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AngeEtDemon

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Tout ce qui a été posté par AngeEtDemon

  1. Non il ne faut pas écrire sa couleur de peau... Mais un jour il faut bien se présenter à un entretien d'embauche... Et le nom... l'adresse... C'est vrai le budget a grossi. Tiens au fait pourquoi? Pourquoi les loyer augmentent, pourquoi le prix de l'immobilier aussi??? Que sais tu de moi? Qui te dis que je ne suis pas entrepreneur, ou chômeur, ou infirmière à son compte? Les compétences des esclaves des Grecs aussi étaient utiles... Et on décidait pour ça de les acheter, et donc de les nourrir et de les loger... Une chose indispensable pour vivre... J'aimerais savoir à quels critères on se réfère pour évaluer la valeur de tel ou tel travail... Surtout avec les disparités de revenus que l'on peut connaître... Quand ces salaires proviennent d'une quelconque production (l'argent qui gagne de l'argent "en travaillant" ). Je ne demande pas à un patron l'aumône... Le salaire qu'il me verse c'est parce je lui rends un service, je lui vends mon travail. Et lui me rend mon travail avec l'argent qui représente le travail qu'il "me donne" en retour. Je ne devrais pas lui en être reconnaissant comme s'il m'avait donné l'aumône, parce que sans mon travail et celui de mes compères son entreprise ne fonctionnerait pas. Tout simplement. Nous devrions être des partenaires, lui par honnêteté devrait me donner l'argent qui correspond à la valeur que j'ai créé et moi par honnêteté je dois travailler du mieux que je peux, avec mes compétences. Ce n'est pas de lui que vient le fric que j'ai chez moi... Mais de mon travail parce que ce "fric" n'est que le symbole d'une quantité de travail qu'il me doit en retour. Le fric qu'il me donne il me le donne à partir d'objets que j'ai produit pour que lui en gagne aussi. Le problème aujourd'hui est qu'on fonctionne comme si notre travail humain n'était qu'une marchandise comme une autre, or si l'offre est supérieure à la demande, alors on en diminue la valeur... Mais l'humain qui est derrière a toujours besoin de manger, de se loger et a toujours le droit à sa dignité. Et moi je crois qu'on a trop fait confiance aux discours abrutissants ambiant, on ne lève plus la tête, on ne réfléchit même plus à l'endroit. Je ne demande rien à personne en dehors de mon dû. Il ne s'agit pas d'une quête, mais d'un retour aux vrais valeurs. C'est aussi ça la "valeur travail". Si on échangeait des heures de travail, accepterait t'on de faire 400 heures de travail contre 1 heure rendue? Je sais c'est caricaturer. Il y a des savoirs faire qui méritent plus. Mais si on y regarde de plus près est-ce que les disparités existantes ne sont pas un peu exagérés?
  2. Elle est bonne celle-là!!! T'iras expliquer ça au gars qui ingénieur de formation ne cesse d'envoyer des CV à droite à gauche et qui n'a pas d'emploi à cause de sa couleur de peau... Au hasard... Et puis celui qui travaille normalement qu'il soit diplômé ou non, pourquoi il n'aurait pas le droit à être rémunéré de façon correcte? Tout le monde ne peut pas être cadre...
  3. Je suis aussi d'accord que d'acheter un truc parce que le voisin se l'est acheter, que d'être boulimique d'avoir est une connerie... De même que d'acheter un truc parce que c'est la mode aussi... Sans compter les nombreux appareils dont on pourrait se passer et qu'on achète juste parce que ça ferait bien. Mais moi je ne parle pas que des modestes... Il y a un problème dans cette société, c'est la surconsommation avec ce qu'elle engendre. Si les gens se laissent avoir par le miroir aux alouettes c'est qu'on joue sur leur pulsions pour les pousser à l'achat. Si tu penses que je suis complètement à côté de la plaque renseigne toi... Tiens je vais te donner des tuyaux: http://blog.targuzo.com/marketing/manipulation-marketing-banir.html "Le marketing triomphant… ?Ce qui s’est mis en place dans les années 1950 avec le développement des médias de masse, c’est le projet d’Edward Bernays, le neveu de Sigmund Freud. Edward Bernays, concepteur du "public relation", est convaincu que pour faire adopter des idées ou des produits par des individus, il faut s’adresser à leur inconscient et non à leur conscience. Son idée est de faire consommer les Américains de plus en plus en détournant leurs désirs, en court-circuitant leurs pulsions. Sur la base d’une théorie freudienne, Bernays construit une stratégie de développement du capitalisme qui permet de capter, de contrôler, de canaliser chaque individu et de l’orienter vers les objets de l’investissement économique, les objets de consommation. Le but est de prendre le pouvoir sur le psychisme de l’individu afin de l’amener à un comportement pulsionnel. Cette captation est évidemment destructrice. On canalise le désir vers des moyens industriels et pour ce faire, on est obligé de court-circuiter l’énergie libidinale et tout son dispositif, parce que l’énergie libidinale est produite dans un deuxième rang, ce n’est pas une énergie primaire, les énergies primaires ce sont les pulsions. C’est ce qui nous rapproche des animaux. Nous sommes tous habités par des pulsions et nous pouvons nous comporter comme des bêtes. Nous sommes témoins d’une régression des masses, qui n’est plus une régression des masses politiques mais une régression des masses de consommateurs. Le marketing est une des grandes causes de désaffection du public pour le progrès. Le marketing est responsable de la destruction progressive de tous les appareils de transformation de la pulsion en libido." Source: http://www.bastamag.net/article2202.html
  4. La vrai valeur du travail par exemple... La vrai valeur de l'argent? Que l'argent cesse d'être un moyen de gagner de l'argent sans création de quelque produits que ce soit? Que la valeur de l'argent redevienne associée au travail. Et que le coût du travail ne soit plus arbitraire justifiant que certains vivent dans une extrême pauvreté en trimant jusqu'à s'en user la santé tandis que d'autres soient dans l'opulence sans même bouger le petit doigt?
  5. Ce n'est pas une urgence... Ce que je veux dire que ça c'est pas un argument recevable... Enfin pour moi... Mais ceci dit les quelques commentaires que j'ai lu m'amènent à me poser une question... Si j'ai réellement besoin de quelque chose, quoi qu'il advienne je vais l'acheter quand même. Je trouverais toujours un moyen (on trouve toujours un moment pour faire des courses "domestiques")... Donc que ce soit le dimanche, le lundi, le mercredi, ou le jour de la saint trou****** j'y vais. Donc si les magasins faisaient leurs beurre uniquement en fonction des besoins des gens, leurs chiffres d'affaires resteraient le même ouvert le dimanche ou pas, non? (En posant l'idée qu'ils sont TOUS ouverts les mêmes jours, aux mêmes horaires) Si l'ouverture du dimanche ne modifie en rien les besoins et ne change en rien nos habitudes de consommateurs, alors qu'est ce que ça peut faire que TOUT (sans exceptions) les magasins soient ouverts le dimanche, ou fermé le dimanche du point de vue des gérants? Rien. Ce qui m'amène à une réflexion: donc par souci de justice et de concurrence non déloyale, il faudrait soit donner le droit à tout les négoces sans exception (petits, moyens, gros, indépendant, franchisé,...) d'ouvrir le dimanche, soit interdire à tous d'ouvrir ce jour... Autre réflexion: soit le fait de nous balader dans les magasins le dimanche nous pousse à acheter ce que nous aurions pas besoin (il me semble que nous avons le temps à d'autres moments d'aller faire nos courses), soit ce débat est plus une propagande de certains magasins qui essayent d'ouvrir le dimanche pour fausser la concurrence puisque d'autres n'ouvriraient pas le dimanche. Donc leur prendre des parts de marché.
  6. Tout à fait d'accord... Il faut limiter les crédits aux besoins vitaux... Pas sûr que les banquiers soient d'accords. Mais ça serait raisonnable. Se passer au maximum des banques... Question: comment changer tout ça? Que pourrions-nous faire?
  7. Je suis d'accord, en province la vie est beaucoup moins chère. On peut se loger correctement, en plus avec un petit jardin histoire de faire quelques économies alimentaires et manger un peu plus sain.
  8. Oui ils n'avaient qu'à se bouger le cul... C'est tellement facile de trouver du travail, et du travail payé correctement... Y suffit de se bouger le cul!!! Et pis il faut se contenter de peu les ngens y veulent trop, y vivent au dessus de leur moyens!!! Y on ben d'la chance d'avoir c'qui ont... Se contenter de manger de la nourriture que même un cochon ne voudrait pas, habiter dans un logement digne d'une favela, et c tout... On pensera quand même à vous offrir une TV... Histoire que vous ne réfléchissiez pas trop, ça pourrait donner mal à la tête. On est pas des barbares tout de même.
  9. Tu as raison, un permis pour avoir des enfants... Et pourquoi pas stériliser les gens dans une trop grande précarité? On peut aussi demander de payer un droit à l'enfantement, ça éliminerai les candidats les moins fortunés, non? Tu devrais lire ceci: http://www.liberation.fr/monde/0101221508-l-eugenisme-hante-encore-les-etats-unis-plus-de-60-000-sterilisations-furent-pratiquees-de-force-de-1907-a-1960 J'imagine bien un scénario d'une nouvelle: les pauvres interdits de faire des enfants. Au bout de 20 ans, les gros bonnets de l'industrie en manque de chair à fric... L'offre de travail supérieure à la demande... Le bras de fer inversé. Obligés d'améliorer les conditions de vie de leur employés pour attirer la main d'oeuvre restante dans leurs entreprises. La société, il me semble, pendant une période encourageait les "excès démographiques". La politique de natalité... C'est donc que ça sert à la société qu'il y ai des naissances... Sinon pourquoi se mêlerai t'elle de faire augmenter le nombre de naissances?
  10. AngeEtDemon

    Dénigrement des riches

    Tiens les bisounours, je les avais oublié ceux là!!! En voilà un débat intéressant... Le mérite... Qui mérite quoi? Allez ! On observe, méthodiquement, autour de soi, métier par métier, qui mérite quoi et pourquoi? Qui fait le pari?
  11. Ah! Les aprioris... Les profs sont les meilleurs... Les profs sont les fainéants... Il a y de bons profs dévoués, il y a de bons profs tout court et il y a les mauvais... Il y a ceux qui ont des convictions et qui se donnent à fond. Il y a ceux qui qui bossent bien tout simplement. Il y a ceux qui en ont rien à faire mais qui malgré tout ont une bonne pédagogie Et ceux qui malgré toute la volonté du monde sont les cancres de l'éducation nationale. Il y a ceux qui en on rien à faire et qui ne donnent rien. Dois-je continuer? Bref les profs sont humains et ont le dos large. Maintenant j'admets que l'handicap (Sandy) n'est pas leur point fort. Ils ne sont pas formés à travailler avec ce public.
  12. Ce crétin a oublié que les femmes travaillent, autant et parfois plus que des hommes, depuis des siècles. Ce qu'elles ont voulu, c'est le droit à un travail avec rémunération. Non. Il y a autant, voire plus de femmes que d'hommes qui font des études supérieures ; elles sont réputées plus "scolaires". Le Nobel n'est pas le critère unique à prendre en compte. Le bon gros cliché de la femme qui travaille délaissant son enfant... Une femme qui se plaît dans son travail c'est une femme plus épanouie, et une mère épanouie c'est ce qu'il faut à un enfant. Une femme au foyer qui l'est par choix est peut-être plus heureuse (encore que, c'est du cas par cas), mais une femme qui n'a pas choisi de rester à la maison et subit son état sera quand même une femme moins épanouie que celle qui bosse. Je veux bien les sources de ces preuves que tu avances. Ouais, c'est lamentable de ne pas vouloir rester inférieure et passive, vouloir des droits et pas seulement des devoirs. On devrait les crucifier toutes. :gurp: C'est curieux, dans ton exemple, tu ressors beaucoup de négatif, mais c'est pas grave, ça te semble le modèle unique à suivre. J'étais juste en train d'ironiser... J'aime bien exagérer des discours complètement aberrants. Si moi j'en connais: ma mère à 70 ans continue à faire des murs en pierre avec le béton, la bétonneuse et tout ce qui va avec... Elle ne s'en porte pas plus mal. Certains elles ont moins de muscles que les hommes, mais ce ne sont pas non plus des mollusques.
  13. C'est vrai... Que même quand on travaille a deux ce n'est pas gagné. Alors certains restent ensemble pour une question de survie financière. Il faudrait que chaque personne qui travaille gagne de quoi vivre dignement. Là il s'agit d'un débat économique. Tout est lié. Moi je suis pour que chacun puisse vivre comme il en a envie et dans la dignité. Le problème est que certains ne peuvent pas aller travailler parce qu'il n'ont aucun moyen de faire garder leurs enfants ou que les prix pratiqués sont trop chers par rapport à ce qu'ils gagneraient avec un emploi. Et ne parlons pas des femmes qui sont seules à élever leurs enfants. Rien n'est simple.
  14. Je me souviens d'un discours que me faisait un homme: "les femmes, elles ont voulu travailler, elles assument!". De toute façon, une femme n'est pas faite pour travailler. Elles n'ont même pas le même nombre de prix Nobel que nos homologues masculins, ça prouve bien leur infériorité, non? C'est psychologique: les enfants ils ont besoin que leur parents s'occupent d'eux. Les femmes qui travaillent: elles délaissent leurs enfants. Et puis c'est prouvé, une femme qui reste au foyer est bien plus heureuse. C'est vrai quoi, elles veulent tout: la liberté, des droits et rester des femmes. On ne peut pas tout avoir, hein? Les enfants, on en veut, on les assume! D'ailleurs ça ne sert absolument pas la société que le nombre de naissance augmente, on le dit souvent à la télé, on a un taux de natalité trop élevés dans ce pays! Il faut arrêter de polluer, combien de viande il va manger cet enfant pendant sa vie, hein? Vous savez la pollution qu'une vache génère? Non, trop, c'est trop! Puisque cela dessert la société, je vois mal pourquoi on financerait des crèches et autres garderies. Sérieusement j'ai eu une mère qui s'occupait du jardin, du défrichage, de la couture (on était pas habillé chez Dior mais chez Angel And Devil Mother Corporation), des murs, le béton, de la cuisine et évidemment de ses braves petits démons. Elle commençait sa journée à 6h et la finissait à 23 heures. Une femme au foyer n'est pas forcément une fainéante. Mais, mon père ramenait l'argent, donc elle n'avait rien à dire. Elle avait les mains liées financièrement, pourtant elle travaillait autant, voir plus que lui.De toute façon, la femme quoi qu'elle fasse, elle est toujours perdante. Sauf si elle n'a pas d'enfants et un bon travail (ce n'est pas gagné).
  15. Tu as raison, moi je suis d'avis qu'on arrête de faire des enfants. C'est inutile à la société et en plus ça pollue(couches culottes non biodégradables).
  16. AngeEtDemon

    Feminisme

    Bien joué... En leur laissant leur rôle de "femme au foyer" en même temps qu'elles travaillent, on leur passe l'envie d'être autonomes. De fait, éduquez vos garçons... à faire le ménage... aussi...
  17. Le prof qui dit ça est une brêle. Mais il faut faire attention car chez nos petiots il y a beaucoup d'interprétation.
  18. C'est comme dans beaucoup de métiers. Il y a ceux qui sont là pour la paye, ceux qui ont la vocation et des cons parsemés ça et là. Ce n'est pas un travail facile. Eprouvant pour les nerfs.
  19. AngeEtDemon

    Feminisme

    Là je suis d'accord... mondamoiseau....
  20. AngeEtDemon

    Feminisme

    Quel grand avis! Pouvez-vous le développer SVP?
  21. AngeEtDemon

    Feminisme

    Le féminisme a surtout été une instrumentalisation des femmes, dans une période où on manquait de main-d'œuvre et où il fallait que les femmes quittent leur maison pour aller se ruiner la santé pour travailler "comme les hommes". Pas d'accord. Les femmes ont toujours travaillés. Au 19 ème siècle par exemple, dans les fermes, les femmes secondaient leurs maris, les enfants aussi travaillaient. Mais leur travail n'était pas reconnu. L'oisiveté devait être l'apanage des femmes de haute société. Résultat, aujourd'hui une femme "active" est une femme asexuée, vivant comme les hommes, n'ayant pas d'enfant ou ne s'en occupant vraiment pas de façon trop visible pour l'entreprise. La société aurait pu se transformer pour féminiser le travail en entreprise, et non pour masculiniser les femmes. Disons la société a été construite sur un modèle "masculin célibataire". Dans ce sens ou un homme devait être disponible comme s'il n'avait ni femme, ni enfant (Est-ce bon pour un enfant d'avoir un père doublement trop absent? Absent physiquement à cause de son travail et absent moralement à cause de sa fatigue?). Or, on demande au travailleur, quel qu'il soit, de s'adapter à la société, donc à la femme de travailler comme un homme. Il est intéressant à ce titre de voir qu'au nom du féminisme, le travail des femmes a été assimilé à de l'esclavage et celui des hommes à été glorifié. Donc de fait, à projeter les femmes esclaves et les hommes glorieux. La cause des femmes n'auraient elle pas été mieux défendue en valorisant leur travail et en incitant les hommes à le faire, plutôt qu'en les faisant se considérer comme des esclaves à leur propres yeux et aux yeux des hommes ? Est-ce vraiment leur épanouissement qui était recherché ? Le travail des femmes, vu comme de l'esclavage avec le féminisme? Source SVP? Les femmes de l'époque s'épanouissaient très bien dans les tâches glorieuse pour l'époque. Elles s'occupaient du lieu de vie, du foyer. Leur rôle était de le rendre le plus agréable possible pour tous. Pour recevoir les amis, s'y épanouir. Ainsi que l'éducation des enfants, de l'avenir de la Famille. C'est à dire les choses les plus importantes en réalité. Comment pouvez-vous le savoir, qu'elles s'épanouissaient? Leur seule façon de monter dans la société était le mariage, et comme les milieux ne se mélangeaient pas tellement... Elles étaient condamnées à rester dans la misère quand elles y naissaient... Est-ce de l'épanouissement? Sans compter que l'argent est le nerf de la guerre. Or qui ramène l'argent? Qui décide? Devaient-elles être condamnées rester des mineures toute leurs vies? Or il fallait les mettre au travail. L'état a donc visé à saper la cause première de leur épanouissement en "déglorifiant" leur travail, pour qu'elles se transvasent sur le travail qu'elles devaient faire. Ceci a été parfaitement planifié. J'ai suivis la formation d'un psy dont le prof avait participé à l'élaboration de cet "ouvrage". Il est intéressant aussi de remarquer que, maintenant qu'on a dû chômage partout, et qu'on aimerait avoir moins de gens en réclamer, on se met à valoriser les hommes qui effectuent les "corvées" de la maison, s'occupent des enfants etc... Et non pas "le travail des femmes", et les femmes qui le font ne sont en rien estimé. Encore une foi, c'est tout bénef pour les hommes. Ce qui est tout bénéf pour les hommes, c'est que la femme ramène un salaire et en plus elle fait toujours la plus grande partie du travail domestique.
  22. Une invention bien humaine. Qui est sage et qui ne l'est pas? C'est une question d'époque non?
  23. Je le sait bien tout ça... Malencontreusement pas tout le monde en a conscience. Un sacerdoce qui demande 5 ans d'études... Va voir la paye d'un ingénieur... Puisque c'est un sacerdoce? Ils ont fait voeux de pauvreté aussi?On peut aimer son travail, s'y investir énormément et avoir le droit de demander un salaire digne de ce nom... non?
  24. Salaire d'un prof 2000 euros, augmentation de salaire: 500 euros-> 25% Augmentation des heures->18 à 26 heures soit 8 heures soit 44% de temps travaillé en plus et 25 % de salaire en plus... logique Il devrait y avoir 888 euros de plus... et non 500... Bref économie de l'état->888-500=388 euros par mois et par personne... Parce que je suppose que le temps en plus sera pour remplacer des collègues en retraites... Comment travailler plus et être rémunéré moins (de l'heure).
  25. Nous ne somme pas autonomes, nous vivons en société, donc avec des règles. Sans un lopin de terre t'appartenant, on ne peut jardiner ou élever des bestioles. Sans une maison, ou des vêtements, notre survie est fortement diminuée (cf: les SDFs qui meurent de froid). Pour avoir des terres et une maison, il faut les payer, et donc travailler ou faire travailler d'autres personnes pour soi. Pour se vêtir et se nourrir aussi. Donc il faut s'intégrer au système, or le système est défaillant, il ne permet pas à tout le monde de s'intégrer. De plus en plus de gens sont tenus à l'écart de ce système. Et comme les lois sont faîtes pour ceux qui en font parti, et favorisent même certains au détriment des autres, ces gens tenus à l'écart n'ont aucun moyen par eux même de s'en sortir. On dit, il faut se battre, or se battre signifie quémander du travail ou la possibilité de s'en fabriquer. Si les acteurs de la société qui ont les rennes de du "facteur travail" vous refusent leurs faveurs, alors sans aides, vous n'êtes plus rien. Vous êtes invités à crever en silence, et de préférence loin de la vue des "bien pensants". Histoire de ne pas trop écorner leur conscience. Comparer un chat qui vivrait naturellement à un Homme n'est pas adapté car nous ne pouvons vivre naturellement, d'une part nous sommes trop "fragiles" pour vivre seuls "into the wild", donc nous sommes des animaux sociaux, d'autre part on nous interdit de vivre de cette façon (à cause du système de propriétés par exemple). Il n'y a qu'a voir comment dans certaines villes on cherche à éloigner les sans abris. Or, une société doit, en théorie servir à protéger, nourrir... Quand elle sert juste à favoriser certains au détriment des autres, quand elle laisse mourir certains pour que d'autres aient encore plus de surplus, reste t'elle une société? Peut-on encore la qualifier de civilisée? Je comprends ce vous voulez dire avec cette histoire de chat, c'est que les ayants droits d'allocations chômage, comme les chats qu'on nourrit trop bien, n'ont aucun intérêt à aller travailler. Or, il n'y a pas assez de travail, l'offre et la demande, vous connaissez? Nous sommes une marchandise... Alors, si le gars refuse de bosser, qu'est ce que ça change pour la communauté? J'oubliais pour avec des terres... et tout autre bien, on peut aussi en hériter, ou se les faire offrir (mais à celle là je n'y crois pas).
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