Aller au contenu

Mórrígan

Membre
  • Compteur de contenus

    14 034
  • Inscription

  • Jours gagnés

    6

Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Sauf que vous n'avez visiblement pas compris mon propos. Pas grave. Et pas "lu" mais "vu", étant donné que je me suis donnée la peine de regarder quelques minutes de vidéo (pas la trentaine non plus, il ne faut pas abuser, je ne suis pas maso, non plus). J'aime assez me tenir au fait de ce que je décrie, il m'est alors arrivée de lire Ramadan, Soral, d'écouter Zemmour et toute la famille Le Pen... Mélenchon aussi. Bonsoir @Ink 82, Le libéralisme s'est insidieusement installé via la gauche (sous Mitterand), la droite a ensuite continué sur cette longue piste glissante. Il est évident que nous arrivons au bout de quelque chose et ce n'est très certainement pas Macron ou Le Pen (tante et nièce) qui vont nous sauver (et aussi peut-être parce qu'ils y trouvent intérêts).
  2. C'est très intéressant, merci pour le partage. Le voile n'est en effet pas spécifiquement musulman. Les religieuses couvrent leurs cheveux. Elles vivent néanmoins recluses. J'ai connu mon arrière-grand-maman, veuve, couverte de longues dentelles noires. L'image m'a toujours interloquée, glacée. Des femmes juives ont aussi trouvé la parade et ont eu recours à des perruques (ça se fait peut-être encore). Comme les nôtres se sont battus afin de ne pas être envahis par les vôtres... et je ne vous évoque même pas les viols, les égorgements des enfants, comme des meurtres d'hommes et de femmes, jeunes et moins jeunes. Les invasions, les guerres ont ce quelque chose d'abominable et il est rare que seule une population ait eu à souffrir de la noirceur de l'être humain. Sauf que ce n'est ni la culture, ni l'identité de la France. Sauf que des femmes se dévoilent au péril de leur liberté et de leur vie tous les jours, avec grand courage. Sauf que vous vous trompez quand vous défendez la soumission à l'homme.
  3. Se pignoler sur le discours d'Enthoven... C'est ridiculement pathétique. Les droites sont irréconciliables et ça l'est d'autant plus sous l'égide de l'autre bondieusarde d'extrême-droite. Coppé avait déjà essayé auparavant, à plusieurs reprises, et encore récemment par le biais du candidat Bellamy et son catéchisme. Ce qui n'a fait que creuser le fossé entre les citoyens à sensibilités dites de droite. Ces personnalités sont bien trop clivantes et manquent d'authenticité. Le discours est souvent nauséabond. Jamais cela ne fonctionnera. Nul besoin de cet essayiste d'opérette, pour nous baliser les évidences. Ce n'est pas tant la longueur du discours qui est dérangeante d'ailleurs, plutôt la redondance, les amalgames, les jugements à l'emporte-pièce. Et encore, l'absence certaine de nuances, de reliefs, l'argumentaire foireux, avec ce petit quelque chose de très risible : "Me voilà, vous allez voir ce que vous allez voir" (ah oui, la cuistrerie). Quelle purge ! Je retiens de ce discours -fort indigeste- la volonté de nous faire passer PMA et GPA pour la voie du raisonnable, de l'humanité, du modernisme. Le tout sur la même ligne et au même titre que l'abolition de la peine de mort et encore l'IVG, dans une abominable soupe au gruau. De la propagande, du forcing encore... ou quand le droit à l'enfant doit absolument supplanter les droits de l'enfant afin de seoir à l'adulte libéro-égoïste. Ce n'est pas la peine de s'exciter au sujet de l'abolition de la peine de mort, en plus du reste, elle a été inscrite dans la Constitution... par un homme de droite ! Merci Jacques Chirac. C'est aussi lourd et irréfléchi que le discours d'Enthoven... l'avantage avec ce dernier, c'est qu'au moins, nous ne sommes obligés de supporter les sourires hypocrites et le blazer de tata Marine.
  4. Il n'y a rien de logique à ce qu'une femme soit couverte de pied en cape et alors qu'il fait 40° à l'ombre. Les enfants ne sont pas islamophobes, simplement pragmatiques que cela peut en être désarmant. Ils savent aussi faire le distinguo avec les autres mères, et les autres pères qui, eux, n'ont pas besoin d'afficher leurs croyances. C'est très humain, les questions fusent. Tout le monde n'habite pas dans la cité, sinon, les voiles voilées ne sont pas le quotidien de bien des enfants. Quand ils en voient pour la première fois, et la deuxième, puis la troisième... c'est toujours choquant. Nous n'avions pas vraiment vu de femmes voilées avant les années 2000. Chaque fois, ça me fait froid dans le dos. La foi en Dieu, ainsi que la soumission affichée de ces femmes se devraient plutôt d'être personnelles, et par voie de conséquence très discrètes. Nos aïeules se sont battues pour nos libertés et non pour voir des femmes s'afficher en tant que bonnes petites soumises. Le voile est l'outil de prédilection de la domination masculine, il pourrait être troqué pour des fers, le bât ou une laisse, que cela n'en serait pas plus choquant.
  5. C'est en réalité toujours cette vieille et même histoire de deal entre les êtres humains : les femmes, dedans, à la cuisine et s'occupant des enfants. Les hommes, dehors, avec toutes les responsabilités économiques, politiques et militaires (deal ou confiscation du pouvoir ?). Pour la faire perdurer, il s'agit de promouvoir dès le plus jeune âge, ces canons traditionnels de la masculinité en opposition vive avec ceux -tous aussi traditionnels- de la féminité. Les femmes sont les premières victimes de cet ordre du monde (infériorisation, infantilisation et diabolisation à la moindre rébellion). Les hommes en ont aussi souffert à travers les âges (virilité obligatoire, déni des émotions, nécessité constante d'assurer). Il y a peu, le prince George a été la risée de la toile, puisqu'il aurait déclaré aimer les ballets (il ne doit pas avoir plus de 6 ans). Le hashtag #boyslovedancetoo a été remis au goût du jour... Le genre est une identité mais ne saurait être une prison. Il faut encore le rappeler en 2019. Triste.
  6. Si elles sont boudinées en jean, il y a toutes les raisons de penser qu'elles le sont également en jupe. On peut aussi être un repoussoir avec des moyens. Il n'y a pas d'absolu, dés lors qu'il s'agit d'humain.
  7. Visiblement, le prévenu qui comparaissait ce mercredi 25 septembre 2019 devant le tribunal de Laval n’a pas bien compris la gravité de ses gestes. Le 2 septembre, les policiers de Laval étaient intervenus pour une dispute au sein du couple. Il est reproché au prévenu d’avoir attrapé le bras de sa victime avec violence et de lui avoir asséné deux gifles. Pas à son coup d’essai L’homme ne reconnaît pas en ces gestes des faits de violence. Il n’en est pas non plus à son coup d’essai. Le trentenaire qui vivait avec sa compagne depuis cinq mois a déjà été condamné à quatre reprises pour des violences conjugales. Sans oublier quatorze autres condamnations judiciaires pour délits routiers et vols. La maladie alcool Cette affaire s’est déroulée, comme malheureusement trop souvent, sur fond d’alcool. L’avocat du prévenu a bien souligné la violence de la victime qui a aussi donné une gifle, mais il a également vivement invité son client à se faire soigner. « Tant qu’il aura un problème d’alcool, il ne s’en sortira pas. » Le tribunal a finalement condamné le prévenu à six mois de prison et ordonné son maintien en détention. Un sursis de quatre mois a également été révoqué. Un poivrot délinquant mais tellement "aimable"... Condamné à 4 reprises pour violences conjugales, il devenait plus qu'urgent de le mettre derrière les barreaux. L'alcool n'est pas une excuse, à mon sens, plutôt un facteur aggravant.
  8. Vous ne devez pas être un grand fan de Coco Chanel alors, et encore Lacroix, qui ont démocratisé le port du pantalon, et du smoking -pour le second- pour les femmes. Aussi improbable que cela puisse vous paraître, une femme peut être très féminine en jean voire en jogging (il peut aussi se marier avec des talons pour un look street wear chic). Même chose pour le treillis ou le "battle". Chose improbable pour vous, sûrement eu égard à vos écrits, elle peut parfois l'être même plus qu'en jupe ! Plus féminine, plus moderne, plus fraîche. Je serais plutôt partisane du "il faut de tout dans son dressing". Le prêt à porter nous permet tellement, qu'il serait dommage de se limiter. Il y a cependant des vêtements et accessoires auxquels nous ne nous résoudrons sûrement jamais. Pour ma part, : bottes fourrées et moon boots, collants de mémère couleur chair et opaques noirs et colorés, vêtements fluo, jeans "neige", sandales "méduse", boucles d'oreille à boules (la liste est non exhaustive). Des femmes sont également très mal à l'aise en jupe, ou avec des talons, et n'ont pas la démarche appropriée par conséquent. Tout dépend de la personne, de sa personnalité, de son aisance. Dans tous les cas, un homme n'a pas à imposer à une femme ce qu'elle doit porter, qui elle doit être (et réciproquement) et même si c'est son mari. Un homme peut aussi être très masculin alors qu'il porte une chemise dans les tons roses, et même lorsque celle-ci est fleurie. Il semble que Kenzo ou encore Lacroix ont été précurseurs. Il y a quelques années, j'ai consolé un petit garçon dont la chemise bleue présentait des revers fleuris (discrets et pourtant de couleur marine). Ces camarades de classe, non habitués au casual chic, l'avaient pris en grippe, le traitant de fille. Il y a des idées vieillottes, stéréotypées dont il faut se défaire. Impérativement. Tant que les parents ne seront pas éduqués, les enfants, non plus. Ouf ! Fonctionnelles, pas toujours : essayez de sortir d'une voiture avec une jupe crayon ou de faire un rallye avec des talons de 9 cm, vous. Mais propres, oui monsieur, toujours. Pour le reste, évidemment, c'est une question de personne, avant toute chose.
  9. Il faut cocher toutes les cases (ou presque), répondre à un profil en particulier afin d'être vraiment misogyne (ou misandre, ou pervers narcissique etc...), ce qui n'empêche pas que certains puissent avoir des comportements misogynes, à l'occasion. Comportements et dires qui surviennent aussi puisque notre culture (comme d'autres) est par essence sexiste, patriarcale (la religion a joué un rôle majeure, comme vous le savez aussi). Cette culture très enracinée. Il peut y avoir un humour lourd, de beaufs (aussi friands de blagues pédophiles), qui peut agacer certaines personnes. Personnellement, quand je n'aime pas, je n'écoute pas. Globalement, en ce qui concerne le rire, il est arrivé un moment, où nous avons eu envie et besoin d'autre chose... Pareillement en ce qui concerne les hommes, je crois bien *sourire*
  10. Pas vraiment, cf ci-dessous. Le port du voile peut aussi interloquer voire choquer des enfants, tout comme celui de la soutane au dehors des églises (par contre nous en voyons moins souvent). Il est compréhensible que des chefs d'établissement refusent. Au final c'est laissé à l'appréciation d'un juge, d'où le flou, d'où les tensions. Il faudra un jour véritablement trancher.
  11. Le sketch du sac à main ? C'est ce qui se dit oui et justement qu'il faut apprendre à ne rien faire, à s'ennuyer afin ensuite d'être vraiment créatif.
  12. Et donc la tenue vestimentaire ne fait pas la Femme... comme elle ne fait pas l'homme non plus ( @Plouj, j'ai toujours bon ?). Les belles toilettes sont seulement plus agréables pour les yeux. Miss Peel est impressionnante alors qu'elle excelle en escrime et dans les arts martiaux, plus encore que quand elle fait de la gym tonic avec Véronique et Davina. Note : Les Dim up, ça glisse, sinon, c'est vraiment de la gnotte. Absolument. Les nouvelles générations de parents, globalement, s'appliquent ainsi à transmettre, à ne pas engendrer des nunuches, filles comme garçons. Leur apprennent à être compétents dans différents domaines. À l'université, notamment, les résidences, propriétés aux abords, ne disposent hélas pas toutes de voituriers ou d'un "Alfred" perso. Les garçons ont aussi un désir d'indépendance et de savoir faire des tâches simples, d'autant que quand il s'agit de faire venir une fille dans sa garçonnière, mieux vaut que cela ne sente pas -trop- le phoque.
  13. Les signes religieux ostentatoires ne sont pas autorisés dans l'enceinte de l'établissement, ni dans la fonction publique, depuis 2004. Cela fait en l'occurence 14 ans, que nous le savons. La soutane ou la kippa se verraient également refuser les sorties scolaires. Équitable et logique. La croyance se devrait normalement d'être très... personnelle, et non prosélyte. Des signes discrets, comme la main de Fatma ou une petite croix sont autorisées, me semble t-il. Pour pallier à tout souci, il existe aussi des auxiliaires, des ATSEMS et cie. Des itinérants se déplacent également dans les classes.
  14. L'harmonie intérieure est plus pérenne quand elle est simplement plus pérenne, pas besoin de faire intervenir ou non les hommes (pas les mecs siouplé) pour ce faire. Certaines vivent très bien leur célibat, comme d'autre n'ont pas encore trouvé la paix intérieure, bien qu'en couple. Nous ne sommes pas toutes en paix avec nous-mêmes et indifféremment du statut. Pour certaines, le cheminement est plus long et il faut bien écrire que la pression sociétale qui veut voir les femmes absolument entrer dans des tiroirs (casées, vieilles filles, mal assouvies et plus encore misandres), n'aide en rien (note : ceci est aussi valable pour les hommes @Plouj, heureux ?). Personnellement je n'emploie pas le terme moitié -qui induit toujours une notion d'incomplétude- mais davantage "pendant" (ce sera donc "du moins avec quelqu'un avec qui on se sent proche). Ce que je veux dire exactement c'est que la distribution d'étiquettes est souvent gratuite et malaisée. L'essentiel c'est que tout le monde y ait trouvé son compte.
  15. Ce n'est pas du tout du rôle d'une association de parents d'élèves. Il n'y a pas à imposer. Il n'est pas étonnant que "l'initiative" suscite des réactions (et tant mieux, cela indique que nous n'avons décidé de subir encore passivement). Nous ne sommes pas obligés de tout accepter benoîtement. Avoir besoin de préciser l'évidence, pour quoi faire, au fait ? Pas à tout bout de champ, ni même à tous les coins de rue (ouf !). Il s'agit d'une minorité, et au sein de cette minorité-même d'une portion qui est dans la défiance et la revendication. Vous vous soumettez à un Dieu puisque vous avez besoin d'être rassuré(s). La pensée libre, vous ne savez faire, alors que vous êtes écrasé(s), contenu(s), limité au dogme(s), étriqué(s). Pour le coup, il s'agit de préciser là, l'évidence. L'introspection est toujours biaisée, c'est d'ailleurs l'un de ses principal défaut. Elle mérite d'être couplée à une autre méthode d'analyse. Toujours. C'est élémentaire. Je suis le fruit d'un amour multiculturel, alors je ne saurais me tourner vers aucune communauté en particulier. Quand mes aïeux sont arrivés en France, de toutes parts, ils ont bien assimilé que s'ils avaient des droits, il avaient aussi des devoirs. C'est dans cette optique que les générations suivantes ont été éduquées. Cela fonctionne plutôt bien, vous devriez essayer. Je ne suis ni une groupie de Rousseau, ni de Voltaire, et encore moins de Sade (je vous le laisse). En ce qui concerne la colonisation, que vous reprocherez aux européens jusqu'à ce que le souffle vous manque, il s'agit d'une lutte de pouvoir, en plus d'expansion de territoire. L'histoire nous aura montré que les peuples colonisés auront aussi notamment vendu des esclaves européen(ne)s sur les marchés, tenter à plusieurs reprises l'invasion barbare (liste non exhaustive). La France est une terre d'accueil, depuis des lustres. Il fait bon y vivre, c'est aussi pour cela que l'on y vient. Si certains lui réfèrent l'Angleterre ou les Pays-Bas, il serait bien dommage de rester dans l'immobilisme. La France n'est pas une geôle. Si les musulmans, les juifs et les chrétiens ont été préparés depuis l'enfance (la plupart du temps) à croire aux fables, une certaine quantité aura aussi l'intelligence de convenir qu'un prête-plume aura donné de son temps, illuminés messies ou soi-disants saints hommes. C'est une réponse à la question numéro 2.
  16. De la délicatesse à Bigard ? Ah oui, c'est dire ^^ Elle aurait tendance à faire tout pareil que Bigard, en réalité, et personne ne s'attendrait à ce qu'un petit bout de femme avec un serre-tête, avec une bonhommie certaine, puisse sortir autant de grivoiseries. Dans le genre, il y a aussi Laura Laune et Laurie Péret. C'est bien triste d'avoir fini par tirer un trait sur tous les hommes, à cause de deux "salopards". Il est assez dommage d'avoir à justifier de la beauté d'une femme, quelles que soient ses décisions. Il y a toujours cette espèce d'image résiduelle de la goudou mal machinée. Euh... qui êtes-vous et qu'avez-vous fait de riad ? Les femmes épanouies tout court rayonnent (soit avec ou sans "mec"). Il y a bien des domaines dans lesquels nous pouvons nous épanouir (professionnel, sportif, familial, créatif etc...). Et "misandres", c'est juste une étiquette pour faire taire des femmes. Vous en êtes une coquine jacky.
  17. À votre différence, je revendique ne faire partie d'aucune communauté. Mon leitmotiv n'est pas de sublimer mes particularités, afin de mieux m'isoler. Les minorités trop demandeuses ont encore la chance d'avoir à faire à une majorité tout de même patiente et bienveillante. Si la France est connue pour être une terre d'accueil, elle promulgue aussi le bien vivre ensemble. Le bien-vivre ensemble n'est possible seulement que si les différents partis coopèrent parfaitement. À partir du moment où il s'agit de faire passer par la force, la pression, d'imposer aux autres, comme cela a encore été récemment le cas avec ces opérations coups de poing "burkinis" ou ces affiches du FCPE -dont je viens de prendre connaissance- le bien-vivre ensemble est alors fragilisé. Je sais que nous avons été gangrénés au moins par le socialisme. Les religions judéo-chrétiennes ainsi que l'Islam ont en commun. Toutes sont par essence patriarcales. Toutes ont voulu couvrir les femmes ou les couvrent encore. Posez-vous les bonnes questions : par qui ont-elles été écrites ? Pour qui ? Une association des parents d'élèves n'a pas à être partisane, encore moins prosélyte. Le port du voile est largement en dehors de leur domaine de compétences. J'aurais au moins le mérite de penser librement, à votre différence. Tout ce verbiage pour nous réaffirmer que vous faites encore là du slut shaming. L'avantage des femmes libres c'est qu'elles peuvent passer de la jupe, au pantalon, au short, à la jupe culotte, au gré de leurs humeurs et fantaisies... et à l'heure de la Fashion Week notamment, c'est très à propos. Ne vous en déplaise. Des hommes -sympathisants marxistes à l'instar de Bourdieu (ou non)- ont toujours (eu) l'outrecuidance de penser que les femmes sont à leur disposition et agissent ainsi en fonction de leur regard (trop phallocentré), de leur aval et de leur bon plaisir. C'est une erreur fondamentale. Ces hommes ont une pensée des plus archaïques. Il va falloir imprimer : les femmes ne sont pas à la disposition des hommes. Le problème n'est pas les femmes qu'il faudrait couvrir, mais bien ces hommes, qu'il convient d'éduquer correctement. Il n'y a absolument aucune liberté de se soumettre. Les termes sont d'ailleurs antinomiques... et nous avons déjà eu ce type de conversation. Confondriez-vous culture et intelligence, DDR ?
  18. Peut-être parce que cette violence n'est pas simplement hormonale ?
  19. En mini-jupe, dim up, talons aiguilles et décolletés pigeonnants ?
  20. Nous reconnaissons (à peu près) tous l'altérité. Il n'y ait que les beaufs pour la célébrer ou la valoriser à l'excès. C'est peut-être un moyen pour eux, de se rassurer.
  21. "comme dans la cité" ne signifie pas qu'il va y entrer, juste qu'il va faire pareil (que ces lascars qui affichent leur palmarès). Impatient pour se la jouer lascar ou impatient tout court, sans doute pas. Néanmoins, c'est tout à fait le genre de guignol à tirer tout profit d'une situation, même quand il a été lamentable.
  22. La charia est plutôt appliquée dans les pays du Moyen-Orient, là où les musulmans de France sont surtout d'essences africaines. Ces derniers ayant réclamé ou réclamant encore la charia sur le sol français, sont des provocateurs. Et au sujet du voile, l'interdiction de le porter devrait au minimum être étendue à l'université (à l'école de la République, quel qu'en soit le cycle). Voir une femme bâchée -en tout ou partie- en France, revient à voir la Femme empêchée, soumise, condamnée à porter des fers. C'est un spectacle insoutenable pour les esprits libres. Le voile est patriarcal, jamais il n'a été sacré.
×