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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Et les Glanz ne sont pas tous tombés près du chêne... (afin de fermer la boucle des blagues Carambar). Il y a quelques temps encore, lors de sondages, nous pouvions relever de la bienveillance de cette majorité silencieuse, qui subit parfois cette action depuis déjà 5 mois, avec beaucoup de patience. Il y a dans ce mouvement, très hétéroclite, des combats, des revendications justes. Il est impensable par exemple, que certains de nos anciens vivent au -ou pire encore- sous le seuil de pauvreté. Et puis, il y a de la radicalisation, des blacks blocks, des idées saugrenues, qui partent vraiment dans tous les sens, des idéologies, dans un mouvement, qui à la base, se voulait simple, pacifique et populaire. Véritable insurrection qui ne se satisfait jamais de rien. Les violences ne sont pas (suffisamment) condamnées par ces manifestants, complaisance voire complicité, ce qui pourrait mener ce mouvement, à sa perte.
  2. Ils ne suffisent pas pour endiguer la pauvreté tout simplement. Quand nous parlons des pauvres, nous oublions également bien souvent, les familles monoparentales, parfois de classe moyenne (basse), très fragilisées. La pension alimentaire peut être oubliée ou non versée sciemment par le conjoint qui exerce une forme de pression, parfois de chantage. Aussi dingue que cela puisse paraître, pour certains il n'est pas normal de verser une pension alimentaire, ils auraient l'impression d'être spoliés. La femme seule, souvent, est en galère, jonglant avec les autorisations de découvert, les traites, les différents taxes et impôts à régler, et espérant la bienveillance de son entourage proche. Sarkozy, de mémoire, proposait d'encadrer tout ceci, par la mise en place d'un système de prélèvement automatique obligatoire d'une part, mais également en créant et développant des cellules d'intermédiaires, délestant ainsi les victimes d'ex conjoints imbuvables voire complètement violents. C'était une bonne idée, dommage qu'elle n'ait pas été reprise. Il me semble également que les allocations familiales ne sont pas dispensées pour l'enfant unique. Je connais quelques femmes dans cette situation, c'est toujours une histoire de galère. Il m'est impossible de les culpabiliser, de les juger. La seule bêtise qu'elles ont faites, c'est de tomber sur un connard -parfois commerçant, spécialisé dans l'alimentaire de surcroît, un comble !- ou de ne pas saisir qui de droit de peur que le père renonce à ses droits de visite et de garde de week-end par pur esprit revanchard, par pure bêtise. Donc vous condamneriez des enfants, pour l'ingratitude de leurs parents ? C'est terrible. Lorsque nous étions enfants, en maternelle, dans les villes, il y avait une distribution de briquettes de lait le matin à la récréation. D'autres avaient droit au verre de lait, accompagné parfois d'une madeleine ou d'un petit beurre. Collation qui n'allait pas chercher loin, c'était toujours ça. Il y avait également des ventes de viennoiseries à la récréation, en primaire, dont les plus grands étaient en charge (supervisés par un instituteur). Dans le privé, les parents étaient très sollicités pour apporter des gâteaux, crêpes et etc... je ne sais si cela a encore cours aujourd'hui avec les normes d'hygiène. Il est parfois demandé dans les écoles, de fournir chacun à son tour, fruits et/ou fromages, afin de développer le palais des enfants, et non seulement lors de la semaine du goût. J'ai accompagnée récemment ma nièce et plusieurs barquettes de fraises à l'école. Du brie de Meaux, et un bon pain de campagne, une autre fois. Ce sont de bonnes initiatives, pas sûre que tout le monde puisse suivre. Des enfants sont levés depuis 5h du matin, les parents se lançant dans les bouchons dès 6h... Le déjeuner peut faire très loin. Dans l'idéal, il faudrait généraliser les petits déjeuners dans toutes les écoles, toutes les zones. Être en recherche d'égalité dans l'éducation c'est ce qui fait le socle d'une société bien pensée. Il serait impensable de fustiger les jeunes générations au sujet de leur faible niveau en toutes choses, tout en ne faisant rien pour les aider à y remédier.
  3. Il y aurait tant de nostalgiques de la guillotine que cela ici ?! Olalala...
  4. Ce n'est pas une mauvaise idée, quoi qu'un peu réchauffée...
  5. Des journalistes le font très bien et sans violence, aucune. Rémy (de Brut) que je suis, comme d'autres, depuis novembre, a régulièrement les yeux qui brûlent, rien de plus. Il est un peu excité du bulbe Glanz, il faut le reconnaître.
  6. Et aller jusqu'à nous demander à quoi sert la gratuité en ce qui concerne l'éducation et la santé... et d'autant pour ceux qui n'ont pas d'enfants et ne sont jamais malades. Individualisme, encore.
  7. Je regarde "Brut", souvent, un média qui semble plutôt neutre. Pas d'orientation, pas de prise de parti, juste du film, longtemps. Ce qui est à constater, c'est que les forces de l'Ordre somment déjà avant de charger. Logique que ceux qui restent en travers, se fassent bouler. Il n'y a aucun courage à se comporter comme un malpropre et outrepasser le droit.
  8. Pour la cantine ? Je ne m'en plains pas, tout comme d'autres, cela équilibrera avec ceux qui ont des aigreurs à l'estomac. Une fois que tu as fait le constat que des parents ne font pas de leurs enfants une priorité, et attention ce n'est pas le cas de tous, certains ont vraiment trop peu de moyens ; il reste des enfants n'y peuvent rien. Ce sont des malheureux.
  9. Il est fiché, il ferait bien de se tenir tranquille.
  10. Être sous la coupe de l'autre sera toujours une erreur. Les personnalités les plus délétères en profitent, toujours, également. L'indépendance financière, c'est juste un minimum. L'indépendance en toutes choses c'est mieux encore, celle d'avoir vos opinions, de vous faire entendre, celle de vous mouvoir librement, de partir en week-end seule si cela vous chante, de faire du shopping tout un après-midi, de la marche ou ce que vous voulez, de recevoir des appels etc... Pourquoi demander à votre soeur de délaisser ses petits-enfants ? Vous pouvez aussi vous rendre chez elle. "On va sortir", comme vous le suggère, @cry baby peut être une bonne idée, pour vous.
  11. Pour moi, non, mais je n'écris qu'en mon nom.
  12. Engouement sur les réseaux sociaux qui n'est pas sans rappeler la déferlante des "Je suis Charlie". Les médias ont bien évidemment couvert largement "l'événement". Cela peut en effet mettre mal à l'aise et/ou provoquer l'overdose, d'autant que personne ne s'y intéressait vraiment auparavant ou si peu. C'est en effet trop et parfois (très) mal joué. De l'autre côté, nous pouvons aussi assister à une culpabilisation trop chrétienne (très mal joué également la plupart du temps), la pierre aurait plus d'importance que l'Humain... Nous pourrions laisser les pro et les anti s'entretuer, c'est une idée. Je félicite le courage et le travail des sapeurs pompiers de Paris. Jamais eu la patience de me mêler aux touristes chinois. Trop de monde, tout le temps. Vue depuis la Seine, sous les lumières du soir, elle en jetait. La rallumer ? Oui, par contre, autant que faire se peut. Elle fait partie de notre patrimoine culturel. S'il n'en restait rien, ça se poserait autrement.
  13. Voire blogueur. Il n'y a de toute façon pas à tergiverser, faire un fuck aux forces de l'Ordre relève de l'outrage. Nous le savons tous. Nul n'est censé ignorer la loi. Glanz sait très bien ce qu'il fait.
  14. Ils sont là ces gosses, il faudrait les laisser mourir de faim ? Un enfant qui a la faim au ventre ne peut aussi pas se concentrer sur ses cours. Je préfère de loin que mes impôts servent pour ce genre d'initiative, plutôt que pour engraisser des politiques qui ne servent vraiment à rien.
  15. Sans doute pour cela que je ne me foule jamais vraiment pour lui répondre. Et... seulement dans ma piscine, quand il fait assez bon.
  16. Bonjour, Vous devriez trouver quelques morceaux postés dans les pages précédentes.
  17. Espérons qu'il ne soit pas en charge de la vaisselle ce monsieur *sourire* Laisser l'orage passer, jouer l'indifférence pour avoir la paix, c'est ce que l'on appelle fuir. Il recommencera puis se radinera avec son petit croissant comme si de rien n'était encore longtemps (c'est un bien maigre tribut au passage). Les lettres n'apportent pas vraiment de résultats, il ne vous écoute pas, ne vous traite pas bien. Pas de remise en question. D'un autre côté, préparer son sac et étiqueter ses sandwichs a quelque chose de très infantilisant. Vous répondez toujours présente, d'après vos écrits, vous êtes à sa disposition. Il le sait. Il y a un côté très années 50. Pas d'ami(e)s ou autre vie sociale que votre soeur, à l'occasion, au téléphone... Même si elle garde ses petits-enfants, vous pouvez tout de même faire un saut chez elle, de temps à autre, non ? Cela fait du bien de voir autre chose que des gosses. Les courses, puisque vous les évoquiez précédemment, ne vous est-il pas possible de les faire seule, ou qu'il en soit en charge ? Gagner en indépendance pourrait aussi (lui) permettre de vous envisager sous un autre angle. Cela se posait plutôt ainsi : pourriez-vous piocher parmi vos amis, faire de l'ami -de plus ou moins longue date- l'amour ? Vous exagérez Steiner... et vous êtes aussi "fiche la guigne" : chut.
  18. Des hommes courraient plus vite, sauteraient plus haut et réfléchiraient avec leurs pieds. Marrant, j'aurais parié sur un autre organe pour cette dernière action...
  19. Vous exagérez Steiner, je suis très douce avec mes « soupirants »... il est vrai que tous ont fini par expirer ceci dit.
  20. Je comprends assez cela, il est vrai que je suis un vrai rayon de soleil -qu’écris-je ?- le soleil personnifié même. Elle garde ses petits-enfants H24, votre sœur ? Voir ses amis sans que cela empiète trop sur sa vie personnelle, c’est tout à fait possible. Tout le monde n’est pas un squatteur ou une sangsue. C’est bien dommage de ne pouvoir discuter avec votre conjoint, sans avoir la peur au ventre. Pour le reste, vous n’êtes ni sa mère, ni sa boniche. C’est peut-être le moment de vous faire entendre de ce côté-là.
  21. Tous non, certains politiques sont engagés, quelques échelons plus bas, certes.
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