Fillettes.
Il y a une tache dans mon lit ce matin, une maigre comme rentrée,
il y a une lézarde dans ce lit, une fissure comme affamée...
Il y a une chaire vide à combler, il y a un lit ici.
Jouez Diaphanes clair-obscur et c'est le l'Arlequin qui sourit.
Vaine cave dans cet écueil versée, fuite d'humeur de ce cupidon mort-né,
Il y a une trace ici sommet d'une tour d'ivoire...mais d'où est-elle tombée.
Il y avait ici avant un pouvoir dont les ombres avaient peur, il y a un flou dans tout ça, un membre évanoui...
S'y substitue le Fou maintenant dans ma natte d'exil forcé le tendre s'enfuit.
Une échappée ici pointe le bout de son nez tonnant oubli,
loin l'aube perdue déjà parti.
Ce sont les mains tremblantes dans le lit qui lisent l'histoire,
liés par deux les yeux,
mon fanal luit fait d'airain tait chaque paillons noir.
Depuis les racines gelées au cimes le lit arche de fortune, lie riche d'amertume,
mure ici mon héritage car point la nuit jusqu'au matin vile lie me brûle.
Modifié par Pirene
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