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Amazones

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Tout ce qui a été posté par Amazones

  1. Bonsoir Bigorno et enchantée. Si je peux me permettre, il existe un rouge framboise dont la couleur y ressemble au plus juste. Comme quoi, cela peut être trompeur. Douce nuit et au plaisir.

  2. Ce qui est déjà fort grand ;) et de rien.

  3. Amazones

    Un phare...

    "Sut le premier, dans ces siècles grossiers, Débrouiller l'art confus de nos vieux romanciers". --- "Le poète est réputé fou. il écrit ce qui ne devrait pas être exprimé et il navigue exprès "loin des sécurités permises". D'instinct, il côtoie toues les mers d'Iroise. Son rôle est de déranger, d'inquiéter, et de faire, de face ou de dos, provocant ou pervers, les mauvais signes. Il est le berger des rétifs, des désemparés et des illuminés. L'étoile à son front est, à la fois, l'orifice qui permet la communication avec l'intérieur des choses, "le trou noir", des astronautes, et le stigmate de la malédiction qui, inexorablement, le guette. Il lui est réservé de mourir "au seuil des splendides villes" avec l'opprobre de braves gens. Dans les campagnes de notre littérature, le poète a destin de vagabond." - de Marcel Jullian --- Une salade dans un crâne .... C’était un soir. Le ciel était sombre, nuageux et triste. La lune laissait seulement arriver jusqu’à nous, à travers des échappées de nuages semblables aux blessures d’un ciel meurtri, quelques pâles rayons d’une lumière blafarde et lugubre. La tempête sévissait sur l’Océan en tordant les mâts de vaisseau comme des brins de paille ; les vagues rugissaient, ardentes à saisir leur proie. On entendait çà et là des clameurs étranges qui navraient le cœur ; c’était comme le cri suprême d’un équipage en détresse. La pluie tombait par torrents, et les vents déchaînes emportaient des trombes d’eau en violentes rafales. De temps à autre retentissait, dans le creux des rochers et au faîte des vieilles tours féodales en ruines, le cri lugubre des orfraies que la fureur des éléments empêchait d’aller chercher leur proie, et les hurlements des loups répondaient dans le lointain à cette harmonie sinistre. Le vulgaire disait que la nuit était épouvantable ; les poëtes diront que c’était une nuit romantique. Dans un élégant cottage de l’île de Jersey, Victor Hugo veillait. Il méditait le plan d’un nouvel ouvrage qui devait mettre le sceau à sa renommée, et au bas duquel sa main écrirait l’opus exegi d’Horace. C’était une épopée monumentale sur les misères du siècle. Déjà les personnages qui devaient jouer un rôle dans cette épopée se pressaient sur le seuil de son imagination et heurtaient à l’huis de son poème. C’étaient des jeunes filles éplorées comme les vierges de Verdun chantées jadis par le poëte, des enfants malheureux et plaintifs dont l’enfant-roi, Louis XVII, mort vieux de douleur avant d’avoir douze ans, conduisait le chœur gémissant, des destinées brisées, des jeunesses fanées dans leur fleur, des génies incompris, des vertus méconnues et calomniées; en un mot, la grande armée des affligés traversant la vallée des larmes en jetant un cri de souffrance vers la terre, un cri d’espoir vers Dieu. Le christianisme, ce vieil ami de l’enfance et de la jeunesse du poëte, lui apparaissait comme le consolateur de toutes les afflictions, le soutien de toutes les épreuves, le dernier espoir des désespérés, le père des orphelins, le compagnon des abandonnés, l’immortel médecin de toutes les maladies de l’âme et du corps. Les croyances qu’il avait reçues d’une mère chrétienne se réchauffaient dans son cœur; il allait peut-être écrire un livre sublime, et son ange gardien n’attendait plus que la prière prête à sortir de ses lèvres pour la porter au pied du trône de Dieu, qui donne à la terre le soleil et la rosée et l’inspiration au poëte. L’ange attendit en vain. Le poëte ne pria pas. L’orgueil, l’amour de la popularité, la confiance présomptueuse du génie dans ses propres forces, l’esprit de révolte et de haine, arrêtèrent sur ses lèvres entr’ouvertes la prière prête à commencer. Peu à peu la rêverie de Victor Hugo se changea en rêve, il tomba dans une espèce de sommeil magnétique, et, les yeux ouverts quoique endormi, il continua, la tête appuyée sur sa main, su méditation somnambulique sur le sujet et le plan de son poëme. Or vous saurez que, dans cette nuit néfaste, Méphistophélès cheminait dans les airs, porté sur ses ailes de chauve-souris, dans la compagnie d’Astaroth, son camarade de chute et de peine. Les deux esprits malfaisants allaient à la chasse des âmes, et ils espéraient rapporter de leur course un riche butin. En passant devant l’île de Jersey, Astaroth, qui venait de faire une rafle d’âmes en planant sur les vagues, où s’étaient engloutis plusieurs pêcheurs dont les deux dernières paroles avaient été une malédiction et un blasphème, dit à Méphistophélès : — Maître, vous qui voyez tout, voyez-vous cette lumière qui brille là-bas au milieu de cette effroyable nuit ? — Je la vois. — Maître, vous qui savez tout, savez-vous ce qui se passe [?] dans ce chalet solitaire ? — Je le sais. Un homme y est assis, il est en proie à un sommeil sans repos qui lient de la méditation et du rêve. — Quel est cet homme ? — Un poëte, autrefois notre ennemi, maintenant un de mes féaux, et à qui je dois de nombreuses recrues. C’est lui qui, dans l’avant-dernier de ses poèmes, fait embrasser Bélial et Jésus-Christ, et qui, dans le dernier, n’a pas craint de mettre un pourceau en face de Dieu lui-même : Le pourceau misérable et Dieu se regardèrent. — Victor Hugo ! — C’est toi, diablotin, qui l’as nommé. — Maître, une idée. — Et laquelle ? — Nous faisons un métier de dupes. Nous sommes là à glaner des âmes depuis le commencement de la nuit, quand il y a peut-être à faire dans ce chalet un coup de partie. Vous savez que c’est toujours par les écrivains que nous avons réussi à gagner nos plus fructueuses batailles. Le meilleur de nos auxiliaires, c’est un mauvais livre. — Entrons, répondit Méphistophélès qui devinait avant de comprendre. Ils volèrent à tire-d’aile vers le chalet, et, sur leur passage, les croassements des oiseaux de la nuit devinrent plus lugubres, et les nuages, aussi noirs que des taches d’encre, mirent le ciel en deuil. La lune, comme un œil solitaire ouvert au milieu du ciel, les regardait tristement passer. Portes et fenêtres, tout était clos hermétiquement. Cependant les deux esprits malfaisants entrèrent avec autant de facilité que si les portes et les croisées étaient grandes ouvertes. — Ah ! ah ! s’écria en ricanant Méphistophélès après avoir jeté un rapide regard sur le poëte endormi, je m’aperçois que nous sommes ici chez nous. Voilà un front qui ne s’est pas armé contre nos entreprises nocturnes du signe de la croix. Allons, Astaroth, vite à la besogne ! Ouvre-moi ce crâne et lève-moi le couvercle prestement, pour que je voie mieux ce qui s’y passe. A ces mots, Astaroth traça avec son doigt une ligne de feu autour du front du poëte, qui rêvait dans ce moment que M. Viennet était descendu sur les bords du Styx pour aller quérir main forte, qu’il en avait ramené M. de Jouy, et que les deux poëtes classiques essayaient de le scalper. C’était une torture atroce, inouïe, insupportable. Cependant l’opération avait été aussi rapide que la pensée. Dupuytren lui-même, dont la main trépanait avec une dextérité que les chirurgiens appelaient de la grâce, aurait eu quelque chose à apprendre en voyant faire Astaroth. — Bien ! bien ! murmura Méphistophélès, nous sommes arrivés au bon moment, le cerveau est en travail, la marmite autoclave est à l’état d’ébullition, et notre visite n’aura pas été inutile. Astaroth, passe-moi ta fourche. Il n’y a pas de diable en voyage qui n’ait un bout de fourche sur lui. C’est l’outil du métier. Astaroth passa donc sa fourche à Méphistophélès, qui se mit gravement à la tailler, ainsi que la sienne. — Et que voulez-vous faire de ces deux fourches ? demanda Astaroth. — Ne le devines-tu pas ? — Non, maître. — Eh bien, j’en veux faire une fourchette et une cuiller. — Et à quoi vous serviront-elles ? — A faire une salade dans un crâne ! s’écria Méphistophélès avec un affreux éclat de rire. En cet instant même Méphistophélès commençait sa salade diabolique. Armé de ses deux tronçons de fourches, dont il se servait en guise de couvert de buis, il tournait et retournait, d’une main infatigable, dans le crâne du poète les idées, les sentiments, les images, les métaphores, les caractères qui s’y trouvaient en fusion, de manière à produire dans son cerveau la macédoine la plus étrange, le plus épouvantable gâchis. Le forçat coiffé du bonnet du bagne et traînant son boulet se trouvait nez à nez avec l’évêque coiffé de sa calotte et tenant des chandeliers d’argent qu’il lui offrait; un pain de quatre livres flottait dans l’air et venait se mettre sous la dent... sous une dent nouvellement arrachée ! un Cupidon classique voltigeant au-dessus d’un cœur percé d’une flèche mythologique couronnait le forçat, dont il célébrait l’apothéose drolatique, tandis qu’un sergent de ville à l’air rogue et au tricorne menaçant, un Javert quelconque, cherchait à l’appréhender au collet ; un hanneton sorti des Mystères de Paris de M. Sue venait inces­samment heurter en bourdonnant les parois endolories du crâne du poète, tandis que la mouche du coche de la Fontaine prenait son vol à côté d’une bouteille de vin de Champagne dont le bouchon sautait, symbole d’une joyeuse orgie. — Si nous y mettions encore le cygne du Luxembourg ? disait Astaroth. — Mettons-y le cygne du Luxembourg. — Et la bataille de Waterloo, sans oublier le gros mot de Cambronne ? — Va pour Waterloo et pour le gros mot. — Et un dithyrambe contre les couvents ? — Va pour le dithyrambe. — Et une dissertation sur les égouts de Paris ? — Mettons les égouts. — Et un gamin de Paris en guise de piment ? — Va pour le gamin de Paris. Méphistophélès ne cessait de tourner et de retourner sa salade. Sa redoutable cuiller ramassait d’un côté une grisette éplorée et les mains jointes, —vraisemblablement l’infortunée Fantine, — tandis que sa fourchette rencontrait de l’autre un enfant nouveau-né, — très probablement l’innocente Cosette, — qu’il accommodait avec le chapeau galonné de Cambronne, sur les lèvres duquel, — ai-je dit les lèvres ? — un gamin de Paris, enjambant le crâne de Victor Hugo comme s’il s’agissait de la balustrade de la Porte-Saint-Martin, prenait un mot célèbre qu’il semblait jeter au public avec un pied de nez. Ce qui gênait le plus le poëte dans ce va-et-vient de toutes choses, c’était un étudiant qui, accoudé sur son orbite frontal, —qui sait ? Enjolras ou Lesgle de Meaux, dit Bossuet, — fumait philosophiquement sa pipe en tournant le dos à une barricade, tandis qu’un plongeur, peut-être Javert, déterminé au suicide, piquait une tète dans l’intérieur du cerveau du poëte, et qu’à l’autre extrémité un cygne semblait parler à l’oreille d’un juge penché lui-même vers l’oreille du poëte, sur laquelle Méphistophélès s’était perché pour suivre les progrès de son assaisonnement. Au-dessus de cette mayonnaise intellectuelle, l’argot et le style, représentant le vinaigre et l’huile, se donnaient le baiser Lamourette et fraternisaient. C’était bien le plus épouvantable galimatias qui, de mémoire d’homme, eût eu un crâne humain pour saladier. Le chaudron des sorcières de Macbeth n’était que de la Saint-Jean à côté. Le chaos pouvait passer pour distinct, clair, plein de cohérence et de régularité. Les arlequins de la place Maubert, où, selon les Mystères de Paris de M. Sue, on trouvait de tout, depuis des débris de truffes et de homards jusqu’à de vieux souliers, étaient un plat presque classique. [/url] Le thé de Mme Gibou avec le sucre, l’huile, le poivre, la crème, le sel, le vin, le miel, le bouillon, et la cassonade, une boisson simple et élémentaire. L’œil railleur et la bouche plissée par un sourire méchant et diabolique, Méphistophélès suivait, avec un amour-propre d’auteur qu’il ne prenait pas la peine de cacher, les progrès de son œuvre. Quant à Astaroth, il cherchait à apercevoir de côté ce qui se passait dans l’intérieur de la tête du poëte, et, si ses deux mains n’avaient pas été occupées à retenir le couvercle du saladier, pardon, je veux dire la calotte du crâne, il se serait tenu les côtes, tant il riait du bon tour qu’il jouait à Victor Hugo et à ses lecteurs. La nuit s’écoula dans ce labeur infernal. Au premier rayon du jour, Méphistophélès et son compagnon disparurent. Le poëte, qui avait passé la nuit la tête appuyée sur sa main, se réveilla à demi : — C’est étrange, dit-il, il me semble que pendant mon sommeil mes idées se sont arrangées d’elles-mêmes dans ma tête. C’est cela ! un forçat, un évêque, un boulet, une mitre, Cambronne, un gamin de Paris, le cygne du Luxembourg, les barricades de juin, Cupidon, l’idylle, le mélodrame, le pain de Jean Valjean, les dents de Fantine, le vin de Champagne, le style, l’argot, Waterloo, une enseigne de cabaret, le policier Javert. Écrivons le titre : les Misérables ! Deux éclats de rire stridents retentirent à l’une et à l’autre oreille du poète, et il lui sembla qu’il entendait ce mot retentir dans le lointain, peut-être comme le jugement de la postérité : Tohu-bohu ! P. S. Cette légende a été racontée à ma plume par l’ingénieux et spirituel crayon de Bertall. Plus habile qu’elle, il a résumé pour les lecteurs de la Semaine des Familles le livre des Misérables, qu’elle n’aurait pas osé leur raconter. C’est pourquoi je ne fais que contresigner, ne varietur, son poème traduit en vile prose par son dévoué collaborateur. - de Félix-Henri
  4. Amazones

    images de tetes de mort

    Kim Evans Je suis soulagé que je fais une différence dans votre vie par l'existence de mon art. Et à ce moment de la confirmation de votre vie, avec un souffle d'empathie, un soupir, un sourire de savoir ou d'une étincelle d'inspiration lorsque vous vous connectez avec mon travail, vous reconnaissez mon existence aussi. Expression parle de nous tous. "La créativité et l'art est pour tous, sa myriade de voix et de langues. Amour."
  5. Kikou ma choupinette ... j'espère que tu respires la vie et que tout se passe comme tu le désires. Gros bisous et merci pour ton passage, tu es un amour. A très vite, oui, je sais, je suis à la bourre pour ton mp mais depuis le temps, tu commences à me cerner lol, muahhh muahhh <3

  6. Mais non, tu ne te feras point arrêté, je suis un phénix qui renaît toujours de ces cendres ;) Qu'est-ce que je ferais pas pour Mac lol - A peluche et kissouilles

  7. Hello mister, alors on ne sait quoi dire et on pense que je sais décrypter ces symboles lol. J'espère que tu vas bien et bientôt les vacances pour que tu puisses te reposer. Bonne soirée et kissouilles

  8. Bonsoir, j'ai mis du temps à passer par chez toi pour te remercier de ta visite, mais je n'ai point oublié de le faire. Merci en tous les cas et douce soirée.

  9. Bonsoir, cela fait bien longtemps que je ne suis venue par chez toi. Je te souhaite une bonne soirée, kissouilles et au plaisir grand chevalier ;)

  10. Bonjour gente dame, je vois que l'évènement approche. Je me doute de tous ces préparatifs, je voulais te faire un bisou et te souhaiter bon courage pour tout ce qu'il doit être pensé. Au plaisir et douce soirée.

  11. Hello ma sucrerie, pense à prendre quelque vitamines pour te booster. Plus tu dormiras, plus le sommeil t’appellera. Bon courage ma toute belle et gros bisous <3

  12. Amazones

    Charles Baudelaire

    Correspondances La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers. Comme de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité, Vaste comme la nuit et comme la clarté, Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, - Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l’esprit et des sens. Les Fleurs du Mal Oeuvre par Christophe Betmalle
  13. Je suis morte de rire ... promis, la prochaine fois, je te lis mdrrrr

  14. Amazones

    Moi, moche et méchant 2

    Je dirais même que le personnage lui correspond à merveille, vu de multes similitudes .... de gestes, de manières et de comportements. On aurait dit que Lamy est projetée à l'écran pour effectuer ce rôle. Il y a une telle ressemblance, que nul pouvait s'offrir à une autre comédienne.
  15. Amazones

    Moi, moche et méchant 2

    Il est vrai que j'aurais mis plus d'importance pour le combat final mais sinon, je n'ai pas porté plus de réflexion à cela. Bonne journée Pep
  16. Bonjour Blackmesa, je te souhaite un joyeux anniversaire et une bonne journée. Au plaisir.

  17. Bonjour à tous .... .... et Hello Lendehors. Le choix de ton illustration est superbe .... mon attention en est portée Bonne journée --- Pour commencer une bonne journée comme je les aime .... pour ma pomme .... égoïste que je pourrais être .....
  18. De m'avoir chopper un torticolis ..... cela m'apprendra de trop dormir ....
  19. Bonjour et enchantée.

    Voici un lien qui vous permettra d'en savoir plus : http://vosdroits.service-public.fr/F804.xhtml. Bonne journée

  20. Hello cébarounet .... tu fais bien, profite, profite ... d'ici peu, tu vas ramer lol - Bon appétit et gros bisous ;)

  21. Amazones

    Moi, moche et méchant 2

    Alors que dirais-je de cette animation où j'ai pu le voir hier .... hé bien, je me suis bien divertie et surtout bien éclatée au point où mon fils m'a demandé d'arrêter de rire comme j'ai pour habitude en crainte de se faire remarquer , où va t-on :D mais voilà, je ne peux résister aux Minions et à sa nouvelle coiffure .... .... mais il n'est pas si terrifiant que ca, attention cela dit qu'il n'ait pas faim :p :D --- Pour ce qui est de l'histoire, disons que l'on ne s’ennuie pas .... un bon moment :blush:
  22. Amazones

    Sculptures

    Georges Vantongerloo "Je travaille en vérité et pour la vérité." Georges Vantongerloo (Anvers, 1886 - Paris, 1965) en dépit d'être l'un des artistes et des penseurs les plus importants du siècle dernier, les expositions qui ont été effectuées jusqu'à présent ont été très rares. L'échantillon rene quelque 80 œuvres, dont des peintures, des sculptures et des dessins, des traces de l'évolution de l'artiste depuis ses débuts avec les constructions dans la Sphère (1917), jusqu'à ses plus récentes œuvres. Inscrit sur l'expérience des histricas d'avant et marquée par l'invention de l'abstraction qui a vu le eclosin des chefs-d'œuvre tels que Mondrian, Malevitch et Kandinsky, en 1917, a signé le manifeste Vantongerloo De Stijl groupe, avec Mondrian et Van Doesburg. Un aparté intéressant où la critique d'art s'en exprime : Bonne lecture --- --- Une étoile gazeuse en 1964 Cosmic phenomenon en 1962 et pleins autres ..... Pour le plaisir
  23. Bonjour Akuda , Jedino et à tous Bonne journée :happy:
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