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Doïna

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Tout ce qui a été posté par Doïna

  1. Tout au long du parcours d'Emmanuel Macron, interviennent des grands patrons actionnaires : les fées qui se sont penchées sur son berceau avaient le visage de Bolloré, Drahi, Pierre Bergé, Alain Minc... Autre extrait d'un article que mes détracteurs n'ont apparemment pas lu : Il suffit de cliquer sur les liens en intro. Non, mais je le dis quand même. C'est dit sur le ton du doute, mais oui : Juppé était gâteux et traînait des casseroles, Mélenchon a beaucoup mobilisé pendant cette campagne en dépit du front médiatique ! Mélenchon a vite dépassé le candidat Fillon en 2017.
  2. Et tout ça pour qu'au bout du compte, il applique les projets qui avaient détourné les électeurs de François Fillon, comme par exemple un temps de travail non rémunéré en contrepartie du RSA. Cela devrait vous mettre à tous la puce à l'oreille !
  3. Le temps d'antenne doit être obligatoirement équitablement réparti entre candidats pendant les débats officiels de campagne, ce qui est garanti par un chronométrage, mais les journaux et les infos font ce qu'ils veulent. Et ne dis pas que tu as parcouru "mon article", il y a plusieurs articles et ce ne sont pas mes œuvres. Mais en tout cas tous ces articles sont très documentés. Dès le départ, tu peux lire : 7400 articles consacrés à un lot de personnalités de gauche (souvent pour les dézinguer) contre 8000 articles consacrés à E. Macron sur la même période (et souvent des articles louangeurs), ce n'est quand même pas rien. Donc oui, on peut dire que ce sont les médias qui ont fait Macron.
  4. Les médias continuent de lyncher la gauche et la gauche, ce n'est pas que Mélenchon. Les médias, donc, vont jusqu'à entretenir des mises en garde anxiogènes par rapport aux programmes de la gauche qui sont pourtant très travaillés et sérieux, qui n'ont rien de rêves de bisounours. Il y a une volonté de présenter les programmes libéraux comme les seuls valables et les autres comme non viables. Du coup, si en 2017 ce n'était plus possible de compter sur Fillon à cause de ses casseroles, alors c'était Macron qu'il fallait pousser en avant et le mettre face à Marine Le Pen pour être certain qu'il passe. Pour en revenir à Juppé, il n'avait aucune chance non plus : trop vieux, atteint de gâtisme, et traînant des casseroles aussi.
  5. Evidemment que ce sont les électeurs qui élisent, le problème n'est pas là, le problème est le manque de neutralité médiatique : pendant une campagne, on assiste carrément à des débats sans candidats, où un groupe de journalistes échangent ensemble pour dire du bien d'un en particulier -c'était Macron en l'occurrence- et démolir les autres qui ne pouvaient pas se défendre puisqu'ils n'étaient même pas sur le plateau. Les grands patrons du médef sont également autorisés à donner leur avis publiquement sur les candidats auxquels ils font passer un "grand oral", mais de quel droit ? Le lobbying est interdit en France, et pourtant le candidat mis en avant était le favori du même grand patronat, parmi lesquels ceux qui possèdent d'importants médias. Puis il faut lire les documents que j'ai postés en intro pour comprendre le raisonnement : on me fait répéter pour rien.
  6. C'est toi qui t'écartes du sujet et t'acharnes à nier des documents que tu n'as pas lus, mais à quoi bon discuter avec toi.
  7. J'aurais cru que c'était Hanouna. Je suis étonnée.
  8. De plus, si l'on est effectivement en droit de trouver Lassalle et Asselineau insignifiants, en démocratie ce n'est pas à ceux qui détiennent les médias mais aux électeurs de décider s'ils ont besoin de les entendre ou pas. Tu dis que tu n'es pas macroniste, heureusement que tu le précises parce qu'au vu de tes prises de position, on n'aurait pas pu le deviner. Du reste, je ne te réponds plus car tu nies des documents dont tu n'as même pas pris connaissance : ils ne font que rapporter la vérité, je n'y peux rien si cela ne va pas dans le sens de tout un chacun.
  9. Asselineau et Lassale je n'en ai pas besoin, mais j'ai besoin des candidats de la gauche car c'est mon bord ! Et puis ce n'est pas sérieux de t'acharner à contredire des articles que tu n'as pas lus, alors arrête de me harceler ! Mais je sais bien, les macronistas, quand on leur montre ce qu'il en est vraiment, ça les met dans tous leurs états, c'est comme leur imposer le travail pour s'extirper d'une secte.
  10. Même temps d'antenne durant les débats, mais moins dans la presse, aux infos, lors des débats non officiels. Lisez mes documents avant de vouloir me contredire ! Je sais que ça fait beaucoup à lire, mais tout est là-dedans. Alors si vous avez la flemme de lire tout ça, arrêtez d'y venir et d'y revenir sans arrêt parce que vous ne ferez jamais le poids. Ou alors c'est de l'hypocrisie : on vous présente les preuves que c'est vrai, et vous continuez à nier par parti pris. Ah oui, j'oubliais aussi céniouze et c8. Sur c8, à part Hanouna, faut avouer aussi qu'il n'y a pas grand chose. Des petits chiens et des petits chats ça va bien un petit peu... Quant à céniouze, les téléspectateurs ne peuvent pas être éternellement dupes.
  11. Les politiques d'extrême droite, évidemment qu'ils ont eu droit à leur battage médiatique, puisque le but était précisément d'en placer un face à Macron au débat final. Même une chèvre pourrait être élue face à l'extrême droite. Quant aux autres candidats, il ne faut pas se voiler la face : les médias en ont beaucoup moins parlé, et quand ils en parlaient c'était pour en dire du mal. Dernièrement, Roussel a été sali pendant la campagne présidentielle, pour être totalement blanchi par la suite car tout ce dont on l'accusait était faux. Et il n'a jamais été autant causé de Mélenchon que la fois où il s'est manqué lors de la visite de la police dans les locaux de la France insoumise : filmé en gros plan en train de crier la République c'est moi, et tout cela tourné en boucle jusqu'à plus soif. Alors que cela arrive à tous les politiques de se manquer ou balancer une connerie un jour ou l'autre, mais quand cela vient du parti républicain ou du parti renaissance, les médias évitent de trop le montrer, comme c'est bizarre ! Lisez l'entièreté des documents dont je poste les liens en intro, c'est édifiant !
  12. Il paraît que Bolloré, le tycoon breton, perd du fric avec Canal+.
  13. Non, je pensais plutôt aux aides, allocations diverses. C'est le RN maintenant.
  14. Tous les candidats avaient cette volonté, alors pourquoi tant de battage sur un seul !
  15. Pareil concernant la prostitution : pas de consommateurs, pas de prostitué.e.s.
  16. Sauf qu'avec la droite, ça pourrait bien changer.
  17. Faire du pognon est toujours leur but premier, mais il y va dans leur intérêt de mettre en avant des politiques qui les favorisent. C'est pour cela que le plus gros des médias a glorifié Macron et descendu en flèche la gauche, parce que les projets politiques venant de la gauche n'arrangent pas du tout ces grands patrons : il est question de partager plus équitablement les gains, de taxer les grands actionnaires, de mieux protéger les salariés et les chômeurs, que des trucs comme ça, pensez !
  18. D'accord avec ça aussi. Quant à punir les consommateurs de drogue, je dirais plutôt qu'il ne faut pas tous les mettre dans le même sac : il y a d'un côté ceux qui font ça occasionnellement par exemple lors d'une soirée festive, et d'un autre côté ceux qui consomment sans arrêt et qu'il faut soigner comme des malades, dans la mesure du possible. Je ne crois pas que ce soit utile de condamner des malades.
  19. Tu as aussi le cadre mentionnant le nombre d'articles entre janvier 2015 et janvier 2017, mais je ne suis pas parvenue à l'afficher dans mon intro. Il faut aller sur le premier article. Et si tu avais consulté correctement le dernier article (celui dont j'ai tiré le graphique en question) tu aurais trouvé un lien également vers cet autre graphique montrant les nombres d'articles consacrés au différents candidats avant l'élection présidentielle de 2017, où il apparaît que le but visé était un débat final entre Marine Le Pen et un chouchou du grand patronat. Cela a été Macron parce que, heureusement, le Canard enchaîné est sorti de ses gonds pour dénoncer la scélératesse de Fillon. Voici ce graphique : E. Macron omniprésent dans les médias Il ne faut pas regarder que ce graphe pour comprendre, il faut tout lire, sur tous les liens ! C'est fourni, je sais, mais au moins on ne pourra pas m'accuser de dire des paroles en l'air. Ce n'est pas moi qui suit bêtement ce qui se dit ! Et si mon opinion ne te convient pas, tu peux..., hein !
  20. J'espère que les gens en général sont assez réfléchis pour ne pas se laisser influencer, en tout cas c'est le but de tous ces grands patrons qui s'approprient les médias : influencer. Ces magnats ont de ces velléités des fois. Gattaz du temps où il était à la tête du médef a même tenté de faire main basse sur l'école républicaine et laïque.
  21. Moi non plus, je ne fréquente pas les gens influençables.
  22. C'est pas le cas de tout le monde. Il y a des électeurs, si on leur dit qu'ils doivent craindre la gauche, ils craignent la gauche sans se poser de questions et suivent les consignes. Pendant une campagne, on a même droit à l'avis du médef sur chaque candidat, comme si l'avis de ces gens-là devaient être un exemple pour tous. Cela s'appelle le grand oral, carrément ! Les candidats à la présidentielle doivent se laisser jauger par les grands patrons comme des lycéens au bac, et la France entière est avertie de ce qu'en pensent ces grands patrons. C'est contraire à la démocratie.
  23. Si tu ne te donnes pas la peine de consulter dans leur entièreté les documents postés, je n'y peux rien.
  24. Non, justement. A gauche pas de dupes. Je ne pense pas du tout ça ! Je te crois au contraire très intelligent. Je sais, mais ces gens ne m'empêcheront pas de défendre mes idéaux. Non, je crois plutôt que je dégueulerais. Juppé filait des logements de la ville de Paris à ses proches, et ça, ce n'était pas la faute de Chichi.* Puis même s'il a endossé les conneries de son chef, il faut plutôt y voir du zèle plutôt que du courage. Surtout que ces types-là ne risquent pas grand chose, alors pourquoi auraient-ils besoin de courage ? Ce n'est pas comme s'ils risquaient d'aller finir leur vie au bagne.
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