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Tout ce qui a été posté par Genesiis
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Don Juan : Oui, je ne crois qu'en l'illusion du choix. Comment prétendre à la perception et à la conscience de tout ce qui se passe en nous et autour de nous ? Comment imaginer que l'homme est sa propre origine, sa propre route, son propre destin ? Un milliard de choses invisibles et inconnaissables nous précèdent, nous accompagnent et nous suivent. genesiis : Déterministe ? N'avez-vous pas choisi d'être déterministe ? De considérer qu'une apparence de choix est une illusion. Quoiqu'il en soit, n'es-ce pas là un maître ? --- Ne pas trop emmerder ses voisins est un idéal difficile de nos temps.
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De tous les choix ?
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genesiis : Je ne sais plus qui a déjà fait cette analyse mais en voici quelque substance : L'homme serait moins qu'un homme s'il n'avait pas d'idéal. Car c'est bien cela qui nous différencie (intellectuellement) des autres animaux (du monde). Ainsi même la bestialité, ceux qui se laissent glisser, peu devenir un idéal et donc un maître pour nous. Il ne nous reste plus donc qu'à choisir notre maître ; se persuader qu'on ne fait pas de choix est un choix. L'argent me semble plus un instrument de pouvoir que réellement un dieu ; peut-être parce-que j'ai trouvé l'idéal de conscientiser la sentience en accord avec l'idée de l'Eternel. Don Juan : Ainsi donc la capacité de rêver à un idéal serait ce qui nous différencie des autres animaux ? Ce qui nous fait conserver notre animalité malgré tout, si je vous comprends bien ? Pourtant, je suis sûr d'avoir surpris mon chien et mon cheval dans la construction d'un idéal. Pour mon chien, il s'agissait d'une meilleure vie et pour cela s'en alla s'acoquiner avec une louve. Pour mon cheval, il opta pour une liberté de mouvement élargie et me faussa compagnie. Certes, nos idéaux humains n'ont rien à envier à ces petits fantasmes de bêtes sans culture, mais ce que je ne comprends pas bien, c'est pourquoi nous faudrait-il choisir un maître comme idéal supérieur ? genesiis : Votre sarcasme répond fort bien à mon ironie ! Oui, nous ne sommes pas si différents du reste du monde (tout) sDlv, ce qui n'est si étonnant au vu de l'interaction que nous avons. J'observe quand même des différences d'élévation (quantifiables ?) entre un homo-sapiens-sapiens rêvant de construire une fusée et un canis rêvant de gambader. Oui, nous chevauchons notre animalité en subvenant à nos besoins (nourriture, abris) et ainsi faisons nous de la place à nos rêves. Cette liberté nous donne le choix de l'usage qu'on en fait. Le fait d'avoir un choix nous crée un maître intellectuel, et malheureusement ce n'est pas toujours un idéal supérieur. Par exemple : Aujourd'hui il fait beau ; j'ai donc le choix de peindre mon balcon ou pas ; cette décision devient mon maître pour quelques instants.
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Bonjour tous et toutes, Je ne sais plus qui a déjà fait cette analyse mais en voici quelque substance : L'homme serait moins qu'un homme s'il n'avait pas d'idéal. Car c'est bien cela qui nous différencie (intellectuellement) des autres animaux (du monde). Ainsi même la bestialité, ceux qui se laissent glisser, peu devenir un idéal et donc un maître pour nous. Il ne nous reste plus donc qu'à choisir notre maître ; se persuader qu'on ne fait pas de choix est un choix. L'argent me semble plus un instrument de pouvoir que réellement un dieu ; peut-être parce-que j'ai trouvé l'idéal de conscientiser la sentience en accord avec l'idée de l'Eternel.
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Oui, voir les précédentes interventions.
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Dieu est-il le même pour tous les croyants ?
Genesiis a répondu à un(e) sujet de Francis-Charles dans Religion et Culte
Enfin, pour répondre à la question/sujet : Comme le nourrisson n'est pas en mesure de juger (de la justesse de) ses parents, Dieu n'est pas tout à fait à notre entendement. Orgueilleux est celui qui prétend le contraire. Ainsi, nous devrions avoir l'humilité de ne pas Le juger. Alors que chacun de nous s'en fait une idée et donc que l'idée de dieu est individuelle. -
Dieu est-il le même pour tous les croyants ?
Genesiis a répondu à un(e) sujet de Francis-Charles dans Religion et Culte
Faut-il encore que je raconte l'histoire de Paf le philosophe et l'ébouli ? Les intelligences peuvent être très diverses... et ne pas se reconnaître ; d'où la notion d'êtres sentiens. -
Dieu est-il le même pour tous les croyants ?
Genesiis a répondu à un(e) sujet de Francis-Charles dans Religion et Culte
le merle : mais croire en Dieu est particulier . croire à des choses connue , qui existe est une chose mais croire à un Dieu invisible en est une autre . genesiis : "Crois tu que tu respires de l'air ?" Matrix ;-) -
Dieu est-il le même pour tous les croyants ?
Genesiis a répondu à un(e) sujet de Francis-Charles dans Religion et Culte
Nous sommes a peu près au centre de notre environnement, et ce n'est pas de l'intelligence que j'y vois. Par contre, ne pas prévoir les évolutions, j'y vois de la bêtise. -
Dieu est-il le même pour tous les croyants ?
Genesiis a répondu à un(e) sujet de Francis-Charles dans Religion et Culte
Une autre façon de voir ces statistiques est le paradoxe du veau d'or : parcequ'ils n'ont pas voulu croire alors ils se sont fait un veau d'or à adorer. Ainsi il n'y a pas de non-croyant ; vous pouvez croire en l'économie, en l'écologie, en la famille, en la causalité, au chaos, en la science, au scepticisme... et ne pas vous l'avouer ! Vous croyez que ce ne sont pas des croyances ? C'est une croyance. Ce qui fait que l'homme n'a qu'une chose à choisir : son maître. « Certains hommes écoutent le silence de Dieu, d'autres le bruit du diable. » Hafid AGGOUNE / Les avenirs Certains écoutent le murmure de Dieu, D’autres écoutent le bruit du diable. -
Dieu est-il le même pour tous les croyants ?
Genesiis a répondu à un(e) sujet de Francis-Charles dans Religion et Culte
Missika : Tu m'as appris a croire en la magie de Dieu je n'y croyait pas jusqu'au jour ou des choses ce sont produite sous mes yeux. comme le fer a repasser qu'il a retourner de façon a me faire penser que les choses se ranger d'une certaine façon. la sienne . Je suis contente de voire ce qui est réelle ,plutôt que de croire en ces futilité qui ne mène nulle part . genesiis : Merci à toi d'avoir vraiment écouté ; Bien des gens font la sourde oreille en croyant qu'ils méritent de grands miracles alors qu'ils ne le font même pas pour eux mêmes. -
Dieu est-il le même pour tous les croyants ?
Genesiis a répondu à un(e) sujet de Francis-Charles dans Religion et Culte
genesiis : Reste que nous héritons du merveilleux discret, jusqu'au retour du Fils et de Son reîgne. Francis Charles : Encore faut-il croire à l'existence du "Fils" et de son règne... genesiis : Par le libre arbitre, nous ne sommes pas obligés de croire. Cependant et puisque nous vivons en notre temps, comment ne pas espérer l'Eternel ? -
Dieu est-il le même pour tous les croyants ?
Genesiis a répondu à un(e) sujet de Francis-Charles dans Religion et Culte
genesiis : Il nous faut admettre devant notre impuissance que nous ne sommes pas Dieu. Francis-Charles : Cela me paraît évident, mais si l'on considère que Dieu est le créateur de toutes choses et qu'Il englobe de facto toutes les choses et les êtres de ce monde qu'Il a créé (y compris les mouches), nous faisons alors partie intégrante de lui et n'en sommes pas totalement distincts. genesiis : Pas totalement, oui. Nous sommes inscrits dans le temps face à l'Eternel. Car nos pères ont pêché alors qu'ils bénéficiaient du libre arbitre. Reste que nous héritons du merveilleux discret, jusqu'au retour du Fils et de Son reîgne. -
Dieu est-il le même pour tous les croyants ?
Genesiis a répondu à un(e) sujet de Francis-Charles dans Religion et Culte
Bonjour tous et toutes, Afin d'éviter les erreurs tout en parlant de Dieu, il faut distinguer Dieu et l'idée de dieu ; car il nous faut admettre devant notre impuissance que nous ne sommes pas Dieu. Alors il est présomptueux de croire que l'idée que nous nous faisons de Dieu, est Dieu. C'est ainsi que nous pouvons distinguer être et exister : Dieu aurait dit "Je suis celui qui est." mais aussi qu'Il est le Vainqueur qui vient ; on peut alors imaginer, pour l'instant, qu'Il est discret dans notre plan d'existence ; ce qui nous laisse notre libre arbitre. Une éventuelle multiplicité de Dieu (panthéon) n'a, relativement à nous, aucune importance puisque nous ne pouvons pas en juger : nous ne sommes pas suffisamment les enfants de Dieu pour distinguer un Dieu qui aurait de multiples voies et un panthéon. -
Et pourtant la vie évolue, à son rythme, avec ou sans nous. Nos ancêtres ne mettaient d'écouteurs dans les oreilles. Peut-être allons nous vers Hyperion. Car la rose pousse dans le fumier...
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Le sephirot a plusieurs embranchements car la maturité peut s'acquérir par éclaircissement de différentes voies. Toutefois toutes ces voies mènent à celle de la lumière. Par exemple, certains doivent s'éprouver dans le vice (au lieu d'apprendre des traditions morales) pour finir par le rejeter (voir "les misérables" de Victor HUGO opposé aux fables de Jean de la Fontaine).
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Ca tombe bien, ici je ne suis pas moi mais une partie en extension de ma sentience : ce que je communique. Si elle est juste, c'est là une idée impérissable car même si elle est trollée, d'autres la résusciteront.
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Si nous n'apprenons pas alors nous ne pourrons pas anticiper. Ce qui fait que les êtres sentiens doivent conscientiser. L'évolution va nécessairement en ce sens.
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A mon sens il y a bien des amours et si cela reste fondamentalement de l'amour pour autant il ne faut pas les confondre : aime-t-on de la m^me façon sa voiture et sa mère ... ? Jésus nous enseigne pourtant d'aimer son prochain comme sois - même ! En effet la différence ente deux sentiences mortelles n'est elle pas ridicule face à l'Eternel ? Nous pourrions alors dire que, pour être en bonne intelligence (sociétale), nous devons faire preuve d'empathie plus que d'amour propre.
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Dompteur : Nietzsche se permet de qualifier Kant de chrétien perfide parce que par le biais de l'impératif catégorique (et de tout le bataclan qui l'accompagne), il lui semble que Kant cherche à traduire en termes philosophiques, et plus particulièrement métaphysiques, l'esprit de la Loi chrétienne. Nietzsche aussi parle d'amour. Que dit-il ? Que la Loi nous fait aimer par convention, par raison. Qu'il faut retrouver ce que l'amour a de proprement fulgurant, de non-métaphysique. genesiis : "Aimez-vous les uns les autres" Tel est l'Alpha de la création et tel est l'Omega de la révélation : par amour. Teilhard de Chardin nous parle de ce chemin comme d'autres parlent de la victoire philosophique ou de la paix perpétuelle, voir du surhomme... Nous parlons tous d'un horizon philosophique sur des bases métaphysiques. De profundis clama te tuo Deus dominum.
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Ah l'infini et au-delà ! La modélisation mathématique suppose des dimensions infinies et continues ; ce qui semble s'opposer à la théorie de l'expansion de l'univers et à la théorie quantique...
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En fait de mélasse, il suffit de chercher un peu dans n'importe quel domaine pour arriver dans la complexité voir la subtilité. Cependant il ne faut pas confondre un chaos apparent et une réalité complexe. Nous pouvons d'ailleurs considérer que, par enchassement, la réalité matérielle est un domaine de la réalité spirituelle qui elle même peut être inclue dans une réalité chaotique.
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Arn : si je comprends bien votre texte, vous voulez dire par là qu'à la base il faut accepter le principe que l'"être" existe ? Quasi modo : Sans vouloir répondre à sa place j'imagine qu'il fait allusion au fait que l'ontologie soit la base de toute philosophie sérieuse. Dans une pensée humaine cohérente, l'ontologie (ce qui est) précède et fonde la logique, qui elle-même précède et fonde la vérité. Si nous sommes d'accords pour dire que la vérité est nécessaire, alors pour affirmer que "P est vrai" ou que "P est faux" il faut d'abord définir ce que c'est qu'être. Le principe de non-contradiction, avec l'idée que la pensée et l'être ne font qu'un (Parménide) sont clairement du côté de la métaphysique (l'Être est, le non-Être n'est pas). Je me répète donc mais le message qu'il tente d'exprimer pour moi c'est que toute vérité se justifie par la logique qui doit donc la précéder, et que toute logique se justifie par l'ontologie qui doit donc précéder les deux premières. genesiis : Merci quasi modo d'avoir suppléé à ma lenteur. Effectivement je considère qu'il y a un ordre dans le raisonnement : définition du champ de la pensée puis sélection du mode de raisonnement et seulement ensuite application. Dans les deux champs usuels (spirituel et matériel) le principe de non-contradiction est auto-validé, mais il en existe un troisième (chaos). Il serait audacieux de dire que l'être existe sans avoir précisé ce qu'être et ce qu'exister. Etre (sans conjugaison) porte une notion d'intemporalité ; Exister porte une notion d'incidence. Vous pouvez alors témoigner que vous existez mais sans en déduire forcément que vous êtes de tout temps.
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Bien des physiciens admettent les limites de l'expérimentation (Heisenberg). Or le raisonnement pur n'a pas cette limite, il s'affranchi même de la perception, jusqu'à proposer des délires si l'on mélange les raisonnements. Je ne vois que cette façon d'obtenir une théorie universelle qu'il faudra confronter à la pratique du monde. Donc la métaphysique est indispensable, en ce domaine.
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Il y a des bonnes et de mauvaises questions. Les unes permettent d'avancer dans notre compréhension du monde, les autres nous distraient de cette compréhension. L'exemple de l'ébouli : "Un apprenti sage méditait devant un ébouli ; une pierre vint échouer à ses pieds et il se dit "Je suis plus sage que cette pauvre pierre ; aurait elle pu me blesser ?" N'aurait-il pas été préférable qu'il se demande "De quoi donc cette pierre est-elle le prémice ?", avant que le reste de l'ébouli le transforme en galette ? Il en est de même dans les autres domaines, dont la métaphysique. Ces questions qui distraient peuvent être appelées "gafla".