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Tout ce qui a été posté par Jedino
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Je ne suis pas doué pour rassurer les gens, mais je dirais que, quand tout va pour le pire, ça ne peut qu'aller mieux par la suite. Ca ne peut pas aller de mal en pis éternellement. Persévère, accroche-toi, et lorsqu'un de ces éléments qui semblent te faire tant de mal commencera à changer, il emmènera, comme une réaction en chaîne, tous les autres, progressivement. Continue à chercher un boulot, essaie de nouer des contacts. Où? A toi de voir. Peut-être dans un autre sport que la danse. Peut-être en allant rejoindre une association quelconque. Peut-être au hasard d'une promenade. Le problème, dans ce genre de situation, ce n'est jamais vraiment de saisir les occasions, quoi que ça dépend pour qui, mais surtout de saisir l'occasion qui lancera toutes les autres. Au fond, eminem est doué pour dire les choses comme elles sont : "Look, if you had one shot or one opportunity To seize everything you ever wanted in one moment Would you capture it or just let it slip?" Autrement dit, il y a deux questions. Es-tu vraiment prête à te lancer dans cette "aventure" et, es-tu prête à nager jusqu'à retrouver la surface?
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Je me sens un peu seul, faut dire, mais on fait avec :D Et, je suis pas doué pour écrire autre chose que ça, donc, je fais avec aussi! Mais merci, à toi aussi :)
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C'est pas mal, ça!
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Et ça c'est sympa' aussi
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Ca me fait penser un peu à this will destroy you.
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qu'est ce qui vous plait dans un homme question posée aux femmes ?
Jedino a répondu à un(e) sujet de sylvia 12 dans Amour et Séduction
Ah mais j'en doute pas! :D -
@Zeds_Dead Je ne vous parle pas d'armes, moi, mais d'un mariage. Et, je ne vois pas comment vous pourriez prédire que cela se fera ainsi, ou non. Ce n'est que pure spéculation. Ou alors pensez-vous que le social est une science exacte? Dans l'idéal? Ouai. C'est profondément injuste de brider la liberté de tout le monde parce que des cons sont cons. Mieux vaut encore essayer vainement d'éduquer que de mettre lois sur lois pour interdire et interdire encore. L'interdiction n'est pas une amélioration pour moi. Une triste nécessité, tout au plus. La société progressera quand elle fera ce qu'elle fait avec les lois, mais sans les lois. Si c'est ce que vous entendez par là dans la seconde phrase, nous sommes d'accords. Si tu ne fais pas n'importe quoi quand tu ignores tout, tu ne peux pas bien faire. Toutes ces interdictions découlent d'un constat, pas d'une spéculation préalable. L'oxymore de quoi? De l'idée qu'on s'en fait, du mariage? Possible. Mais le refuser, c'est aller outre nos grands principes. Et puis, ces choses-là ne sont que des définitions. Je ne serais pas contre la suppression du mariage tout court, comme je suis pour le mariage pour tout le monde. L'essentiel n'est de toute façon pas là. Autrement dit, je serais avec vous si vous défendiez aussi l'idée qu'il fallait virer le mariage. Sinon, non. Je ne remets pas en cause l'origine d'un enfant. Ce que je remets en cause, c'est l'idée qu'on se fait de son éducation. Ce qui n'était pas clairement dit, donc, et je m'en excuse. Et, la nature me convient. Mais la nature, ce n'est pas que papa/maman. Le concept de mariage est ce qu'il est. Une définition, rien de plus. Pourquoi se borner à des concepts qui ne doivent pas changer, comme si c'étaient des vérités universelles et intouchables? Faire n'importe quoi n'est pas le faire n'importe comment. De même que ce n'est pas toujours le moment. Bref, ce n'est pas n'importe quoi. Sauf si, pour vous, nous faisons n'importe quoi? On peut mettre des choses en place de façon raisonnée. Et en l'occurrence, sur la question qui nous occupe, les arguments contre n'ont pas lieu d'être. La nature n'est pas un modèle unique et fini. Elle s'ouvre à tout ce qui est viable. La loi, elle, n'est pas sensée être une limite. Et l'enfant, lui, peut très bien s'épanouir s'il n'est pas victime de notre bêtise. Je ne vois vraiment pas en quoi vivre avec deux pères ou deux mères seraient plus dramatiques que de vivre avec un seul parent.
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Le temps se perd comme s'emporte les regrets deux pieds sous terre. Une pelletée par ci, une autre par là. La vie s'en va doucement, paraît-il. Je vous demande, moi, où ça? Où se réfugie-t-elle? Dans les étoiles, ou plutôt, dans le néant? Peut-être dans les souvenirs de ceux qui sont encore ici? J'ai appris que respirer, sentir et me déplacer sont les signes de mon existence. Pourtant, moi, je n'y crois pas : la Vie ne meurt pas. Jamais. Pas comme ça. Que mon corps soit là, ou non, il continue de vivre à travers les autres. Et, même s'il venait à être oublié, sa présence persisterait dans l'air, dans la terre, dans toutes ces choses qui ne pensent pas, mais restent et seront toujours là. L'humanité peut bien péricliter, le monde, s'atomiser, et la vie, s'emporter, la Vie, elle, persistera dans ce que nous voyons et ne verrons probablement jamais. Nous nous attachons à un corps, à un esprit ou une âme, comme vous le voulez, bref, à une "personne" qui est la mise en relation plus ou moins bonne et étroite de ces deux entités, c'est-à-dire un "Je", sans savoir qu'au fond, ce que nous aimons, c'est une infime parcelle de ce qu'est la Vie. Nous ne sommes rien de plus et rien de moins qu'une poussière d'un tout, l'étape entre un avant et un après, la consécration de ce qui a été et le socle de ce qui sera. Nous ne sommes pas là pour vivre, mais pour faire vivre. Notre rôle ne s'inscrit pas dans l'exploitation du présent. Il n'est qu'un tremplin, une sorte de marche dans l'évolution. Cesser cela, c'est risquer notre déclin. Croire que nous pouvons, rien qu'un temps très court, arrêter ce besoin d'aller toujours plus loin, de l'avant, sans savoir ni pourquoi ni où, tient de la bêtise. Pour penser cela, il faut être soit croyant, soit idiot. Et, à vrai dire, dans ce cas-là, le croyant est plus louable que l'autre puisqu'il tient la route dans ces convictions.
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B'soir!
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B'soir!
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http://www.youtube.com/watch?feature=fvwp&NR=1&v=_bMXs-at0YA
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Ah, eminem! B'soir, ouai! http://www.youtube.com/watch?v=ej5HAbXYK08&feature=share
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Pas mal, en effet! :) Donc, peut-être que ça te plaira, même si je ne sais pas si tu es branché rap : http://www.youtube.com/watch?v=TFrGD6kfwIc
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Le groupe est allemand, oui, et anti-religion. Mais, de toute façon, la meilleure des chansons est, selon moi, celle-ci :
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Bonsoir, oui!
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Je dors mal. Le matelas me semble trop dur. Le coussin, trop bas. L'air, trop frais. La vie, trop lointaine. Je ne sais plus depuis quand, mais je sais pourquoi, je sais comment. Ils me disent que je n'y suis pour rien, que je ne pouvais pas le prévoir, le savoir. Ils ne comprennent pas. Ils ne comprennent jamais. Tu m'aimais assez pour me protéger de ton désespoir, mais tu ne m'aimais pas suffisamment pour me demander de t'accompagner. Je souffre moins de ne plus te voir que de ne pas avoir su te convaincre que je voulais être à tes côtés, à n'importe quel moment, à n'importe quel endroit. Nous aurions pu mourir main dans la main et tu as préféré en finir sans me demander si j'étais avec toi avec ou sans un lendemain. Le monde me paraît si froid en l'absence de ton sourire. Je songe à ton visage, à ton humour, à ces souvenirs que je rappelle seul et où nous sommes deux. Tu disais que nous irions regarder le ciel ensemble, en Australie, que tu souhaitais un petit Teddy que nous verrions grandir dans notre appartement ou notre maison, tu ne t'étais pas décidée encore. Tu disais tant de choses qui se sont à présent effacées comme s'efface le roc sous les larmes du temps. Oui, cette pièce est bien vide. Vide de ton amour. Vide de tes mots. Vide de tout. De toi, surtout. Te reverrai-je un jour? Pourrais-je à nouveau sentir ta chaleur, redécouvrir ton coeur pour le recouvrir de mon bonheur? Pourrais-je... Je ne sais pas. Je ne sais plus. T'enlacer, t'embrasser, t'étonner, t'écouter, t'observer? Que faire lorsque d'un rêve devant durer une vie tu passes à une réalité qui se termine après deux années? Comment imaginer un seul instant qu'ensuite, tu pourras recommencer à marcher comme tu marchais depuis toujours en gravissant, pierre après pierre, l'escalier de la vie? Sache que je ne regrette pas ces moments avec toi, cette complicité qui a mis du temps à s'installer. J'aurais pu te rejoindre, les premiers jours, si j'avais eu cette force qui t'habitait tant. Mais, je n'ai pas pu. Ne m'en veux pas. Oui, excuse-moi de t'avoir déçu, de ne pas t'avoir compris. Tu attendais plus, tu ne recevais que trop peu. J'aurais dû voir que tu nous quittais lentement. J'aurais dû.
