme l'entrée de gamme. L'exemple est toujours décidément, aussi mal choisi. Weinstein a de la réserve, ne vous en faites pas pour lui. Vous ne trouverez peut-être pas l'info dans la presse, puisque malgré tout ces femmes qui se battent, et que beaucoup aimeraient faire passer pour des chouineuses, en font simplement mention, dans leurs livres. Je n'ai pas lu encore l'oeuvre de Caroline De Haas dans son entièreté, néanmoins quand elle s'élève contre Brigitte Lahaie qui affirme qu"on peut jouir pendant un viol, je vous signale", contre Sophie de Menthon qui déclare, omnisciente, "que des femmes ont des tenues provocantes et que cela expliquait les violences", contre Catherine Deneuve qui a expliqué tranquillement que "quand Roman Polanski viole une jeune fille de 13 ans, eh bien ce n'est pas vraiment un viol", contre Catherine Millet, véritable dure à cuire, qui déclare aussi "qu'elle aurait bien aimé être violée, comme ça elle aurait pu prouver qu'on peut se reconstruire" ; en tant que citoyenne, en tant qu'être humain, j'ai envie de remercier Caroline de Haas. Ces dames s'expriment à travers les médias, sur des radios, en direct, font entendre librement leur voix, souvent à des heures de grande écoute, font la promotion d'une pensée rétrograde, avilissante pour la Femme, culpabilisante et destructrice pour la victime (qui serait donc responsable de son propre viol et qui en plus en ferait des caisses), ce qui inévitablement, a des conséquences sur la société. Toutes ces déclarations d'une violence sans pareille, émanant de dames d'un certain âge, has been, misogynes, co-signataires d'un torche-cul (vraisemblablement une apologie au harcèlement), trouvent une résonance auprès d'un auditoire d'autant déconnecté, que manquant manifestement d'empathie, d'humanité. Il est heureux, rassurant, salvateur, que ces voix de rombières trouvent une réponse, une opposition, des opposant(e)s qui se confrontent et usant de la même liberté d'expression, qui s'indignent avant cela, qu'il puisse nous être proposé, tenu un autre discours, et en faveur des victimes, bel et bien, cette fois. Il est important de rappeler que le viol est un crime, puni par la loi, allant jusqu'à une peine d'emprisonnement de 20 ans. Il est important également de rappeler que les agressions sexuelles ainsi que le harcèlement tombent également sous le coup de la loi. Il n'y a pas à tergiverser, nuancer, tenter de légitimer, déculpabiliser les bourreaux et blâmer les victimes, leur indiquer comment elles devraient se comporter en public : "Grands seigneurs, nous vous accordons la parole, mais pas trop et pourvu surtout que vous ne parliez pas trop fort, restez dignes mesdames ! ". Mais WTF ! Les femmes, les enfants, les hommes ne sont pas responsables de leur viol, indistinctement. Il est impératif de ne pas l'oublier, de ne pas inverser les rôles. En ce qui concerne la tenue vestimentaire des femmes, toujours responsables des violences -au sens large- à leur encontre, selon une société d'individus misogynes et d'irresponsables, notons que l'obsession des uns de nous voiler, n'a d'égale mesure que l'obsession des autres de nous dévoiler. Il s'agit encore là de deux formes symétriques, de la même négation des femmes, qui n'ont ni droit ni d'être ni de penser en dehors des hommes. L'une veut que la Femme attise le désir chez l'Homme, alors que l'autre lui interdit de le provoquer. Dans les deux cas, la Femme n'a droit de penser et d'agir qu'en fonction du désir de l'Homme. Après toutes ces décennies, dans un pays des libertés qu'est notre beau pays, la Femme n'aura toujours pas un corps à elle, pour elle. Ce n'est toujours pas les femmes qu'il faut couvrir, ces gens n'auront toujours rien compris, mais les hommes qu'il convient d'éduquer, et certains le sont déjà très bien. À nous de ne rien laisser passer. Au sujet de cette déclaration de Caroline De Haas, il semblerait que vous fassiez mention de ceci, et il est toujours mieux d'aller voir à la source : "Depuis mercredi soir, je subis une tempête d'insultes et de harcèlement sur les réseaux sociaux. A l'origine ? Un article de L'Obs. En début de semaine, lors d'un échange téléphonique de 45 minutes avec un journaliste de L'Obs, je lui dis quelque chose que je répète depuis quelques semaine à de nombreux journalistes et dans beaucoup de mes interventions publiques : "1 femme sur 2 victime de violence sexuelle. Dans la majorité des cas, par quelqu'un de leur entourage. Donc ça signifie que les agresseurs sont nombreux. 1 sur 2, 1 sur 3 ? Je ne sais pas. Beaucoup" Le journaliste de L'Obs traduit et titre : "Un homme sur 2 ou 3 est agresseur". Évidemment, le titre de mon interview, tourné comme cela, ne veut rien dire. Nous ne connaissons pas le nombre exact d'agresseurs. Nous savons juste que des millions de femmes sont victimes de violences sexuelles en France. Ce titre a déclenché une tempête d'insultes et de harcèlement sur les réseaux sociaux. J'ai aussi au droit à de nombreuses moqueries, de la part de journalistes, chroniqueurs ou d'humoristes qui ont alimenté la tempête auprès de leurs centaines de milliers d'auditeurs ou de lecteurs. Je ne sais pas s'ils se rendent compte qu'après chacun de leurs tweets ou chacune de leur chronique, ce sont des centaines de messages d'insultes, la plupart à connotation sexuelle qui m'arrivent. Ce que je dis, comme toujours, c'est qu'une femme sur deux est victime de violences sexuelles et que dans l'immense majorité des cas, c'est par quelqu'un de son entourage. Vous connaissez donc chacune et chacun des dizaines de femmes victimes. Réfléchissez donc quelques minutes. Si vous connaissez des victimes et que l'immense majorité des agresseurs sont de leur entourage. C'est que vous connaissez aussi des agresseurs. Au final, ce que je trouve le plus intéressant dans tout ça, c'est à quel point le fait de dire que nous connaissons un agresseur, voire plusieurs, nous dérange. Nous met mal à l'aise. C'est peut être le signe qu'on a touché juste". Les médias également font état de ce ratio, eux ils ont droit ou bien profitent-ils aussi de ce vrai fléau ? : http://www.europe1.fr/societe/une-francaise-sur-deux-victime-dagression-etou-de-harcelement-sexuels-3469373 https://www.lemonde.fr/societe/article/2018/02/23/selon-une-etude-43-des-femmes-victimes-de-caresses-ou-d-attouchements-non-consentis_5261355_3224.html https://www.lci.fr/societe/sondage-53-une-francaise-sur-deux-victime-d-agression-et-ou-de-harcelement-sexuel-2067978.html http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/10/19/01016-20171019ARTFIG00355-sondage-plus-d-une-francaise-sur-deux-dit-avoir-ete-harcelee-sexuellement.php Il y en a quelques autres pages supplémentaires si vous voulez (plus d'une dizaine).
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Italie: Desirée, ado droguée, violée et tuée par des migrants
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de PASCOU dans International
Il y a un "blond effect" que la couleur soit naturelle ou non, et il ne s'agit uniquement de ces hommes puisque très en général, les hommes seraient naturellement plus réceptifs, aux blondes. Elles réveilleraient en eux un instinct de reproduction, et ce serait parfaitement inconscient. Faites-leur porter une robe rouge et là c'est un carnage. Bien que davantage d'hommes disent préférer les brunes, plusieurs études se sont intéressées aux dires de ces messieurs (les études en psychologie sociale s'intéressent à peu près à tout) mais aussi et surtout aux faits, il a été démontré qu'une femme a plus de chances d'être prise en stop si elle porte une perruque blonde (que brune ou rousse), également que les serveuses blondes obtiennent plus de pourboires, ou encore que les blondes se font tout simplement davantage aborder que les brunes. Je le constate aussi quand je suis accompagnées de ma mère et/ou ma soeur ayant toutes deux succombé à la teinture blonde, ou des amies naturellement blondes : elles sont captées, repérées de très loin et le "public" est plutôt large. Dans une population de bruns, les blonds sont en effet, bien plus visibles. Pour un anthropologue canadien, l'attirance pour l'une ou l'autre des couleurs de cheveux est davantage due à la rareté qu'à la couleur en définitive. Pourtant les rousses, bien plus rares, arrivent toujours en bonnes dernières et selon ces mêmes études, peut-être parce qu'elles ont longtemps pâtis d'une mauvaise réputation ou été assimilées à des sorcières ou des femmes étranges. J'échange aussi avec différentes nationalités et autant que possible, c'est toujours très intéressant et enrichissant. L'Ancien Testament est pourtant bien plus "trash". La place de la Femme, dans ces livres sacrés est bien déterminée, c'est soit une mère, soit une catin, parfois une sainte. Les porte-parole dans la religion sont peu souvent des femmes. Il existe quelques imams au féminin, défiant en quelque sorte le système patriarcal. Il n'existe à ma connaissance, aucune femme prêtre. Donner du pouvoir aux femmes ? Sacrilège ! Les femmes ont souvent peu voie à la parole. Il n'est pas étonnant que des individus trop dans l'observance des textes aient une mentalité des plus misogynes. Ce qui est valable pour les musulmans l'est toujours tout autant pour les chrétiens. Dans la nature, les mâles sont, il est vrai, plus attrayants. Les couleurs sont plus vives, ce sont les plus forts, physiquement. Les plus forts imposent le pouvoir, leurs lois, d'où la prédominance, sans doute, d'un système patriarcal. Il existe toujours des exceptions, en effet, chez les orques par exemple, mammifères très intelligents mais ô combien impressionnants, le système qui y est définit est matriarcal. Il y a une privation de liberté et, pourtant, de moins en moins voient la prison comme une punition. Beaucoup ressentent et dénoncent une priorisation de la réhabilitation et l'intégration sociale des prisonniers. Il s'agirait aussi de protéger les innocents en éloignant ou en contenant les éléments dangereux et perturbateurs... pourtant les criminels sexuels ne sont pas enfermés à perpétuité. S'il est toujours possible d'encadrer les comportements les moins problématiques entre guillemets, au moyen de lois, et même passé un certain âge (de pallier en quelque sorte aux manquements des parents), il n'y a pas de rémission avérée en ce qui concerne le viol (dont la pédo- et l'hébéphilie). Quand les individus sont relâchés il y a au moins une récidive, ou on apprend par la suite, qu'il y a aura eu des gestes ou attouchements envers une nièce, un neveu, une jeune-fille, une femme ou même homme (souvent par un autre homme), des vies boulversées. La castration chimique est à ce jour, la solution qui me semble la moins barbare. Auparavant, les violeurs étaient exécutés ou bien on leur coupait "les noisettes", et puis aux voleurs, les mains. Dans le cas présent, il serait intéressant d'entendre les prévenus. -
À votre différence, je ne les prends ni pour des idiotes, ni pour des menteuses. Le train de vie à Hollywood est onéreux, si bien que se voir black-listée parce qu'un nabab y fait régner sa loi, n'aide en rien à le maintenir. Par ailleurs, des femmes ont eu à hypothéquer leurs biens afin de pouvoir régler les honoraires des avocats. Quand non loin d'une centaine de femmes sont victimes, il est très douteux d'invoquer le hasard. Voici aussi ce que Weinstein a lui-même déclaré : «Je réalise que la façon dont je me suis comporté avec des collègues par le passé a causé beaucoup de douleur, et je m'en excuse sincèrement», a déclaré Weinstein dans un communiqué adressé au New York Times à la suite de la parution de cette enquête jeudi. «Bien que j'essaie de faire mieux, je sais que le chemin sera long. (...) Mon chemin sera maintenant d'apprendre à me connaître et maîtriser mes démons. (...) Je prévois de prendre un congé de ma société et de m'occuper de ce problème en priorité», ajoute-t-il. «J'ai grandi dans les années 60 et 70, quand toutes les règles sur le comportement et les lieux de travail étaient différentes», poursuit le producteur de 65 ans. «C'était la culture à l'époque. J'ai appris depuis que ce n'est pas une excuse, au bureau ou ailleurs», semble-t-il justifier. http://www.lefigaro.fr/cinema/2017/10/06/03002-20171006ARTFIG00092-accuse-d-harcelement-sexuel-le-producteur-harvey-weinstein-s-excuse-et-se-met-en-conge.php Cela sonne bel et bien comme un aveu. Ce qui est d'autant intéressant, c'est qu'il admet que les règles, les codes ont changé, et ne pas avoir su s'y adapter, avoir failli. La culture de l'époque (promotion canapé), c'était la culture de l'époque. Les excuses ne sont peut-être pas sincères et il est vrai qu'il doit être plus difficile encore pour les hommes peu vertueux de cloquer facilement, aujourd'hui. Les mentalités ont changé. Si Weinstein a fini lui-même par l'entendre, vous pouvez aussi lui emboîter le pas. Parmi les faits qui lui sont reprochés, il y a beaucoup d'agressions sexuelles, et nous l'aurons lu et entendu, et quelques viols. Rose McGowan, l'un des éléments-clé de l'affaire Weinstein, est reconnue -encore officieusement pour l'instant- comme l'une des premières victimes de Weinstein. Elle est aussi engagée dans la campagne française #maintenantOnAgit qui vise à favoriser l'accès à la justice pour des femmes victimes de violences, en donnant aux associations, les moyens de les accompagner. Elle appelle aussi à une révolution, qui doit concerner autant les femmes, que les hommes :"C'est une révolution d'idées plus que tout, qui va nous sauver. Maintenant, on agit. C'est l'heure, allons-y !".
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Italie: Desirée, ado droguée, violée et tuée par des migrants
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de PASCOU dans International
Des "historiens" du porno ? Sûrement, d'ailleurs il y a bien des connaisseurs en ce qui concerne les cuvettes des latrines de gare. Pour ma part, je me bornerai à mon intuition, je préfère pour le coup là. Les blondes ne passent en effet pas inaperçues et même quand ce ne sont pas des canons de la beauté. Est-ce que cela a forcément à voir avec le porno ? Pas convaincue. Elles apportent un certain exotisme. Il n'est pas rare d'entendre des blondes parties vers des destinations au soleil low-cost, à leur retour, relater que leur conjoint/maris se sera vu offrir une chèvre et un magasin de tissu en échange de leur présence ponctuelle ou définitive. La Femme est alors vue comme un objet, une chose qui peut se monnayer. Mentalité dégoûtante, somme de plusieurs facteurs et variables, dont la religion tient une place prépondérante, sans nul doute. Si je lis la Bible ou le Coran, je vais globalement y lire un message de paix et d'amour, si j'y prête plus attention, si je m'arrête sur certaines idées, bien avilissantes à l'endroit des femmes, des mécréants, des infidèles, des homosexuels, insidieuses, je vais y lire un message de pet et de soumission. Les codes y sont atemporels et inhumains. La religion est le berceau de la misogynie. "Il faut prendre les textes sacrés dans leur ensemble", "Plus personne ne s'attardent sur les détails". C'est cela oui. Parler de drogue sur le sujet n'est en aucune façon hors sujet, cette jeune fille a succombé à un mélange fatal de drogues fourni par 4 africains immigrés clandestins, si nous en suivons l'article. Une vie humaine a moins de valeur qu'une dose pour bien des dealers, des drogués et non seulement mexicains ou maliens. Il faut de toute façon être sérieusement sous substances pour machiner un cadavre ou être déviant (c'est un trouble paraphilique classé au DSM et ça se comprend), ou peut-être même les 2. Est-ce qu'emprisonner des criminels sexuels (et les expulser) est suffisant ? C'est ce que j'écrivais plus haut. Une sénatrice FI a proposé à l'amendement sur la loi sécurité, la castration chimique. La proposition a été repoussée d'un revers de la main. Il faudra bien un jour y venir. Il s'agit d'un traitement médicamenteux qui est tout à fait réversible, il s'agit de ne plus prendre le comprimé. En attendant, cela pourrait calmer ces criminels, en dissuader aussi quelques uns. -
Philippe de Villiers : Quand il n'y a plus de frontières, l'identité se dilue".
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans Politique
Déjà fait. Merci au revoir. -
Philippe de Villiers : Quand il n'y a plus de frontières, l'identité se dilue".
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans Politique
Dans toutes populations il y a des bons et des cons, où se place la majorité ? Seules les minorités visibles sont prises en compte en tout et pour tout et c'est bien dommage. Le discours de De Villiers est excessif. Il n'est pas idiot et plutôt capable en ce qui concerne sa région, ses paroles et analogies sont ensuite foireuses, extrêmes, et justement généralistes. Je suis désolée, je ne peux pas y adhérer. Nous ne sommes pas en sécurité partout en France, certains coins plus reculés semblent plus paisibles, ce qui n'empêchera un terroriste, s'il en a envie, d'y venir faire un massacre, et d'ailleurs cela s'est déjà produit. Nous ne sommes en sécurité, véritablement nulle part. Il est tout à fait concevable que la population ait peur, et c'est le but recherché d'ailleurs, les terroristes terrorisent, d'où leur nom. Il reste des propos pourtant inacceptables, inadmissibles, profondément racistes, ceux qui les tiennent, sont plus propices à être catégorisés racistes et non simplement parce qu'ils sont français ou parce qu'ils se tenaient là. Bonne question. À l'instar de Jean-Pierre Coffe, ce sont des amoureux du terroir, simplement. La lecture de votre prose me rendrait dépressive. Vous avez une vision du monde des plus cyniques, et sincèrement cela me fatigue, je ne suis pas votre maman et non tenue de supporter cela, et je vous l'ai déjà écrit. -
Bien Monsieur Andouille, en ce cas, repassons au vouvoiement, ce sera raccord. Pourquoi est-ce que tout ceci est sorti, il y a un an, pourquoi des victimes n'ont pas parlé de suite ? - parce que les victimes ont été encouragées ou contraintes de se taire surtout (menaces, chantage, destruction de carrière, harcèlement téléphonique), parce que Weinstein à Hollywood, c'est Dieu et les actrices, elles, rien du tout. Il suffit de vous lire en ce qui concerne les promotions canapé - et c'est une réaction typique, ne vous en faites pour cela- pour bien voir que pour l'opinion publique, souvent, les actrices sont assimilées à des catins, non pas à raison mais bien par défaut. Quand Rose McGowan s'est dirigée vers une avocate réputée dans le milieu pour être une gagneuse, celle-ci lui a rétorqué : "Vous avez fait des scènes topless, laissez tomber, personne ne pourra rien faire pour vous, personne ne vous croira". - parce que les médias, puis un homme, Ronan Farrow très impliqué pour la cause des femmes, mais surtout celle des victimes, s'y sont intéressés de près. Nous connaissons l'histoire de la famille Allen, et Farrow est un pseudonyme. La soeur de Ronan, fille adoptive du fameux cinéaste, aurait été abusée par leur père alors qu'elle n'était qu'une enfant. Ronan Farrow a également investigué sur Bill Cosby. https://www.lesinrocks.com/2017/10/13/cinema/qui-est-ronan-farrow-lun-des-journalistes-cles-du-weinstein-gate-11996886/ - parce que la liste des victimes s'est allongée encore et encore, parce que Weinstein a récidivé encore et encore. Écoutez l'enregistrement, vous entendrez qu'il y agresse tranquillement une femme, qu'elle lui demande d'arrêter, qu'il la tripote tout de même, la menace également, l'intimide. - parce le climat y était propice, le #metoo a aussi été créé en 2016 par Tarana Burke. Un article intéressant dont je vous ai sélectionné des passages : "Il est possible que ces femmes m'aient parlé parce qu'elles se sont senties plus prêtes à partager leurs expériences, car le monde a changé en ce qui concerne les questions de sexe et de pouvoir", écrit Ronan Farrow, qui a contribué à révéler l'enquête, dans le The New Yorker (en anglais). L'affaire Weinstein s'écrit en effet à la lumière d'autres affaires récentes de violences contre les femmes : le procès de Bill Cosby, les affaires Bill O''Reilly et Roger Ailes chez Fox News. Elle fait également écho au cas du président Donald Trump, accusé d'agressions sexuelles. "Beaucoup d'entre nous pensaient et espéraient que cela finirait par sortir", explique un ancien cadre de la Weinstein Company à Ronan Farrow. "Je crois que c'est maintenant le bon moment, dans le climat actuel, pour la vérité", poursuit-il. Le monde n'a pas totalement changé pour autant. Il se trouve toujours des voix pour reprocher aux victimes leur long silence, les rendre responsables de leur situation, défendre les agresseurs et dénoncer des "ragots". C'est le "victim-blaming", qui s'inscrit dans la culture du viol. Mais désormais, il existe aussi, en face, une solidarité nouvelle parmi les femmes (et les hommes), qui se soutiennent, sur les réseaux sociaux et dans la vie, et qui s'engagent de plus en plus frontalement contre le sexisme et le racisme à Hollywood. "Ces femmes m'ont dit qu'elles parlaient parce que rester silencieuses mettrait sûrement en danger les femmes qui arriveraient après elles", explique encore Ronan Farrow à ABC News. https://www.francetvinfo.fr/culture/cinema/affaire-harvey-weinstein/pourquoi-le-scandale-weinstein-a-enfin-pu-etre-revele_2416319.html Votre définition du viol est très incomplète. Article 222 du code pénal : "Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui par de violence, contrainte, menace ou surprise, est un viol". La violence peut aussi être mentale, ou psychologique. Peu importe que Weinstein ait eu un nombre de partenaires importants, tant que tout le monde est consentant, il est cependant jugé pour agressions sexuelles et viols, parce que ses victimes n'étaient pas consentantes. Interpeller une femme pour lui dire qu'elle s'habille comme une "tepu" et que cela procure des sensations au niveau de l'entrejambe, est pour vous un compliment ? C'est ce genre de compliment-là qui tombe sous le coup de la loi, simplement. Les femmes font très bien la différence entre drague, drague lourde et agression. Il serait agréable que vous arrêtiez (vous et d'autres) de les prendre pour des idiotes, merci bien. #MeToo a été salutaire et nécessaire, pour toutes les raisons déjà mentionnées plus haut. Des hommes se sentent diminués, ciblés, agressés, à tort. Nous n'assistons pas vraiment à une guerre des sexes, contrairement à ce que certain(e)s pourraient penser (et la confusion est très bien entretenue), mais davantage à une guerre de pouvoir, et il y a peut-être autant de femmes misogynes, que d'hommes misogynes aussi (parce qu'ils ont été élevés ou conditionnés à cela). Deux "sociétés" ou deux modèles sociétaux s'affrontent depuis déjà quelques années. Toute relation au pouvoir finit inexorablement par devenir une relation conflictuelle, ou toute évolution sociétale ne se fait jamais sans heurts. Si le camp dénommé communément "féministe" - progressiste aurait mieux convenu à mon sens- est décrit comme guerrier, le camp misogyne ou fondé sur le patriarcat, plutôt rétrograde ou conservateur, n'est pas en reste non plus, tant il s'agit de subsister, tant que des individus s'y accrochent comme ils le peuvent, avec force. Personnellement, je déplore les affrontements entre femmes autant qu'avec les hommes, nous assistons à des monologues aussi absurdes que vains que plus personne n'écoute. Depuis hier, mardi 6 novembre, les femmes salariées "travaillent gratuitement"et ce jusqu'à la fin de l'année, les écarts salariaux représentant à peu près 2 mois de salaire en moyenne. Il me semblerait improbable que des hommes et des femmes trouvent cela normal ou juste en France, sans doute parce que je crois encore en l'Humain. Il reste encore à accomplir dans notre beau pays, quoi qu'il puisse en être dit -et nous ne sommes pas au fait de tout- cela ne se fera pas sans la solidarité des uns et des autres. https://www.liberation.fr/france/2018/11/06/le-travail-des-femmes-devient-gratuit-a-partir-de-15h35-ce-mardi_1690225
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Italie: Desirée, ado droguée, violée et tuée par des migrants
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de PASCOU dans International
Brigitte Lahaie n'est pas féministe, même si elle s'en revendique. C'est une animatrice radio ratée, post-soixantuitarde déglinguée. Elle est aussi co-signataire du torchon qui se nomme "Droit d'importuner". Rien dans ses prises de positions, dans ses déclarations, ne va vraiment dans le sens des femmes. C'est une arnaque. Des femmes peuvent être misogynes, c'est son cas. Simple question : seules les femmes blanches font du porno ? Pas de noires, de grises, de jaunes (et puisque nous sommes dans les couleurs) ? C'est vrai le monde ne tourne pas à la même vitesse partout, et c'est fort dommageable. Un oeil sur les cultures, sur les religions judéo-chrétienne et l'Islam, notamment, qui les rythment encore : si celles-ci ont un socle en commun (Dieu est Dieu qu'il s'appelle "God", "Allah" ou "Yahvé", tout est histoire de traduction, d'appellation, il s'agit toujours de la même entité, qui est apparue auprès de différents prophètes, plus ou moins mêmes préceptes ou variantes, même vision archaïque de la Femme et avilissante, promotion du patriarcat et etc...), certaines ont connu des mises à jour et donnent du crédit à la parole d'hommes de foi, là où d'autres se contentent de la stricte observance de textes (lus depuis plus de 2000 ans). Si des religions serinent que la Femme est l'inférieure de l'Homme, il est évident que les individus les moins modérés auront une vision très dégradée de la Femme. Si de coutume, elles ne sont pas respectées là d'où ils viennent, il est probable, qu'ils reproduisent sur le sol européen, évidemment oui. Sinon, dans le cas présent, il s'agirait vraisemblablement du milieu de la drogue, je n'ai jamais entendu qu'il y évoluait beaucoup de gentlemen, personnellement et vous ? -
Philippe de Villiers : Quand il n'y a plus de frontières, l'identité se dilue".
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans Politique
Un fusil mais pour quoi faire ? Chasseurs, en plus du reste ? Punaise, cumul des mandats. Tout, mais pas les beaufs, je ne peux pas, c'est au-dessus de mes forces. Blague à part, il n'y a pas des droits pour les uns et des devoirs pour les autres, il y a des droits mais aussi des devoirs pour tous. Chaque citoyen a le devoir de respecter les lois, il s'expose sinon à des sanctions, le devoir de respecter la devise française également, pour rappel : "Liberté, égalité, fraternité". Ces "gens qui en ont trop marre, que ça commence même à bien faire", ne sont pas insultés "du soir au matin" et encore moins gratuitement et certainement pas parce qu'ils portent un nom bien français. Ce ne sont pas des victimes, ils ne donnent vraiment pas envie de le faire des câlins pour les apaiser. Vous vous trompez de victimes et vous trollez. -
Des hommes solidaires des femmes (andouille !). Les Femens ? Les parties les plus intimes de mon corps sont telles un temple dont seuls les plus pieux et fidèles croyants -peu d'élus- auront (eu) droit d'accès (savapanon !). "Des exceptions", ce qui indiquerait qu'une majorité coucherait afin d'avoir un rôle. Vous êtes old school, les actrices ne sont des cruches incapables et vénales. Celles qui portent plainte, et s'expriment à ce sujet, n'acceptent donc pas de coucher, fin de l'histoire. Coucher avec des partenaires multiples ? Plaît-il ? Mais qu'est-ce que cela à voir avec le sujet ? Des femmes se sont faites agressées, d'autres violées par un même homme (nous sommes très près de la centaine de victimes). Certains supputent que dans le milieu il y a une majorité de ribaudes, de menteuses, d'intéressées, vénales et j'en passe à des meilleures, que c'est surtout et toujours la faute des femmes. Elles "l'auront bien cherché". Les réseaux sociaux, les forums offrent la possibilité de voyager (au Yémen), sans avoir besoin de bouger de son siège (mais c'est inouïe !). À cette affirmation : "Non ce n'est pas gagnant-gagnant, car un homme aura bien du mal pour déposer plainte contre une femme qui lui aura fait du rentre-dedans afin de bénéficier d'un avantage !" Vous faites la différence entre le rentre-dedans et l'agression sexuelle, le viol ou bien ? Des hommes sont tout autant encouragés à verbaliser et porter plainte s'ils se sont faits agressés et/ou violés. Vous évoquiez des adultes consentants auparavant, de femmes qui profitent de la fortune d'hommes... et donc d'hommes qui profitent de la compagnie de femmes, en retour = c'est en cela que je vous répondais que c'est gagnant-gagnant, quand tout le monde est consentant. Je vous rappelle qu'il y a 12 ans, qu'il y a 8 ans, qu'il y a 5 ans, qu'il y a encore 2 ans, les femmes étaient dissuadées de porter plainte, ou même d'en parler en public. Certains exercent en plus un chantage et un harcèlement. Aujourd'hui, le climat est favorable à la libération de la parole, une avancée que nous devons aussi aux mouvements #MeToo, #Time'sup #Balancetonporc. Oui c'est l'hypocrisie à l'américaine et oui ils adorent ça, il n'en pense certainement pas un traître mot. Écoutez l'enregistrement, documentez-vous et vous vous ferez votre propre avis. Weinstein joue actuellement sur la notion de consentement.
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Aucun goût pour la métaphore, si ce n'est pas malheureux ça, et ça ne percute pas surtout, rhâ "je suis désapointée" ! Mince alors, tu es si en péril, en plus, au point de devoir aller glaner des messages tout faits postés sur un sujet humoristique. Je pense à en poster un sur les chèvres et le LSD, n'y vois là aucun message personnel, s'il te plaît. Eh bien non, Bruce Lee, en ce qui concerne ce sujet, il y a les hommes honnêtes, intelligents et solidaires et puis... il y a les autres, les hommes qui pleurnichent et voient des fabulatrices partout. Ce que souligne l'article, c'est que nombreux sont ls hommes solidaires, qu'il reste quelques lacrymâles. La réalité observable vs la réalité des réseaux sociaux. Il n'est pas question de faire sauter le cadre juridique au profit de la libération de la parole via Internet, il n'en a jamais été question. Redescends de ton yonaguni. "Il vaut mieux un coupable en liberté qu'un innocent en prison", alors ça c'est de la punchline", chapeau les vélos. Tu préfères avoir une tête de veau ou des bras de 9 mètres ? Combien de victimes a fait Weinstein ? La ? La centaine de victimes, hum. À ton avis, comment va t-il s'en sortir ? Ces hommes y trouvent aussi un bénéfice, c'est donc gagnant-gagnant, comme dirait la reine de la bravitude, et cela n'a rien à voir puisque tout le monde est consentant. Des hommes agressent et violent des femmes, se passant en conséquence de leur consentement, ce n'est pas "rien", ou "pas si grave", c'est juste monstrueux et ignoble. Il paraît de plus en plus compliqué d'essayer d'innocenter Weinstein. Il a avoué avoir eu des comportements déplacés, être malade, et a fait ses excuses devant une Amérique larmoyante. Parce que vous considérez que ces actrices n'ont pas de talent, elles auraient forcément couché avec lui ? Personnellement, je trouve que cette actrice joue comme un pied, et pourtant, elle aura eu bien des rôles par son biais, sans coucher : https://www.huffingtonpost.fr/2017/10/11/affaire-weinstein-je-me-sentais-impuissante-et-effrayee-le-temoignage-glacant-de-cara-delevingne_a_23240427/ Qui vous dit que toutes ces actrices qui auraient couché avec Weinstein pour un rôle de leur gré, sont aujourd'hui celles qui s'en plaignent ? Des actrices françaises ont aussi eu droit d'être approchées par le porc en question : http://www.konbini.com/fr/cinema/affaire-harvey-weinstein-angelina-jolie-emma-de-caunes-victimes-temoignent Une actrice allemande a également porté plainte contre lui, cet été, suite à des faits datant de 2006. Même sa propre femme est plus compatissante et solidaire que bien des hommes : "Mon cœur se brise pour toutes les femmes qui ont souffert d’une peine énorme à cause de ces actes impardonnables. J’ai décidé de quitter mon mari." Sans parler de l'enregistrement (dans le lien) accablant où on entend distinctement un Weinstein menaçant, intimer à une jeune femme dans la vingtaine, d'être bien docile et de ne pas faire de scandale, de ne pas lui faire honte puisqu'il est client habitué de l'hôtel, alors qu'il lui machine la poitrine. Si elles n'ont pas toutes étaient violées, c'est vrai, certaines ont aussi été agressées. Laissez tomber, ce type est une planche pourrie. Connais pas de lina, micro-ôde. Et avec des si, on mettrait Paris en bouteille. Ce n'est pas le cas, puisqu'il n'a pas besoin de cela. Ce type est un prédateur sexuel, un porc pervers et harceleur. Ce n'est pas de la faute des victimes, c'est de sa faute à lui. Non, dans ce monde là tout le monde ne couche pas avec tout le monde, vous présumeriez toutes ces femmes coupables par défaut. Comme dans tout autre milieu, des femmes souhaitent être recrutées pour leurs compétences, elles suivent des courts d'art dramatique, et ne sont pas douées juste parce que potentiellement -excusez-moi- "baisables". De nombreuses femmes ont fui Weinstein, certaines ont eu plus de chances que d'autres et aujourd'hui témoignent. Que Weinstein soit un porc était fait connu dans le milieu, de certains, quand des actrices en ont parlé autour d'elles, elles ont pu entendre: "Oh non, il a encore recommencé, je lui avais dit d'arrêter ça". Il fallait mettre un terme à cette omerta. Il est important que les femmes qui auront affaire à lui, à l'avenir, sachent qui il est vraiment. Il y a déjà bien assez de victimes comme cela.
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Essayez de donner du caviar à des porcs... *soupir* Donc c'est bien toi, je me doutais bien déjà à l'époque que c'était un excès de confiance/zèle, du blabla. Avant ceci dit, tu ne niez pas les agressions, et n'écrivez pas "violeurs" tant il s'agit de frotteurs ou d'agresseurs. Belle régression, bravo. Tu es un bon donneur de leçons, je te laisse gérer toutes ces femmes "hystériques et colériques". Quel dommage que je ne sois pas assez sorcière pour te transformer en femme, sinon tu n'y couperais pas, cela te ferait sans nul doute ressortir l'humanité. Heureusement que des hommes, en nombre, sont plus compatissants, solidaires, ont de l'empathie. C'est d'ailleurs un des points de l'article, fort rassurant. Donc comme cela existe, les femmes utilisent la "promotion canapé" et vont ensuite porter plainte pour agression et/ou viol ? Les femmes qui jouent ce jeu, en profitent, ne s'en plaignent pas et ne vont pas porter plainte. A contrario, en ce qui concerne celles qui le font, nous pourrions penser, en toute logique qu'elles n'aiment pas cela et sont victimes.
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Philippe de Villiers : Quand il n'y a plus de frontières, l'identité se dilue".
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans Politique
Avec le paysage politique que nous avons, tout à fait. Aucun ne mérite même une seule voix. Ou une main d'oeuvre bas marché. Un bouc émissaire, visible et tout désigné. -
Philippe de Villiers : Quand il n'y a plus de frontières, l'identité se dilue".
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans Politique
C'est du propre ! Je ne vous frapperai pas, aucune chance, n'étant pas du tout gouroutisée (ma religion se serait plutôt la gastronomie, les chaussures également) ; par contre, mes voisins le trouvent tout à fait charmant : "Ch'est l'archevêque Barbarin, lui-même, qui a chélébré les noches de notre fille Chophie, d'un eqchtrême profechiolischme, ch'adore. Che m'en vais de che pas, écouter une radiocachette chur la naichanche de Jéchus, nous nous chommes réunis en petit comité pour che faire" *ajuste son col en érection et monte dans sa benne à cathos* Blague à part, vous ne trouverez pas d'infos sur le financement, il y a une opacité, tout est tu, parce que le sujet est trop délicat. La laïcité est une vaste fumisterie, malheureusement. Ce que nous pouvons constater et déplorer c'est que des états financent et ont donc plein droit sur les messages diffusés auprès des fidèles, c'est très mauvais. À côté de cela, les autoroutes sont refaites 15 fois, et des routes qui ne présentaient pas d'aspérités également, afin de justifier et conserver un budget. Je n'ai pas fait attention à vos interventions sur Choupinet et les fermetures des mosquées, mais oui il est évident que ce gros souci doit être traité. On arrête quand ? Tout de suite, maintenant, ce ne serait pas plus mal. Réglons les problèmes à l'intérieur a priori, afin de faire venir l'extérieur, au besoin, a posteriori. Vous n'avez jamais entendu les discours de Macron, encourageant à accueillir toujours plus ? http://www.bvoltaire.fr/macron-veut-accueillir-plus-de-migrants/ https://www.nouvelobs.com/politique/20171010.OBS5766/macron-s-engage-a-accueillir-10-000-refugies-d-ici-octobre-2019.html http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/11/20/97001-20171120FILWWW00214-macron-demande-a-l-ue-d-accueillir-plus-de-refugies.php