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Tout ce qui a été posté par grandfred
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relis bien les liens que j'ai mis ici ! pas de lien de site anar !!!!! allez essayes encore une fois ! tu pourrais écrire en français ??? et tu n'as pas lu un seul article sur ce forum ! toi, tu sais que le fn dit toujours la vérité !! donc tu es un libéral pur jus style à droite du MEDEF !!! tu es pour le capitalisme !!!
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incroyable !! extrait Si le Rassemblement national (RN) est aujourd'hui en grande difficulté financière, à en croire sa patronne Marine Le Pen, ce n'est pas le cas de nombre de ses principaux dirigeants. Selon une étude de l'ONG Transparency International publiée le mardi 10 juillet et qui répertorie l'ensemble des revenus annexes touchés par les eurodéputés d'après leurs déclarations d'intérêts, les élus RN apparaissent en effet comme particulièrement prolifiques... en dehors des instances européennes. De nombreux eurodéputés proches de Marine Le Pen touchent ainsi des sommes colossales pour exercer des activités en plus de leur mandat. Leur job de député européen est pourtant censé être relativement prenant, et pas si mal payé puisqu'il est rémunéré 8.484,05 euros brut par mois, une somme à laquelle s'ajoute une indemnité mensuelle de 4.342 euros pour régler leurs frais. Ces élus empochent également 306 euros supplémentaires par jour de présence à Bruxelles ou à Strasbourg. Mais ce n'est manifestement pas suffisant pour certains… Un trio de lepénistes se classe ainsi en bonne place dans le "top 30" des députés européens aux revenus annexes les plus importants. L'eurodéputé lepéniste Jean-Luc Schaffhauser a en effet touché pas moins de 504.032 euros minimum en quatre ans, soit environ 10.500 euros mensuels, en tant que consultant pour plusieurs sociétés des Emirats arabes unis, dont MWD Dubai en entier sur https://www.marianne.net/politique/les-eurodeputes-lepenistes-ont-touche-18-million-de-revenus-annexes-depuis-leur-election ah ce parti des ""sans grade"", des ""humbles ""
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tu n'as pas lu la source que j'ai mis ?? il est vrai que dans une manif des trotskistes du NPA, des mecs sont venus criés ce slogan de merde ! je t'avais déjà donné la réponse du npa sur cette sombre histoire ! mais tu sembles oublié que Trotski, malgré son athéisme, était qualifié de juif par ta famille politique ! que de nombreux athées sont qualifiés de ""sale juif"" par ta famille politique ! et https://npa2009.org/idees/sur-lantisemitisme-par-michel-warschawski je donne des faits, des sources ! je n'imvente rien vu ton niveau de culture politique et générale, faut bien te donner des cours !!!
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un rappel Marine Le Pen est également soupçonnée d'avoir donné ou des instructions ou au moins d'avoir eu partiellement connaissance de l'utilisation frauduleuse des fonds européens. "Il faut d'urgence voir avec Marine" L'hebdomadaire cite notamment des mails envoyés par Charles Van Houtte, assistant fiscaliste installé en Belgique, à Wallerand de Saint-Just, expert comptable en France du parti. En 2012, un courriel évoque ainsi un basculement de contrats : "Wallerand, Marine demande que vous informiez les salariés. [...] il faut [...] faire des vases communicants pour ne pas dépasser le budget de 21 209 euros de dotations". En 2013, nouveau mail : "Bonjour Nicolas, je pense qu'il faut d'urgence voir avec Marine le problème des salaires. Il y a trop de monde sur son contrat et je pense que c'est pour cela que tu ne reçois pas ton argent. Il n'y a même plus d'argent pour payer nos frais de mission à Strasbourg. Il me semble qu'il faudrait que certains retournent sur les salaires du Front et, ce, si possible dès le mois d'octobre". Un autre mail envoyé par une employée du cabinet comptable à Marine Le Pen évoque un assistant qui n'est pas le sien : "Bonjour Marine, bonjour Louis, je vous prie de trouver ci-joint le renouvellement de la période d'essai de monsieur Laurent Salles comme convenu hier par téléphone…" Charles Van Houtte, fiscaliste belge et ancien administrateur du groupe "Europe des nations et des libertés", avait confirmé aux enquêteurs belges que certains contrats étaient "fictifs", ce qu'a toujours nié le Front national (actuel Rassemblement national). https://www.lalsace.fr/actualite/2018/06/26/assistants-parlementaires-fn-des-mails-accablants
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Publié le 09/07/18 à 18:38 Un ancien chargé de mission du Front national, Mickaël Ehrminger, a demandé à être entendu par l'Office européen de lutte anti-fraude (Olaf) dans l'affaire des emplois présumés fictifs de ce parti au Parlement européen, a-t-on appris lundi auprès de l'intéressé. M. Ehrminger a travaillé à mi-temps l'après-midi comme assistant de l'eurodéputé et vice-président du FN à l'époque, Florian Philippot, de septembre à décembre 2016. Le matin pendant la même période, il travaillait pour le FN. A partir de décembre 2016, il a travaillé à plein temps pour le parti. "Or les missions que me confiait Florian Philippot l'après-midi, quand j'étais sous contrat comme assistant parlementaire, relevaient d'activités purement partisanes, comme l'organisation d'événements pour la campagne présidentielle", raconte à l'AFP l'ancien chargé de mission. M. Ehrminger a effectué un "signalement de fraude" sur le site de l'Olaf et "demandé à être entendu". Il explique avoir été "indigné" par la lettre ouverte publiée dimanche par Marine Le Pen, présidente du FN devenu Rassemblement national, affirmant que ce dossier des assistants est "vide" et les faits "nullement établis". http://www.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/50007-rn-emplois-fictifs-parlement-europeen-charge-mission.html un petit rappel de 2017 extrait l est discret. Discret au sein du Parlement européen. Discret sur son blog, où il n’évoque jamais le député européen qui le rémunère pourtant environ 2.000 euros net par mois. Et discret jusque dans ses communications… Laurent Salles, assistant parlementaire du député européen Louis Aliot - le vice-président du Front national - de juillet 2014 à février 2015, n’a échangé qu’un seul SMS avec son "employeur" au cours de cette période. Hormis cet échange du 5 septembre 2014 à 14h38, aucun courrier, ni même aucun e-mail entre l’assistant et le député n’a été retrouvé par les enquêteurs. Une discrétion "susceptible de caractériser la nature fictive de l’activité parlementaire européenne de Laurent Salles", écrivent les policiers de l'OCLCIFF (spécialisés dans la lutte contre la corruption et les infractions financières), chargés d’enquêter sur les soupçons d’emplois fictifs du FN au sein du Parlement européen. https://www.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170411.OBS7855/un-assistant-parlementaire-du-fn-paye-31-000-euros-pour-un-sms.html ah ils sont beaux, ils sont bien gras !!!!! de vrais balkany ces frontistes !!!
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les morts aux juifs on les trouvent principalement chez tes potes anti juif, anti mariage pour tous !! extraits « La France aux Français, bleu, blanc, rouge », « CRS, milice des juifs », tels ont été les slogans criés par une partie de la foule progressiste réunie, dimanche à Paris, à l'occasion de Jour de colère. Militants anti-mariage gay, intégristes catholiques, bonnets rouges, familles ou encore soutiens à l'humoriste Dieudonné, étaient de sortie pour réclamer le départ du président de la République François Hollande. "Quenelles" et saluts nazis « Quenelles », saluts nazis et autres injures antisémites ont été lancés par certains manifestants. L'Union des étudiants juifs de France (UEJF), a condamné dans un communiqué « des slogans antisémites et les saluts nazis éffectués », comme en atteste ce cliché posté sur Twitter, par le journaliste Valentin Chatelier. « Ce jour de colère s'est transformé en jour de haine », a déclaré Sacha Reingewirtz, président de l'UEJF. http://www.terrafemina.com/societe/societe/articles/36869-jour-de-colere-les-pires-slogans-entendus-lors-de-la-manifestation.html il me manquait que tes copains du PIR !! la meilleure de l'année ! faut dire que pour les tentatives puériles de faire des bons mots, tu es le roi ! xénophobes = peur des étrangers !!! sur le fond de ce topic = rien d'intelligent à dire ??? alors un rappel = Les 12 millions de dette du RN, l’argument des juges pour saisir sa subvention Par Louis Hausalter Publié le 09/07/2018 à 18:01 Le Rassemblement national a reçu le document en courrier recommandé le jeudi 5 juillet. Une ordonnance par laquelle les juges d’instruction Claire Thépaut et Renaud Van Ruymbeke, qui enquêtent sur les soupçons d’emplois fictifs du RN au Parlement européen, ordonnent la saisie de deux millions d’euros de subventions publiquese que le parti devait percevoir cet été. Un « assassinat politique », s’est insurgée Marine Le Pen, qui assure que le RN sera « mort à la fin du mois d’août » sans cette aide publique attribuée en fonction du résultat des élections législatives de 2017. Les juges craignent la "dissipation" de l'argent Pourquoi cette saisie ? Dans leur ordonnance, les deux juges justifient notamment leur décision par « la situation d’endettement du parti ». Alors que le Parlement européen estime son préjudice à 7 millions d’euros pour la période 2009-2017, les magistrats craignent que la subvention attribuée au RN « soit affectée au remboursement d’emprunts » et que la « dissipation » de ces fonds empêche de récupérer des dommages et intérêts en cas de condamnation. https://www.marianne.net/politique/les-12-millions-de-dette-du-rn-l-argument-des-juges-pour-saisir-sa-subvention?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#Echobox=1531154325
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Les musulmans divisés sur le «nouvel antisémitisme»
grandfred a répondu à un(e) sujet de Dan229 dans Religion et Culte
«Le nouvel antisémitisme en France»: qui est vraiment dans le «déni de la réalité»? Nicolas Lebourg — 10 juillet 2018 à 7h00 — mis à jour le 10 juillet 2018 à 7h03 L’ouvrage collectif auquel ont collaboré Pascal Bruckner et Philippe Val est emblématique d'une approche complotiste à propos de l'aveuglement –notamment étatique– à l'antisémitisme musulman. ..........(..............)............. Parmi les affirmations martelées comme des vérités se trouve là aussi l’accusation contre des médias qui feraient tout pour cacher l’antisémitisme musulman. Il est affirmé par plusieurs auteurs et autrices que parmi les candidates et candidats à la présidence de la République, seule Marine Le Pen aurait eu le courage de dénoncer cet antisémitisme, les autres étant censés ne pas avoir voulu s’aliéner le vote musulman. Personne ne paraît avoir envisagé que la candidate ait quant à elle voulu fédérer les votes islamophobes, d’une part parce que l’islamophobie n’existerait pas et d’autre part parce que seuls les candidate et candidats non issus de l'extrême droite suivraient des stratégies lors des élections. ......(.........)........ L’absence de données vise évidement à renforcer les présupposés. La vulgate sur «le nouvel antisémitisme» affirme que tous les faits de violence relèvent des Arabo-musulmans, dans une vague lancée avec la seconde intifada en 2000 –année où les violences antisémites sont multipliées par six en France. On a rappelé dans cet article que les statistiques produites grâce au travail des forces de police et de gendarmerie ne désignaient pas ce groupe ethno-culturel comme ayant le monopole de la violence antisémite, tandis que les enquêtes d’opinion montraient une polarisation de l’antisémitisme à l’extrême droite ainsi qu’un fort préjugé sur la puissance des juifs chez les Français issus de l’immigration en provenance du sud et de l’est de la Méditerranée. Sur les réseaux sociaux, ces statistiques sont souvent accusées d’être truquées par celles et ceux qui se disent hors déni, face au réel. Sur le plan pratique, cette affirmation impliquerait qu’un réseau serait à l’œuvre dans les commissariats, les casernes de gendarmerie et les tribunaux pour organiser la non-classification de dépôts de plainte, avec la complicité des médias et malgré les alternances politiques. Il s’agit encore d'une théorie du complot ou, si l’on veut affiner, d'une crise épistémologique et d'un doute systématique pointés par le spécialiste de relations internationales Olivier Schmitt. en entier sur http://www.slate.fr/story/164336/societe-nouvel-antisemitisme-france-ouvrage-manifeste-musulman-gauche-conspirationnisme-islamophobie-theorie-complot-deni-realite -
Policiers "agressés" en Seine et Marne : le contexte que les medias n'ont pas raconté Affaire des policiers agressés » La version policière qui ne colle pas avec la versions des 2 jeunes Le lendemain de la mort d’Aboubakar a Nantes, nous avons eu le droit dans toute la presse une information concernant « Les policiers agressés » et de l’indignation de la part de nos dirigeants politiques, jusqu’au Président de la république qui s’est exprimé en juge suprême. Nous avons pu avoir la version de l’un des 2 frères à travers une lettre qu’il nous a transmis , en effet on s’interroge sur la crédibilité de la version policière qui n’a absolument rien à voir avec la version des 2 frères. Affaire à suivre...pour la manifestation de la vérité. La version policière VS La version des jeunes Vos pronostics? Article : Deux personnes ont été placées en détention, le 8 juillet, après ce que les medias ont appelé "l'agression d'un couple de policiers", et qui a suscité de nombreuses réactions politiques. Aucun journaliste n'avait recueilli la version des deux mis en examen, qui diffère de celle de la police. La voici. L’information a fait grand bruit : un couple de policiers en civil aurait été agressé sous les yeux de leur petite fille à Othis, en Seine-et-Marne. Ce mercredi 4 juillet 2018, alors qu’ils venaient de récupérer la fillette au domicile de leur assistante maternelle, ils auraient été violemment pris à partie par deux "trafiquants de stupéfiants". La presse évoque d’abord "un guet-apens préparé et prémédité" avant de signaler qu’il pourrait s’agir d’une "rencontre fortuite". Le mobile avancé, lui, reste le même : les deux suspects auraient voulu se venger d’un contrôle d’identité ayant dégénéré quelques semaines plus tôt.  LE PARISIEN, 5 JUILLET 2018 Capture d'écran Très médiatisée, cette affaire a suscité un vif émoi… et de nombreux commentaires politiques. Il faut dire qu’elle intervient dans un contexte médiatique particulièrement tendu : à Nantes, la mort d’Aboubakar Fofana, tué d’une balle dans la carotide par un CRS lors d’un contrôle routier, a embrasé les quartiers populaires de la ville. Devant l'homicide et les incohérences de la version officielle, commerces, lieux associatifs, voitures, sont incendiés. Devant l'accumulation des témoignages, le policier va plus tard changer de version, passant d'un tir "en légitime défense" à un tir "par accident". En attendant, le 4 juillet, pour de nombreux medias, l'affaire d'Othis est traitée comme une "seconde agression anti-flic". À droite comme à gauche, les condamnations de cet acte "terrifiant et révoltant", pour reprendre les termes d’Éric Ciotti, "épouvantable et abominable", pour reprendre ceux de Benoît Hamon, se multiplient. Le président de la République se fend lui-même d’un tweet fustigeant "l’ignominie et la lâcheté des deux voyous" et promet qu’ils seront "retrouvés et punis". Une affaire d’État donc…  EMMANUEL MACRON SUR TWITTER, 5 JUILLET 2018 Capture d'écran Pourtant, les accusés - que personne n’a cherché à entendre - livrent une version plus complexe de cette histoire. Impossible de la raconter sans remonter à son origine. UNE INCROYABLE COÏNCIDENCE Tout commence à la cité du Gros-Saule, à Aulnay-sous-Bois, où grandissent Sébastien* et Adrien*, les deux frères aujourd’hui accusés de violences. Dans ce quartier, comme dans tant d’autres, les interactions conflictuelles avec les forces de l’ordre sont quotidiennes. Les habitants dénoncent des nterventions policières brutales, abusives ou discriminantes. De leur côté, les forces de l'ordre se plaignent d' insultes et de provocations régulières. Parce qu’elle y travaille depuis des années, Sophie*, la brigadière qui accuse les deux Aulnaysiens de l’avoir agressée à Othis, est connue dans cette cité. Sebastien, aujourd’hui âgé de 27 ans, l’a croisée à plusieurs reprises, notamment dans le cadre de contrôles d’identité. En 2014, leur relation va considérablement se tendre… du fait d’une incroyable coïncidence. En février, Sébastien et Adrien suivent le mouvement familial et emménagent à Othis, petite commune de Seine-et-Marne. Seulement voilà, la maison dans laquelle s’installe cette famille d’origine portugaise est très proche du logement de la brigadière. Cette proximité, Sophie et les deux frères la découvrent de manière fortuite, en se croisant quelque temps après le déménagement. D’après Adrien, la policière, inquiète, en aurait aussitôt référé à ses collègues. Ces derniers attendent que les deux frères soient de passage à Aulnay-sous-Bois pour aller leur en toucher un mot. "On était en voiture avec Sébastien, ils nous ont interceptés à un rond-point et nous ont demandé de sortir du véhicule" raconte Adrien. Quatre agents sont présents : deux procèdent au contrôle d’identité du cadet et deux autres discutent avec l’aîné. "C’était juste pour le menacer, ils lui ont dit «si jamais il arrive quelque chose à notre collègue, c’est toi qui prendras.»" Ce à quoi Sébastien aurait répondu qu’il n’est "pas un gamin", qu’il ne va "rien faire du tout"et qu’il connaît très bien les risques encourus. Chacun semble donc savoir à quoi s’en tenir. D’ailleurs, durant les années qui suivent, si la tension reste palpable entre les policiers et Sebastien, qui se croisent notamment dans son ancien quartier où il a conservé des attaches, aucun incident majeur n’est à signaler. Du moins jusqu’au 17 mai 2018… "VIOLENCES GRATUITES" SUR UN CHIEN Ce matin-là est tendu à la cité du Gros Saule. D’après Le Parisien, unique média à évoquer ces faits à l’époque, "la seule présence de quatre fonctionnaires à pied aurait suffi à susciter un attroupement." Ahmed*, un habitant du quartier, tempère : "ces policiers viennent tous les jours, contrôlent tous les jours, mettent tout le monde à l’amende...c’est ça qui suscite et a suscité les tensions." Alors que le groupe de policiers et les jeunes s’invectivent, Bakary sort de son immeuble pour aller promener son chien, un American Staffordshire (dit Amstaff). Parce que c’est sur son chemin, explique-t-il, il est obligé de passer à proximité du point de tension. D’après les policiers, c’est là qu’il aurait ordonné à son animal de les attaquer.  ARTICLE DU PARISIEN, 17 MAI 2018 Capture d'écran Lui, et au moins un témoin que nous avons pu interroger, nient ces accusations : "ils étaient sur mon passage, je pouvais pas passer ailleurs… mais je les ai pas du tout calculés. J’ai pas dit un seul mot." Il reconnaît, en revanche, que son Amstaff n’était pas tenu en laisse, contrairement à l'obligation. En le voyant arriver, Sophie, qui fait partie des quatre officiers présents sur les lieux, lui aurait d’ailleurs crié "tiens ton chien en laisse !". Mais avant même qu’il ait eu le temps de réagir, elle aurait dégainé son arme et tiré sur le chien. L’Amstaff ne bouge plus. La tension monte d’un cran. Les jeunes reprochent à la brigadière des "violences gratuites" contre un chien qui "ne lui aurait rien fait". Au milieu des insultes, elle aurait entendu cette phrase qui va tout faire basculer : "on sait où tu habites". Bakary ne sait plus si ces propos ont été tenus : "franchement, je vais pas mentir, je ne sais pas… j’étais ailleurs, je voulais juste un vétérinaire pour mon chien." Dans son article du 17 mai 2018, Le Parisien, qui a comme toujours (ou presque) relaté les faits en s’appuyant uniquement sur la version policière, ici sous le titre “"un Amstaff se jette sur des policiers"”, ne fait pas mention de ces menaces. "ON LUI A CONSEILLÉ D’ALLER VOIR LES POLICIERS DIRECT POUR S’EXPLIQUER" Quoi qu’il en soit, elles semblent être prises très au sérieux, d’autant que pour Sophie, l’homme qui a tenu ces propos n’est autre que… Sébastien. Le hic c’est que, selon lui, ni lui ni son frère n’étaient là au moment des faits. Le manutentionnaire était sur son lieu de travail et assure pouvoir le prouver. Ahmed, l’un de ses amis, raconte : "après ces accusations, des policiers sont allés sonner chez lui. Il était pas là mais c’est son père qui l’a prévenu. Il était choqué, il savait pas quoi faire. On lui a conseillé d’aller voir les policiers direct pour s’expliquer." Sur les conseils de ses proches, Sébastien se présente donc au commissariat. Il explique qu’il n’a absolument "rien à voir avec les faits" qui lui sont reprochés et que son employeur peut fournir toutes les attestations nécessaires, y compris des images de vidéosurveillance. Là, un policier lui aurait demandé de le suivre pour une discussion en tête à tête. Selon les proches de Sébastien avec lesquels nous avons pu nous entretenir, le policier se serait enfermé dans une salle avec lui, lui aurait demandé de retirer sa casquette, aurait lui-même déposé son ceinturon de policier pour un "face à face d’homme à homme" puis lui aurait asséné plusieurs gifles. "Ils avaient rien mais il voulait lui remettre la pression" souligne Adrien, "il lui a redit qu’il avait pas intérêt à balancer l’adresse de la policière." Après ce violent rappel, Sébastien est relâché. Sans procès-verbal ni aucune poursuite. Du moins pour l'instant. S'il est établi qu'il n'était pas présent lors de l'altercation du 17 mai, il pourrait avoir communiqué l'adresse de la policière à des proches du quartier. C'est ce dont il semble être soupçonné. "ON N’A VU AUCUN ENFANT SUR LES LIEUX" Le 4 juillet 2018, l’accalmie qui s’était installée depuis la séance du commissariat prend fin. Il est 20h quand son frère et lui rentrent du travail. Au domicile familial, une amie attend l’aîné pour lui couper les cheveux et tailler sa barbe. "Ensuite, on a tous mangé, et à 21h00 je suis sorti de chez moi avec mon frère" retrace le principal accusé dans une lettre qu’il a adressée à Amal Bentounsi, porte-parole du Collectif Urgence Notre Police Assassine, avant son interpellation. Les deux frères sortent faire un tour en voiture. C’est Adrien qui conduit. Ils expliquent avoir fait "50 mètres à peine" quand ils croisent la brigadière et deux autres hommes. Ils reconnaissent Sophie mais ne savent pas encore qui sont les personnes qui l’accompagnent. Interrogé sur la présence d’une fillette, Adrien assure : "nous, c’est sûr et certain, on n’a vu aucun enfant sur les lieux. On a appris dans la presse qu’ils disaient que leur fille était présente mais vraiment, on ne l’a pas vue." Cela pourrait s’expliquer par le fait que la fillette était attachée à l’arrière de la voiture de ses parents au moment de l’altercation. Qu’a-t-elle vu depuis sa position ? La question reste entière. Si les policiers assurent que les deux frères les ont d'emblée agressés, la version de ces derniers est différente : en les voyant arriver, l’homme qui s’avérera être le compagnon de la brigadière, leur aurait intimé de s’arrêter puis se serait dirigé vers le côté passager du véhicule. "Il est allé voir Sébastien directement et lui a dit «toi tu sors de la voiture, on va parler»" raconte Adrien. L'aîné s’exécute. Les deux hommes se mettent légèrement en retrait, sur le trottoir voisin. Le policier -en civil- veut régler ses comptes avec Sébastien qu’il croit toujours être l’auteur des menaces proférées le 17 mai. Il l’attrape par le col, le soulève et lui demande : "quand ma femme était là le vendredi de l’histoire, pourquoi tu lui as dit «on sait où tu habites, on va venir chez toi ?»" À nouveau, Sébastien répond qu’il n’a jamais menacé Sophie, qu’il n’était pas là le jour des faits, et qu’il a déjà fourni les preuves. Le ton monte. "Mon frère lui disait : «je sais très bien ce que tu cherches, je vais pas tomber dans le piège». En fait, le policier le provoquait pour qu’un coup parte" précise Adrien, "il lui a même lâché des « là, je suis pas en tenue, si je veux je te nique ta mère»." Sophie se serait alors interposée devant la vitre d’Adrien pour l’empêcher de voir la scène. "Ça va trop loin" pour le cadet qui décide de sortir. "Je suis allé les voir, je lui ai dit «lâche mon frère», j’ai pris son bras pour l’arrêter et là, il s’est retourné et m’a mis un coup de tête." Sébastien saisit alors le policier en civil et lui assène, de son propre aveu, "deux ou trois coups à la tête". La bagarre qui s'ensuit est violente : la policière se verra prescrire quatre jours d'interruption totale de travail, et quinze pour son compagnon. Alertés par les cris, plusieurs voisins interviennent pour les séparer. "Les voisins ont calmé le jeu puis chacun est rentré chez soi. Nous on est retourné à la maison." "ILS SONT ALLÉS JUSQU’À FILMER MON PAS DE PORTE POUR LEURS REPORTAGES!" C’est, effectivement, à son domicile que Sébastien sera interpellé vendredi matin. Adrien, lui, recevra un appel un peu plus tard lui demandant de se présenter devant l’Officier de Police Judiciaire samedi 7 juillet à 9 heures précises. Des policiers viendront finalement l’interpeller chez lui, à Othis, dans la nuit de vendredi à samedi. "On n’a pas compris ce changement de plan" explique la mère de Sébastien et Adrien, "quand j’ai demandé des informations, on m’a dit que les ordres venaient «d’en haut»". De toute cette histoire, elle se dit "révoltée par l’injustice" que subissent ses fils et par la manière dont les médias ont relaté les faits. "Vous vous rendez compte de comment ils nous ont salis ? Quand j’entends les médias dire que mes enfants sont des voyous alors qu’ils n’ont qu’une seule partie de l’histoire. Ils sont allés jusqu’à filmer mon pas de porte pour leurs reportages!" Le traitement médiatique a, en effet, comme très souvent dans ce genre d’affaires, de quoi interroger. Il s’est fait exclusivement à charge, en reprenant sans contradiction les sources policières. Aucun des médias qui a relaté cette histoire d’agression présumée n’a jugé utile de recouper les déclarations, d’aller à la rencontre de la famille, d’interroger d’éventuels témoins. La prise en compte des explications fournies par les deux accusés permet de nuancer l’appréciation des faits : cette "agression" prétendument motivée par les fonctions de Sophie et de son compagnon pourrait être, en réalité, une "bagarre". D'abord présenté comme "préméditée", la rencontre, à ce moment précis, pourrait être totalement fortuite. Sur ce point, il faut noter que la correction a déjà été faite dans nombre de médias. Mais, on le sait, les amendements n’ont jamais le même impact que les premières déclarations. S’agissant de la petite fille du couple, qui rappelons-le, était attachée à l’arrière du véhicule de ses parents au moment des faits, rien ne permet d’affirmer qu’elle a assisté à la scène. Par ailleurs, contrairement à tout ce qui a pu être écrit sur le sujet, les deux frères n’ont jamais été entendus, poursuivis ou jugés pour des affaires liées à du trafic de stupéfiants. Si l’aîné a effectivement un casier judiciaire, pour des faits de violence remontant à 2014, celui d’Adrien ne comporte aucune mention. Seule « erreur de parcours » : une ordonnance pénale pour conduite sous l'emprise de stupéfiants. Enfin, contrairement à ce que Emmanuel Macron (et toute la presse) ont écrit, la police n'a pas eu à “"retrouver"” les deux frères, qui n'ont jamais quitté leur domicile et leur lieu de travail. Ce dimanche, alors que les deux frères, déférés au parquet de Meaux, étaient incarcérés et mis en examen pour « violences en réunion sur personnes dépositaires de l’autorité publique, ayant entrainé une ITT», leur avocate, Me Louise Tort a vivement dénoncé “« l’instrumentalisation médiatique et politique de cette affaire. »” Selon elle, “« on a transformé une bagarre de rue en scénario de violences contre des policiers pour éteindre les événements survenus à Nantes. » ”Les deux frères seront jugés en comparution immédiate mercredi 11 juillet. * Les prénoms ont été modifiés. (Par Sihame Assbague) POLICIERS "AGRESSÉS" EN SEINE ET MARNE : LE CONTEXTE QUE LES MEDIAS N'ONT PAS RACONTÉ https://www.arretsurimages.net/…/policiers-agresses-en-sein… source =
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Le parlement européen réclame 339000 euros à la présidente du FN
grandfred a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans Politique
14 mises en examen Les juges d'instruction, qui ont pour l'heure procédé à 14 mises en examen, enquêtent sur un possible "système" organisé pour rémunérer des permanents du parti avec les fonds européens réservés à l'embauche d'assistants parlementaires. En tout, 17 élus ou ex-élus, dont Marine Le Pen, Jean-Marie Le Pen, Louis Aliot et Florian Philippot, et une quarantaine d'assistants seraient concernés. Voici les mises en examen prononcées, dans l'ordre chronologique : 22 février 2017 : Catherine Griset, cheffe de cabinet de Marine Le Pen, pour recel d'abus de confiance. En pleine campagne présidentielle, Marine Le Pen dénonce une "cabale politique". Salariée de 2010 à 2016 par le Parlement européen, Catherine Griset avait également des activités au sein du parti. La liste des entrées et sorties du Parlement n’a gardé que peu de traces des passages de madame Griset : 3 heures seulement, entre le 1er octobre et le 31 décembre 2014. Comme révélé par "l'Obs", Catherine Griset a une explication très personnelle : "Je rentrais par le parking, dans la même voiture que Madame Le Pen"... .......(.......)....... . 3 juillet 2017 : Marine Le Pen, ex-eurodéputée et présidente du FN, pour l'emploi présumé fictif de son assistante Catherine Griset. Courant juillet 2017 : Loup Viallet, ex-assistant parlementaire de Dominique Bilde, et Laurent Salles, ex-assistant de Louis Aliot, pour recel d'abus de confiance ....-........'(.........)....... Thierry Légier, garde du corps de Marine Le Pen, pour recel d'abus de confiance. Cette mise en examen concerne son emploi d'assistant parlementaire aux côtés notamment de Jean-Marie Le Pen et de Marine Le Pen alors qu'il occupait en réalité les fonctions de garde du corps du co-fondateur du FN puis de sa fille, à compter de 2011. ....(.........)... en entier sur https://www.nouvelobs.com/politique/20180709.OBS9423/affaire-des-assistants-fantomes-du-fn-la-liste-des-14-mises-en-examen.html ah ils sont beau ! ah ils sont bien gras ces gros cochons !!! -
Le parlement européen réclame 339000 euros à la présidente du FN
grandfred a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans Politique
un petit rappel de 2017 extrait l est discret. Discret au sein du Parlement européen. Discret sur son blog, où il n’évoque jamais le député européen qui le rémunère pourtant environ 2.000 euros net par mois. Et discret jusque dans ses communications… Laurent Salles, assistant parlementaire du député européen Louis Aliot - le vice-président du Front national - de juillet 2014 à février 2015, n’a échangé qu’un seul SMS avec son "employeur" au cours de cette période. Hormis cet échange du 5 septembre 2014 à 14h38, aucun courrier, ni même aucun e-mail entre l’assistant et le député n’a été retrouvé par les enquêteurs. Une discrétion "susceptible de caractériser la nature fictive de l’activité parlementaire européenne de Laurent Salles", écrivent les policiers de l'OCLCIFF (spécialisés dans la lutte contre la corruption et les infractions financières), chargés d’enquêter sur les soupçons d’emplois fictifs du FN au sein du Parlement européen. https://www.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170411.OBS7855/un-assistant-parlementaire-du-fn-paye-31-000-euros-pour-un-sms.html -
Le parlement européen réclame 339000 euros à la présidente du FN
grandfred a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans Politique
ahahahahhahahah têtes hautes, mains propres ??? ahahahahah extrait Publié le 09/07/18 à 18:38 Un ancien chargé de mission du Front national, Mickaël Ehrminger, a demandé à être entendu par l'Office européen de lutte anti-fraude (Olaf) dans l'affaire des emplois présumés fictifs de ce parti au Parlement européen, a-t-on appris lundi auprès de l'intéressé. M. Ehrminger a travaillé à mi-temps l'après-midi comme assistant de l'eurodéputé et vice-président du FN à l'époque, Florian Philippot, de septembre à décembre 2016. Le matin pendant la même période, il travaillait pour le FN. A partir de décembre 2016, il a travaillé à plein temps pour le parti. "Or les missions que me confiait Florian Philippot l'après-midi, quand j'étais sous contrat comme assistant parlementaire, relevaient d'activités purement partisanes, comme l'organisation d'événements pour la campagne présidentielle", raconte à l'AFP l'ancien chargé de mission. M. Ehrminger a effectué un "signalement de fraude" sur le site de l'Olaf et "demandé à être entendu". Il explique avoir été "indigné" par la lettre ouverte publiée dimanche par Marine Le Pen, présidente du FN devenu Rassemblement national, affirmant que ce dossier des assistants est "vide" et les faits "nullement établis". http://www.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/50007-rn-emplois-fictifs-parlement-europeen-charge-mission.html -
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Les 12 millions de dette du RN, l’argument des juges pour saisir sa subvention Par Louis Hausalter Publié le 09/07/2018 à 18:01 Le Rassemblement national a reçu le document en courrier recommandé le jeudi 5 juillet. Une ordonnance par laquelle les juges d’instruction Claire Thépaut et Renaud Van Ruymbeke, qui enquêtent sur les soupçons d’emplois fictifs du RN au Parlement européen, ordonnent la saisie de deux millions d’euros de subventions publiquese que le parti devait percevoir cet été. Un « assassinat politique », s’est insurgée Marine Le Pen, qui assure que le RN sera « mort à la fin du mois d’août » sans cette aide publique attribuée en fonction du résultat des élections législatives de 2017. Les juges craignent la "dissipation" de l'argent Pourquoi cette saisie ? Dans leur ordonnance, les deux juges justifient notamment leur décision par « la situation d’endettement du parti ». Alors que le Parlement européen estime son préjudice à 7 millions d’euros pour la période 2009-2017, les magistrats craignent que la subvention attribuée au RN « soit affectée au remboursement d’emprunts » et que la « dissipation » de ces fonds empêche de récupérer des dommages et intérêts en cas de condamnation. https://www.marianne.net/politique/les-12-millions-de-dette-du-rn-l-argument-des-juges-pour-saisir-sa-subvention?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#Echobox=1531154325 -
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extrait ur quoi porte l'enquête ? Les juges d'instruction enquêtent sur un possible "système" organisé pour rémunérer des permanents du parti avec les fonds européens réservés à l'embauche d'assistants parlementaires. 17 élus ou ex-élus et une quarantaine d'assistants parlementaires sont concernés. L'enquête a été déclenchée en 2015 après un signalement de l'ex-président socialiste du Parlement européen, Martin Schulz. Le préjudice estimé pour le Parlement européen est de 7 millions d'euros. 2Qui sont les mis en examen et que leur reproche-t-on ? Plus de 10 personnes, dont une personne morale, le Rassemblement national, sont mis en examen dans cette affaire. Parmi elles, la présidente du RN Marine Le Pen, mise en examen en juin 2017 pour "abus de confiance", son vice-président Louis Alliot, mis en examen pour "abus de confiance" le 22 décembre 2017, Bruno Gollnisch, mis en examen le 6 juillet dernier pour "abus de confiance" En mars 2017, Catherine Griset et Charles Hourcade ont aussi été mis en examen. La première est soupçonnée d'avoir été salariée comme assistante parlementaire de Marine Le Pen entre 2010 et 2016 alors qu'elle effectuait des activités au sein du parti. Le second, graphiste du Front national, n'a eu aucun contact avec la députée pour laquelle il était censé travailler comme assistant. en entier sur https://www.nouvelobs.com/politique/20180709.OBS9378/assistants-parlementaires-fictifs-du-fn-4-questions-sur-une-affaire-tentaculaire.html?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#Echobox=1531152429 -
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grandfred a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans Politique
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Après les attentats de janvier 2015 contre Charlie Hebdo et l'Hyper Cacher de la porte de Vincennes, il s'associe aux Volontaires pour la France (VPF), dont les fondateurs sont le général Antoine Martinez et Ivan Blot, l'un des fondateurs du Club de l'Horloge, qui se réclame du national-libéralisme. Les VPF forment une association légale voulant "combattre des politiques calamiteuses et dangereuses, insouciantes des dangers que représente l'immigration massive et incontrôlée, à l'origine inquiétante de l'islamisation dangereuse du pays", selon les termes de l'un de leurs communiqués. A l'automne 2017, pour des raisons encore indéterminées, Guy Sibra quitte les VPF pour créer l'AFO. Le groupuscule est très vite placé sous surveillance par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) jusqu'aux dix interpellations, samedi 23 juin. https://www.lejdd.fr/societe/ultradroite-qui-est-lex-policier-qui-dirigeait-le-groupe-antimusulman-afo-3698312
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donc les services secrets ont menti ?? le juge lui aussi est un menteur ?? pufff ta haine t'aveugle ! quand je combats dieudo et les autres antisémites ( genre le PIR ou d'autres) je viens au secours de la soi disante communauté juive ?? je combat les idées des fachos, les fachos car cela me révulse ! c 'est une question de déontologie, d'idéaux ! les couilles ne secrètent pas le courage ! sinon 51 % de la population mondiale n'aurait ainsi pas de courage ?? ah ce sexisme ! je donne des sources à lire ! je ne grossis ou déforme rien du tout ! toi, tu es très mal placé pour parler de déontologie, ! toi le diffuseur de mensonges, d'hoax, d'amalgame et cie !!
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ferrat n'a jamais hésité à dénoncé les crimes en urss !! relis un peu sa discographie !! par contre toi ! oui toi ! tu n'as pas répondu à cela dans un de mes coms récent = extrait Lundi après-midi, le site web de ce mouvement, baptisé AFO, "a été remis à jour et il a été enrichi d'une rubrique appelée judaïsme, ce qui montre que le groupe ne s'intéresse pas qu'aux musulmans", précise ce spécialiste des nationalismes. https://www.msn.com/fr-fr/video/actualite/ultra-droite-afo-sintéresse-aussi-au-judaïsme-selon-son-site-web-qui-est-toujours-actif/vp-AAzbclA alors tu es complaisant avec ces fachos d'AFO ou quoi ??
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Le parlement européen réclame 339000 euros à la présidente du FN
grandfred a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans Politique
POLITIQUE - Les juges d'instruction financiers parisiens ont retenu, dans l'affaire des assistants présumés fictifs d'eurodéputés FN, 2 millions d'euros de subventions publiques qui devaient être versées lundi 9 juillet au Rassemblement national (RN, ex-FN), a-t-on appris ce dimanche 8 auprès de responsables du parti, confirmant une information de BFMTV. Dans une ordonnance datée du 28 juin, les juges d'instruction "ont ordonné la saisie pénale d'une somme destinée au Front national au titre de l'aide publique apportée aux partis pour un montant de deux millions d'euros", a indiqué une source proche du dossier. https://www.huffingtonpost.fr/2018/07/08/rassemblement-national-la-justice-saisit-2-millions-deuros-marine-le-pen-denonce-un-assassinat_a_23477141/?ncid=fcbklnkfrhpmg00000001 ahahahahahahahahahahahhahhahahahahah -
c 'est aux services secret et au juge que tu dois t'en prendre !! je l'ai mis en connaissance de cause ! et je suis d'accord avec Camus ... dont je suis depuis 30 ans les écrits, les études ! heureusement que ces fachos soient encore trop bastringue ! pas la peine de rajouter de l'horreur à celles des fachos islamistes ! mais, sur ce topic, j'ai rappeler d'autres faits , d'autres crimes venant de l'extrême droite ! et nous ne devons pas prendre à la légère ce groupe AFO
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je cite l'article de départ de ce topic = Ces interpellations ont été menées samedi soir par des policiers de la DGSI sur commission rogatoire d'un juge antiterroriste, dans le cadre d'une information judiciaire ouverte à Paris le 14 juin du chef d'"association de malfaiteurs terroriste criminelle", a indiqué une source judiciaire. Des armes saisies lors de différentes perquisitions Les suspects avaient "un projet de passage à l'acte violent aux contours mal définis à ce stade, ciblant des personnes de confession musulmane", a précisé une des sources proches de l'enquête. Les surveillances de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) ont montré qu'"ils étaient organisés et en lien pour éventuellement commettre des actions violentes contre des cibles présumées en lien avec l'islam radical", a indiqué une autre source proche de l'enquête. donc le juge anti terrorisme est un islamo gaucho ??? quel son les âges de ces fachos ? extrait La garde à vue de ces neuf hommes et une femme, âgées de 32 à 69 ans https://www.20minutes.fr/faits_divers/2296167-20180625-video-ultradroite-cache-derriere-afo-groupuscule-prevoyait-prendre-musulmans ah ce déni !!!! sinon = extrait Lundi après-midi, le site web de ce mouvement, baptisé AFO, "a été remis à jour et il a été enrichi d'une rubrique appelée judaïsme, ce qui montre que le groupe ne s'intéresse pas qu'aux musulmans", précise ce spécialiste des nationalismes. https://www.msn.com/fr-fr/video/actualite/ultra-droite-afo-sintéresse-aussi-au-judaïsme-selon-son-site-web-qui-est-toujours-actif/vp-AAzbclA