Passiflore

Z'êtes rubiconde, Ines Presso.

Sacré bon sang, pourquoi continuez-vous si votre mode de vie vous répugne à ce point ??

Pourquoi les fréquentez-vous, alors ?? Pourquoi les laissez-vous faire, alors ?? Ah parce qu'en plus, vous ne prenez aucune précaution à ce sujet ??

Comprends pas... hypnotiser quelqu'un face à soi d'accord, ça je comprends mais s'auto-hypnotiser ?? La force de la volonté, pas de problème mais l'auto hypnose, là je bloque. Et donc ? Navrée, comprends pas...

Comment procédez-vous ? Est-ce explicable ?

C'est pour cela que j'ai précisé "pas n'importe lequel". Si le souvenir est profondément enfoui c'est qu'il y a une bonne raison à cela oui, c'est certain. Il n'empêche que si j'estimais qu'il ne me restait plus que ce recours-là pour tenter d'aller mieux, je pense que je le ferais. J'ai dit : dans le cas où un traumatisme "oublié" m'empêcherait d'accéder au bien-être ce qui, fort heureusement, n'est pas le cas. Alors ça, ça m'épate ! C'est donc autre chose que la force de la volonté... Tout le monde en serait-il capable dans un cas extrême ?

Alors là faut pas rêver, ça empeste la cupidité mais je peux me tromper... oh que j'aimerais me tromper !! Pas faux mais je n'aurais d'estime pour ces gens que s'ils reversaient l'argent ainsi touché à une association, pas s'ils le gardaient pour leur usage personnel.

Chacun a sa propre vision des choses et j'ai la mienne.

Que les proches, toute réflexion faite, cherchent à tirer profit d'un tel drame (en l'occurrence l'assassinat de leur fille quant aux parents et de sa soeur quant à la soeur) je trouve ça tellement écoeurant...

En théorie, je déteste l'idée qu'une personne puisse avoir accès à mon subconscient sauf, dans le cas de ce que j'ai évoqué plus haut, à des fins thérapeutiques.

Si un traumatisme enfoui au tréfonds de ma mémoire et donc "oublié" m'empêchait d'avancer dans la vie et me refusait d'accéder au bien-être - si j'avais conscience sans m'en souvenir précisément que quelque chose de traumatisant m'était forcément arrivé, pour que je réagisse et agisse ainsi - je n'hésiterais pas à m'en remettre à un hypnotiseur (pas n'importe lequel) afin que je puisse ramener à la lumière les souvenirs enfouis de ce point de mon passé, cause de mon mal-être.

Où l'on apprend que tu regardes "plus moche la vie" !

Ce point dogmatique de la foi catholique selon lequel Marie aurait été conçue sans le péché originel a été défini par le pape Pie IX dans la bulle Ineffabilis le 8 décembre 1854 et n'a aucun fondement biblique. Elle était vêtue comme les femmes juives de l'époque ; vraisemblablement ni en bleu azur ni en blanc comme il est coutume de la représenter dans la doctrine catholique.

Ah bon ?? Vous avez aimé ce que j'ai écrit ?? Pas l'ombre d'une raillerie ?? Vous m'avez agréablement surprise et j'aime à l'être, agréablement surprise.

C'est marrant quand même cette certitude que les athées ont ; la certitude que les croyants habités et mus par la foi ne réfléchissent plus, ne se posent plus de questions ; me croiriez-vous si je vous disais que c'est tout le contraire qui se passe ? Hélas, j'en doute fort. Certes, le chrétien est habité et mû par sa foi qu'il a fortement chevillée à son âme et il s'emploie à la rendre vivante sa foi, dans sa vie de tous les jours car comme il est écrit : "on reconnait l'arbre à ses fruits" ; en se mettant au service des autres, il oeuvre pour le Christ car comme Il l'a dit : "j'ai eu faim et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger et vous m'avez recueilli ; nu et vous m'avez vêtu ; j'étais malade et vous m'avez visité ; j'étais en prison et vous êtes venu vers moi. Alors les justes lui répondront : Seigneur, quand t'avons-nous vu avoir faim et t'avons-nous donné à manger ; ou avoir soif et t'avons-nous donné à boire ? Quand t'avons-nous vu étranger et t'avons-nous recueilli ; ou nu et t'avons-nous vêtu ? Quand t'avons-nous vu malade ou en prison et sommes-nous allés vers toi ? Et le Christ leur répondra : en vérité je vous le dis, dans la mesure où vous avez fait cela à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait (...)" (Matthieu 25 : 31-46) Lorsque je fais la toilette à un vieillard alité et souffrant, incapable de se lever, je repense à cette parole du Christ et je Lui offre mon acte auprès de ce vieil homme. C'est d'ailleurs pour cette raison, pour servir le Christ, que j'ai choisi d'être auxiliaire de vie auprès des personnes âgées ou handicapées.

Je viens de lire que tel n'est pas forcément le cas.

Il me semble pourtant que dans ce genre de pratique (celle que vous citez) les femmes y sont toutes consentantes ; elles y participent de leur plein gré et non sous la contrainte.

Curieux couple que le vôtre... mais si cela vous convient à tous deux, cela ne regarde que vous.

Une... pichenette ?? Vous envoyer à l'hôpital ??

On peut supposer que tel est le cas... peut-être. Dans son monde à elle, celui qu'elle a choisi, si. Elle trouve même cela plutôt amusant. Lorsque l'on s'adonne à certaines pratiques, la dignité est mise au placard... d'où peut-être une ébauche de remise en question ?

Voilà, j'ai le même questionnement ; ce mot fait partie du "jeu", de même que sûrement d'autres mots du même genre, tout aussi "gentils" et "respectueux" alors, pourquoi ce "pourquoi ?" ??

Oui, c'est pour cela que j'ai écrit plus haut "... le fait que certaines femmes s'adonnent à cette pratique, y soient consentantes, ça leur donne par le fait même une circonstance atténuante, tout répugnants qu'ils soient". ... et apparemment, ça l'amuse ; je suppose que cela fait partie du "jeu" mais alors ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi elle SE pose et NOUS pose la question : "combien de fois par jour je me prends dans la gueule "salope" ? Alors qu'entendez-vous par là ?" En écrivant : "combien de fois par jour je me prends dans la gueule "salope"?" elle semble déplorer cet état de fait et feint de ne pas comprendre qu'on la traite ainsi. Eh bien non car si elle s'adonne à cette pratique, c'est que ces gars-là sont conformes à ce qu'elle recherche chez les hommes ; personne ne l'y oblige, c'est elle qui le veut bien. Ah parce que vous pensez qu'ils peuvent être équilibrés, les gars adeptes de cette pratique (consistant à avilir des femmes, consentantes certes mais il s'agit bien là de les avilir) ??

Pensez-vous qu'il puisse être possible que votre compagnon commence à en avoir assez de vous partager avec d'autres hommes ? Vous a-t-il déjà demandé d'arrêter cette pratique ? Vous avez dit plus haut qu'il vous avait demandé en mariage, ce qui n'est tout de même pas compatible avec votre mode de vie actuel (pratique du gang bang), d'où mes deux questions.

Tu n'es pas crédible, vu tes élucubrations dans les divers sujets de cette rubrique.

Des adeptes du gang bang, autant dire que ce doit être du genre bien gratiné !! Comment une femme peut accepter d'être traitée, humiliée de la sorte !? Seraient-elles totalement dépourvues d'estime de soi, les femmes autorisant les hommes adeptes de cette pratique à les soumettre, à les avilir ?? Est-ce par vice ou bien cherchent-elles à se punir d'on ne sait quoi ? Chacune a ses propres raisons, je pense... Si vraiment vous êtes adepte du gang bang, vous êtes par conséquent prête à TOUT accepter... je doute que dans le cadre de cette pratique, les femmes puissent poser leurs limites, si ??