-
Compteur de contenus
14 034 -
Inscription
-
Jours gagnés
6
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Mórrígan
-
Un morceau qui fait penser à son passé ?
-
La musique classique,c'est pas si mal.....
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Decade 63 dans Musiques
-
Plusieurs, si vous voulez : https://www.liberation.fr/debats/2017/04/01/non-marion-marechal-le-pen-les-remboursements-de-l-ivg-ne-sont-pas-illimites_1559759 https://www.lepoint.fr/politique/marion-marechal-le-pen-sur-l-ivg-je-suis-un-accident-qui-se-vit-bien-27-01-2017-2100512_20.php La tante est plus moderne, ou plus maligne : https://www.lci.fr/politique/ivg-2015990.html
-
-
Quoi qu'il en soit ou pourrait être, rejoindre les rangs d'une femme aussi gouroutisée (jeune en plus, c'est flippant), pro life avérée, ce n'est absolument pas envisageable, pour ma part. Elle revendique être un "accident". J'en suis un également, ce qui ne m'empêche pas, objectivement, d'être en faveur d'un choix laissé, aux femmes. Je pourrais même voter contre elle, exceptionnellement (jamais fait un "vote de barrage" auparavant). J'espère qu'elle ne se présentera pas, cela m'évitera de trahir mes convictions.
-
Sur ce point, au moins, vous n'auriez pas tort, les humoristes ne font plus recette avec la misogynie. Blague à part, la série repose sur un cynisme réaliste, oui, c'est ce que je me suis échinée déjà à écrire plus haut. Un cynisme implacable. Dans l'idée, un nain balafré, buriné, avec une jeune et jolie donzelle, héritière du trône du Nord ? La gentillesse, la noblesse de l'âme ne suffisent généralement pas. Je vous propose plus simple : comment auriez-vous vu exactement la fin ?
-
La musique classique,c'est pas si mal.....
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Decade 63 dans Musiques
-
vos vieux titres ici années 60/70/80/90
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de hannibal25 dans Musiques
-
Voyage à travers le temps et l'Écosse. Le thème du voyageur du temps est classique, néanmoins ici très bien amené. L'actrice principale apporte une véritable fraîcheur et beaucoup d'authenticité, à la série. Les personnages sont globalement hauts en couleur, les Écossais, peuple fier, fort bien représentés. Quant aux Anglais... L'acteur qui joue à la fois le rôle du mari et de l'ancêtre, sait être aussi bien détestable, que profondément touchant : très belle performance. Les intrigues politiques sont intéressantes. Les superstitions, consternantes. Clans et alliances fidèles paraîtrait-il, la série tiendrait la route sur le plan historique. Ça donne envie de lire les livres. La BO celtique, ainsi que les paysages sont somptueux. La fin de la saison 1 m'a laissée un goût très amer. La saison 2 démarre tout doucement, en France.
-
Quel serait l'intérêt ?
-
Vous avez toujours eu une façon des plus étranges de formuler votre "gentillesse". Je n'écris plus seulement pour moi, depuis peu et pas spécifiquement dans le droit. Fin du HS.
-
-
Pour le moment, les politiques ne me donnent pas l'envie de voter autre chose que blanc et cela fait un moment que ça dure. Une chose est certaine, je ne voterai jamais RN.
-
Vous êtes décidément tordant... et ô combien binaire. Je ne me rappelle plus vraiment d'Abre los ojos/Vanilla Sky. Il ne passe pas actuellement sur le satellite. Comme je ne télécharge toujours pas illégalement, je vais par conséquent devoir décliner. La participation d'une "avocate manquée" ne devrait de toute façon pas vous faire défaut.
-
https://www.asos.fr/femme/robes/cat/?cid=8799¤tpricerange=5-595&nlid=ww|vêtements|voir par produit&refine=attribute_10140:3679 Vous pouvez affiner ensuite, j'ai juste indiqué la longueur des robes.
-
J'espère bien, j'aime faire plaisir. Vous prenez les idées des deux extrêmes, la radicalisation c'est ça.
-
Et il va falloir faire un tir groupé chez l'ophtalmo là... Vous aviez été dorlotés tout au long des saisons, béquillés, ce n'est que cela, en effet.
-
Non, le centre c'est pour les trous du cul.
-
Si l'on observe une radicalisation de toute part, tant sur un plan européen que plus gobal, il me semble que nous avons encore le luxe en France de ne pas sombrer dans cette radicalisation.
-
Mince alors, les hommes aiment les tirades sexistes habituellement... J'ai préféré ignorer l'ironie, pardonnez, c'est un choix et "ça se tient", comme tous possibles de GOT, en fait. Il n'y avait pas 36 soluces et des choix plus logiques, que d'autres. Il fallait s'y attendre. Le but était bien évidemment de nous faire penser au combat perdu d'avance (marcheurs blancs en surnombre et susceptibles de l'être encore plus à chaque seconde, invincibilité du roi de la nuit...). Il fallait que la menace, l'ennemi ait une véritable dangerosité, du charisme, que la peur soit palpable, sinon nous n'aurions pas été tenus en haleine. Au-delà de la beauté de la scène, quand les sabres s'éteignent, cela renforce encore ce sentiment de situation désespérée et l'on en vient à craindre pour ces héros auxquels nous nous sommes attachés pendant les 7 saisons précédentes. Crainte qui s'étend tout au long de ce très long épisode. Tous les Dothrakis n'ont pas été éliminés pendant cette charge. On ne sait comment, c'est vrai, l'épisode est en lui-même déjà très long... Le feu est efficace contre le simple marcheur blanc, les simples marcheurs blancs sont toujours plus nombreux. Jorah revient en toute fin d'épisode alors que l'autre goujat de Snow s'est éclipsé. Théon en a sué, il y un lien amical presque fraternel avec les Stark, plus prononcé avec Sansa, ils ont connu Ramsay... Jorah, également, il a été condamné à l'exil puis a souffert d'une maladie dite incurable. Il y a ce côté tout de même dévoué, loyal, fidèle du chevalier blanc, qui finit par forcer l'admiration, il se sera battu jusqu'au bout, pour sa princesse. Il y a des valeurs qui forcent l'admiration. Chacun a son utilité, chacun devait être là où il était, qu'importe ce qu'il adviendrait ensuite, ils ont accompli leur mission. Vous n'avez pas aimé la scène de la crypte, si j'ai bien lu plus haut. J'ai trouvé la séquence Tyrion/Sansa fort touchante, toute en élégance malgré la peur évidente. Ce qui n'a pas plu à une partie du public, a plu à l'autre, il n'est jamais possible de faire l'unanimité. Daenerys n'a vraiment su qu'au moment où elle a été confrontée à la perte de son deuxième dragon. Le premier est tombé sous les coups d'êtres magiques, il était sans nul doute improbable qu'il tombe sous les projectiles, pour elle. Elle était mieux préparée ensuite. Cerseï n'a pas repris un certain avantage, non, Tyrion sait que Port Réal va tomber, il connaît la ville par coeur il a aussi élaboré un plan de défense lors de la saison 2. Il a apporté ses connaissances à Daenerys afin d'élaborer la stratégie. C'est ce qu'il dit à la main de Cerseï, envoyé en tant qu'émissaire, avant l'exécution de Missandeï. Pour résumer, ce n'est pas du grand n'importe quoi. Ça ne vous plaît pas, c'est bien là différent.
-
Un vieux jeune. Eh bien alors cantonnez-vous en aux hommes ou encore aux trous de taupe...
-
C'est affolant ce que le public masculin sur ce topic peut chouiner. Vous avez la mémoire volatile. Jon Snow essaie de l'atteindre (sans succès), le dragon de Daenerys le brûle (sans effet). Le roi de la nuit a aussi une force surhumaine, nous pouvons le voir lors des combats corps à corps, ils sont expéditifs. Le combat avec Aria n'est pas époustouflant, elle s'en sort vraiment de justesse. Finalement elle se sert peu, il semblerait, des techniques apprises à Bravos (chez les Sans-Visage), il y avait quelque chose à exploiter mais non seulement dans la dernière saison. Si vous ne voyez pas bien, il faudrait investir dans des binocles. J'ai bien aimé cet épisode globalement (j'aime aussi le SDA), il y a de l'émotion, du stress, du suspense. La scène d'Aria (dans la bibliothèque) a tout du film d'horreur et certains scénaristes, réalisateurs devraient d'ailleurs en prendre de la graine. Quand elle se réfugie sous le banc, que la plaie perle du sang, on retient son souffle et puis ça fait "ploc". L'ambiance m'a rappelée, un peu, Resident Evil. Le seul passage que je n'ai pas aimé, que je trouve franchement ridicule, c'est celui de Jon Snow, quand il braille après le dragon de zombie. Cela a peut-être plu à d'autres. Il me semble que G.R.R Martin n'a pas encore écrit le dernier tome, ce qui, peut-être, vous donne un sentiment différent... quand bien même l'histoire, la destinée des personnages et leur final se tiennent globalement bien. Il a sûrement orienté de toute façon. L'endroit où se trouve la corneille à 3 yeux est reculé, et ne grouille pas de zombies, de mémoire. Elle connaît Winterfell comme sa poche ensuite, donc oui, il y a une logique. Il y avait un risque que le dernier des dragons de Daenerys tombe comme le précédent et c'est bien pour cela que le spectateur peut avoir une petite anxiété. Auparavant, elle ne savait que la flotte de fer les attendait, là elle savait. Ce n'est pas un pétage de câble. C'est un continuum. Ce n'est pas logique pour elle, puisqu'elle a pour habitude d'être à la fois adulée et crainte. Elle a aussi été portée par un entourage totalement en béatitude. Elle a perdu ses soutiens indéfectibles. Peut-être aurait-il fallu que les scénaristes s'attardent encore davantage sur ces pertes et l'impact qu'elles ont eu sur le personnage (personnellement j'ai trouvé cela assez perceptible, elle semble affectée autant dans le 3, que le 4). Elle a accompli des exploits, elle comptait peut-être sur sa réputation, qui aurait dû la précéder. C'est l'élue, le feu n'a aucun effet sur elle (comme le roi de la nuit d'ailleurs), elle est unique en son genre (enfin pour un humain). Une fois dans le Nord, elle se trouve seule, boudée, non prise en considération, malaimée. Elle dit aussi à Sansa plus tôt pour gagner sa sympathie, son respect, épisode 1 ou 2 (je ne sais plus) qu'elle a suivi Jon Snow, qu'il a su la convaincre. En clair qu'elle ne le manipule pas, que c'est elle qui s'est faite embrigadée, tout en brossant un portrait élogieux de son Jon, avec des regards entendus de fifille, tentant par là de créer une complicité avec sa "belle-soeur". Ça ne prend pas, Sansa lui refusera son allégeance jusqu'au bout. Le Nord est un peuple sauvage, têtu, difficilement "draguable", domptable, et son héros, c'est Snow, ce qu'elle finit par réaliser, peut-être un peu trop tard. La rivalité s'installe enfin c'est uniquement unilatéral. Elle n'est plus l'élue, il partage le même sang, il offre une autre possibilité. Il faut voir le regard qu'elle lui lance fin de l'épisodes 5, pleins de dédain et de défi. Régner, ce n'est pas ce qui semble lui importer le plus encore une fois, davantage être reconnue, et c'est ce qu'elle semble finalement toujours chercher, la reconnaissance... peut-être parce que c'est un personnage qui en bavé comme vous l'écrivez, ou qui a été brimé, depuis l'enfance. S'il ne l'avait pas tuée, c'est peut-être elle qu'il l'aurait fait. Il devait n'en demeurer qu'un. Pour le reste, globalement oui, la série envoie des messages du genre, entre cela et la blagounette sur la démocratie... Qu'est-ce qu'on regarde maintenant ?
-
Ça commence vraiment à faire vieux troll misogyne.
-
Il fait beau et chaud (enfin !), on ressort les petites robes