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Tout ce qui a été posté par Noisettes
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Le Parlement de Paris n'était pas constitué de bourgeois, mais de nobles qui avaient acheter leur charge.
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Repentance, Algérie c'est repartit pour un tour
Noisettes a répondu à un(e) sujet de LulzLamo dans International
Dans cette histoire, il y a eu des bourreaux et des victimes, et dans les deux camps... -
C'est une manie de calquer les faits passés avec notre grille de morale actuelle... Comme je l'ai dit, le règne de Louis XIV n'est ni plan, ni noir, mais il a fait du royaume de France une puissance européenne considérable, bien que ces méthodes soient discutables. Et à ce titre, oui, il a été un grand roi.
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Coucou chers amis lecteurs du Mag, Une nouvelle rubrique s'ouvre au sein de votre Mag préféré, et ce en accord avec le reste de l'équipe, et qui traitera principalement de littérature. Pour ce premier article, je vais vous dresser le portrait du héros d'un roman historique comportant actuellement huit tomes, le neuvième est en écriture, et que nous allons suivre pendant ces huit mois, voire neuf si le dernier tome paraît au cours de l'année 2013. En sa compagnie, nous voyagerons dans l'Europe tourmentée et instable des années 30 et 40, entre la montée du nazisme en Allemagne, la guerre d'Espagne et la Seconde Guerre mondiale pour ne donner quelques exemples. Nous allons faire la connaissance de Blèmia Borowicz, héros créé en 1987 par les deux écrivains que sont Dan Franck et Jean Vautrin. Blèmia Borowicz est un jeune Hongrois de vingt deux ans, venu en France à la mort de sa mère quand il avait tout juste dix-huit ans pour suivre les traces de son père, un photographe français, mort au champ d'honneur au début de la Grande Guerre. Il est installé à Paris, vivant dans une chambre de bonne du côté de la Porte de Charenton et travaillant dans une agence de presse au développement des photographies. Mais son objectif premier est de devenir un reporter célèbre et pour cela, il n'hésite pas utiliser à des fins personnelles le matériel de l'agence pour faire ses propres photographies. Il est ambitieux et sans-gêne, n'hésitant pas à faire usage de culot pour atteindre ses objectifs. Il se présente devant ses interlocuteurs comme "Blèmia pour le prénom, Borowicz pour le nom, Boro pour la signature" et pour ses amis, comme pour ses ennemis, il est Boro. Son ambition de devenir reporter-photographe devrait être freinée par un léger handicap physique, une boiterie due à un accident dont il donne plusieurs versions à ses interlocuteurs. Mais il utilise cet handicap comme un atout. De plus, notre reporter est un grand séducteur et bien qu'il peut aimer plusieurs femme en même temps, son grand amour est sa cousine, Maryika Vremler, la jeune étoile montante du cinéma allemand, qui va être l'élément déclencheur qui va faire basculer son destin. En allant la rejoindre en Allemagne, celle-ci lui fait un cadeau qui va tout changer: un Leica, qui est le dernier-né des appareils photos portatifs et performant. Il teste son cadeau dans la boutique du photographe, mais c'est une photo particulière qui va avoir son importance pour démarrer sa carrière de reporter, mais en différé car la photographie fera le tour du monde un peu plus d'un an et demi après sa prise pour des raisons que je vous dévoilerai le mois prochain. A partir de cet instant, la vie de Boro va changer et il deviendra un reporter reconnu. Mais cette célébrité, qui va également lui attirer de nombreux ennemis, va le conduire à risquer plus d'une fois sa vie pour avoir le scoop que tout reporter recherche. Il a ses fidèles amis des années de galère avec qui il créera une agence de presse, de nouveaux amis rencontrés au cours de ses nombreuses aventures, sans oublier ses innombrables maîtresses dont certaines auront une importance dans sa vie. Voilà un portrait rapide de notre héros.
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Coucou chers amis lecteurs du Mag' Le mois dernier, nous avons fait la connaissance de Sylvain Chomet avec son premier film d'animation qu'est La vieille dame et les pigeons, film sorti dans les salles en 1998. En 2003, il récidive avec un autre film d'animation, qui est une production franco-belgo-quebécoise, dont le titre est Les triplettes de Belleville (et non, ce n'est pas le quartier de Belleville à Paris dont il est question ici). La particularité de ce film, bien qu'il soit, si l'on peut dire, muet dans le sens où les personnages ne dialoguent pas entre eux, c'est que le son tient une place de premier plan ainsi que la musique. De plus, tout le long du film, on retrouve quelques clins d’œil à l'univers du cinéaste Jacques Tati. Le film débute dès le générique de celui-ci. En effet, on voit un rideau qui se lève sur l'écran (ce cela existait encore dans les cinéma dans les années 40) avec un accompagnement musical relativement swing. Par un jeu de contre-plongé, on voit des bâtiments immenses et plus on descend, plus on voit des limousines s'arrêter devant une salle de music-hall devant laquelle sont amassés des gens, dont on ignore s'il s'agit d'admirateurs, les raisons de leur présence, mais on voit qu'ils sont enthousiastes. Ceux-ci accueillent des spectateurs qui semblent être de marque, car il est dressé entre la sortie de la limousine et la porte d'entrée de la salle un tapis rouge, venus pour assister à ce qui semble être une première d'une représentation musicale. Ces spectateurs de marque se trouvent être des spectatrices bien en chair et qui sont affublées d'un cavalier aussi fin et petit qu'elles sont grandes et enrobées. Trois jeunes femmes, les Triplettes de Belleville qui est le nom de leur formation musicale, se produisent sur scène et ont un accueil chaleureux de la part de leur public. Elle sont accompagnées d'un orchestre pour le moins enthousiaste et on aperçoit que le chef d'orchestre sous les traits de Charles Trénet, jeune qui dirige de manière dynamique l'orchestre. À la guitare se trouve Django Reinhardt qui peut se permettre de fumer une cigarette tout en jouant de son instrument. Joséphine Baker entre en scène à la demande des Triplettes, mais très vite, son costume à base de bananes est pris d'assaut par les cavaliers des spectatrices qui se sont transformés en singes à la vue des bananes, et Joséphine doit quitter la scène. Quelques minutes après son départ, Fred Aster, avec son célèbres numéro de claquettes, entre en scène, fait quelques pas, mais soudainement, ses chaussures prennent vie et elles dévorent le danseur en emmenant avec elles dans les coulisses ses restes. Le tour de chant des Triplettes prend fin subitement avec l'entrée sur scène d'une danseuse très grande et énorme qui fait trembler la salle avec son numéro. Le spectacle s'interrompt, et, apparemment, avait été diffusé à la télévision. Deux personnages sont alors visibles : une dame âgée et un jeune garçon qui doit être son petit-fils. La vieille dame demande au jeune garçon si le film a pris fin et un interlude musical commence. Le jeune garçon, Champion, a une mine pour le moins triste, mais quant il voit le pianiste, son regard prend vie, ce qui n'échappe pas à la grand-mère, madame Souza. Le soir même, elle sort le piano qu'elle a du grenier, pensant que cela pourrait l'intéresser. Mais cela n'est pas le cas. Quelques jours, plus tard, elle lui offre un chiot, prénommé Bruno, heureux de l'avoir dans un premier temps avant de retomber dans sa mélancolie. Ensuite vient d'achat d'un train électrique qui intéresse grandement le garçon, mais comme le reste, il retombe dans sa mélancolie et s'en désintéresse. Mais en lisant son journal, madame Souza, elle remarque qu'une partie de la rubrique sportive a disparu et elle s'interroge sur cette disparition, et le jeune garçon baisse alors les yeux et retourne à son train électrique. Quelques jours plus tard, en rangeant la chambre de son petit-fils, elle découvre un cahier caché sous le matelas du lit dans lequel figure des coupures de presse traitant du cyclisme. Elle remet le cahier en place, pensant avoir trouver ce qui pourrait faire sortir de sa torpeur le petit garçon et quelques jours plus tard, en rentrant de l'école, celui-ci découvre un vélo. Son visage s'illumine alors et il fait des tours et des tours de vélo dans le petit jardin de la maison qui est isolée avec au loin une vue sur ce qui semble être la Tour Eiffel Quelques années plus tard et une urbanisation dense autour de la petite maison de madame Souza, le jeune Champion est devenu un cycliste qui s'entraîne activement afin de participer pour la première fois au tour de France sous la houlette de sa grand-mère, madame Souza. Lors d'un passage devant une maison, un discours télévisé du Président de la République, qui a les traits du général de Gaulle, invite les Français a encourager sur les routes du pays les participants au Tour de France. Pendant qu'il s'entraîne, Bruno, le chiot, est devenu un chien obèse partage son temps entre les attendre devant la porte d'entrée de la maison et la chambre de Champion, à l'étage, dans laquelle il va en entendant au loin l'arrivée des trains qui passent devant la fenêtre pour aboyer dessus (depuis que le train électrique de Champion lui a roulé sur la queue). En plus, il connaît les horaires des passages des trains et il ne rate jamais. L’entraînement de Champion est rudimentaire avec des moyens rudimentaires. Une fois son entraînement terminé, les soins post-entraînement sont donnés avec des outils pour le moins rudimentaires : fouets et tuyaux d'aspirateurs pour le passages des mollets et brosses pour le massage dorsal. Une fois ces soins effectués, sur la table du salon, le jeune cycliste prend place pour prendre son repas à une place spécialement réservée : un siège sur une balance qui est relié à un réveil qui indique la quantité de nourriture que celui-ci absorbe. Madame Souza range dans la cuisine ses instruments de fortune avant de revenir avec le repas du jeune homme. Pendant qu'il mange, sa grand-mère répare de manière rudimentaire les roues du vélo et Bruno a un œil sur le réveil de Champion car il attend impatiemment de pouvoir manger les restes de son assiette. Un fois le réveil indiquant la quantité de nourriture absorbée par le jeune homme, celui-ci donne ce qu'il reste au chien qui en est plus que ravi et se dirige vers le phonographe pour le faire fonctionner via un système qui lui permet de l'entraîner à l'intérieur de la maison. Le disque qu'il installe sur le phonographe est alors en route est celui de l'accordéoniste Roberte Rivette, qui a les traits d'Yvette Horner. Une fois sa gamelle terminée et en entendant au loin l'arrivée d'un train, Bruno se dépêche de monter dans la chambre et faire ce qu'il fait habituellement, alors de madame de Souza débarrasse la table, elle s'étonne de ne plus entendre de musique et en se dirigeant vers le salon, elle voit que Champion s'est endormi au guidon du phonographe. Elle le monte dans la chambre et le couche dans son lit en s'arrêtant quelques instants sur les photos accrochés au mur, près du lit. Bruno prend place dans le lit aux côtés de Champion pour la nuit. Bruno rêve qu'il se retrouve sur une sorte de machine à vapeur en mouvement, passe devant un bâtiment qui ressemble énormément à la maison de madame Souza et à la fenêtre de celle-ci, les voyageurs des trains que Bruno a déjà côtoyés quand le train dans lequel ils étaient passait devant la fenêtre de la chambre de Champion. Bruno se réveille en sursaut, mais sur le toit d'un camion, avec à ses côtés, madame Souza, assise sur un transat et tricotant. L'ambiance autour de lui est une ambiance festive et il s'avère qu'ils se retrouvent sur le toit du camion-balai du Tour de France, ce camion se trouve à la fin du peloton et qui est chargé de récupérer les coureurs abandonnant le Tour parce que la fatigue les submerge. Madame Souza tient à l’œil, avec une longue vue, la performance de Champion, son petit-fils portant le dossard 69, bien que celui-ci soit au milieu du peloton et qui a accepté une gourde remplit d'eau que lui propose un supporter. Sur les routes du parcours, des milliers de personnes encouragent les coureurs, ainsi que le journaliste qui suit la course. Roberte Rivette, l'accordéoniste, est également présente au sein du peloton pour encourager les coureurs, avec son matériel. Alors que le peloton commence à se distendre sur la route qui monte vers un col avec le camion-balai qui ferme la marche, un homme en noir, inquiétant au premier abord, est présent sur les lieux, et une fois le dernier cycliste passé, lance sur la route des clous sur lesquels le camion-balai me manque pas de rouler. Il quitte les lieux avant l'arrivée du camion-balai. Le camion-balai arrive quelques minutes plus tard et il roule sur cette route cloutée, ce qui oblige le chauffeur de changer la roue dont le pneu a été crevé. Alors qu'il se commence la réparation, lui et madame Souza voient passer un véhicule qui ressemble étrangement au leur. Madame Souza pousse le chauffeur à changer la roue le plus rapidement possible, en utilisant son sifflet, mais quand le chauffeur sort la roue de secours, celle-ci crève aussi tôt. Pendant ce temps, la voiture-balai intruse, avec à son bord l'homme en noir qui a jeté les clous sur la route et son acolyte qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau au volant du véhicule, suit le peloton et récupère deux coureurs ayant abandonné la course et qui se trouvent sur le bord de la route et Champion est le dernier coureur a abandonné la course, qui monte dans le camion-balai. Pendant ce temps, madame Souza et le chauffeur écoutent le déroulement de la course à la radio quand madame de Souza a soudain une idée pour tenter de reprendre la route : elle appelle Bruno pour qu'il vienne vers elle. Alors que le peloton est arrivée aux portes de Marseille, avec le vainqueur de l'étape qui est entouré par les représentantes des sponsors de la course sur le podium, des sponsors ressemblant étrangement à la marque de fromage fondue qu'est La Vache qui rit. Finalement, la voiture-balai officielle arrive à l'entrée de la ville mais ne peux pas aller au delà car le camion de Roberte Rivette est coincée sous un pont. L'attention de madame Souza est attirée par le camion-balai qui est caché dans un coin et avec un coup d’œil au chauffeur, se dirige vers ce véhicule abandonné. Une fois arrivée, elle le découvre vide, mais remarque que son petit-fils a perdu la casquette qu'il portait. Elle la récupère et la fait renifler à Bruno pour qu'il puisse retrouver la piste du jeune cycliste. Cela conduit madame Souza vers un paquebot et quand le chien, dans son élan, s'approche d'un paquebot qui est sur le départ. Elle doit retenir le chien pour que celui-ci ne se noie pas en voulant partir à la poursuite du paquebot. Elle décide de louer un pédalo pour aller à sa poursuite. Après plusieurs jours en mer, et après avoir affronté une violente tempête, madame Souza et Bruno débarquent dans une ville qui ressemble à une grande ville de l'est des États-Unis, toujours sur les talons des malfrats que Bruno piste avant de les perdre dans un embouteillage. Les deux hommes en noirs conduisent les trois cyclistes vers ce qui semble être le quartier français de la ville, dans les locaux d'une organisation plutôt louche sous couvert de production viticole, dont la devise est vino in veritas. En effet, les deux hommes conduisent leur patron à l'endroit où les hommes sont parqués et celui-ci fait comprendre qu'il est satisfait de la chose avant de se rendre auprès de son ingénieur qui met au point une machine à pédale. Après avoir erré dans la ville à la recherche du jeune homme, madame Souza et Bruno prennent place dans un restaurant pour prendre une petite collation, mais doivent quitter les lieux quand ils voient qu'ils n'ont plus d'argent. Ils passent le début de la nuit sous un pont, installés près d'un feu. Madame Souza trouve les reste d'une roue d'un vélo et commence à taper dessus avec des baguettes. C'est à ce moment que trois vieilles dames, en entendant le rythme qu'elle donne à son tapage, viennent à sa rencontre tout en chantant. Après cette rencontre musicale, les trois vieilles dames prennent madame Souza et Bruno sous leur aile et les conduisent chez elles. Leur petit deux pièces, décoré avec des souvenirs du passé, entre des instruments de musique accrochés sur le mur du salon, des photos et de prix, une affiche indiquant qu'elle sont les Triplettes de Belleville et des images de films de Jacques Tati, se trouve dans un immeuble dans un quartier populaire et près proche d'une voie de chemin de fer, qui indique que Bruno reprendra son activité, mais à des fréquences plus élevées, et qui est mal entretenu. Les trois vieille dames vaquent à leurs occupations habituelles. L'une d'elle se prépare le repas en allant chercher les matières premières. Alors que l'une est allée faire les courses, madame Souza pour s'occuper essaye de raccorder le piano et elle se met à chanter. Pendant ce temps, la troisième des triplettes se dirige vers un étang et les habitants du lieu, sentant sa présence, partent vite se cacher dans les eaux. Elle jette dans l'étang une sorte de bâton de dynamite et s'installe en attendant que son filet à pêche se remplisse de grenouilles. Une fois ce filet plein, elle retourne chez elle pour y préparer le repas. Bien que madame Souza vive en France, elle n'a jamais mangé de grenouilles et est surprise par ce repas hors du commun. A la fin du repas, elle aide pour débarrasser la table et on lui fait comprendre que rien de doit être mis dans le frigo. On lui fait comprendre que l'aspirateur ne doit pas être utilisé car elle s'apprêtait à le passer dans le salon. Un peu plus tard dans la soirée, pendant que les triplettes se préparent pour aller se coucher, elle prend un journal disponible pour le lire, mais on lui fait comprendre qu'elle ne doit pas y toucher. Les triplettes sont au lit devant un film de Jacques Tati tandis que Bruno, qui a pris peur à cause d'une grenouille qui a survécu à la préparation culinaire, sort de son assiette pour aller se cacher sous le sofa, cherche la grenouille. C'est madame Souza qui la trouve et la passe par la fenêtre pour qu'elle puisse reprendre sa liberté, mais elle est écrasée par un train qui passait au même moment, ce qui rend fou Bruno qui aboie encore plus violemment et qui est coupé par la fenêtre guillotine qui se rabat brutalement. Après ça, il prend place aux côtés de sa maîtresse pour la nuit. Les mois s'écoulent. Dans le quartier français, le chef de l'organisation, en plus d'être un fin connaisseur dans le domaine du vin, vérifie la mise en fonctionnement de la machine à pédaler avec les coureurs cyclistes dessus. Madame Souza a été admise dans la formation musicale des Triplettes et celles-ci doivent faire un spectacle dans un grand restaurant. Bruno est présent, et après avoir avoir été mis dehors de la cuisine par le chef de rang, trouve une place entre deux tables. Alors que les triplettes font leur show avec les objets qui ont été interdits à leur invitée, Bruno dort, mais il rêve qu'il se trouve sur un train en train de faire le tour de sa gamelle et que la personne qui le tire est Champion. Il se réveille et il « agresse » ses voisins, qui sont le chef de l'organisation et ses deux colosses. Alors que le chef de rang, qui les avaient accueillis avec les honneurs renvoie Bruno au loin et fait des pieds et des mains pour s'excuser pour cet incident, Bruno revient vers madame Souza, qui a suivi la chose et lit, dans le journal que tient d'une des vieilles dames, un fait divers concernant, il y a quelques années de cela, la découvert d'un charnier dans le quartier français dans lequel pourrait être impliquer la mafia français, avec à sa tête l'homme présent entouré de ses deux acolytes. Quelques jours plus tard, en se faisant passer pour aveugle, elle suit l'ingénieur de l'organisation qui quittait les lieux pour aller chez le barbier, et quand le moment se présente, elle lui prend sa veste. Dans cette veste, elle découvre les plans de la machine à pédaler. Un plan est mis en place avec ses amies pour pénétrer dans les lieux. En effet, cette machine a pédaler est un nouvel outil pour faire des paris illégaux sur les coureurs cyclistes et seuls les membres de l'organisation peuvent y entrer. La salle est surchauffée et le bookmaker, un homme plus qu'inquiétant, prend les paris. Mais il n'hésite pas achever le cyclique qui, harassé par la fatigue, s'effondre. L'ingénieur, qui surveille le bon fonctionnement de la machine, sort de dessous la machine pour récupérer de l'huile. Mais ce qu'il ignore, c'est qu'un comité d'accueil l'attend et il se fait assommer par les dames. Alors que madame Souza prend ses vêtements pour pouvoir prendre sa place, et ainsi, libérer son petit-fils, Bruno aboie, ce qui attire l'attention du bookmaker qui s'approche de la réserve, ce qui inquiète la triplette qui fait le guet, mais madame Souza est prête à temps. Elle prend place sous la machine et démolit celle-ci en desserrant les boulons. Le bookmaker s'en aperçoit et se dirige vers elle. Et les triplettes entre en action en l'attaquant et la plus forte d'entre elle, dans la bagarre, l'assomme et lui casse quelques dents. Elles font un show rapide devant les chefs des mafias locaux et notre cuisinière leur lance, quand la lumière de la salle est éteinte par l'une des quatre femme, un bâton de dynamite avant qu'elles ne prennent la fuite avec la machine à pédaler qui est désolidarisée du sol. Un autre bâton de dynamite est lancé à travers le mur pour rejoindre la voie publique. L'hôte des lieux, par un signe, indique que ses hommes doivent partir à leur poursuite. Les hommes, par groupes de deux, prennent place dans une 2CV. Le nombre de poursuivants se réduit au cours de la poursuite car les obstacles sont nombreux, entre la longueurs des voitures qui causent des soucis et des pentes abruptes qu'elles ne peuvent pas monter, et le chef, prenant par à celle-ci est à leurs talons après que madame Souza et ses compagnons aient semés leur poursuivants alors qu'ils n'ont plus rien pour se défendre. Madame Souza, qui a un pied bot, se met au milieu de la route et tend son pied sur la trajectoire de la voiture, qui est déviée et qui chute du pont sur lequel elle était. La voiture des mafiosi finit sa course dans la cheminée d'un paquebot qui passait par là. Ils arrivent à la sortie de la ville de Belleville. Cette scène finale est celle d'un film que Champion, vieil homme, a regardé et qui indique à sa grand-mère, qui a l'air de ne pas être présente dans la pièce, que c'est la fin du film.
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Et ce bilan s'est encore aggravé avec l'aide que la France a fournis aux à la colonise britannique aux Amériques et les dépenses de plus en plus en plus importante de la Cour. Personne n'a dit que la faillite du royaume lors du règne de Louis XVI était de sa faute...
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Qu'on le veuille ou pas, Louis XIV a laissé une grande trace dans l'Histoire de France et de l'Europe et personne n'a dit que son règne était rose, mais il n'a pas été complètement noir non plus.
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Bien sûre que non.
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Dans le cas des changements dynastique de 1328 et de 1589, les rois sont décédés sans descendances mâles, ce qui fait que la couronne est passé au parent le plus proche de sexe masculin du roi défunt.
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Je parlais de gouvernement actif comme le fit Louis XIV avec sa prise de pouvoir personnel.
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Je n'ai jamais dit que le roi gouvernait seul... Possible Delenda, ou bien avec Simplicius. Bref, et je crois que c'était un topic sur un retour éventuel de la monarchie en France.
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Je me souviens avoir eu ce débat avec un membre du Forum, mais je ne sais plus sur quel topic...
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On se rejoint... Les deux monarchies étaient très différentes l'une de l'autre, mais pour Charles Quint, c'est encore une autre histoire...
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Je borne tout à Louis XIV pour ce qui est des Bourbon d'Espagne car Philippe V a fait une politique de monarque espagnol pour son peuple espagnol. Et parce qu'un intervenant sur le topic a écrit une erreur(à mes yeux) en disant que Louis XX est un descendant de Louis XVI. Mais c'est sous Louis XIV que l’État royal s'est renforcé après la période de la Fronde qui a mis à mal l'autorité royale.
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Mais la monarchie espagnole avait des codes différents de la monarchie de France. Et ça, Philippe V l'avais bien compris... Et nous avons une interprétation différentes des choses.
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Comme j'ai dis, sur ce topic, je débute avec le règne de Louis XIV et sa politique. Car les Bourbon d'Espagne démarre avec Philippe V, le petit-fils de Louis XIV Sinon, tu peux toujours créer un topic sur l’État monarchique depuis les Francs jusqu'à la chute de la monarchie en France et je serai ravie d'y participer :)
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Ca, je suis au courant mais dans ce topic, il est question d'un descendant de Louis XIV, dont le petit-fils est devenu roi d'Espagne. Je ne vais pas non plus m'amuser à faire mille ans de la monarchie française sur un topic qui en demande trois siècle. Et mon choix s'est porté sur la politique de Louis XIV, que cela te plaise ou pas qui a une une très grande empreinte sur la monarchie au XVIIe siècle. Par ce si cela ne tenait qu'à moi, je serais parti sur le régime monarchique depuis les Francs. Pour Louis XVI, la très bonne biographie de Jean-Christian Petitefils avec quelques chapitres sur la politique mise en œuvre par Louis XVI.
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Quand je parle d'Ancien Régime sur ce topic, je parle de la période moderne, et plus particulièrement du XVIIe siècle à partir du règne de Louis XIV car c'est sous son règne qu'on parle de Monarchie Absolu pour l'Ancien Régime. Pour ce qui est de la fin du Roi-Soleil, ce n'était plus le règne fastueux d'un jeune monarque, mais une fin de règne difficile avec des crises considérable dans le royaume, une famille royale décimée sans oublié des guerres à l'extérieure du royaume qui ont fini par crever les finances royales.
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Que dis-tu encore PASDEPARANOIA...
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Ce que je dis est exact dans l'ensemble.
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Sauf qu'elle a été officialisé après 1875 car au début, elle ne devait être que provisoire en attendant mieux...
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Repentance, Algérie c'est repartit pour un tour
Noisettes a répondu à un(e) sujet de LulzLamo dans International
Je parle en tant qu'étudiante en Histoire, la colonisation est un fait d'une autre époque avec des buts, faut se l'avouer, non avouables. -
J'ai Lucien Bély comme professeur. Régner et gouverner sont deux choses différentes, PASDEPARANOIA Dans le premier cas, le roi ne participe directement à la politique menée dans le royaume et ce sont les membres du gouvernement qui s'en occupe. Il ne fait que signer les documents après en avoir eu une connaissance sommaire. Dans le second cas, celui qui a existé depuis Louis XVI jusqu'à Louis XVI, le roi prend une part active dans la gestion et le contrôle des affaires de l’État et rien ne se décide dans avoir son aval.
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Entre 1870 et 1875, la France a perdu occasion de mettre en place une monarchie parlementaire car Henri de Bourbon, comte de Chambord, a refusé le drapeau tricolore et les acquis de la Révolution Française en voulant revenir à une monarchie de type absolue qui a existé avant la Révolution. De plus, comme il a été élevé par Madame Royale, sa réaction pouvant éventuelle s'expliquer par ce biais. Car avant 1870, les députés existait sur le régime politique du pays: soit une monarchie constitutionnelle avec à sa tête, soit le comte de Chambord, le représentant des légitimistes, soit le comte de Paris, le représentant des orléanistes ou bien, une République en dernier ressort. Mais le choix de la République n'était pas celui qui avait été retenu à la base...
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Dans l'Ancien Régime, le roi ne gouvernait pas, il régnait, ce qui est différent. C'est avec Louis XIV que le roi prend une part active dans le gouvernement en prenant les décisions après avoir assister aux différents Conseils et en travaillant avec ses ministres car Louis XIV était très active dans le gouvernement A lire sur la question l'ouvrage de Thierry SAMARANT et Mathieu STOLL, Régner et gouverner: Louis XIV et ses ministres, Paris, Perin 2010