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jean ghislain

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Tout ce qui a été posté par jean ghislain

  1. jean ghislain

    Selon vous

    C'est pour Makh Le Ouf, il se plaint de sa vue et de maladie... Bon, allez, je vous laisse entre vous. à Scénon : seriez-vous plus bête que vous en avez l'air ?
  2. jean ghislain

    Selon vous

    Oh ! Me voilà provoqué par le juge auto-proclamé "Scénon" ! Et vous, qu'avez-vous à répondre ? A vous de rester dans la suite du débat au lieu de vous gargariser de vos interventions antérieures.
  3. jean ghislain

    Selon vous

    103bis. "Je vous le dis en Vérité, ceux qui croient en Dieu seront confortés dans leur dégoût. Vous n'en aimerez que moins ce monde et les autres." 103ter. "Car vous aurez perdu votre vie à croire, et voilà que vous serez bientôt disparus." Ya du style, hein ?
  4. jean ghislain

    Selon vous

    Etre martyrisé est quelque peu regrettable. Ceci dit qui voudrait s'apitoyer sur les martyrs religieux du passé quand justement, il est d'actualité en Afrique que la religion tue chaque jour ?
  5. jean ghislain

    Selon vous

    Dire du mal de l'athéisme, ce n'est rien qu'un moyen supplémentaire de conforter l'ordre religieux, et interdire ainsi le doute en traitant de brebis galeuse tout ce qui se veut libre de toute soumission religieuse. Qui plus est, c'est la preuve que la religion ne tient pas sa parole d'amour.
  6. jean ghislain

    La religion

    Derrière un philosophe se cache un religieux et vice-versa, je ne sais plus qui m'a dit ça un jour, dans une discussion. Il faut croire que philosophie et religion sont intimement liées. Mais de quelle manière ? Elles peuvent s'enrichir/ prendre leur inspiration l'une de l'autre . Elles peuvent s'opposer/ se nier. Elles peuvent en accepter que le meilleur/ se tolérer. La différence entre philosophie et religion, c'est (hélas ?) que la philosophie nécessite des efforts intellectuels, tandis que la religion touche le coeur, plus accessible (tant mieux ?). En tout cas, le philosophe est méfiant envers la religion car elle le prive de liberté / soumet. Et le religieux, quant à lui, peine bien à faire du philosophe un allié/ frère en religion.
  7. Le fait, c'est plutôt que personne n'a jamais pu trouver Dieu nulle part, et le partager. Dieu est une hypothèse à croire ou à nier. C'est plus juste de le dire ainsi. P.S : ceci n'enlève pas la valeur humaine des religions, au delà de toute hypothèse divine, qu'elle soit fausse ou croyable pour certains.
  8. Comme il est doux de se conforter dans ses vérités... Ne pas questionner, c'est certes conserver ce que l'on a pu acquérir comme savoir jusqu'à présent (par nous ou par une autorité quelconque...), mais c'est aussi hélas s'en contenter. Quand on sait combien on peut évoluer dans une vie, il ne peut être que profitable de s'y mettre !
  9. Un simple souvenir d'ado : je me souviens de la diffusion du film "Shoa" dans les écoles. Il y avait bien certains pour nier la réalité décrite dans le film. C'est un peu similaire pour "Tomboy". Les gens de Civitas voudraient bien nier cette réalité socio-culturelle du genre, et envoyer "poliment" au bûcher ceux qu'ils pensent être les "propagandistes de l'homosexualité". Ce qui manque dans ce pays, et depuis longtemps, c'est une résistance claire et nette contre l'extrémisme religieux ou même politique. C'est pour cela qu'on s'est fait bouffé par les fachos dans les années 30, y compris de l'intérieur, par nos propres fachos-collaborateurs : on est des mous, nous autres qui défendons les valeurs des droits de l'homme. Si l'histoire pouvait ne pas se répéter, et si on pouvait tirer des leçons du passé ? Il serait temps, non ?
  10. Moi j'appelle ça de l'agressivité. Mais bon, chacun ses mots, et loin de moi l'idée de vouloir me faire passer pour un saint, j'ai aussi mes colères... Ceci dit, je crois qu'il faut toujours appeler un chat un chat. On ne donne pas de médaille à un criminel et on ne crache pas sur les belles choses, à ce que je sache. Ma position, puisque chacun est à juger le discours de DdM : Pas bien, pas bien ! Mais tant pis... laissons pisser, ça peut arriver à tous de s'emporter. Le tout c'est que ça soit pas chronique, parce que, alors, ça en devient vite insupportable pour tout le monde.
  11. Il me semble reconnaître ton avatar ? C'est qui ?
  12. Les nazis considéraient les philosophes ou les intellos comme parasites à la bonne marche de la société, si tu veux savoir. Mais là n'est pas le sujet, AK-47.
  13. Oui, bonjour. Pour le vulgaire, c'est à celui qui gueule le plus fort et qui a le dernier mot. Qu'est-ce que cela peut avoir à faire avec la philosophie ! N'est-ce pas trop optimiste que de croire que le "sachant" comme tu dis, l'emporte toujours sur le vulgaire ? Le vulgaire a la force du nombre, surtout avec internet.
  14. Tu as au moins raison sur un point, père-vert, c'est qu'avec internet l'ouverture est plus grande : chacun peut s'exprimer sur des forums. Et loin de moi l'envie de voir sur forumfr un forum philo élitiste (sinon, je n'aurais jamais posté ici : c'est justement cette mixité sociale qui me plaît). Le seul risque que je crains, et qui me semble légitime puisque j'aime la philosophie, c'est de voir écrire n'importe quoi. La philosophie de comptoir, c'est toujours à cela que mène le vulgaire, non ?
  15. En toute sincérité, je crois déceler dans ce sujet, l'expression d'un ras-le-bol, qu'on a tôt fait de juger et qui engendre alors des réactions négatives. Mais il faut bien voir, pour ceux qui s'y connaissent en philosophie, sans vouloir prétendre pour autant à de somptueux titres honorifiques, qu'il est toujours désagréable de voir débarquer des opinions à la va-vite, du genre, moi j'ai rien lu de ce que vous avez apportés, mais je vous le dis quand même, bla bla, etc... (là résidant ce qu'on appelle le vulgaire) C'est mon impression.
  16. On traduit de nos jours logos par bon sens, logique, jugement. Et la signification moderne de logos qui se voudrait fondamentale est alors « jugement premier », c'est-à-dire jugement qui serait valable dans un juste rapport interne au discours (notamment avec l'authentification ou récusation d'une proposition). Mais ce sens de logos est loin du sens grec originel. On peut lui préférer la traduction par « parole », mais qui n'a pleine valeur que si on détermine ce que « parole » veut dire. Le logos en tant que parole, d'après moi, laisse apparaître ce sur quoi il est parlé, tout en sachant qu'il est parlé pour quelqu'un. Cet étant sur lequel il est parlé, doit se laisser être puisé comme une information de manière à la rendre accessible aux autres. Ainsi la fonction du logos est de montrer. C'est par exemple parce que le logos est un laisser-voir, qu'il peut être vrai ou faux. La vérité suppose que l'étant, justement qui vient par la parole, sort de sa cachette et se laisse dévoiler. La fausseté a le même principe mais recouvre au lieu de découvrir, et donne l'étant comme ce qu'il n'est pas. On peut dire que le logos a son mode de laisser voir l'étant, disons un mode plus ou moins vrai. Mais que signifie vrai? Vrai, dans le sens grec, a à voir avec l'aisthesis, c'est a dire la simple perception des choses. Ce qui revient dire: qu'en voyant vraiment, nous voyons bien les couleurs, et qu'en entendant, nous découvrons les sons environnants, ce qui est l'évidence. Dans la mesure où dans chaque perception , il se trouve visé un étant et donné tel quel, alors le percevoir est vrai. De façon plus précise, le concept grec de noein, désigne la perception la plus fine, la plus pure, donne au logos son authenticité. Car le noein ne peut jamais recouvrir, ou même, rester sans rien percevoir : c'est le concept de vérité originaire, cette vérité qui se tiendra, tant bien que mal, face à tout recouvrement possible. Logos, peut-on conclure, est le fait de laisser-voir l'étant tel quel, ou encore le rapport authentique à cet étant. (une petite étude sur la vérité que j'avais faite il y déjà quelques années... et qui tombe à point !)
  17. Il parait particulièrement nécessaire de faire de nouveau de la philosophie une affaire sérieuse . Pour les sciences, les arts, les talents, les techniques, prévaut la conviction qu'on ne les possède pas sans se donner de la peine et sans faire l'effort de les apprendre et de les pratiquer. Si quiconque ayant des yeux et des doigts, à qui on fournit du cuir et un instrument, n'est pas pour cela en mesure de faire des souliers , de nos jours domine le préjugé selon lequel chacun sait immédiatement philosopher et apprécier la philosophie, puisqu'il possède l'unité de mesure nécessaire dans sa raison naturelle -comme si chacun ne possédait pas aussi dans son pied la mesure d'un soulier . Il semble que l'on fait consister proprement la possession de la philosophie dans le manque de connaissances et d'études, et que celles-ci finissent quand la philosophie commence. Hegel, Phénoménologie de l'esprit. Vulgariser la philosophie, c'est aussi la faire tomber dans le divertissement. Quant à la réflexion, véritable fond de la philosophie, peut-on en demander plus aux gens que ce qu'ils peuvent fournir ? Mais, et surtout, il n'y aura plus ni philosophes, ni philosophie, du moment où le vulgaire se dresse fièrement face à 2600 ans d'apports philosophiques, au lieu de tendre une oreille - un minimum respectueuse.
  18. Parce que les femmes sont profondément destinées à être soumises ? C'est comme ça que tu prends ton plaisir ? Je suis un homme. Et je n'aime pas qu'on traite les femmes ainsi. Je te souhaite de ne jamais tomber sur moi.
  19. Oh, il doit bien comprendre de sa bonniche qu'elle doit faire son ménage, sa vaisselle, en plus d'être ok avec ses gamins, sa fière progéniture.
  20. On voit toujours plus clairement chez les autres ses propres vices.
  21. L'inné, c'est notre sexe qu'on ne peut (que rarement) changer. La personnalité n'est pas simple, Freud nous apprend qu'elle aime à se transformer, qu'elle est en fait multiple (ça, moi et surmoi). Le tout est de trouver son équilibre. Yin et Yang, nous sommes mixtes, à quoi bon opposer nos contradictions... il faut les vivre pleinement.
  22. Pour, surtout en cas de viol.
  23. Le sexe pour le sexe, là est une finalité. N'en déplaise aux filles qui voudraient bien contrôler ce désir bien masculin.
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