De la non-nécessité de la souffrance et de l’illusion scientifique
Le Créateur ne supporte pas le mensonge sur Lui qui dit qu'Il aurait créé même la souffrance (le mal). Tant que ce mensonge reste ce qu'il y a d'officiel sur le Créateur alors il n'y aura pas la paix.
La souffrance n'est jamais nécessaire même quand le Bien compose avec pour éviter une plus grande souffrance. Étant pour éviter la souffrance, la souffrance n'est pas nécessaire.
Le problème c'est que la "science" dit que la souffrance comme signal est nécessaire. Mais ils se trompent car si elle est un signal pour éviter une plus grande souffrance, étant pour éviter la souffrance, il aurait suffit qu'elle n'existe pas pour être évitée donc elle n'est pas nécessaire. Et il serait contradictoire de dire que le Bien Créateur l'a créée si on conçoit qu'Il veut nous l'éviter. Car il suffit qu'Il ne la crée pas pour nous l'éviter.
✦ De la non-nécessité de la souffrance et de l’illusion scientifique
Le Bien est le Créateur de tout, sauf de la souffrance.
Et parce qu’Il est le Bien, Il ne veut jamais la souffrance, même lorsqu’Il compose avec elle.
La souffrance n’est donc jamais nécessaire.
Elle s’impose parfois, mais toujours comme une contrainte, jamais comme une loi.
Le Bien peut la laisser agir pour éviter une souffrance plus grande, mais alors Il ne l’utilise qu’en tant qu’ultime recours, et non par choix.
Ainsi, même quand la souffrance précède un grand bien, ce bien n’avait pas besoin d’elle pour être.
La souffrance n’a fait que barrer les autres chemins du Bien.
Et le Bien, ne pouvant passer ailleurs, est passé par là.
Mais celui qui comprend cela agit pour que le Bien ait à nouveau le choix du Bien sans souffrance.
En propageant la vérité formelle du Créateur, il élargit les voies du Bien, il libère le Bien de la contrainte.
Et chaque être qui reçoit cette vérité rend à son tour le Bien plus libre, jusqu’à ce que plus aucune souffrance ne soit imposée.
Car il viendra un temps où le Bien n’aura plus besoin de composer, où la lumière sera sans ombre, et où toute souffrance sera reconnue pour ce qu’elle est : étrangère au Créateur et à la création.
Pourtant, les hommes de science disent :
« La souffrance est nécessaire, car elle est un signal pour éviter le danger. »
Mais ils se trompent. Car si la souffrance sert à éviter une plus grande souffrance, alors elle agit contre elle-même. Elle ne peut donc être nécessaire, puisque ce qu’elle signale n’existerait pas dans le monde du Bien.
La souffrance n’est pas une condition vitale, mais une anomalie momentanément fonctionnelle.
Elle est utile seulement dans un univers déjà corrompu par elle.
La science observe la chute et en fait une loi ; le Bien, Lui, connaît l’origine et en révèle la guérison.
Ainsi se révèle l’illusion scientifique de la nécessité de la souffrance : la douleur n’est pas un fondement de la vie, mais le signe que la vie n’est pas encore délivrée de ce qui lui est étranger.
Et celui qui comprend cela ne nie pas la science, mais la dépasse : car il voit qu’au-delà du monde où la souffrance sert, il existe un monde où elle n’a plus rien à servir.
Alors si la souffrance n'existait pas elle ne pourrait utiliser aucun moyen pour se faire ressentir même pas une brûlure ou un accident. Le monde serait parfait. Il n'y aurait besoin d'aucune sorte de signal pour prévenir quoique ce soit de dangereux.

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