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Noisettes

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Tout ce qui a été posté par Noisettes

  1. Noisettes

    Défi lecture 2024

    Coucou par ici. Voici la dernière mise à jour du défi : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1-eKVkajypth6JxcdgkLq7sZ0inoiOAYlytMYPEp3ZG0/edit?usp=sharing Pour ma part, après avoir quitté la Transylvanie avec lady Georgiana Rannoch, je suis allée faire un petit tour dans la France du XVIIe siècle en compagnie d'un personnage que tous les lecteurs d'Alexandre DUMAS connaissent mais dans cette histoire, avant de devenir l'espionne du Cardinal Richelieu, Milady de Winter est la propriétaire en plein Paris d'un magasin de thés ayant comme passe-temps la résolutions de crimes, dans Les enquêtes de Milady : Le baiser de la tulipe noire, de Maxime FONTAINE et Bertrand PUARD. Ce livre entre dans la catégorie "Un livre avec une couleur dans le titre". Ensuite, je suis allée faire un cours dans les USA post guerre de Sécession avec les membres du Gun Club qui décident d'utilisé leurs connaissances de la fabrication des armes et de la balistique pour un projet un peu fou : d'un objet partant de la Terre puisse atteindre la Lune. Comme vous avez du le comprendre, il s'agit du roman de Jules VERNE, De la Terre à la Lune, à mettre dans la catégorie du même nom. Je vais continuer mon défi lecture ce soir en compagnie de Daniel PENNAC avec le deuxième tome de la saga des Malaussène avec La fée Carabine, livre qui sera mis dans la catégorie " Un livre paru la décennie de votre naissance".
  2. Noisettes

    Défi lecture 2024

    Coucou par ici. Voici le lien pour la dernière mise à jour du défi : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1-eKVkajypth6JxcdgkLq7sZ0inoiOAYlytMYPEp3ZG0/edit?usp=sharing Pour ma part, après avoir terminer les aventures de Denis Boudu dans son grand magasin dans le Paris du Second Empire, je suis restée dans le XIXe siècle mais en franchissant les Alpes afin d'assister à fin d'une certaine aristocratie italienne avec l'unité italienne, et plus précisément sicilienne, en suivant don Fabrice, prince de Salina, dit aussi Le Guépard de Giuseppe Tomasi DI LAMPEDUSA, livre qui a été ajouté dans la "catégorie littérature italienne". Après cela, j'ai fais un petit à travers le respect des morts et la raison d'Etat avec l'Antigone de Jean ANOUILH qui a été ajouté dans "pièce de théâtre" et je suis retournée au XIXe mais cette fois-ci, j'ai traversée le Chanel comme dirait nos amis Britanniques pour me rendre à Londres pour suivre les aventures d'une jeune provinciale, Elizabeth, dite Lizzie, Martin qui débarque de son Derbyshire natale après la mort de mon père pour devenir dame de compagnie de la deuxième épouse de son parrain. C'est dans cette maison qu'elle a va être confrontée à sa première enquête policière, car ayant Un intérêt particulier pour les morts, d'Ann GRANGER, livre ajouté dans la catégorie "roman policier". Et pour terminée, je reste à Londres dans les années 30 pour suivre les aventures d'une jeune aristocrate anglaise, lady Georgiana Rannoch, qui a ses entrées à Buckingham Palace dans Son espionne royale et la fiancée de Transylvanie, livre qui trouve aisément sa place dans la catégorie "littérature britannique".
  3. Je ne peux pas bloquer ces deux personnes car elles sont assistante sociale et éducatrice spécialisée qui viennent de me mettre dans une sacrée galère car les situations atypiques leur sont inconnues.
  4. Je mets au défi les deux imbéciles ayant écrit ces ignominies sur mon compte de vivre ma vie un week-end avec deux personnes reconnue en situation de handicap et elles me diront ce qu'elles ont pensés de l'expérience pour dire que je suis complètement à côtés de mes pompes. Pour ce qui est du changement, cela perturbe mon fils à un point inimaginable.
  5. Il n'est pas complexé d'être le plus grand enfant en taille de l'école mais il vit difficilement le fait de devoir aller à l'école en demi-journée et de devoir passer l'autre demi-journée restante au DITEP. Et en ce qui me concerne, on se permet de me dire que je ne suis pas foutue de gérer mon fils au quotidien, que je suis hors sol et que je le mets en danger à cause de la pathologie psy de son père qui l'a conduit à être hospitalisé trois fois entre le mois de mars et d'août. Et mon fils a une sainte horreur du changement et de la modification de ses rituels et habitudes.
  6. Oui et non dans la mesure où il a un trouble du comportement qui fait qu'il est très impulsif avec des difficultés à se canaliser par moment et qu'en plus de ça, il est plus grand de taille que ses copains, il sait qu'il doit faire attention mais il n'y arrive pas toujours et on se retrouve avec des petits ratés, mais moins graves que ce malheureux accident.
  7. Comme tu dis. Sept ans après, mon fils s'en souviens encore et la petite a eu de sacrés soins dentaires, sachant qu'une racine dentaire a été touchée.
  8. En petite section, le mien voulait y a aller toute la journée mais le premier de sa rentrée dans sa nouvelle maternelle (nous avions déménagés de la région parisienne à la région bordelaise) il a causé un accident avec une petite camarade de classe en la faisant tombé contre les pied d'un banc dans la classe et il lui a cassé...huit dents (quand on disait à mon fils de ne pas courrier dans un espace clos avec une poussette car il n'aurait pas pu s'arrêter à temps d'u haut de son mètre dix). Il n'a pas vraiment apprécié de se voir évincer de la classe l'après-midi car il ne pouvait pas être géré par la maîtresse et l'ATSEM.
  9. Il est possible qu'elle ai un trouble du comportement et si c'est cela, c'est quelque de difficile a gérer pour un enfant aussi jeune, ainsi que pour l'entourage. Et si c'est cela, il faudra beaucoup de temps pour que tout le monde se familiarise avec ce trouble qu'il faudra diagnostiquer dans un premier temps.
  10. Je préfère encore avoir un enseignement qui soit formé pour être capable pour faire face à toute les situations que de voir les enfants et le personnel éducatif être maltraité par son ministère de tutelle, l'Education Nationale.
  11. C'est sûre qu'il est plus vendeur pour les médias d'avoir des images d'une instit qui pètent les plombs et se défoule sur une gamine que de se s'intéresser à la lutte des parents qui bataillent avec l'Education Nationale est capable de laisser pendant une année une classe sans enseignant avec les dégâts que faire sur les enfants (et sur le corps enseignant). Dans dans cette histoire, c'est l'Education Nationale qui laissent tomber les élèves et les enseignants pour ne "pas faire de vague". Et oui, il faudrait revoir en profondeur la formation des enseignants du 1er degré au lieu d'imposer des évaluations en début d'année aux gamins du CP au CM2.
  12. Je ne cherche en rien a excuse le comportement de l'institutrice mais au lieu de la mettre en pâture devant le tribunal médiatique (ainsi que la petite qui elle, n'a rien demandé, tant aux coups qu'à cette exposition), il aurait été plus judicieux que les parents rencontre l'institutrice pour comprendre son pétage de plomb (car c'est un pétage de plomb et la petite n'aurait jamais du en faire les frais même si elle avait été casse-pied) même si cela ne les auraient pas empêcher de porter plainte contre elle. Que cette histoire passe les tribunaux est une cause, mais par la case médiatique, je trouve cela déplacer tant pour la petite fille qui a été victime de ses violences que pour l'institutrice qui a été donné au pâture à l'opinion publique sans pouvoir se défendre.
  13. Vu la rapidité avec laquelle cette histoire est arrivée dans les médias, j'ai bien l'impression que la partie "demande d'explication'' ne se soit pas faite et qu'elle est partie directement sur la voie "judiciaire et médiatisation".
  14. Ce que je ne comprends pas dans cette histoire, c'est pourquoi l'avoir médiatisé avant que les parents interviennent auprès de l'enseignante et de la directrice de l'école pour comprendre la situation, même si le geste de l'enseignante est répréhensible.
  15. Mon fils a bien pris la clé des champs à quatre ans, alors qu'il était...au centre de loisirs un jour de juillet.
  16. Il faudrait rappeler à ce cher Jérôme Seydoux qu'à ses début, le cinéma était un divertissement populaire qui ne coûtait que quelques sous (et boudé par les bourgeois car divertissement "vil" pour eux), et non des fortunes comme maintenant.
  17. Quand je vais au cinéma, soit je privilégie les séances du matin avec mon Loustique car elles sont à tarif unique (6 euros et des brouettes) soit je privilégie les séances ciné culte à l'UGC qui sont à 8 euros avec la carte fidélité. Mais 25 euros la séance cinéma, ça fait cher le film.
  18. Justement, pourquoi interdire quelque chose qui était déjà interdit dans les règlements des établissements scolaires au début de la décennie 2000 ?
  19. On en discutera car je suis retrouvée dans une situation où je n'avais le droit à aucune aide d'une fait d'une situation atypique et si je me retrouve de nouveau dans la panade, je serai également dans la même problématique.
  20. La question des enfants qui se retrouvent dans la rue n'est pas la panache des migrants en situations régulières ou pas, mais des famille bien Françaises se retrouvent dans cette situation et un accident de vie est très vite arrivé. Si je perds mon emploi (payé au SMIC), je ne serai plus en état de payer mon loyer et certains factures que j'ai en charge et si je devais faire le choix entre payer mes factures et mettre à manger dans l'assiette de mon fils avec le peu d'argent que j'aurais, le choix serait vite fait.
  21. J'ai quitté le collège en 2000 et le lycée en 2005 et dans ces deux situations, il était noté dans le règlement intérieur que l'utilisation du téléphone portable était INTERDIT dans l'enceinte de l'établissement. Ce qui a changé en 20 ans, c'est bien son utilisation et la dépendance que nous avons aux potables avec toutes les applications possibles et imaginables. C'est à nous, parents de faire respecter le règlement intérieur des établissements scolaires.
  22. Mon fils de dix ans a un abord assez particulier avec les gens et certaines interactions sociales et il a certains rituels auxquels il tiens particulièrement (dont celui de rester devant le bouton d'ouverture du bus ou du tram pour sortir le premier) et un jour dans le tram, une vieille dame n'a pas apprécié sa façon de faire et elle m'a gentiment fait remarquer que je ne savais pas éduquer mon fils (il n'y a pas vraiment de recette pour éduquer un enfant ayant des troubles du comportement, même si cet enfant est poli et serviable, mais certaines craintes sont difficiles à contrôler et on doit faire avec) et mon, fils lui a dit cash "Madame, j'ai des troubles que je ne peux pas toujours contrôler alors que vous, vous êtes pressée alors que vous ne travaillez plus". A dix ans, il a conscience d'avoir un handicap qui est invisible et il se met facilement en rogne quand il entend dire par des gens extérieur que ses parents ne savent pas l'éduquer, sans compter cette injustice de devoir aller à l'école qu'en demi- journée alors qu'il adore l'école.
  23. Noisettes

    Défi lecture 2024

    Coucou par ici. Voici la dernière mise à jour du défi : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1-eKVkajypth6JxcdgkLq7sZ0inoiOAYlytMYPEp3ZG0/edit?usp=sharing Pour ma part, avoir avoir terminer le roman de Théophile Gautier, je suis restée en Egypte avec le roman d'Alaa Al-Aswani, L'immeuble Yacoubian, qui raconte l'histoire de certains occupants de cet édifice dans une société qui s'effrite de plus en plus dans le tournant des années 80/90. Ouvrage qui a été ajouté dans la catégorie "littérature nord africaine". Ensuite, j'ai rejoins les aventures des héros de Georges Arnaud en Amérique du Sud avec leur chargement de nitroglycérine avec Le salaire de la peur, qui est entré dans la catégorie "un livre ayant été adapté au cinéma ou en série". Après cela, j'ai fais un petit tour dans la Russie du début du XXe avec les chamboulements que cette dernière a connue à travers la vie du Docteur Jivago, de Boris Pasternak, livre qui entre dans la catégorie "un livre de plus de 500 pages". Et là, je suis les aventures de la jeune Denise Baudu, vendeuse Au bonheur des Dames d'Emile Zola, qui entre dans la catégorie d'un "roman écrit par Emile Zola.
  24. Ce n'est pas mon point de vue, mais juste un constat que je fais tous les jours avec mon fils qui est en situation de handicap, qui plus est un handicap invisible, et à dix ans, il en a juste ras-le-bol de ne pas être comme un enfant comme les autres. Il veut pouvoir passer ses journées à l'école et non des demi-journées et il y a des jours où quand il fait sa tête de cochon, il refuse l'aide de son AESH car cela le différence des autres et il a du mal avec cette différenciation de traitement.
  25. Je pense que les personnes (quelque soit la nature et le degré d'handicap) ne veulent pas de bienveillance, mais juste qu'on les considèrent comme des personnes normales et qu'on ne les renvoie pas à leur handicap dès que l'occasion se présente.
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