Passiflore

Oh pas les fesses, non... devant !!

C'est si dangereux que ça, un chimpanzé ??

Pleinement conscience mais je pense davantage à ma vie (à la bien remplir, à en faire quelque chose, à me rendre utile aux autres...) qu'à l'éventualité de ma mort que je souhaite le plus tard possible, ayant encore des tas de choses à faire, des tas de personnes à rencontrer et n'ayant pas fini (a-t-on jamais fini) l'accomplissement de moi-même, l'amélioration de ce qu'il me faut encore améliorer.

Non, c'est ce que moi je pense mais comme vous dites que selon vous c'est cucul la praline, j'anticipe avant que vous ne le redisiez.

Les actes du chrétien découlent de sa foi en Dieu le Père et en Jésus-Christ dont il a choisi de suivre l'Enseignement, le Christ ayant dit : "car j'ai eu faim et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger et vous m'avez recueilli ; nu et vous m'avez vêtu ; j'étais malade et vous m'avez visité ; j'étais en prison et vous êtes venus vers moi (...) dans la mesure où vous avez fait cela à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait..." (Matthieu 25 : 31-46)

D'où la nécessité de trouver LA bonne personne... Oui oui je sais, c'est un peu cucul la praline c'que j'dis là...

Alors ne vous étonnez pas de ne pas réussir à entretenir une relation amoureuse longue durée, si vous trouvez niais ce que je dis là.

Si vous l'dites...

D'où l'importance fon-da-men-tale d'avancer de concert sur leur chemin de vie commun en évoluant ensemble, selon les affinités propres au couple.

Exactement !! Elle fait partie de la joute amoureuse et peut se faire à plusieurs reprises lors des jeux amoureux, pour le plus grand plaisir de l'homme tout autant que de celui de la femme qui, ensemble, connaîtront alors... l'extââââse !!!

D'accord avec ce que vous dites là.

Pardon ??? Comment ça, anecdotique ??? Non mais ça va pas la tête !!!

Cela va sans dire. Ce n'est certes pas moi qui dirai le contraire puisque tel est également mon avis et l'une des valeurs que je prône : l'estime de soi (la dignité).

Comment ça, secondaire ?? Si l'on est en quête d'un amour mutuel, il est au contraire essentiel de correspondre soi aussi aux critères de qualité de la personne correspondant à ses critères à soi, ne croyez-vous pas ? Plaire aux femmes, non mais plaire à UNE femme, celle que l'homme aura distinguée parmi les autres et dont il espèrera être aimé.

et les shadoks pompaient, pompaient...

Comment ça, vacuité ?? Que vient faire la notion de vacuité dans l'acte amoureux ?? On "s'abandonne" à l'aimé-e plutôt que du lâcher prise, je dirai plutôt.

C'est ta dulcinée que t'appelles "le tas" ??

Oh ouiiiii mais qu'est-c'que c'est bon !!!... D'où l'importance de ne pas exclure le sentiment amoureux dans l'acte d'amour mais que celui-ci (l'acte d'amour) découle du sentiment amoureux mutuel et ce fait-là, ça change complètement la donne !

Comme en termes poétiques ces choses-là sont dites !!

Les préliminaires avant quand même, non ?? Sinon, on appelle ça : "tirer son coup" et ça n'a rien de folichon et d'excitant pour la femme se sentant reléguée au seul rôle de réceptacle...

Les deux selon moi, elle se donne à son aimé et lui donne tout ce qu'elle a à lui donner : son amour, sa tendresse, son désir, ses caresses et autres gestes amoureux qui combleront son désir à lui, etc... Donc oui, elle se donne et elle donne.

Physiquement parlant, l'homme est certes le "pénétrant" et son aimée la "pénétrée" mais il se donne également corps et âme (d'une certaine façon et ce, pour les deux) à son aimée. Suis ébaubie j'avoue, de devoir donner ce genre d'explication...

Sauf si lors de la joute amoureuse, on joue à tour de rôle ces deux états ce qui peut être trèèèèès excitant... mais uniquement dans le cadre de jeux amoureux, j'insiste sur ce point !

Si elle le souhaite, si elle est dans cette optique-là, si pour elle c'est important de trouver son compagnon de vie, bien sûr que si ; elle sera alors amoureuse dans tous les sens du terme sans que cela n'ôte rien à sa richesse spirituelle. Condition sine qua non : qu'elle trouve un homme ayant la même richesse spirituelle qu'elle. Certaines femmes se retirent dans un couvent, renonçant par ce choix existentiel à l'amour d'un homme et aux plaisirs des sens ; jamais elles ne "feront l'amour", elles. La question que l'on peut se poser est celle-ci : une femme peut-elle être pleinement épanouie si elle renonce définitivement à sa féminité et à ce qui la compose (sa féminité) ?

Comme un homme ayant beaucoup de présence bien que tenant le rôle du "pénétrant".