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Frelser

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Tout ce qui a été posté par Frelser

  1. Réussir sa vie c'est emplir pleinement sa vie et laisser une partie de soi-même sur cette petite planète en la quittant. Ne pas avoir de regret au moment de sa mort. Ne pas avoir causé de mal derrière-soi. Etre prêt à accueillir la mort quand elle se présente. Avoir su être reconnaissant de cette opportunité d'avoir pu vivre sur cette Terre. Avoir atteint la sagesse recquise pour demeurer éternellement en paix.
  2. La seule chose d'entre ce que tu as essayé de fornuler qui est un peu liée à la question soulevée ici est que les taxons inférieurs ont des ancêtres taxonomiquement communs par rapport à un ancêtre commun plus éloigné. Ce qui ne fait pas de ces espèces différentes cet ancêtre commun. Puisque pour reprendre l'exemple, la grenouille et la carpe ont un ancêtre commun à chaque passage à un niveau taxonomique suppérieur, mais ne SONT AUCUNE des ces espèces intermédiaires. Je ne dis pas que la lamproie est à une distance génétique stable de l'ancêtre commun de la grenouille et de la vache, mais que la grenouille et la vache qui ont bifurqués à des niveaux taxonomiques multiples et différents de l'arbre de l'évolution se situent malgré tout à une distance génétique stable de la lamproie. Tu comprends la différence ? On ne parle justement pas de l'ancêtre commun mais des espèces de niveaux taxonomiques différents. Autrement entre l'ancêtre commun de la vache et du kangourou par rapport à la lamproie, il y a eu de nombreuses bifurcations latérales indépendantes à des vitesses différentes, cela devrait les situer à une distance génétique qui varie en fonction de la distance taxonomique des branches respectives. Tu suis ? Un drosophile subit une fréquence de mutations différente d'une tortue, ou d'un cheval, mais tous se tiennent à la même distance génétique de la lamproie. Et cela se vérifie tant pour la séquence codant pour le cytochrome C, que pour n'importe quelle séquence commune étudiée à ce jour, chez n'importe quelle espèce, pour tous les niveaux taxonomiques inférieurs et dans toutes les directions transversales dans l'arbre de l'évolution.
  3. A Uno, les données sur les pourcentages de différences génétiques évoquées sont issues d'ouvrages qui constituent la Bible en matière de génétique et ton style paroissial me déçois d'être intervenu dans ton topic. Les nombres donnés sont basés sur la seule séquence codant pour le Cytochrome C, et si tu ne saisis pas le problème théorique que ces nombres soulèvent, alors je ne m'adresse pas à la bonne personne. Quels sont tes compétences en la matière ? Pas obligée de répondre mais je me pose sérieusement la question. (Au fait moi j'ai fait des études scientifiques pour enseigner les sciences dures.) Car pour conforter un arbre de l'évolution par la génétique, il faudrait que pour une séquence donnée, la lamproie soit plus proche de la carpe que du lapin dont il est chronologiquement plus proche, et qu'il soit plus proche de la carpe que de la grenouille, plus proche génétiquement de la grenouille que d'un lézard, plus proche d'un lézard que d'un lapin etc. Or l'horloge moléculaire de cette même séquence codant pour la synthèse du Cytochrome C a du conduire à isoler chaque taxon suivant un plan typologiste. Comment les séquences respectives de toutes les espèces on muté à des vitesses différentes tout en maintenant chaque taxon à une distance stable par rapport au schéma taxonomique stricte ? (Il faut que la distance de la lamproie à l'ensemble des autres taxons inférieurs soit stable pour une séquence donnée, tous sous taxons confondus, mais que la grenouille soit maintenue par exemple à une distance stable moindre par rapport à tous les sous taxons pour la même séquence, avec la même vitesse de mutations sur la même séquence codante. Et cela à tous les niveaux toxonomiques pour la même et unique séquence au choix, et cela est ainsi pour toutes les séquences étudiées à ce jour.) Le fait de qualifier cela de phylogénie cladistique n'élucide pas la question. Mais bon, comme tu ne sembles pas comprendre la question, j'arrêtes les frais ici.
  4. En effet, c'est la définition correcte d'un dogme religieux. Le dogme impose une affirmation qu'il établit comme un canon de la vérité religieuse... Ensuite on se positionne pour ou contre.
  5. C'est le moteur de mes questionnements. Si tu exemplifies, tu trouveras que je dis précisément la même chose. Sauf si tu recèles une thèse pour définir un bien ou un mal absolus et que ton post y est une introduction théâtrale.
  6. Ce n'est évidement pas une critique ontologique des êvangiles, je lis couramment les évangiles, les védas et autres en même temps que la Bible, mais je le fais avec un esprit ouvert et critique. Evidement que Saint-Augustin n'est pas l'instigateur de ces violences. Amitié.
  7. Voilà, là tu as compris ce qu'est un dogme. Congratulations. On y arrive tous ensembles.
  8. Je ne vais pas citer les passages des évangiles qui ont permis de construire cet édifice. Mais Jésus n'a jamais interdit de tuer. Or, la Bible est truffée des prophéties qui annoncent l'armagedon. Le règne de dieu venait dans l'esprit des croisés et des inquisiteurs. Ton argumentation est, excuses-moi de le dire ainsi, bon-enfant. Jésus a décrit comment les mauvaises herbes seront moissonées par dieu. Accepter posséder la clé de la Vérité est un danger absolu.
  9. La coryance est une vérité relative dont la véracité est liée au degré d'exactitude non vérifiable. Affirmer que ce n'est pas une vérité, c'est imposer que ce soit faux. Ce qui est philosophiquement inexact. Puisqu'on n'en sait bêtement rien, on adhère à la croyance que Jésus a été envoyé par dieu pour sauver le monde, ou pas. Mais cela reste un choix. Jésus n'a pas promi qu'il allait prouver l'existence de dieu scientifiquement. C'est une autre sphère d'ordre métapsychique.
  10. Vous éludez la question de la régularité des variations de séquences par ce genre de raisonnements. Que Denton fasse partie des adhérents à une hypothèse anthropique ne signifie pas que sa question ne mérite pas réponse. Puisque dans un autre topic, la thèse de Stephen Hawking pour tenter d'élucider la thèse anthropique en concevant une multiplicité d'Univers soulève également la question de l'hypothèse anthropique. Pourquoi l'Univers a-t-il suivi ce chemin plutôt que n'importe quel autre parmis les 10 exp 200 possibles prédites par la physique théorique ? En revenche, un des points des plus crédibles pour évaluer la parenté génétique entre espèces est la trace génétique des maladies génétiques. Mais en critiquant bêtement l'auteur vous ne répondez pas au problème d'ordre purement scientifique. Comment se fait-il que lorsque nous étudions les pourcentages de variations séquencielles des espèces, nous ne voyons pas de trace d'une variation progressive ? Ainsi, l'analyse comparative systématique des pourcentages de différence de la séquence codant pour les cytochromes donne les résultats suivants. Certes, les espèces voisines ont des génomes plus proches entre-elles qu'elle ne le sont d'espèces plus éloignées. Or, la différence de la séquence du cytochrome C du Bombyx est de 27 % par rapport au cheval, 25 au pigeon, 26 à la tortue, 25 à la carpe... La lamproie a une séquence variant respectivement de 75 % par rapport à la carpe, 81 à la grenouille, 78 au poulet, 76 au kangourou, 73 à l'homme. La carpe 13 % au cheval, 13 au lapin, 14 à la tortue, 13 à la grenouille. Le mollusque gastéropode 85 % à la lamproie, 87 à la carpe, 87 à la grenouille, 85 au poulet, 85 au kangourou... Alors comment cela est ainsi. Pourquoi le mollusque apparait à une distance stable de la lamproie, de la carpe, de la grenouille, du poulet ou du kangourou ? Pourquoi la carpe parait génétiquement à distance stable du cheval, du lapin, de la tortue, de la grenouille. Ne faudrait-il pas que la variation comporte la trace d'une progression génétique graduelle dans le sens de l'évolution ? Les considéation sectaires et les attaques personnells des scientifique devrait être accompagnée de réponses scientifiques à leurs thèses. Et depuis les années 1980 ces variations génétiques séquencielles n'ont pas bougé de sorte à témoigner de variations évolutionnaire graduelle. Amitié.
  11. Quand un dictionnaire dit qu'un dogme est une affirmation religieuse tenue pour absolument vrai, cela signifie que pour la conception du monde de cette religion cela est la vérité, c'est-à-dire une description fidèle de la réalité. Reffuser d'y adhérer en soulignant qu'il n'existe aucun moyen de vérifier scientifiquement le dogme dans un processus rationnel réfutable, ne PROUVE PAS que le dogme EST FAUX. Cela prouve que cela ne peut pas se vérifier. Donc il s'agit d'une vérité relative et conditionnelle, dans le sens linguistique, philosophique et sémantico-cognitif. Si un dogme entre en contradiction avec des données scientifiques réfutables, la partie incompatible du dogme avec les faits observés poura être défini comme scientifiquement faux. Mais le dogme demeurera un dogme, certes incompatible aux fais scientifiques... Tout le reste du débat est blablatique. Mais il est correct de souligner que les termes vérité religieuse sont un abus de langage, nous sommes face à des vérités putatives tenues pour vraies par un acte de foi spontané. Sauf à utiliser le mot Vérité dans le sens de vérité supposée, en sous-entendant que la vérité n'existe philosophiquement pas.
  12. Salut Uno. Merci pour ce topic intéressant. Tu évoques à plusieurs reprises l'usage de la génétique pour la classification des espèces vivantes dans le processus de l'évolution. Or, tu dois savoir que de plus en plus de cas de transferts de gènes d'une espèce à l'autre ont été observés, ce qui ne rend pas cette méthode suffisante et entièrement fiable. Par ailleurs, les estimations sur les fréquences de mutations par séquences qui sert de base dans l'hypothèse de l'élaboration de l'arbre évolutif par la génétique est truffée d'approximations très grossières et il n'y a pas de consensus sur la possibilité d'établir un arbre de l'évolution par la seule génétique. La cladistique, l'embryogenèse comparée, la paléontologie sont des méthodes indispensables pour tout scientifique qui désire recomposer l'arbre de l'évolution. Ainsi, Michael Denton démontre dans son livre intitulé "Evolution, une théorie en crise" (pages 282 à 316) qu'il est possible de classer toutes les espèces dans une grille uniforme typologiste où chaque espèce est isolée de toutes les autres sans autoriser une interprétation dans le sens d'une transition progressive d'une espèce vers une autre, en se fondant sur la comparaison systématique de séquences de génomes soeurs, pour déterminer le pourcentage de différence par séquence génétique d'une espèce à l'autre. Les lois connues en biologie moléculaire ne disent rien, selon Denton, sur ce les paramètres encore inconus ayant permis de moduler la vitesse des mutations par séquences et dans le temps pour permettre une telle régularité... Donc, la génétique à elle seule ne permet pas de fonder un arbre évolutif, sans faire appel aux autres méthodes scientifiques. Au contraire, d'après les démonstrations de Denton, l'étude minutieuse de la génétique des espèces semble interdire l'hypothèse d'une évolution graduelle par un unique processus de mutations aléatoires, sans l'action d'un processus complémentaire à déterminer ayant dû réguler les taux de mutations par séquences de sorte à produire une telle régularité.
  13. Tu sembles ignorer l'histoire de l'Eglise, les chasses aux sorcières, l'interdiction de la philosophie, l'inquisition contre les non chrétiens, le célibat des prêtres et la pédophilie et les bâtards etc. Le renversement de l'Eglise a conduit à l'instauration du pluralisme culturel et religieux alors que l'Eglise exécutait et torturait ceux qui ne s'évangélisaient pas. Au point que là où l'Eglise a dominé, il ne restait plus aucne trace de religion autre que celle de l'Eglise. Même après la chute de l'Eglise la tolérance des cultures autres que d'origine judéo-chrétienne est une chimère dans les décombres de l'Eglise ? Mêmes les églises se sont livrés la guerre et les anathèmes mutuels au nom de la sacro sainte évangélisation. L'antisémitisme est du crû des évangélistes, et l'islamophobie un artfact des croisades...
  14. Cela est un principe défaillant qui est à la base d'énormes malentendus. Si on considère que le Bien et le Mal fixés dans la Bible sont absolus, on finit dans l'intégrisme et le iota litturgique. Le Christ n'a pas interdit de rire, de prendre du plaisir charnel, de divorcer, de s'enrichir, de se défendre... Tout prophète a enseigné une loi et une sagesse : Aimer YHV de tout son coeur de toute son âme, et rechercher sa grâce en se servant de son coeur sans orgueil. L'homme sage montre la lune du doigt, l'idiot regarde le doigt.
  15. Selon Saint-Augustin, de quels principes sont DEDUCTIBLES les principes moraux. C'est comme ça parceque j'en suis intimement convaincu dans ma conscience ? Spinoza considérait le bien et le mal comme des illusions, seul ce que dieu décrétait bon ou mauvais devenait bon ou mauvais. Comment se fait-il que chaqun se vante d'avoir la morale parfaite, le fondamentaliste, l'athée qui se dit libéral, le catholique, le musulman, le confucianiste... Or, il y a des divergences absolues ? Certains sont-ils plus humain et logiques ? Et les autres sans morale et crapuleux. Pour le musulman l'athée qui tolère l'homosexualité et mange du porc est dégoûtant et bestial. Pour l'européen d'origine catholique la femme qui lutte pour la polygamie est conne et manipulée...
  16. Les changements de moeurs s'opèrent de façon impulsive, intuitive et subconsciente de sorte à perpétuellement viser une ergonomie sociale et un confort collectif optimaux. L'impression d'avoir trouvé ce qui était meilleur n'est qu'un processus psychologique qui renforce l'adhésion aux moeurs. C'est pour le moins ma conception personnelle des fondements anthropologiques des notions de bien et de mal, qui ne sont pas des réalités autonomes absolues à rechercher...
  17. En fait, je pense qu'on peut poser un paradigme universel à variables. Un passage du coran donne une piste intéressante. Ce qui est avantageux de façon prédominante est bon, ce qui nuit d'avantage est mal. En fonction de la prise de décision individuelle ou collective nous cherchons à démontrer les avantages de tel acte ou ses inconvéniants. Dans ce cas, le bien et le mal peuvent évoluer dans l'espace et le temps, ne sont pas des réalités démontrables, mais peuvent varier ponctuellement d'une extrémité à l'autre. Ce seraient non pas des vérités et des réalités, mais des prises de décisions individuelles et collectives dans l'intérêt d'une ergonomie anthropologique innée mais fluctuante. L'illusion de progrès serait permanente sur le plan psychologique pour conforter un fonctionnement édoniste et pragmatique qui pourait glisser d'une extrémité à l'autre en fonction de la conjoncture du moment. Une crise démographique peut impulsivement pousser à interdire l'avortement ou le favoriser dans un instinct animal de survie individuel ou collectif. On va essayer de trouver des explications philosophiques, mais la réaction serait purement animale et impulsive dans le fond ?
  18. En psychologie on a des pulsions de vie liées à la libido, et des pulsions de mort liées au thanatos. Mais cela ne dit rien sur les différences d'approches. Pourquoi au Moyen-Age, le bûcher a été considéré comme une bonne idée pour lutter contre le mal, on a lutté contre l'homosexualité, on a pratiqué l'esclavage. Cette approche psychologique élude la question. Les anciens n'étaient-ils pas éduqués. Comment prouver que l'euthanasie est ou n'est pas un crime ? L'anthropophagie peut être une façon de lutter contre la famine et a été pratiquée par nombreuses peuplades. La peine de mort fait débat. Etc. Alors, existe-t-il un fondement scientifique pour -non pas comprendre comment on décide psychologiquement, sociologiquement et ponctuellement si une chose est bien ou mal,- mais s'il y a un moyen de prouver qu'une chose est bonne ou mauvaise sinon en l'imposant ?
  19. Les notions de Bien et de Mal peuvent-elles être démontrées comme telles scientifiquement ? Pourquoi y a-t-il tant de débats sur ce qui est bien ou mal depuis que l'homme est homme ? Ce qui est bien pour une personne A en un lieu x en un temps t1 peut-il être mauvais pour une personne B en un lieu y en un temps t2. Existe-t-il un moyen scientifique de prouver cela ? Le fait de ne pas accepter que ce que l'autre considère comme bien est bon pour moi aussi par empathie est-ce moins grave que de ne pas supporter qu'autrui ne puisse accepter comme bon ce que je penses être bon ?
  20. Sauf pour la comparaison à un magma LOL. En fait, je dirais que selon mon resenti mystique difficile à formuler en termes intelligibles, le vide quantique est en quelques sotres un lieu agité par sa puissance depuis l'éternité. Elle est cachée et apparente, tout n'est qu'un voile, un genre d'habit, dont chaque aspect trace comme par un effet de relief autant de manifestations de YHW.
  21. C'est marrant ça, j'avais écrit mon post sans lire les autres. Je me rends compte que Kaba Tsigat avait écrit exactement la même chose juste avant. Cela m'a fait tout drôle de lire son post après coup.
  22. Pour moi, l'Univers entier n'est qu'une illusion et le temps tout autant. La matière, l'espace, l'energie, la beauté, la puissance ne sont que des voiles d'une essence plus profonde qui est l'Ultime Réalité qui est pour moi Dieu. Elle crée perpétuellement de nouvelles choses depuis l'éternité. Qu'on la nomme dieu, Manitou, Allah, YHV, Brahma, Viracocha ou autre, elle est la réalité mystique absolue qui agit depuis l'éternité. Elle est la Vénus Génératrice de Vie. La nature de toute chose n'est qu'une empreinte de Cet Escence Originelle. Autrement, tout n'est qu'illusion éphémère... Elle est la Lumière et l'Amour. La puissance du soleil n'est qu'un pâle aperçu de sa puissance éternelle, la beauté d'une femme n'est qu'un reflet imparfait de Dieu. Partout je ne vois qu'elle et elle anime chaque atome de mon corps.
  23. La réalité est faite entièrement de nuances et de détails sans fins. En fonction de l'angle de vue et de la description ponctuelle et synthétique qu'on en fait on obtient des pseudo-vérités multiples. Elles ne sont jamais intégrales, mais plutôt toujours hyper simplifiées, et donc toutes inexactes. La vérité est une illusion dûe à notre faiblesse à embrasser la réalité dans toute sa splendeur et avec ses infinies subtilités. Si nous sommes plus exigeants, nous devrons admettre que la Terre n'est pas une sphère, pas plus qu'elle ne serait un disque. Car, il semblerait qu'elle soit plutôt géodésique, se pliant à la géométrie dynamique de l'espace-temps. Une sphère ne souffrant pas d'une surface aussi accidentée et creuvassée. La terminologie doit donc souvent être très vague pour permettre de rejoindre la réalité dans une description moins égarée. En effet, il existe une infinité de formes géodésiques potentielles, ce seul terme ne permettrait pas à une personne n'ayant aucune vue de la Terre de se la représenter, ni de saisir que la Terre subit des déformations continuelles au fil du temps.
  24. La conservation de la matière ne vaut qu'au niveau matériel dans un univers à quatre dimensions. D'un point de vue quantique et mathématique, la réalité suit des probabilités. Or, la question de savoir si les états se superposeraient au niveau matériel fait débat, et aucune conclusion définitive et tranchante n'existe sur le plan scientifique. Il faut lire la littérature scientifique sur la réduction du paquet d'ondes et la décohérence quantique pour se familiariser avec cette question piquante. La tendence actuelle est contre-intuitive, et la pluralité multi-exclusive semble être la thèse la plus plausible.
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