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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Possible qu’elle soit juste au seuil maintenant et il est compréhensible alors qu’elle l’exprime. Interpeller le chef de l’État sur sa situation peut amener aussi à son examen rapide. Elle a toute sa place, puisque sa position sur le sujet, est parfaitement représentative de l’état d’esprit d’une frange de la populace. En plus, elle a réussi à faire parler d’elle : en bien ou en mal finalement RAF, l’essentiel étant de faire parler de soi. Et il émane d’une femme. Ça fiche la trouille !
  2. Merci pour votre intervention. C'est une promesse électorale que de la supprimer (ça sera répercuté ailleurs, forcément). Ce que je trouve curieux, c'est que cette femme seule, avec deux enfants à charge, au SMIC, réglerait une taxe d'habitation alors qu'elle n'en réglait pas auparavant.
  3. Il me semblait que les retraités réglaient tout de même un petit quelque chose... au temps pour moi. Les mères célibataires au SMIC ne sont pas toutes des Ingrid Levavasseur en puissance, vous savez. Des individus qui interpellent notre si bon président alors qu'il est "en balade", il y en a quelques uns. L'un d'entre eux s'est vu conseiller de traverser un trottoir pour trouver un emploi, il y a quelques temps. Mon pharmacien (diplômé et chef d'entreprise) fut gilet jaune, avant que le mouvement ne soit bagué par les extrêmes. Ouh le sale petit malotru !
  4. "Suicides forcés", comment les distinguer par exemple d'un chantage au suicide qui aurait mal tourné ? Il y a quelques temps un homme s'est immolé par le feu sur le parking de l'entreprise où est salariée sa conjointe puisqu'elle l'a quitté (maltraitée psychologiquement et physiquement) et refusait toujours de se remettre en couple avec lui. D'autres laissent des lettres pleines de reproches à leur conjoint(e) alors qu'ils étaient tyrans et se suicident. C'est leur vérité, une vérité qui peut être difficile à démêler du reste. Quel intérêt d'avoir des armes à feu à domicile ? Le 3919 qui existe pourtant depuis 2007, a connu un franc succès (malheureusement) ces derniers temps. Des fonds seront distribuées aux diverses associations qui manquent toujours de moyens. L'État peut se porter aujourd'hui garant lorsque des femmes victimes de violences conjugales souhaitent louer un appartement. Par ailleurs, M.Schiappa travaille avec le secrétaire d'État chargé à la protection de l'enfance. Dix unités de prise en charge du psychotraumatisme dans plusieurs hôpitaux ont été lancées. Depuis l'année dernière déjà, commettre des violences conjugales en présence d'un enfant constitue une circonstance aggravante plus durement sanctionnée.
  5. J'aimerais pouvoir être aussi péremptoire. Votre taxe d'habitation, vous la réglez toujours ? Vote taxe foncière n'a t-elle pas augmenté ?
  6. Il y a encore peu, le commun reprochait à d'autres le fait de ne pas travailler, de toucher le chômage ou le RMI, alors qu'eux s'usaient au travail, selon leurs dires. Aujourd'hui, on trouve quand même le souffle de reprocher de travailler (sans être assez rémunéré(e) et par dessus le marché, à cette femme -à d'autres femmes- de ne pas avoir su choisir le bon partenaire et le garder. C'est dingue.
  7. Les enfants mangent déjà végétarien à la cantine : de la salade, du pain et un verre d'eau. Parfois, quand ils ont de la chance, ils mangent aussi du riz ou des pâtes. Ils se vengent ensuite au goûter. La cantine tient en effet bien sa réputation (c'est pas bon !) et il est à se demander si les menus -pourtant composés avec le concours d'un nutritionniste- sont si équilibrés que cela : plats d'antan en sauce, carottes râpées qui baignent dans un jus gras et jaunâtre, gâteaux à la crème etc... Parfois on retrouve des féculents qui baignent dans la sauce et en entrée et en plat. Pour couronner le tout, au dessert, est proposé un doonut. Une amie me disait qu'ils ont servi des bulots à la cantine de l'école primaire que fréquente son fils récemment. Un ado évoquait les goulash, langue de boeuf et lapin à la moutarde auxquels il a droit. Un peu de bon sens : il s'agit de gamins, pas de petits vieux. L'urgence est à la lutte contre le gaspillage et à la modernisation des menus. La seconde aura une incidence sur la première.
  8. J'ai eu la politesse d'aller vous lire alors que vous m'y invitiez la dernière fois. Vous m'avez saoulée. Je ne suis pas masochiste et ne souhaite donc pas renouveler l'expérience. En vous souhaitant une agréable journée.
  9. Jamais entendue parler de Julie Graziani. Au-delà de son speech qui n'est pas bien intéressant, ni vraiment subversif puisqu'il colle parfaitement au discours attendu, au jugement de valeur du français moyen ; j'aimerais bien savoir pourquoi cette femme présentée comme seule, au SMIC, avec deux enfants, et humiliée, ne réglait pas de taxe d'habitation il y a deux ans et doit la régler maintenant. Elle indiquerait que pourtant sa situation n'a pas évolué en deux ans.
  10. L'interprétation, plus en général, est redoutable. Essayons d'en faire une autre : peut-être est-ce seulement votre reflet que vous voudriez voir ?
  11. De la lecture et de la discussion, uniquement. Les anciens ont à nous apprendre. Il suffit de leur accorder du temps. Il a été difficile de gérer émotionnellement les départs. Je n'ai jamais su trouver le réconfort, la consolation, l'apaisement dans la religion (pour y revenir). Je l'ai davantage trouvé dans l'observation de la Nature, la méditation, le temps qui passe... Il demeure une question, qu'est-ce que la religion peut bien apporter au croyant ? Pour le reste, si je réponds, je deviens le sujet. Or, le sujet ce sont les (autres) femmes. Et d'ailleurs, faut-il avoir vécu soi-même une injustice, pour la combattre ? Il y a chez vous, manifestement, un travail d'écrivain, ou des facéties d'une personnalité qui sont explorées pour donner corps à des personnages (non ?). Si peu. Et pour le reste, vous faites l'âne.
  12. Il est aimable de votre part de m'offrir tel plaidoyer. @libredeparler a un souci avec les femmes -et non seulement des féministes- tant elles osent vraiment s'exprimer. Je ne le prends donc pas personnellement. Pour le moment, je n'ai mis véritablement mon caractère qu'au service des personnes âgées, laissées pour compte. Mon action envers les femmes en particulier se limite actuellement à aider celles de mon entourage à se réaliser pleinement.
  13. Il est vrai que vous vous sentez jugé et alors que des femmes se confient tant elles ont été violentées, meurtries au plus profond de leur chair, au plus profond de leur âme et comme si elles vous avaient pointé personnellement du doigt. Vous êtes "libredeparler" et vous refusez pourtant ce même droit, à des femmes, pour qui la parole a un rôle de catharsis. À la confiscation du pouvoir est toujours couplée, en effet, la confiscation de la parole. La parole, c'est aussi le pouvoir. Si l'on veut de la résistance, de l'émancipation ou de l'égalité, il faut remarquer que l'histoire bouge. Vous souteniez, et sauf erreur de ma part, "la tribune des Catherine" ("le droit d'importuner"). Une tribune qui nous vante une violence certaine, sinon il se serait agi d'aborder. Une tribune qui appelle les femmes à surtout ne pas parler trop fort. Les seigneurs autrefois machinaient des bonnes dans les hôtels et les maisons bourgeoises, se passant parfois même de leur consentement. Avec cette tribune, ces femmes font l'éloge de l'immobilisme. C'était un rappel à l'ordre : ne changez surtout rien. Dans vos charentaises, vous applaudissez à cela. Acculé par la vie et le travail, des chefaillons, "bien souvent" -puisque vous l'écrivez- "on" s'en prend à "celles et ceux qui sont plus faibles que vous". Qu'est-ce qui permet à ce "on" de considérer que ces "celles et ceux sont plus faibles" ? Qu'est-ce qui fait que d'autres, dans exactement le même cas de figure, préféreraient se couper un bras plutôt que de lever la main sur leur conjointe et leurs enfants ? Et vous n'êtes capable que de suivisme ?
  14. Pour moi, il n'y a pas de sexe fort ou faible, simplement. La relation homme-femme ne fonctionne jamais mieux que lorsqu'elle est équilibrée, que le pouvoir est équitablement partagé. Je note que les hommes qui ont des filles -ou aussi des filles- peuvent être plus sensibles à la cause des femmes (ce n'est pas une règle absolue). Généralement dans vos écrits sur le sujet, vous me faites penser à mon père, qui est un homme féministe juste.
  15. Je me souviens de Gilles de Rais comme un héros de guerre. C'est ce que nous apprenons en effet à travers les manuels scolaires. Je n'avais jamais entendu parler de lui encore en ces termes : qu'est-ce qui ferait de lui un tueur en série selon vous ? Qu'est-ce qui distingue le militaire, du tueur à gages, du tueur de masse, de la crapule... du tueur en série ? Note : votre signature animée me fait penser à une série qui se déroule, pour la plupart du temps, en Ecosse.
  16. Ce sont des contre-vérités et vous le savez très bien. Si je m'emploie encore à échanger avec vous, c'est que je reste persuadée que vous n'êtes pas tout à fait fichu. Votre discours a d'ailleurs déjà un peu évolué. Il reste du chemin. Je ne saurais décider quel est le jugement de valeur le plus insipide : celui qui considère la Femme comme être trop fragile (sexe faible) ou bien celui qui la considère comme une belle cruche (beau sexe). Selon Gandhi, "Appeler les femmes sexe faible est une diffamation. C'est l'injustice de l'homme envers la Femme. Si la non-violence est la loi de l'humanité, l'avenir appartient aux femmes". L'avenir nous appartiendrait et pourtant des mâles en pleurent à chaudes larmes. Cette hantise de confiscation du pouvoir, est tout de même plutôt étonnante. Réaction exagérée, hallucinée contre la soi-disante toute puissance des femmes. Ceci dit, je ne vois vraiment cela que sur les plateaux télé et les réseaux sociaux, par le biais de prédicateurs masculinistes et d'internautes qui s'en cachent. La force physique a fait sa loi et a permis d'assoir une domination du mâle. Elle a fait son temps, chez l'humain. Les sociétés les plus évoluées valorisent finalement l'intellect. L'homme fort, bien bâti pouvait subvenir aux besoins de sa famille auparavant. Nous pouvons constater dans le professionnel aujourd'hui que les emplois les plus physiques, sont aussi les moins rémunérateurs. Dans le domaine de la séduction, les hommes intelligents fascinent davantage que ceux qui font étalage d'une force brute. C'est une tendance. Chez le mammifère, il existe aussi des sociétés matriarcales, je pense aux orques, qui est l'un des mammifères les plus intelligents. Les stratégies d'échouage pour la "chasse" sont impressionnantes. Si je devais y mettre du sentiment, je serais davantage peinée -autant pour les hommes et les femmes- qu'en colère. Vous évoquez des hommes issus de classe populaire, subissant la violence d'une hiérarchie d'intellectuels et de petits bourgeois. La violence peut s'installer dans tous les milieux et le chef d'entreprise, responsable de plusieurs familles (dont la sienne), sous l'eau, sous pression, peut aussi devenir inquiet, colérique, violent. En faillite, il peut aussi se sentir humilié... par l'Etat trop gourmand, par le banquier qui refuse un prêt supplémentaire, par ses pairs, son entourage pour qui tout est au beau fixe. La société patriarcale attend trop des hommes. Parmi ces hommes qui pourraient évacuer leur agressivité sainement (art, sport ou plus simplement : dialogue), qu'est-ce qui fait que certains retournent cette violence contre leur femme et leurs enfants ? Qu'est-ce qui fait que d'autres la retournent contre des inconnus ? Leur propre personne ? Des objets ? L'alcool, qui est un désinhibiteur, reste, à mon sens, un facteur aggravant. Je me demande si vous ne tentez pas là avec moi, une approche plus "friendly", dont seuls les éducateurs ont le secret (ou la patience). La religion est souvent un outil de domination masculine, elle a permis de renforcer l'emprise sur la Femme. Je ne fais pas de distinction entre ces religions monothéistes. Il est intelligent d'avoir souligné que Dieu se dispense de parole. Il n'est pas étonnant que ce soit des femmes qui est mis ceci en lumière (ahahah).
  17. La teneur du message ainsi que son émettrice furent si drôles qu'il aurait été dommage de ne pas le souligner... parfois l'émoji ne suffit pas. Au plaisir.
  18. Pourrait-on envisager que ces parents aujourd'hui identifiés maltraitants, s'inscrivaient auparavant dans une norme, un climat où l'éducation par l'humiliation était aussi répandue, où la violence était considérée éducative, transmise de génération en génération (tradition) ? Où l'individualisme même au sein du foyer était déjà très présent ? Chaque foyer pouvait disposer de son martinet, de son fouet, et les adultes pouvaient battre ainsi indistinctement chevaux et enfants, sans en être inquiétés. Il incombait aux parents responsables de corriger physiquement leurs enfants, par quel que moyen que se soit. Cette idée résiste encore, d'autres attendent encore que l'enfant chouineur, ou dit "roi" se mange une mornifle et en public aussi, pour être sûrs que l'enfant sera bien "dressé". En ce qui concerne l'inceste, le viol, est-il possible que ces parents, aient aussi eu à subir ces crimes enfants (inexpiables tant ils touchent aux enfants) ? Prenons le cas de Stewart Wilken, violeur et tueur en série Sud Africain, cannibale, nécrophile dont l'enfance a été particulièrement monstrueuse : il fut abandonné bébé dans une cabine téléphonique, recueilli par un couple de classe moyenne, régulièrement humilié et battu. Confié ensuite, à des hommes de foi pour son éducation, il fut violé en réunion et fréquemment. Qui blâme t-on ? Les parents biologiques qui l'ont abandonné, créant un sentiment de rejet, les parents adoptifs qui l'ont humilié et battu, et creusant encore davantage un vide affectif. Ces hommes en bure qui l'ont violé à plusieurs ? Les voisins, le personnel scolaire, qui n'ont rien vu/ont fermé les yeux, la Justice qui a été impuissante ? Prenons un autre cas, celui du tristement célèbre Michel Fourniret : son père, qu'il décrit comme un homme dévoué, était aussi homme à ne pas tolérer la médiocrité et le manque d'exigence. Il nourrissait des ambitions pour son fils, il serait contremaître, le toit du monde. Celui-ci a abandonné ses études afin de venir en aide financièrement à sa mère après qu'elle ait quitté son mari. Michel Fourniret s'est dit amoureux de sa mère, qui était une "fille naturelle", "sans racines", orpheline de mère (morte en couches), et n'a jamais connu son père. Pour lui, elle était en recherche de quelque chose, d'une quête secrète...comme lui-même était en quête de virginité -qu'il considérera par la suite comme un mythe- et qui explique pourquoi il fut serial violeur de femmes puis de jeunes filles et de fillettes avant de devenir serial killer (ce qu'il devint plus par esprit pratique, avant d'y prendre goût et afin d'éviter la prison). Sa rencontre avec sa future femme Monique Olivier a aussi été décisive en ce qui concerne le meurtre en série. Pour revenir à sa mère pour laquelle il développe une obsession, celle-ci fait des ménages à la Kommandatur et des bruits de couloir faisait mention d'une liaison avec un officier nazi, si bien que Michel Fourniret s'imagine être le fruit bâtard d'un "boche". Il écrit se souvenir d'être jaloux déjà à l'âge de deux ans d'un homme qui s'intéressait à sa mère et alors "qu'elle s'exhibait sur la place sur une place public". Il était enfant, mais ce jour-là, en poussette il avait "déjà terriblement honte". Quand sa mère finira par quitter le foyer familial (pour un amant ou non, nous ne savons), son père arrêtera l'alcool et donc de lancer des objets au mur. Il était aussi souffre-douleur à l'école, ses camarades le frappaient et l'accuser d'être un voleur. Le jeune Michel pouvait aussi s'enorgueillir de ses "larcins". Fourniret, comme bien des tueurs en série, est connu pour avoir un quotient intellectuel au-dessus de la moyenne et une tendance à se considérer comme un être supérieur (il "corrige" aussi actuellement, depuis sa cellule, les grands classiques littéraires dont il reprend la forme, les fautes de français ou de grammaire), Dieu (il a demandé notamment à ce que la peine de mort soit rétablie, il changerait ainsi l'histoire, et le hasard désignerait le membre de la famille de victime qui aurait l'honneur de le dézinguer). Il rendrait service à ses victimes depuis qu'il les tue selon lui, puisqu'une fois déflorées, celles-ci ne sont plus dignes. La nudité fut un tabou et il n'aura jamais vu son père ni sa mère nus. De même en ce qui concerne la sexualité. Pour lui, sa mère et sa soeur ne sont pas réellement des femmes, plutôt des anges, puisqu'elles ne déféquaient pas dans le seau de la cuisine, comme il était d'usage à l'époque. Le casier de Michel Fourniret a été effacé dans les années 80, lui permettant également d'exercer des menus travaux dans une école... Qui blâme t'on encore ici ? Fourniret a été déclaré fin des années 80 déjà, comme "éligible à sanction pénale" et ne pouvant être considéré comme ayant agi en état de démence au moment des faits reprochés mais les troubles décrits -problèmes identitoires précoces, névrose complexe avec d'une part une sensitivité à l'ambiance et d'autre part des composantes phobo-obsessionnelles centrées sur le thème de la virginité- vont dans le sens d'une atténuation légère à moyenne de sa responsabilité. Les nouvelles générations de tueurs en série s'imprègnent de la violence de la société et peuvent s'inspirer de toute une culture pop. C'est peut-être "trop facile" pour les parents (ou pas) suivants les situations, les proches plus généralement (certains se sont aussi suicidés). Des enfants sont aussi retirés, placés et sous suivis psychologiques alors qu'ils ont été victimes de violences physiques et sexuelles. Il paraît compliqué de condamner par ricochets puis d'emprisonner et autant de monde... il faudrait pousser les murs des prisons. Nous pouvons faire de la prévention et agir au mieux pour et dans l'intérêt des enfants maltraités, qui ne deviendront pas tous des tueurs des tueurs en série (et heureusement). Certains dirigent aussi la violence envers leur personne (auto-mutilation, suicide) ou se construisent en contre. A mon sens, tant qu'ils ne sont pas déclarés déments, les tueurs en série restent responsables de leurs actes. L'écrit est plus froid et impersonnel, vous venez d'avoir une révélation. Formidable. Il est à espérer que vous soyez entrée en lévitation après ceci ou bien que votre plafond ne soit pas trop haut.
  19. Votre discours est contre-productif à l'image de la réduction du féminisme à ses dérives (ce que vous faites souvent avant que l'on ne vous prenne les doigts dans la confiture).
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