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Constantinople

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Tout ce qui a été posté par Constantinople

  1. La seine saint Denis avec sa population actuelle existait elle dans les années 30 ? Concluez. Quelle était une des problématique de la France par rapport à l'Allemagne dans les années 30 en perspective de tensions avec celle ci ? Concluez. Vous n'avez toujours pas réponde, une vie sur deux ou trois, c'est peu, moyen, beaucoup ? Concluez.
  2. Il y a deux discussions, l'avortement en France en 2017 d'un point de vue global, et les décisions à titre moral et individuel. Je ne me plaçais pas du point de vue moraliste et individuel jusque ici, là je parlais d'un sentiment personnel, de ne pas me sentir d'interrompre une vie que j'ai engendré. Après pour la convaincre c'est assez simple : je lui marave la gueule, et l'enferme le temps que le délais de prescription soit passé. Ensuite je l'oblige à passer sa vie à avoir une ribambelles d'autres gosses, leur torcher le cul, et à ne pas oublier une bonne pipe après le café le soir. Quand ses hanches seront trop larges d'avoir eu mes 15 gamins, je pourrais toujours aller voir la fille du voisin pour continuer à prendre mon pied. On ne peut que penser comme ça quand on ne voit pas l'avortement strictement comme un bienfait inconditionnel, non ? Je me place dans une perspective un poil plus longue que les années 60...L'avortement existait en tout temps, et en tout lieu. 1 vie sur trois, qu'on peut probablement réduire à une vie sur deux si on tient compte du contexte culturel, je trouve ça massif. Pas vous ?
  3. En étant très gentil, c'est à dire en ne différenciant pas les groupes ethnicos culturels, comme si on avortait autant dans les familles arabos musulmans d'arrivée récente que les autres par exemple pour parler clairement, on avorte un peu moins d'une vie sur trois. Je crois qu’effectivement c'est une phénomène totalement inédit anthropologiquement parlant, et je m'étonne que personne ne trouve ce phénomène au moins remarquable.
  4. C'est amusant, je pensais la même chose de vos propos question pudibonderie moralisatrice. L Sinon, non je connaissais pas et je ne tiens pas spécialement à connaitre, ceci dit oui, c'est pas l'extinction de l’espèce humaine globalement qui pose question mais plus d'un type européen occidental. Puisque vous considérez l'humanité indistinctement, que vous pensez que tout est interchangeable sans incidence sur la nature d'une civilisation et d'un peuple, nos points de vues sont irréconciliables. Sinon, ça m'affecte de voir toute une partie d'un peuple ne pas désirer survivre, à titre anthropologique. Après vous comprenez bien qu'individuellement, chacun fait ce qu'il veut de son cul, ce n'est pas mon problème : Moralement considérer qu'une vie n'est qu'un amas de cellules sur laquelle on doit tirer la chasse, ça ne tient pas debout, mais je ne me place pas dans une dimension morale, ça chacun individuellement voit midi à sa porte comme on dit. Si par accident, je faisais tomber enceinte une femme, par exemple, je pense que je voudrais assumer la paternité. Mais encore une fois, ce n'est qu'un point de vue moral personnel. A chacun le sien.
  5. Il y a une forme de masochisme chez certaines jalousies je pense, chez certaines. Elle apprécie l'aura de flamboyance du compagnon, mais elle se plaint continuellement de celle ci, et d'être en situation d'insécurité sentimentale. Quand au coté "positif" que peut apporter une dose de la jalousie dans le couple, c'est tout simplement sentir que l'autre vous confère une capacité de plaire, et manifeste quelque part son désir, etc...Cela montre qu'elle ne prends pas tout comme un fait acquis également. Mais tu n'as pas tort, la jalousie, c'est surement primaire et archaïque, mais quelque part, la sexualité est empreinte de primaire et d’archaïsme. On peut avoir le couple le plus moderne du monde par exemple dans la vie lambda et le rapport homme / femme, alors que en matière de sexe, ce sera tout l'inverse...
  6. Vous avez tort. On en restera là sur le sujet, je vois bien que vous êtes dans une logique argumentative et non une réflexion globale car vous avez l'impression que regarder de manière critique l'avortement en France aujourd'hui, c'est militer contre le droit des femmes et les juger moralement. On ne va pas sempiternellement tourner en rond. Si on considère qu'un Pygmée en Afrique est la même chose qu'un japonais, interchangeables humainement, vous avez totalement raison. Alors là par contre, ces propos sont vraiment fous. Il s'agit de l'impasse du moralisme, que de vouloir être dans la position plus morale que l'adversaire pour justifier son point de vue et vous êtes en plein dedans : faire passer pour de l'altruisme le fait de vouloir une vie consacrée de A à Z à soit même et son couple, et de l'égoisme que de vouloir faire et élever des enfants pour les générations futures, c'est n'importe quoi. Avec en plus la pleurette sur les "malheureux". Et là on atteint le dégueulasse. Faire passer pour des monstre ceux qui veulent faire et élever des enfants, car pour eux oui, le patrimoine génétique, ça compte. Étonnant qu'alors que vous traquez dans les moindres paroles une trace de culpabilisation pour les femmes qui avortent, alors qu'il n'y en a aucune, vous vous complaisez dans des leçons de morales alambiquées pour juger moralement ceux qui font des enfants par choix. Avoir un enfant qui ressemble à papa ou grand maman, c'est beau, ce n'est pas jouer à la poupée mais continuer quelque chose qui a commencé avant nous, et compter sur le suivant pour reprendre le flambeau et l'emmener plus loin encore. Encore là dernière fois je suis tombé sur une fillette qui avait les mêmes yeux bleus magnifiques que sa maman, j'ai trouvé ça beau. Pas pour la beauté du regard intréséque, évidemment, quoique ça joue. Pour tout dire je n'arrive même pas à concevoir que vous ne compreniez pas ce désir somme toute naturel et immémorial. Enfin, c'est comme ça. Encore, on fait passer un point de vue individualiste qui se consacre strictement à la souveraineté inconditionnelle de la condition féminine de la française en 2017 pour une conscience pour l'humanité. Il y a des zones du monde en surpopulation, et des zones qui ne le sont pas. Si on pense encore le fait culturel, ethnique, et civilisationnel on envisage les choses de la même manière. Si on pense, comme vous, que l'humanité est un gloubi gllouba interchangeable, effectivement là ça se justifie, je ne peux pas dire le contraire. De la provoc et de la moraline, les pires chancres d'un discours destiné à convaincre. Ce n'est pas même digne de répondre pour le coup. Parce que ça invitait a une discussion objective. Mais vu que vous pensez que tout va bien, la discussion n'est pas utile. Je conçois fort bien que de votre point de vue, il n'y a absolument aucun regard critique au fait d'avorter 200 000 vies par an en France. C'est cohérent, je n'ai rien à redire là dessus. On ne peut jamais généraliser, mais si il n'y a pas de raison objective ( maladies génétiques, crainte pour la situation financiére, etc), effectivemment, c'est quand même un égotisme infantile anormal pour un certain age. Chose que vous ne faites absolument pas, naturellement. Ben ça tombe dans le narcissisme ça en effet. Également le narcissisme. Absolument pas, et on s'en rend bien compte tous les jours : La population française change, avec les problèmes structurels que ça entraine derrière. Mais encore une fois, si vous pensez que ces problèmes n'existent pas, que tout est cool, vous êtes cohérente, je ne peux pas le nier et je ne cherche même pas à le faire. Je ne suis simplement pas d'accord avec vous mais développer là dessus serait un hors sujet total. Encore une fois, si tous les groupes ethno culturels sont interchangeables, il n'y aucun souci effectivement. Super. Ca fait rêver certains oui, le fait de vieillir ensemble. Mais je suppose que vous allez me dire que considérer le couple comme un kleenex à jeter une fois utilisé c'est vraiment plus moral, j'en suis sur. Je ne vais pas faire l'hypocrite et prétendre que je regrette toutes les expériences sexuelles et sentimentales que j'ai pu avoir, mais en essayant d'être objectif, oui à chaque fois on perd une part de, naïveté n'est pas le bon terme, mais de conviction, de passion, de foi en l'union qui n'est pas négligeable je dirais. Ceux qui n'ont connu que deux ou trois partenaires dans une vie auront eu sans doute moins de variété et de plaisir, mais d'une autre coté, moins de sales coups et moins de cynisme, ou de calcul froid à l’intérieur du couple, je pense. Et c'est vrai que contrairement à vous, j'ai plus tendance à trouver ça beau quand quelqu'un me parle de ses parents ou grands parents toujours ensemble plutot que le deuxième beau pére ou la belle mére de 25 ans avec qui son pére s'est barré au moment de la ménopause. Comme vous dites, tous les gouts sont dans la nature, ça se discute pas. Je constate que vous avez tort, et que vos propos me semble un peu trop haineux pour être sincères. Les catholiques ne sont pas ma tasse de thé de bien des manières, et la sexualité n'est pas la dernière, d'ailleurs je crois que c'est franchement réciproque, mais je sais simplement être objectif en reconnaissant les qualités là où elles sont. Sinon, je préfère une femme qui s'habille comme une femme tout simplement. Précisément. Pour ça qu’anthropologiquement, ils sont voués à disparaitre. Et ce sera notre seul point d'accord je pense sur le sujet, effectivement, cela vaut mieux qu'il ne se reproduisent pas au fond. Un peu d'eugénisme ne fera de mal à personne.
  7. Sinon pour répondre à la question, la capacité de surprendre, de ne pas laisser la routine bouffer la couple, je dirais que c'est une qualité très appréciable.
  8. Je sais pas si ça se situe tant dans le type de jalousie, que dans un type d'approche féminine. De mon point de vue perso, je dirais qu'il y a deux approches, ou deux types de femmes, Lionnes ou araignées : La Lionne apprécie l'indépendance de son partenaire, une certaine aura, un charisme, une indépendance / flamboyance. Elle se plaindra en toute occasion de celle ci, mais si il changeait, en réalité, elle s'emmerderait, et verrait plus son compagnon comme un toutou. Pour peu que son comportement change en ce sens d'ailleurs, elle est capable de lui faire des "coups" ou des piques pour remuer son égo. L'araignée elle apprécie la sécurité et la stabilité que lui offre un compagnon dont elle sait qu'elle peut s'appuyer sur sa fiabilité, sa solidité, ou son manque de surprise selon le point de vue. Elle commence par s'adapter totalement à lui dans les premiers temps en lui laissant une liberté totale, puis petit à petit, alors qu'il s'est habitué à son couple, que les liens sont tissés, elle reformate patiemment son compagnon en lui disant grosso modo, maintenant, on va faire comme ça. Sa contradiction à elle est qu'elle sera toujours nostalgique de la version précédente de son compagnon, et aussi de se plaindre que tout repose sur elle, etc. Le type Lionne aura une jalousie parfois très développée, mais au fond elle aimera que son compagnon montre une indépendance et une capacité de séduire. Le type Araignée sera moins encline à la jalousie, c'est plus de la possessivité, et lorsqu'elle en fera preuve, ce sera plus le fait que son compagnon puisse manifester cette indépendance hors de sa sphère de couple qui la gênera, au fond, qu'une réelle crainte de l'infidélité. Mais ce n'est qu'une analyse personnelle.
  9. Vous marquez un point. Je suis totalement d'accord pour ne pas culpabiliser les femmes, après, si discuter de manière critique de l'avortement en France en 2017 c'est forcément culpabiliser, il y a un souci. C'est moi qui tiens un discours critique sur l'avortement, et c'est vous qui faites les leçons de morales, comme quoi... Vous avez remarquer que j'essaie de discuter rationnellement, pas moralement. Je pense que c'est le symptôme d'un mal plus global, d'une société qui s'est perdue, quelque part, dans des illusions. Des solutions pratiques, il n'y en a pas, je n'ai aucune envie de forcer qui que ce soit à faire qui que ce soit. Je suis libéral, pas fasciste. Je discute plus dans l'espoir qui s’opère une prise de conscience que tout ne se limite pas qu'aux décisions individuelles, qu'on est pas sorti de l'histoire, que les lois de la démographie s'appliquent encore, ainsi que l'anthropologie, et que la cellule familiale reste la base de la civilisation et qu'on ne peut pas faire n'importe quoi avec ça sans avoir les conséquences derrière. Encore une fois, je pense qu'une société ayant des familles équilibrées de deux ou trois enfants, c'est mieux qu'une société de bobo quarantenaires nombrilistes, adulescents, et psychotique. Encore une fois d'un strict point de vue darwinien, je pense qu'on sera mieux armés ainsi. Mais c'est moi. Je n'ai pas contesté, d'ailleurs je tenais peu ou prou le même discours que vous a un pro avortement qui disait en gros que la personne qui baise et est fécondée de nos jours est complétement abrutie. Simplement que ce soit par accident ou par défaillance du moyen de contraception, je ne vois pas bien la différence. Je ne dis pas ce qu'une femme doit faire ou ne pas faire aujourd'hui, je pose simplement la problématique, car pour moi il s'agit d'une gigantesque problématique, qu'on arrive dans une société ou chaque année plus de 200 000 avortements sont pratiqués, et ou les modèles divers et variés sont en crise. Je pense que peut être, tout ceci est lié, même si il n'y a pas que ça. Un embryon peu importe le moment ou il devient humain, il va devenir humain. Je conçois très bien qu'on ne s'en émeuve pas, j'avoue que ça ne me laisse pas indifférent personnellement, mais le nier, c'est encore autre chose. Pas bien compris le propos. On ne parle pas d'opportunités, de sodomie, de fellation, de masturbation, mais d'une femme qui porte la vie en elle. concrètement. Et pourquoi plus de 200 000 d'entre elles, chaque année, décident de l'interrompre. J'aimerai comprendre, pour vous c'est plutôt positif, négatif, neutre ? Il faut vraiment être un enfoiré pour s'en inquiéter ? Se poser des questions ? Ca ne me fait pas plaisir, mais il me semble que mon raisonnement est assez clair, et se vérifie par les lois de l'histoire. Je ne gratifie pas spécialement les cathos, je ne suis pas catholique, et politiquement, ils ne sont pas de mon bord généralement, mais je remarque objectivement les faits. Les familles cathos tradis sont généralement pas mal d'enfants, ceux ci sont généralement mieux éduqués, leur mère se laisse globalement moins aller...Bref, c'est mon impression, je peux me tromper. L'être humain ne l'est pas, on est d'accord. Par contre l'être humain n'est pas une unité interchangeable. Des civilisations sont mortes pour des raisons de démographies. Si vous pensez qu'on est complétement à l'abri et qu'on peut se permettre de ne pas faire d'enfant en faisant venir des gens de tous horizons géographiques et culturels générations après générations sans qu'il y ait de conséquences notables, c'est très bien, mais vous vous trompez, tout simplement. Pas forcément non, mais je remarque qu'il y a quand même une tendance, mais c'est un simple avis. Pas parce que la foi catholique a quelque chose de particulier, je pense que ce serait pareil pour des protestant aux états unis, simplement que des principes un peu traditionnels ont, quoi que vous en disiez, leur avantages, du point de vue familial. Je crois en tout cas. Très bien, mais alors, ne parlons plus de rien. Ne pensons plus en terme de groupe humain. Ne pensons plus en terme de société. Ne pensons plus aux générations suivante. Chacun vis sa vie, sans réfléchir, hérite de ce que ses ancêtres ont bâtis, et en fait ce qu'il en veut. ET on verra combien de temps la plaisanterie dure. Non la survie n'est jamais finie. La volonté de laisser une postérité, un héritage, c'est la base du souci humain, à mon sens, et si cela disparait, il est juste qu'on créve et qu'on laisse la place à ceux qui ont encore ces préoccupations. Si j'ose, pour la premiére fois, je me risque a un jugement moral : la personne qui assume de ne pas vouloir d'enfants pour se consacrer à elle même jusqu'à la fin de sa vie, est le signe d'un narcissisme égotique anormal. Comment ne pas vouloir, a un certain moment de sa vie, ne pas transmettre, ne pas léguer, ne pas passer le flambeau ? C'est quelque chose que je ne comprends pas. L'avenir des gens qui ont peu d'enfant est bouché. C'est comme ça. Je dis cela sans plaisir particulier, je suis croyant, mais à choisir je préfère vivre avec un athée ou un non déiste qu'un illuminé ou un fasciste religieux qui s'interresse à ce qui se passe sous ma couette. L'individualisme ne sauve pas des lois démographiques et anthropologiques, donc c'est bien aussi de le modérer en pensant à l'avenir du groupe, de temps en temps. Mais si vous pensez qu'on ne vit dans aucun groupe et que nous sommes tous frères humains, qu'on se fera tous des bisous en célébrant notre humanité commune, c'est chouette.
  10. Vous êtes vraiment fatiguant comme obsessionnel compulsif.
  11. Vous avez un réel problème psychologique à traiter vous, je dis ça sans méchanceté. Penser que l'altérité masculine et féminine est mieux dans un contexte familial, et qu’effectivement, une cellule familiale stable, saine, et équilibrée est généralement plus souhaitable que de générations de bobos quarantenaires psychotiques et sans enfants, c'est être Civitas et extrême droite catho ? Je ne sais pas, franchement, quand je vois les femmes prendre la pilule tous les soirs, je me dis que si ça dépendait de moi, j'aurai semé des dizaines de gosses à travers France parce que l'organisation c'est pas mon fort, et il y aurait eu des oublis. Et dans le feu du moment, ouais, on peut s'oublier également. La capote c'est pas non plus génial niveau sensations; Je rajouterai que prendre la pilulle toute une vie, c'est pas non plus une pratique hyper saine du point de vue de la santé, alors la contraception, c'est pas sans faille, c'est pas génial, et je plains sincèrement les femmes d'êtres les premières concernées, surtout maintenant qu'elle savent pertinemment que 2 mecs sur 3 réagiront en se défilant, et pas seulement les coups d'un soir. Ceci dit c'est pas mal comme excuse, genre, "non ce soir on va faire ça comme ça parce que tu comprends, j'ai un coup de flip niveau contraception", je n'y avais jamais songé.
  12. Arrêtez de prétendre que parmi les 200 000 avortements en France chaque années, le gosse a très bien fait de ne pas naitre car sinon sa vie aurait été un enfer. Ce n'est pas vrai, et vous le savez très bien. Demandez par exemple aux enfants adoptés si ils préfèrent gérer leur traumatisme ou ne jamais être né... Vous parlez de cas particuliers, fort bien, je n'ai jamais prétendu qu'on devait supprimer l'avortement. Je vous proposais juste une réflexion sur les plus de 200 000 enfants qui auraient du naitre, chaque année. Je ne comprends pas le rapport avec parler de la problématique d'avortements massifs que nous connaissons en France et de la fiabilité de la contraception. Que ce soit par mégarde, ou par un stérilet défectueux, le résultat est le même : La grossesse, et ce qu'on en fait. Je viens de vous expliquer que les hommes étaient largement responsables de la situation de l'avortement en France, entre autre. Il ne s'agit nullement de culpabiliser la femme qui est face à ce choix.J e connais des tas de femmes et des tas d'hommes qui ne sont pas du tout pour interdire l'avortement, mais on un regard critique sur la manière dont il est pratiqué en France et sur ce qu'il dit sur une société malade, en crise, voire à l'agonie. Vous pensez que ça tiendra combien de générations, à ce rythme ? La naissance, la natalité, n'est pas un sujet qui ne peut qu’appartenir au titre individuel. Ce n'est pas simplement un accomplissement de soi, un choix personnel, une lubie, mais l'avenir d'un peuple dont il est question. Vous vous lavez les mains de cette perspective pour défendre le droit de l'individu à vivre la vie qu'il entends sans s'encombrer d'un enfant, tout le monde peut le comprendre, c'est une évidence. Mais ne faite pas semblant de ne pas savoir que les destinées individuelles ne sont pas les seuls enjeux de la question de la famille, des naissances, et de l'avortement. 200 000 par ans. En 5 ans ça représente la taille d'une ville comme Lyon d'enfant qui allaient probablement naitre, mais qui ne sont pas nés. Si vous pensez sérieusement que ça ne pose aucune question sur nos modes de vie en tant que société, en tant que cellules familiales, en tant que rapports hommes femmes, je crois que vous n'êtes simplement pas objective sur la question. Il y a un malaise. On peut aussi réfléchir sur comment on a pu arriver à créer une société ou avoir un enfant est affaire simplement de désir personnel, voire de caprice, et ne pas en avoir un choix comme un autre strictement personnel. Vous pouvez dire ce que vous voulez sur les cathos tradis et leurs femmes "moyen âgeuses", il n'empêche que quand j'en croise, il s'agit de familles, souvent avec des beaux enfants, bien éduqués, et avec une mère ne se laissant pas aller parce qu'elle compte uniquement sur la CAF et les allocs qui tombent à la fin du mois. Il y a peut être quelque chose à ne pas jeter dans cette démarche, même si personne ne souhaite revenir à l'époque ou sitôt le premier coup tiré, on pouvait dire qu'on risquait de se marier le mois d’après en cata pour assumer le môme né d'un soir festif. Je serais le premier à être d'accord sur le rôles des hommes, et ils ont pleinement une part de responsabilité de part une démission généralisée de ces messieurs qui se plaignent par ailleurs de ne pas trouver leur "virile" place, alors qu'ils laissent en plan le coup de la veille en considérant que ce n'est pas leur problème, puisque ce n'est pas leur corps. Par contre pour les deux secondes et demie, il faut mieux choisir, aussi. Opinion classique si vous permettez de quelqu'un qui se focalise sur la guerre des sexes, et l’intérêt court termiste de la femme d'un point de vie féministe tradi, purement individuel. Ce genre de point de vue, hélas, ne prends que rarement en compte les lois du darwinisme : les peuples qui ne font pas d'enfants sont remplacés dans l'histoire par ceux qui en font, et n'ont que peu de considération pour les conceptions féministes des gens qui ne laissent pas de descendance. C'est dur, mais c'est ainsi. Ainsi par exemple,l'avenir est aux religions, car les gens religieux font beaucoup plus d'enfants que les athées qui ont tendance à ne pas en faire. C'est bête, mais c'est ainsi. Mon opinion sur le sujet est que je ne souhaite pas revenir pour tout l'or du monde à la conception de la femme qui reste à la maison torcher les 8 mômes, mais des familles de deux ou trois enfants avec des parents équilibrés, sains, ayant une altérite dans le couple masculine et féminine. Je ne pense pas être un arriéré machiste fou, ça me semble être juste du bon sens. Si on y revient pas de toute façon, on mourra. C'est aussi simple que cela. Et là dedans essayer de faire baisser le nombre d'avortement est un préalable.
  13. Une manière comme une autre de se laver les mains de toute problématique qui concernerait le fait qu'on empêche plus de 200 000 gosses de naitre par ans. Vous ne trouvez pas qu'on vit dans une société un peu morbide ? On peut réfléchir et discuter honnêtement sans militantisme, sans jeter la pierre à qui que ce soit, sans faire de la légalisation ou non légalisation une position indépassable. d'ailleurs, les hommes sont aussi largement responsables de cette évolution dans le recours à l'avortement devenu d'une banalité qui ne peut qu'interpeller, encore une fois, lorsqu'on a un point de vue sain et non militant sur la question.
  14. J'ai toujours eu l'impression qu'il y avait une contradiction chez certaines femmes jalouses, je dirais, qu'un homme qui plait à d'autres femmes ou est capable de séduire lui accorde une aura de sex appeal au delà de la réaction négative primaire. D'ailleurs le manque de jalousie peut aussi signifier d'un point de vue négatif la conviction que les choses sont acquises, ou pire, que le conjoint n'a plus l'aura d'attractivité qui exciterait une jalousie. Après ça dépend si c'est une jalousie pathologique liée à une insécurité psychologique, etc.
  15. Entre militer pour l'avortement, et militer contre l'avortement, il y a un monde. Plus de 200 000 avortements, désolé, mais c'est énorme et la personne qui ne se dit pas qu'il y a un souci ou une problématique avec le fait d'empêcher de naitre plus de 200 000 gosses par ans n'a pas un point de vue tout à fait sain ou objectif sur la question.
  16. Actuellement ce sont les bavures des racailles qui sont couvertes, chez les flics, y'a de la marge. Type BHL qui n'a de cesse de cracher sur le sentiment national, patriotique, ou enraciné, mais qui somme les prolos blancs d'aller crever en Syrie ou en Libye pour les droits de l'homme en traitant les français de lâches si ils ne veulent pas y aller.
  17. Un conjoint qui se fout si on drague ou plait à droite ou à gauche, c'est plus dérangeant qu'autre chose.
  18. En fait la chose que je trouve amusante dans ce fait divers de femme tabassée par une bande de racaille car les pauvres sont ségréguées socialement, car cela n'a rien avoir avec l'ethnie n'est ce pas, c'est que ça se passe à Champigny sur Marne. Tu entends le nom de la bourgade, en tant que bon français, tu penses une petite nouvelle de Maupassant, l'art de vivre à la Française avec ses bals, sa douceur de vivre, etc. Et puis tu vois que dans la réalité qu'une bande de racaille à péter une salle parce qu'ils n'avaient pas le droit de rentrer, ont voulu lynché des flics dont une policière, et que parmi eux il n'y avait pas un blanc. Et tu te dis que les temps changent, mais surtout, les gens changent. Remplacés quoi.
  19. Je suis d'accord avec la partie en gras. Le reste c'est de la merde.
  20. Multiplions les foyers d'emmerdes, et ça ira mieux.
  21. Le charter me parait un traitement plus adapté.
  22. Pensez que sans réseaux sociaux qui diffusent les vidéos des agressions tout ceci serait nié ou minoré comme durant les trente dernières années. Un jour on finira comme l'Iran, c'est trop dangereux pour le pouvoir ces trucs.
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